Alluyes
Alluyes est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Alluyes | |||||
Le château d'Alluyes Inscrit MH (1925), Classé MH (1980)[1]. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Châteaudun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bonnevalais | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Petit 2020-2026 |
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Code postal | 28800 | ||||
Code commune | 28005 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Avallosiens | ||||
Population municipale |
751 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 13′ 47″ nord, 1° 21′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 121 m Max. 154 m |
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Superficie | 19,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châteaudun | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Géographie
Situation
Alluyes, à 130 mètres d'altitude, est une des communes traversées par le Loir qui se jette dans la Sarthe. Sa superficie est de 19,58 km2. Le climat est océanique avec des étés tempérés. Paris se trouve à 101 km[2]. Le parc naturel régional du Perche est distant de 24 km.
- Alluyes dans son arrondissement.
- Carte de la commune d'Alluyes.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée par la rivière le Loir, affluent de la Sarthe, sous-affluent du fleuve la Loire par la Maine.
Alluyes a bénéficié de 1971 à 1987 d'une station hydrologique sur le Loir : le débit moyen annuel ou module, observé durant cette période de 14 ans, est de 2,07 m3/s, soit 2 070 litres par seconde. La hauteur maximale instantanée, relevée à Alluyes le , est de 2,10 m[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pré-Saint-Evroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult, mise en service en 1995[10] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 597,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 17 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Alluyes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), prairies (3,1 %), forêts (2,5 %), zones urbanisées (2,4 %), eaux continentales[Note 8] (1,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Alluyes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Loir et la Vallée de Paray. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[25] - [23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[26]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 376 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 307 sont en en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté en latin dans l'expression Avallocium (« le pays des pommes (de l'éternelle jeunesse) »)[30], Carnotensis Vicus dans l'Histoire des Francs écrite par Grégoire de Tours (539-594) où l'auteur nous informe que le village est peuplé de Carnutes, peuple celte, puis sous les formes Villa Alogia en 1008[31], Aluia en 1070 dans les archives du prieuré de Vieuvicq, Aluye en 1366.
La forme primitive d'Alluye, Avalloc en gaulois, se retrouve toujours en breton avec une forme proche, Avaleg qui désigne une pommeraie, de Aval (pomme) avec les suffixe -eg qui désigne un « lieu planté de pommiers »[30].
Histoire
Des vestiges de monuments préhistoriques attestent de la présence très ancienne des hommes sur le territoire de la commune. Notamment des peulvans et un dolmen à la Garenne des Clopiers[32]. On peut voir également le dolmen dit Palais de Gargantua, près du Loir et le menhir de la Trinité. Quelques polissoirs néolithiques y ont également été trouvés.
Chilpéric se retire à Alluyes, et ici, en 574, la bataille entre lui et son frère Sigebert est évitée[33].
Le premier seigneur d'Alluyes[34] dont on a la trace en 978 est suivi par Guillaume 1er Göet.
C'est le comte de Nevers, Hervé IV de Donzy fils d'Hervé III et de Mathilde Gouët, qui organisa la mise en eau des fossés du château au XIIIe siècle, avec le détournement du Loir. Le château fort a été occupé par les Anglais au XIVe siècle et au début du XVe siècle.
Henri IV fit d'Alluyes un marquisat qui appartenait à Georges Babou de La Bourdaisière et à sa sœur Isabeau, deux des enfants de Jean II Babou, aussi oncle et tante maternels de Gabrielle d'Estrées par leur sœur Françoise Babou.
En 1793, le nom de la commune était Alluye.
En 1828, Alluyes absorbe une partie de la commune de Saint-Germain-les-Alluyes, qu'elle se partage avec Montboissier[35]. Le bourg de Saint-Germain-les-Alluyes se trouve cependant sur le territoire communal d'Alluyes.
En 1838, Alluye, capitale d'une des baronnies du Perche-Gouët, était défendu par son château fort dont il ne reste qu'une tour.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Alluyes est jumelée avec Neuweiler, commune allemande du Bade-Wurtemberg.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2020, la commune comptait 751 habitants[Note 9], en diminution de 1,96 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
L'église Notre-Dame
L'église paroissiale, du XIIe siècle[2] offre un Dit des trois morts et des trois vifs, représentation murale montrant trois jeunes gentilshommes interpelés dans un cimetière par trois morts, qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme. Elle a bénéficié du mécénat de Florimond Robertet, trésorier de France, au XVIe siècle. La flèche d'ardoise a été refaite au XIXe siècle[41].
- L'église Notre-Dame.
- L'église, mur nord.
Le château
Inscrit MH (1925), Classé MH (1980)[1].
Le château[42], qui date du XIIe siècle, conserve une superbe tour maîtresse du XIIe siècle[1], qui appartient à une fondation, une porterie de la même époque, et une chapelle décorée de peintures gothiques qui est la chapelle Saint-Nicolas. D'autres parties ont été ajoutées aux XVe et XVIe siècles[43].
Vers 1268, le château est la propriété de Charles de France, roi de Sicile. Après une possession par les comtes de Bar, il revient à Louis de Luxembourg puis à Charles V d'Anjou. En 1463, Louis XI a fait un séjour dans ce château. En 1481, il revient à Jacques d'Armagnac, duc de Nemours et de Luxembourg, puis à Florimond Robertet, secrétaire du roi et des finances de Charles VIII, Louis XII et François Ier[44].
À partir de 1591, Henri IV rendait visite à sa maîtresse Gabrielle d'Estrées dans ce lieu.
Personnalités liées à la commune
- C'est dans la campagne autour des villages d'Alluyes et de Dangeau qu'Yves Robert tourne en 1967 le film Alexandre le Bienheureux[45] ;
- Jean-Pierre Coffe (1938-2016) possédait une maison dans le village, juste à côté de l'église. C'est dans le jardin de cette propriété qu'il tournait ses rubriques pour Vivement dimanche, diffusées sur France 2.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Château », notice no PA00096954, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Annuaire des mairies de France
- Banque Hydro - MEDDE, « Synthèse de la Banque Hydro - Le Loir à Alluyes (M1021610) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pré-Saint-Evroult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Alluyes et Pré-Saint-Évroult », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Alluyes et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Alluyes », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Bernard Robreau - 2007 -Histoire du pays dunois - Volume 1 - Page 58 - (id).
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1484, (ISBN 2600028846).
- Histoire du Perche-Gouët
- « Grégoire de Tour : Histoire des Francs : livre IV », sur remacle.org (consulté le )
- « Alluyes », sur Racines & Histoire.
- « Alluyes - Notice Communale », sur ehess.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église paroissiale Notre-Dame », notice no PA00132558, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Annuaire des Mairies de France - Alluyes
- Article de Jean Mesqui publié en 1980 dans le Bulletin de la Société archéologique d'Eure-et-Loir « Alluyes et Bois-Ruffin. Deux donjons du XIIIe siècle » (consulté le ).
- Parties ajoutées - Histoire du Perche-Gouët
- Historique Alluyes
- (en) Alexandre le bienheureux sur l’Internet Movie Database.