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Vattetot-sur-Mer

Vattetot-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Vattetot-sur-Mer
Vattetot-sur-Mer
La mairie-Ă©cole en 2011.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CA Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Franck Blanchet
2020-2026
Code postal 76111
Code commune 76726
DĂ©mographie
Gentilé Vattetotais
Population
municipale
323 hab. (2020 en diminution de 3,87 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 63 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 43â€Č 40″ nord, 0° 16â€Č 53″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 109 m
Superficie 5,14 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de FĂ©camp
LĂ©gislatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Vattetot-sur-Mer
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Vattetot-sur-Mer
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Vattetot-sur-Mer
Liens
Site web http://www.vattetotsurmer76.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    Les falaises de Vatrelot-sur-Mer.

    Commune du pays de Caux, cette petite commune normande se trouve entre Étretat et l'agglomĂ©ration de FĂ©camp.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Vattetot-sur-Mer
    Manche Manche
    Les Loges Vattetot-sur-Mer Saint-LĂ©onard
    Les Loges Les Loges

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 918 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 109,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  76 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vattetot-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (85,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (66,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,2 %), forĂȘts (14,2 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,4 %), prairies (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Environnement

    Anomalie pour le mercure : Ifremer analyse périodiquement la teneur des moules en quelques contaminants toxiques (métaux lourds notamment) sur un réseau de points du littoral Manche et Atlantique. Le hameau de Vaucottes fait partie de ces points de contrÎle.

    Alors que les moules du reste du littoral breton, normand et bas-normand prĂ©sentent des mĂ©dianes proches de la mĂ©diane nationale (0,15 mg de mercure total par kilogramme de moules en poids sec), deux lieux se montrent plus contaminĂ©s au dĂ©but des annĂ©es 2010 : ce sont Villerville (1,5 fois la mĂ©diane supĂ©rieure) et surtout le point Vaucottes oĂč les moules en contiennent en moyenne 0,37 mg par kilogramme de moules en poids sec)[24] - [25], soit 2,5 fois plus contaminĂ©es par le mercure que la mĂ©diane nationale, sans explication claire Ă  ce jour (parmi les records de France).

    Ce mercure ne peut provenir de l'embouchure de la Seine oĂč les moules en contiennent bien moins. Les moules du pays de Caux (au nord de l'estuaire de la Seine en Seine-Maritime) prĂ©sentent des taux de mercure anormalement Ă©levĂ©s et parmi les plus Ă©levĂ©s du littoral français. Une des sources de ce mercure semble ĂȘtre un flux d'eaux souterraines karstiques via des rĂ©surgences qui s'Ă©couleraient le long d'une zone intertidale du pays de Caux[26]. Ce mercure s'ajouterait Ă  celui apportĂ© par la Seine, gĂ©nĂ©ralement transformĂ© en mĂ©thylmercure (plus toxique, et plus bioassimilable).

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Watetot en 1162[27], Parrochia de Vatetot supra mare en 1274[28], Sanctus Petrus de Vatetot en 1337, Saint Pierre de Vattetot[29], paroisse de Vatetot sur la mer en 1398[30], Vattetot sur Mer en 1539[31].

    Histoire

    Le hameau de Vaucottes (Vaucote en 1461) est un ancien village et port médiéval (Le port de Vaucoste) qui était en 1599 fief du seigneur de Bailleul[32]. Il sera rattaché à la commune de Vattetot le (Vaucottes abritait alors 109 habitants dans 29 maisons)[32].

    Le bois des Hogues (d'une plus Ă©tendue silva de Hogis), de Boclon (Bocolunda silva 1032, Bokelont 1218) et celui des Loges, pourraient ĂȘtre des reliques d'une ancienne forĂȘt littorale appelĂ©e forĂȘt de FĂ©camp par les chroniqueurs[32]. Ce bois abrite plusieurs fosses oĂč selon une tradition locale, du minerai de fer aurait Ă©tĂ© extrait, mais il s'agirait plutĂŽt de faisciĂšres ou fusiĂšres de l'Ă©poque celtique, peut ĂȘtre aussi utilisĂ©es par les Gaulois pour en extraire les poudingues (pierre utilisĂ©e pour faire de petites meules)[32]. L'une de ces fosses est devenue une mare dite Mahais ou mahaise de SaintdĂ©marque[32].

    Le vallon de Vaucottes débouche via la valleuse de Vaucotte (autrefois défendue par un corps de garde) sur une plage relativement bien protégée, mais assez éloignée des grands centres.

