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Villiers-le-Sec (Val-d'Oise)

Villiers-le-Sec est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Villiers-le-Sec
Villiers-le-Sec (Val-d'Oise)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CC Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Cyril Diarra
2020-2026
Code postal 95720
Code commune 95682
DĂ©mographie
Gentilé Villerains
Population
municipale
193 hab. (2020 en augmentation de 9,04 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 59 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 04′ 21″ nord, 2° 23′ 25″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 146 m
Superficie 3,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Fosses
LĂ©gislatives 9e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Villiers-le-Sec
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Villiers-le-Sec
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Villiers-le-Sec
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Villiers-le-Sec

    Ses habitants sont appelés les Villierain(e)s.

    GĂ©ographie

    Description

    Ambiance de la commune : la rue Georges-Pompidou.
    Allée d'Ecouen, chemin rural qui suit l'ancien tracé de la RD 316 (ancienne RN 16) jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, quand elle fut rectifiée comme de nombreuses autres grandes routes.

    Le village se situe au cĹ“ur de la plaine de France, près de Montsoult et de l'intersection entre la Francilienne et la RD 316, Ă  une distance orthodromique de 25 km au nord de Paris.

    La Francilienne traverse le territoire communal à l'extrémité sud, et dispose ici d'un connecteur permettant d'y accéder directement depuis le village. Trois routes départementales assurent les liaisons vers des communes voisines : la RD 26 vers Villaines-sous-Bois à l'ouest, la RD 85 vers Belloy-en-France au nord-ouest, et la RD 9 vers Mareil-en-France à l'est. Les deux autres communes limitrophes, Épinay-Champlâtreux au nord et Le Mesnil-Aubry au sud, sont accessibles via la RD 316.

    La gare la plus proche est celle de Montsoult-Maffliers, Ă  km[1], sur la ligne Transilien Ligne H du Transilien du Transilien. Les trains pour la Gare de Paris-Nord mettent entre 27 min et 33 min. Le village est directement desservi par une partie des services de la ligne 2 du rĂ©seau de bus CIF Montsoult SNCF - Viarmes - Persan SNCF, Ă  raison de six aller-retours du lundi au vendredi seulement.

    La commune est membre du parc naturel rĂ©gional Oise-Pays de France[2], sans pour autant conserver un patrimoine naturel ou paysager notable. Au contraire, le paysage pratiquement dĂ©nudĂ© est marquĂ© par le passage d'un groupe de lignes de haute tension et la Francilienne, et l'on ne constate qu'un minuscule bois et un dernier verger. L'allĂ©e d'Écouen, qui correspond Ă  l'ancien tracĂ© de l'actuelle RD 316 jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, a rĂ©cemment Ă©tĂ© replantĂ©e. Comme le nom de la commune l'indique, les cours d'eau sont absents sur la commune. Le relief est peu variĂ©, mais l'on constate une augmentation successive de l'altitude du sud vers le nord, oĂą l'on trouve le point culminant de Villiers-le-Sec Ă  143 m au-dessus du niveau de la mer. Le village lui-mĂŞme est bâti Ă  127 m d'altitude.

    Communes limitrophes

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Urbanisme

    Typologie

    Villiers-le-Sec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6] - [7].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 83, alors qu'il Ă©tait de 84 en 2013 et de 73 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 85,4 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 14,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villiers-le-Sec en 2018 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (1,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,4 % en 2013), contre 56 % pour du Val-d'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement Ă  Villiers-le-Sec en 2018.
    Typologie Villiers-le-Sec[I 1] Val-d'Oise[I 4] France entière[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 85,4 92,8 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 1,3 9,7
    Logements vacants (en %) 14,6 5,9 8,2

    Toponymie

    Villaris en 832, Villare sicum au XVe siècle[8].

    Le village doit son nom aux difficultés d'approvisionnement en eau, du fait de l'absence de cours d'eau ou de sources sur son territoire.

    Histoire

    Lampe à huile suspendue, en verre, XIe au XIe siècle, trouvée à Villiers le sec.

    Plusieurs traces d'habitat néolithique ont été découvertes sur le territoire de la commune.

    L'occupation devient permanente à partir de la Tène moyenne (200-150 av. J.-C.). Le village se situe à l'intersection de deux voies romaines reliant de Paris à Amiens et reliant Meaux à Beauvais via Beaumont-sur-Oise. Un vicus s'y implante.

    Au IXe siècle, le village est la propriété de l'abbaye de Saint-Denis. Le bourg est possédé au XVe siècle par les ducs de Gesvres et au XIXe siècle par le comte de Molé.

    La commune a été le centre d'activités de fermage depuis le Moyen Âge jusqu'au XIXe siècle. Des dynasties de riches laboureurs ont affermés des terres auprès des religieux du chapitre de St Germain des Près: on compte, en particulier les familles Ste Beuve, Chartier, Delions, Collot qui ont permis aux terres de la paroisse de demeurer prospères.

    Politique et administration

    Villiers-le-Sec fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en février 2008[9]), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[10] - [11].

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[12], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1793 à 1967 du canton d'Écouen de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Luzarches[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Fosses

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Panneaux d'entrée de communes, à l'époque de la communauté de communes du pays de France.

