Unverre
Unverre est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Unverre | |||||
L'église Saint-Martin et le monument aux morts réalisé par Félix Charpentier. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Châteaudun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Châteaudun | ||||
Maire Mandat |
Marie-Dominique Pinos 2020-2026 |
||||
Code postal | 28160 | ||||
Code commune | 28398 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Unverrois(e) | ||||
Population municipale |
1 181 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 12′ 01″ nord, 1° 05′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 153 m Max. 235 m |
||||
Superficie | 62,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Brou (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brou | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.unverre.fr | ||||
Géographie
Situation
La commune est très étendue (seconde du département, en superficie, après Arrou), avec une vaste surface agricole, et compte près de 180 fermes et hameaux. Le bourg est partagé en deux parties par la Sainte-Suzanne : Unverre, au nord, et les Moulins d'Unverre, au sud.
- Unverre dans son arrondissement.
- Carte de la commune d'Unverre.
Communes limitrophes
Hydrographie
Unverre est arrosée par trois rivières : la Sainte-Suzanne, et son affluent en rive droite la Sonnette, et, plus au nord, la Mozanne. La Sainte-Suzanne et la Mozanne se rejoignent en aval d'Unverre pour former l'Ozanne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 756,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Unverre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brou, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,2 %), prairies (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), forêts (0,8 %), zones urbanisées (0,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Unverre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Sainte-Suzanne, l'Ozanne et la Sonnette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[22] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 51,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 741 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 480 sont en en aléa moyen ou fort, soit 65 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Inverria en 1128[27], Unveria en 1130[28], Unverrium en 1142[29], Unum vitrum en 1173[30], Ungverre en 1532[31], Unvers en 1676[32], Unguerre au Perche Gouet en 1678[33] - [34].
Le dictionnaire géographique attribue à Unverre une origine mérovingienne (Ve siècle).
Selon Guy Villette, l'étymologie du nom serait gauloise : an(de) voberia, ce qui signifie « terre humide ». Unverre est un *Ande vara (« l'eau inférieure ») situé au confluent souvent inondé des deux Ozannes[35](Géoportail signale une autre source de l'Ozanne, au lieu-dit les Mézarbières)[36].
Unverre, unum vitrum au XIIe siècle, serait primitivement un vara gaulois, signifiant « lieu inondé »[37].
Histoire
Pendant l'Ancien Régime, la commune fait partie de la baronnie de Brou (la Noble) qui constitue jusqu'à la Révolution française l'ancienne province du Perche-Gouët, avec les baronnies d'Alluyes (la Riche), d'Authon (la Gueuse), de La Bazoche (la Pouilleuse) et de Montmirail (la Superbe).
En 1793, elle est rattachée au district de Châteaudun[38].
De 1908 à 1933, Unverre est desservi par les tramways d'Eure-et-Loir qui exploitent la ligne Brou-Nogent-le-Rotrou. L'ancienne gare du tramway présente aujourd'hui une scène extérieure permettant d'accueillir des manifestations culturelles[39].
En 2004, Unverre héberge le siège de la communauté de communes du Perche-Gouët avant de rejoindre le la communauté de communes du Grand Châteaudun.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].
En 2020, la commune comptait 1 181 habitants[Note 8], en diminution de 4,83 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
La fête de la Louée a lieu chaque année depuis 1991, le troisième dimanche de juin, sur la place de l'église, ainsi que dans le parc des Grand'Maisons. Elle a pour origine l'embauche des ouvriers agricoles qui, au début du XXe siècle, venaient deux fois par an (à la Saint-Jean pour les 4 mois d'été et à la Toussaint pour les 8 autres mois de l'année) "se louer" aux patrons sur la place du village. Un thème est choisi chaque année :
- En 2014, "Du blé au pain"
- En 2013, les voitures anciennes
- En 2012, les abeilles
- En 2011, les attelages de chevaux de course
- En 2010, la fauconnerie
- En 2009, "Il était une fois la libération"
- En 2008, la chasse
- En 2007, les pompiers
- En 2006, les voitures anciennes
- En 2005, le cheval Percheron
- En 2004, les tracteurs anciens
- En 2003, "Du labour aux semailles"
- En 2002, le travail du bois
- En 2001, la moisson "de la faucille à nos jours"
- En 2000, les chiens de race
- En 1999, le marché à l'ancienne
- En 1998, la ferme, ses animaux et ses produits
- En 1997, le mouton
- En 1996, le travail du chanvre
La Saint-Jean a lieu le samedi suivant la fête de la Louée, avec un rallye pédestre suivi d'une soirée musicale et dansante et du feu de Saint-Jean à la nuit tombée.