    Avec la mode des villégiatures en bord de mer, le hameau voit se construire plusieurs dizaines de villas (10 en 1901, 32 en 1906)[33], mais l'infrastructure hÎteliÚre ne s'y développe pas ; un café y est ouvert en 1870, un petit hÎtel en 1886, qui complÚtent un établissement de bains (1883) constitué de quelques cabines de bains, tenues par un ancien marin et sauveteur, Célestin Levasseur[33], né là le .

    Le vallon est propice aux inondations violentes en cas d'orage local (ex. ) et semble avoir connu une violente tempĂȘte accompagnĂ©e d'un petit raz de marĂ©e (ex. ) qui a emportĂ© une maison et en a endommagĂ© beaucoup d'autres[32].

    SĂ©quelles de guerre : un obus non-explosĂ© est trouvĂ© dans une ancienne carriĂšre (Vaucottes) par un chiroptĂ©rologue. Finalement, les dĂ©mineurs en trouvent 44 autres ; de gros obus français de 155 mm (« modĂšle 1915 ») de 43 kg chacun, chargĂ©s de 3,5 kg de mĂ©linite[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 juillet 2015 Jean-Yves Soret[35] PRG[36] Retraité
    Chevalier de l'Ordre national du mérite
    DĂ©missionnaire
    juillet 2015[37] En cours
    (au 10 août 2020)
    Franck Blanchet SE Chargé d'affaires CNPE de Paluel
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[38]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[40].

    En 2020, la commune comptait 323 habitants[Note 8], en diminution de 3,87 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    741738727705668704670801793
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    779739742696617588573512517
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    521476474431441420360375338
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    326254234239258253301308326
    2017 2020 - - - - - - -
    319323-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise.
    • La plage de Vattetot et son hameau de villas anglo-normandes : Vaucottes.
    • Les falaises et les chemins de randonnĂ©e.
    • Son Ă©glise Saint-Pierre, construite probablement autour du XIIe siĂšcle.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Vattetot-sur-Mer », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vattetot-sur-Mer et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vattetot-sur-Mer et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Bulletin de la surveillance de la qualitĂ© du milieu marin littoral, Édition 2010, IFREMER/RST.LER/10-06/Laboratoire Environnement Ressources de Normandie, 126 p.
    25. Ifremer, Représentation graphique et carte, consulté 2012-05-06
    26. LAURIER F., 2001, Cycle du mercure en estuaire, baie de Seine et Pays de Caux : spéciation chimique et biodisponibilité, Paris Université Paris 7, Th. Univ. Océanogr. Chim, 177p.
    27. Guy Chartier - De l'étymologie de certains noms de communes normandes [article] Annales de Normandie - Année 1999 - page 113.
    28. Archives de Seine-Maritime 19 H.
    29. Archives de Seine-Maritime G. 3267, 4, 1661, 737.
    30. Archives Nat. P. 303-312-173.
    31. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 1042.
    32. Association Vaucottoise des Descendants d'Henri Decroix, Histoires et récits sur Vaucottes, consulté 2012-05-06
    33. Viviane Manase (Conservatrice du Patrimoine au Service rĂ©gional de l'Inventaire du patrimoine culturel - RĂ©gion de Haute-Normandie), Les villĂ©giatures familiales de la cĂŽte d’AlbĂątre (du TrĂ©port au Havre), In Situ, revue des patrimoines.
    34. Association Robin des bois, Normandie : vestiges de guerre 3 ans de veille, mai 2001 à mai 2004, veille faite d'aprÚs la presse régionale, consulté 2012-05-06
    35. « Vattetot-sur-Mer : Jean-Yves Soret dĂ©corĂ© de l’ordre national du MĂ©rite : Le maire de la commune pendant trente-deux annĂ©es a Ă©tĂ© fait chevalier de l’ordre national du MĂ©rite », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. « L’ancien maire de Vattetot-sur-Mer, Jean-Yves Soret, mis Ă  l’honneur par les Radicaux de gauche », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    37. « Franck Blanchet devient maire de Vattetot-sur-Mer aprĂšs la dĂ©mission de Jean-Yves Soret : Jean-Yves Soret, maire, dĂ©missionne aprĂšs trente-deux annĂ©es Ă  la tĂȘte du village. Son premier adjoint lui succĂšde », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    38. « Municipales 2020. Franck Blanchet reconduit Ă  la tĂȘte de Vattetot-sur-Mer : Le maire entame un deuxiĂšme mandat. Il est Ă©paulĂ© de trois adjoints », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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