    Villiers-le-Sec était membre de la communauté de communes du pays de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalitĂ© a fusionnĂ© avec sa voisine pour former, le , la communautĂ© de communes Carnelle Pays de France dont est dĂ©sormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[14]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1791 1796 Pierre Mignan
    1802 1813 Pierre Mignan
    mai 1925 A. Monmirel
    Les données manquantes sont à compléter.
    1931 1945 Pierre Monmirel
    1945 1947 Jean Teuquam
    1947 1965 Pierre Monmirel
    1965 1987 Jean Dezobry
    1987 1997 Michel Monmirel
    1997 2008 Jean-Michel Pallier
    mars 2008[15] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Cyril Diarra RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[16]

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2020, la commune comptait 193 habitants[Note 3], en augmentation de 9,04 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    209178182182193190184183184
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    172178195209231245288240248
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    255275264271329329272272249
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    209223190171161168152151176
    2014 2019 2020 - - - - - -
    177189193------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Thomas-de-Cantorbéry de 1567.

    Villiers-le-Sec compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Thomas-Becket, Ă  l'ouest du carrefour au centre du village (inscrite Monument historique en 1970[20]) : C'est un petit Ă©difice de style Renaissance, qui a Ă©tĂ© consacrĂ© en 1558.
      Depuis la rue, l'on aperçoit notamment son chevet aveugle ; et l'élévation nord, transformée lors d'une réparation ancienne, ainsi que la façade et le clocher sans aucun style, ne sont pas très engageants. Seule la corniche au sud montre encore que les finitions étaient soignées à l'origine. L'intérieur révèle une construction de qualité, marquée encore par l'influence gothique flamboyante, notamment en ce qui concerne les voûtes. En revanche, les piliers avec leurs chapiteaux font référence aux modèles antiques, et assez curieusement, les trois principaux ordres (dorique, ionique et corinthien) sont présents sur l'unique niveau d'élévation. L'église est également intéressante pour son plan à double nef, très rare dans la région malgré sa simplicité[21] - [22].

    On peut Ă©galement signaler :

    L'ancienne maison forte.
    La mare-abreuvoir.
    • L'ancienne maison forte, rue Georges-Pompidou, près de l'Ă©glise : Tour d'habitation carrĂ©e et fortifiĂ©e de 1557, remaniĂ©e et intĂ©grĂ© dans le nouveau logis de la ferme quand cette dernière fut reconstruite au XVIIIe siècle. L'Ă©paisseur des murs et le peu d'ouvertures, ainsi que la volumĂ©trie, renvoient encore au caractère dĂ©fensif initial du bâtiment[22]. Toutefois, plusieurs fenĂŞtres supplĂ©mentaires ont Ă©tĂ© percĂ©es ultĂ©rieurement, et l'on ne constate plus d'autres traces de l'architecture d'origine. En tant que ferme traditionnelle du XVIIIe siècle, le complexe bien conservĂ© avec logis, porche, grange et Ă©curies relève d'un grand intĂ©rĂŞt patrimonial.
    • L'abreuvoir, rue de Paris, Ă  l'angle avec la rue du Saule, Ă  l'extrĂ©mitĂ© sud du village : Mare artificiel avec un guĂ© pavĂ© au nord, aujourd'hui recouvert par la vĂ©gĂ©tation. Les animaux des fermes du village s'y dĂ©saltĂ©raient ; notamment les troupeaux de moutons ainsi que les chevaux et les bĹ“ufs de trait. Ces derniers entraient aussi dans l'eau après les longues journĂ©es de travail pour le nettoyage des sabots. Cette utilisation combinĂ©e comme abreuvoir et pĂ©diluve fut courante. Dans un village oĂą l'eau Ă©tait une ressource rare, la mare servait Ă©galement de rĂ©servoir d'eau pour l'extinction d’éventuels incendies. L'alimentation se faisait par un système de rigoles sur les chemins, conduisant l'eau de pluie vers la mare, localisĂ© Ă  l'un des points les plus bas du village[23].
    • Un Sentier de randonnĂ©e PR traverse le village.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Villiers-le-Sec », Ministère de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25 000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site « Geoportail » (consulté le ). Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
    2. Cf. [PDF] « Journal officiel de la République française du 15 janvier 2004, p. 1143-1144 », sur DREAL Picardie (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    9. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
    10. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    11. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    12. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. « Les maires de Villiers-le-Sec », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    15. Préfecture du Val-d'Oise - Liste des maires du département du Val-d'Oise, avril 2008
    16. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Notice no PA00080238, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. Mathieu Lours, « Villiers-le-Sec - Saint-Thomas-de-Cantorbéry », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 294-295 (ISBN 9782953155402).
    22. Yann Audino et Christian Garcia, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Villiers-le-Sec », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 494-495 (ISBN 2-84234-056-6).
    23. Les annotations donnés dans Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Villiers-le-Sec, op. cit., semblent erronées : cet abreuvoir n'est ni un point d'eau naturel, ni alimenté par une source. Les sources sont justement absentes sur la commune, et l'article qualifie en même temps l'abreuvoir de retenue, ce qui est plus adéquat (et incompatible avec la notion de point d'eau naturel).
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