Un concert est traditionnellement organisé à l'église chaque année le dernier samedi du mois d'avril. Des artistes aux styles et répertoires variés se sont succédé :
- En 2014, orgue et bombarde par Florence Ladmirault et Jean Hauray
- En 2013, Harmonie Municipale de Vendôme
- En 2012, Orchestre d'Harmonie de Chartres
- En 2011, trompes de chasse du Rallye Saint-Hubert de Chartres et chorale des Ménestrels du Perche
- En 2010, gospels et negro spirituals par Rogers Esse
- En 2009, harpe paraguayenne et chants des Amériques par Hugo Pamcos et Claudette Lagacé
- En 2008, duo Iberia, composé d'une soprano accompagnée à la guitare
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Martin
L'église Saint-Martin, des XIIe et XVIe siècles, est un édifice remarquable du village par son architecture et son riche mobilier : retable, maître-autel, fonts baptismaux, chemin de croix...
Elle se caractérise extérieurement par son porche à claire voie en colombages (caquetoire), son bas-côté nord de style gothique comprenant un alignement de cinq pignons avec gargouilles et son clocher à haute flèche couverte en ardoises.
L'église Saint-Martin abrite le mobilier suivant :
- Les deux cloches de l'église, qui dataient de 1862, ont été remplacées au printemps 2010 ; les deux nouvelles, coulées par la fonderie Voegele de Strasbourg, conservent les mêmes prénoms, Marie-Louise et Constance-Élisabeth. La première a été bénite le par Mgr Michel Pansard, évêque de Chartres et la seconde, le par l'abbé Laurent Percerou, vicaire général.
- Cinq verrières du XVIIe siècle (baies 1, 3, 5, 7 et 9) sont inscrites en tant que monument historique au titre d'objet en 1906 : l'Annonciation, la Charité de saint Martin, sainte Barbe, l'Adoration des bergers et d'anges, chanoine donateur, saint Denis et saint Étienne, l'Adoration des Mages et donatrice[43].
- Deux vitraux sont signés des ateliers Lorin de Chartres, l'un est daté de 1894, l'autre de 190O.
- Fonts baptismaux, bas-relief, baldaquin des fonts baptismaux du XVIIe siècle représentant le baptême du Christ, Inscrit MH (1908)[44].
- Façade ouest.
- Bas-côté nord à cinq pignons.
- Clocher, chevet et mur sud.
- Vitrail signé Lorin, 1894.
- Nef et bas-côté nord.
- Vitrail signé Lorin, 1900.
Monument aux morts
Érigé sur la place de l'église, le monument aux morts de la guerre 1914-1918 a été réalisé par Félix Charpentier (1858-1924), sculpteur d'origine provençale installé à Chassant (Eure-et-Loir).
- La statue du Poilu.
- Mention des 3 aviateurs américains tués le 7 janvier 1944 au Plessis.
Château des Grand'Maisons
Le château des Grand'Maisons, demeure du XVe siècle agrandie au XVIIe siècle, se situe au centre du village. Il jouxte un parc boisé, traversé par la rivière Sainte-Suzanne.
Il fut notamment la propriété de Charles-Adrien Le Chapellier de Grandmaison (1776-1851), personnalité politique du département d'Eure-et-Loir.
La Forçonnerie
La Forçonnerie, moulin et ancienne forteresse des XIIIe et XVe siècles, qui défendait autrefois l'ancienne route royale allant de Chartres au Mans (connue sous le nom de chemin de César ou chemin Henri IV). Il subsiste aujourd'hui le logis seigneurial et les granges à colombages. Le pont-levis a disparu.
Manoir de la Camusière
Manoir situé dans un parc boisé.
