Accueil🇫🇷Chercher

Charbonnières (Eure-et-Loir)

Charbonnières est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Charbonnières
Charbonnières (Eure-et-Loir)
Façade et parc du château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Marc Aubry
2020-2026
Code postal 28330
Code commune 28080
Démographie
Population
municipale
255 hab. (2020 en diminution de 0,78 % par rapport à 2014)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 34″ nord, 0° 56′ 13″ est
Altitude 234 m
Min. 192 m
Max. 245 m
Superficie 20,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Charbonnières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Charbonnières
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir
Charbonnières
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Charbonnières

    Géographie

    Situation

    • Situation géographique
    • Charbonnières dans son arrondissement.
      Charbonnières dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Charbonnières.
      Carte de la commune de Charbonnières.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 775 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 756,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Charbonnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), prairies (28,7 %), forêts (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Charbonnières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sonnette et le Sainte-Suzanne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Charbonnières.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 76,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 200 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 141 sont en en aléa moyen ou fort, soit 71 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Charbonerie vers 1250[27].

    Charbonnières désignait, autrefois, un « endroit où l'on fait du charbon de bois »[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Mars 2001 Novembre 2007 Jean Haguet SE
    Décembre 2007 Juillet 2020 Pierre Boudet SE Agriculteur retraité
    Juillet 2020 En cours Marc Aubry
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 255 habitants[Note 7], en diminution de 0,78 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9816928719079089221 020986909
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    872935889845831788796815812
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    808787773702719669588614577
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    514455404311258260257257257
    2018 2020 - - - - - - -
    252255-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Entrée du château.
    • Le château de Charbonnières (en) est la propriété de Jean Guarin en 1472, de Jehan d'Oynville en 1557, d'Antoine et César de Baux en 1600 puis passe dans la famille Lesseville.
    Construit sur les bases d'un édifice médiéval aux XVIe et XVIIIe siècles, le comte Auguste de Chamoy lui donne son style néogothique au XIXe siècle[32]. L'édifice développe une surface de 2 000 m2 au sein d'un parc de 30 ha. En 2017, sa valeur est estimée entre 4 et 5 millions d'euros[33], mais l'enchère finale dépasse seulement 1,2 million d'euros[34].
    • L'église Saint-Jean-Baptiste est financée en 1837 par le comte de Charmoy en remplacement d'une ancienne église démolie, située dans le parc du château[32].

    Personnalités liées à la commune

    • Lubin de Chartres, berger devenu évêque, aurait séjourné dans cette commune[35].
    • Étienne du Breuil. Sieur de la Herbaudière (1585), fief sis sur la paroisse en limite de celle d'Unverre. Conseiller au parlement de Paris (1573-1574), maître des Requêtes ordinaires de l'Hôtel du Roi (1583-1595), il est insulté par le roi Henri IV qui le traite de "tortu" et de "bossu" en 1596. Il se alors tenait près du Roi tandis que celui-ci s'adressait au Grand Écuyer, et que le roi lui avait demandé de se retirer. Il épouse en 1568 Jehanne de Choursses, veuve de Gallois Le Bailleul. SÅ“ur de Jehan de Sourches (+1609) seigneur de Malicorne (les deux orthographes coexistent) et futur gouverneur du Poitou, tante du maréchal de France Jean de Beaumanoir (1551+1614), sÅ“ur de Catherine de Sourches (+1607) abbesse du Pré au diocèse du Mans qui a sauvé l’œuvre littéraire de son cousin germain Le Baïllif. Étienne du Breuil, logé rue de Bièvre à Paris, possèdera par la suite la seigneurie de La Genevraye (près de Nemours) et enfin celle de La Brosse-Monceaux (au sud-est de Montereau, Seine-et-Marne) alors dénommée Guerchy.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Charbonnières et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Charbonnières et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Charbonnières », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Charbonnières », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Droz, , p. 1342.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Paroisse Saint-Lubin du Perche (préf. Abbé Daniel Rambure, curé), Ces 36 églises ont quelque chose à vous dire..., , 101 p..
    33. Marion Bérard, « Le prestigieux château de Charbonnières va être vendu aux enchères ce mercredi : visite guidée. », sur http://www.lechorepublicain.fr, .
    34. Jocelyne Legros, « Le château de Charbonnières a été vendu aux enchères pour plus de 1,2 million d’euros », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    35. Diocèse de Chartres, fête de saint Lubin, consulté le 10 janvier 2015.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.