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Villerville

Villerville est une commune française, ancien village de pêcheurs, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 591 habitants[Note 1].

Villerville
Villerville
L'église Notre-Dame (XIIe siècle).
Blason de Villerville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Cœur Côte Fleurie
Maire
Mandat
Michel Marescot
2020-2026
Code postal 14113
Code commune 14755
Démographie
Gentilé Villervillais
Population
municipale
591 hab. (2020 en diminution de 14,84 % par rapport à 2014)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 03″ nord, 0° 07′ 43″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 144 m
Superficie 3,30 km2
Unité urbaine Dives-sur-Mer
(banlieue)
Aire d'attraction Trouville-sur-Mer
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Honfleur-Deauville
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.villerville.fr

    La commune a longtemps abrité un casino, en bois, situé devant l'estacade. Il est aujourd'hui transformé en hôtel-restaurant. Une moulière existe au large de la plage, sur le banc du Ratier, à environ km.

    Géographie

    La commune est située au nord du pays d'Auge, sur la côte de Grâce, littoral de la Manche entre Trouville-sur-Mer et Honfleur. Son bourg est à km au nord-est de Trouville-sur-Mer, à km à l'ouest de Honfleur et à 17 km au nord de Pont-l'Évêque[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 732 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et qui se trouve à km[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Villerville est une commune urbaine[Note 6] - [14]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dives-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[17] et 36 564 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,7 %), zones urbanisées (19,7 %), forêts (14,7 %), terres arables (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), zones humides côtières (0,7 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Willervilla en 1195[27].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville dans son sens originel de « domaine rural » (le nom commun ville est issu du latin villa rustica « grand domaine rural »), et dont le premier élément est un anthroponyme[27] selon le cas général.

    C'est pourquoi le premier élément du toponyme Viller- est un faux-ami : il représente non pas l'appellatif viller, mais un nom de personne germanique tel que Wil-hari[27] ou Vilhari[28].

    Remarque : le composé Wil-hari d'Albert Dauzat devient Vilhari chez René Lepelley (comprendre Wilhari). En réalité, les noms de personnes germaniques continentaux bien attestés sont Williheri[29], Willarius, Wil[le]harius (formes latinisées)[30] et il existe un nom de personne anglo-saxon Wilhere[31]. Les noms de personnes anglo-saxons sont fréquents dans la toponymie normande[32] et Villerville se situe dans la zone de diffusion de la toponymie anglo-scandinave.

    Le gentilé est Villervillais.

    Histoire

    La Grosse Pierre de la Bergerie.

    La commune a connu une occupation ancienne comme en témoignent sur les terrains de la ferme de la Bergerie d'un grand menhir de 2,50 m de haut appelé la Grosse Pierre et de deux autres plus petits mégalithes. Il s'agit de blocs de poudingue (pierre provenant d’un banc de pierre situé à km de là). Sur ce site ont été découverts divers outils de pierre polie, ainsi que des ossements.

    La légende locale veut que saint Roch (1295–1326) ait là fait reculer la peste, mais en attrapant lui-même cette maladie (la statuaire traditionnelle le représente avec son bâton et son chien lui léchant les plaies. Il figure (statue en bois du XIXe siècle) dans l'église Notre-Dame de Villerville : il est devenu le saint patron des Villervillais.

    L'histoire religieuse a également retenu le nom de Thomas Jean Monsaint, né à la Ferme de la Bergerie, devenu prêtre et ayant refusé de renier ses convictions lors de la Terreur. Il fut pour cela emprisonné puis exécuté le à Paris. Il a été canonisé par Pie XI (en 1926) et une plaque commémore son souvenir dans la tour du clocher.

    La commune a longtemps aussi été un village de pêcheurs qui, sur les « plattes de Villerville »[33] (barques à fond plat), allaient pêcher harengs, soles ou turbots. Une pêche dite « aux guideaux » se faisait au filet tendu sur la moulière. La pêche à pied était également pratiquée (moules, crabes, crevettes…), par les « picoteux » (femmes et enfants le plus souvent). Le produit de la pêche (moules notamment) était ramené à terre dans des charrettes dites « banneaux », tirées par des chevaux.

    En 1893, une baleine s'échoue sur la plage. Elle est achetée par Nicolas-Marie Simon, dit Simon-Max, chansonnier et ténor à Paris (opéra bouffe), alors propriétaire du casino de Villerville. Après avoir vendu l'huile et la chair de la baleine, il utilise la peau pour y abriter un théâtre assez grand pour accueillir une petite centaine de spectateurs. Le caractère original de ce petit théâtre Baleine contribue à son succès. La baleine est déménagée au casino de Paris, mais elle y brûlera.

    Le peintre Édouard Dantan y meurt accidentellement le : la voiture dans laquelle il se trouve heurte violemment le mur de l'église du village après que son cheval se fut emballé[34].

    Politique et administration

    La commune est un village fleuri (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[35].

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1963[36] mars 1989 Jacques Grainville Entrepreneur (père de Patrick Grainville)
    mars 1989[37] En cours Michel Marescot[38] DVD Juriste

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[38].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

    En 2020, la commune comptait 591 habitants[Note 8], en diminution de 14,84 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Villerville a compté jusqu'à 1 091 habitants en 1901.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    859804940912890887882884876
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8148158849149839869979781 052
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0911 0651 036855897835797728801
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    750728722733686676750771698
    2018 2020 - - - - - - -
    594591-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Tourisme

    Villerville est labellisée « commune touristique » depuis [43].