Musée-école
Le musée-école, ouvert en 2003 dans les locaux d'une ancienne école du village, se situe derrière l'église. Il présente l'école rurale d'autrefois à travers la reconstitution d'une classe des années 1900 avec son mobilier, son matériel pédagogique, des registres depuis 1878, des photos de classes, cahiers, livres, témoignages écrits et audios. Il s'accompagne de diverses expositions sur la vie rurale (maison de l'écolier, histoire du grain de blé dans le Perche-Gouët, la lessive de nos grand-mères, les vêtements d'autrefois...).
Les moulins à eau
Plusieurs anciens moulins à eau : La Boissière, Epassé, Ferchaud.
Promenade des Ponts-Neufs
La promenade des Ponts-Neufs relie la place de l'église aux Moulins d'Unverre, longeant la propriété des Grand'Maisons et la rivière Sainte-Suzanne.
Sentier de randonnée pédestre
L'un des sentiers de randonnée pédestre de la communauté de communes du Perche-Gouët part de la place de l'église d'Unverre. D'une longueur de 12 km, alternant petites routes et chemins ombragés, il prend d'abord la direction de Moulhard avant de continuer vers le nord de la commune puis de revenir vers le bourg en passant à proximité du moulin de la Forçonnerie.
- La Sainte-Suzanne à Unverre.
Personnalités liées à la commune
- Rainaud des Têtières, chevalier cité vers 1094, frère de Rainaud I d'Aunay-sous-Crécy[45].
- Clément Janequin, prêtre et compositeur de la Renaissance né à Châtellerault vers 1485 et mort à Paris en 1558. Un acte notarié du le cite comme étant curé de la paroisse.
- Félix Lejars, né le dans la commune, décédé le à Paris. Fils du notaire d'Unverre, il est médecin (1888), chirurgien (1891), agrégé de médecine (1892), membre de l'Académie de Médecine (1924), chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur (1908), puis officier (1917), puis commandeur (1926). Son traité de médecine d'urgence et son "Diagnostic chirurgical" ont connu un très grand succès. Médecin-chef de l'Hôpital Villemin-Paul-Doumer pendant la Première Guerre mondiale, il a publié sur cette époque de sa vie un volume de souvenirs[46]. Une plaque à son effigie est apposée sur sa maison natale et une rue porte son nom.
- Charles-Adrien Le Chapellier de Grandmaison (1776-1851), maire d'Unverre, conseil général d'Eure-et-Loir et député de ce même département de 1824 à 1827.
- Henry de Boissieu, ancien maire de la commune est le grand-père d'Alain de Boissieu, gendre de Charles de Gaulle[47].
- Jacques Jubert, (1940 /...), dessinateur de timbres-poste.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Unverre et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Unverre et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune d'Unverre », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Unverre », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Cartulaire de Thiron.
- Charte de l'abbaye de Saint-Jean-en-Vallée.
- Cartulaire de Saint-Denis de Nogent-le-Rotrou, fol. 3.
- Cartulaire du grand Beaulieu, p.72.
- Charte de la fabrique de la Madeleine de Brou.
- Charte de la fabrique de Mottereau.
- Charte de la seigneurie de la Chenardière.
- Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 183.
- Bernard Robreau, Histoire du pays dunois, vol. 1, , p. 58.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Jacques Chaurand, Hommage à Guy Villette : quelques études toponymiques et historiques de Guy Villette présentées par Marianne Mulon et Gérard Taverdet, vol. 19-20, A.B.D.O., coll. « Nouvelle revue d'onomastique », , p. 255-258.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Marie Carillo, « La Guinguette connaît une vraie réussite », sur http://www.lechorepublicain.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « 5 verrières figurées : l'Annonciation, la Charité de saint Martin, sainte Barbe, Adoration des bergers et d'anges (l'), chanoine donateur, saint Denis et saint Étienne, Adoration des Mages (l') et donatrice (baies 1, 3, 5, 7, 9) », notice no PM28000601, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Fonts baptismaux, bas-relief, baldaquin des fonts baptismaux : le Baptême du Christ. », notice no PM28000602, base Palissy, ministère français de la Culture.
- D'après une notice des moines de Marmoutier éditée par le Corpus Étampois.
- Journal "L'Action républicaine" du 13 août 1932 : "Le professeur Lejars est mort".
- http://gw1.geneanet.org/index.php3?b=figarl&lang=fr;p=antoine+francois+marie+henry;n=de+boissieu