    Villerville est labellisée « village de caractère du Calvados » depuis 2018.

    Anciens titres de presse

    Journaux disparus, localisés à Villerville[44] :

    • Villerville-Gazette (1928-1939).

    Culture locale et patrimoine

    Les lieux et monuments, notamment le patrimoine naturel, ont été décrits ou peints par de nombreux auteurs, peintres ou graveurs dont Valère Lefebvre et Émile Gaudrier (fin XIXe siècle).

    Contre toute attente, aucun des édifices de la commune n'est fiché sur Mérimée.

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame (en partie du XIIe). Elle abrite quatre tableaux classés à titre d'objets monuments historiques[45].
    • Château du Manoir (1875), dessiné par Charles Garnier, propriété de la famille Christofle à l'origine.
    • Calvaire (1888).
    • Château de Champ-Vert (XIXe siècle)
    • Sémaphore.
    • Hôtel Mahu (1928/1932)[46], « Grand Hôtel des Parisiens », rue du Maréchal-Foch, où séjournent, entre autres, Lord Alfred Bruce Douglas[47] et Oscar Wilde en 1897. Reconstruit en 1932 par l'architecte trouvillais René Morin, également à l'origine de l'hôtel Flaubert de Trouville. Deauvillais et Trouvillais s'y précipitent pour le « five o'clock » et s'attardent parfois jusqu'au dîner dans l'espoir de croiser Mistinguett ou un duc de Windsor en goguette[48].
    • Lavoir.
    La plage à marée basse.

    Patrimoine naturel

    • Promenade aménagée le long de la plage de sable et de rochers et dans les Graves.
    • Point de vue sur Le Havre et le cap de la Hève.
    • Parc des Graves.

    Villerville dans les arts

    Le restaurant Le Cabaret normand.
    • Un singe en hiver, film d'Henri Verneuil, y a été tourné en partie durant l'hiver 1961-1962. Villerville y apparaît sous le nom de Tigreville. Une association locale, créée en 2001, perpétue le souvenir du tournage. Depuis juin 2007, une grande photo du film représentant Jean Gabin et Jean-Paul Belmondo, les deux vedettes du film, a été accrochée sur un mur à l'entrée de la rue principale. En bas de cette rue se trouve le Cabaret normand, restaurant utilisé pour le tournage.

    Jumelage

    Sports

    L'Union sportive villervillaise fait évoluer une équipe de football en division de district[49].

    Naissances

    Décès

    Autres

    École publique primaire Patrick-Grainville à Villerville.

    Héraldique

    Armes de Villerville

    Les armes de la commune de Villerville se blasonnent ainsi :
    d'azur à la bande d'or chargée de trois crevettes du champ, accompagnée en chef d'un bateau contourné d'argent et en pointe d'une coquille de moule du même, au chef cousu de gueules chargé d'un léopard aussi d'or [52].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Villerville et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Dives-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    28. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 269.
    29. Williheri sur Nordic Names
    30. Dom Martin Bouquet, Recueil des historiens des Gaules et de la France, Tome 5, Paris (lire en ligne)
    31. Wilhere sur Nordic Names
    32. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 48
    33. La platte de Villerville a été décrite dans la revue Chasse-marée (no 13).
    34. « Échos - Hors Paris », Le Figaro, 3e série, no 189, , p. 1.
    35. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
    36. « La commune passe de deux à quatre adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. « Michel Marescot, candidat de Deauville », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    38. Réélection 2020 : « Municipales à Villerville. Michel Marescot élu maire pour un sixième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. « Préfecture du Calvados - Recueil des actes administratifs - 26 mars 2010 » [PDF] : page 463.
    44. Jean Quellien et Christophe Mauboussin, Journaux de 1786 à 1944, l'aventure de la presse écrite en Basse-Normandie, Cahiers du Temps, 1998 (ISBN 2911855132).
    45. « Œuvres mobilières à Villerville », base Palissy, ministère français de la Culture.
    46. Bâtiment pour M. (Abel) Mahu .
    47. Lettre n° 873 du 22 juillet 1897 de lord Alfred Douglas à Oscar Wilde depuis le Grand Hôtel Des Parisiens de Villerville - source: Oscar Wilde and his literary circle – a catalogue of manuscripts and the letters in the William Andrews memorial library - University of California Press – Berkeley and Los Angeles et Librairie du Congrès 1958 : Grand Hotel des Parisiens, Villerville, Calvados. 22 July 1897 -- Dearest Oscar, I was very glad to get a letter from you at last. It is a week tomorrow since I left [Paris] and the time seems ages being here by myself. I really don't know what to do ... ".
    48. La côte fleurie d'antan: La côte fleurie à travers la carte ..., Muriel Maurice-Juhasz - 2005.
    49. « U. S. villervillaise », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
    50. Laurent Ruquier propriétaire d'un manoir de 600 m2 en Normandie : Hugo Manos dévoile des images, un week-end au top
    51. « Libération.fr - Jean-Yves Dubois enterré à Villerville » (consulté le ).
    52. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
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