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Luigny

Luigny est une commune française située dans le sud-ouest du département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Luigny
Luigny
La mairie.
Blason de Luigny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Thierry Bouthier
2020-2026
Code postal 28480
Code commune 28219
DĂ©mographie
Gentilé Loupnéen, loupnéens, loupnéenne, loupnéennes
Population
municipale
413 hab. (2020 en augmentation de 9,55 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 26 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 14â€Č 30″ nord, 1° 01â€Č 27″ est
Altitude Min. 173 m
Max. 257 m
Superficie 15,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Brou
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Luigny
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Luigny
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Luigny
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Luigny

    GĂ©ographie

    Situation

    • Situation gĂ©ographique
    • Luigny dans son arrondissement.
      Luigny dans son arrondissement.
    • Carte de Luigny et des communes limitrophes.
      Carte de Luigny et des communes limitrophes.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Luigny
    Miermaigne Frazé
    Luigny
    Moulhard Unverre

    RĂ©seau routier

    • La commune est traversĂ©e selon un axe est-ouest par l'autoroute A11, l'OcĂ©ane, qui relie Paris Ă  Nantes, et bĂ©nĂ©ficie sur son territoire de l'Ă©changeur n°4 desservant Brou et Nogent-le-Rotrou.
    • La commune est Ă©galement traversĂ©e par la D 955, l'ancienne route nationale 155 assurant la liaison entre OrlĂ©ans et Saint-Malo via ChĂąteaudun et Nogent-le-Rotrou.

    Hydrographie

    La commune est bordĂ©e au sud par la riviĂšre l'Ozanne, affluent en rive droite du Loir, lui-mĂȘme sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine[1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 757 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 756,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « ChĂąteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et Ă  32 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Luigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (90,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (77,2 %), prairies (10,2 %), forĂȘts (8,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,8 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Luigny est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondationset sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque industriel[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Ozanne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Luigny.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 76,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 269 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 130 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 48 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[25].

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[26].

    Toponymie

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes LuignĂ©, (Archives nationales-JJ 118, n° 152, fol. 80) ; Luigny, (Archives nationales-JJ 120, n° 307, fol. 150) ; Luniacum, 1423 (Cartulaire de Thiron) ; Paroisse de Brenny, (Archives nationales-JJ 225, n° 783, fol. 166 v°) ; Loupny, 1533 (Archives dĂ©partementales d'Eure-et-Loir-E, ComtĂ© de Montboissier) ; Lugny au Perche, 1740 (BibliothĂšque municipale d’OrlĂ©ans, Ms 995, fol. 129) ; Luigny, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

    Du bas latin Lupinacus. Gentilice Lupinus, diminutif en inus formé sur le latin Lupus, le loup, français Lupin, et suffixe gallo-roman de possession -acum.

    Histoire

    Époque contemporaine

    Indicateur Chaix des Tramways d'Eure-et-Loir (mai 1914).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Marcel Challier Retraité
    mars 2008 mai 2020 Michel Ricoul SE[27] Artisan
    mai 2020 En cours Thierry Bouthier Fonctionnaire territorial

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 413 habitants[Note 7], en augmentation de 9,55 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    466481467465637650649660700
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    730727747719705683722751763
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    722697675618633569591595529
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    477446441347342376400401425
    2015 2020 - - - - - - -
    352413-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    En complément des activités agricoles traditionnelles du Perche, la commune accueille notamment l'entreprise chimique CMS High Tech[32], classée Seveso « seuil bas »[33]. En 2019, un important incendie a lieu dans une partie de l'usine, ce qui provoque la fermeture de l'entrée n°4 de l'autoroute A11 pendant plusieurs heures[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Jean-Baptiste du XIIe siĂšcle avec un chƓur qui conserve l'un des plus bels ensembles de style baroque Ă©difiĂ© en 1656. Son retable est classĂ© monument historique au titre d'objet depuis 1995[35] ;
    • « Cerise », statue de cheval percheron en bronze, orne le rond-point face Ă  l'autoroute A11, sur la route en direction de Brou. InaugurĂ©e en 2003, cette statue est l'Ɠuvre du sculpteur Yves Galzin, rĂ©alisĂ©e par la fonderie d'art Macheret.
    Il n'en existerait que trois dans le monde entier, les deux autres se situant en Chine et aux États-Unis ;

    Personnalités liées à la commune

    • Lieux, monuments et personnalitĂ©s
    • L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste, place AbbĂ© Krier.
      L'église Saint-Jean-Baptiste, place Abbé Krier.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • "Cerise", cheval percheron, galopant vers l'entrĂ©e n°4 de l'A11.
      "Cerise", cheval percheron, galopant vers l'entrée n°4 de l'A11.
    • EugĂšne Casimir Lebreton entre 1852 et 1857.
      EugĂšne Casimir Lebreton entre 1852 et 1857.

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d’azur Ă  la barre d’or chargĂ©e d’une hache de bĂ»cheron d’argent emmanchĂ©e au naturel, accompagnĂ©e d’une tĂȘte de loup arrachĂ©e d’argent en chef et d’un bouquet de feuilles de chĂȘne de sinople autour d’un gland au naturel en pointe.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Ozanne (M1034000) » (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Luigny et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Luigny et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chùteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chùteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chùteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Luigny », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    27. Résultats du premier tour (6 décembre 2015) : Luigny sur lemonde.fr
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « CMS High Tech - La technologie propre », sur https://cms-high-tech.fr/ (consulté le ).
    33. MinistÚre de la transition écologique et solidaire - Inspection des installations classées., « Fiche de l'établissement », sur http://www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    34. Jocelyne Legros, « Important incendie sur le site de l'usine CMS High-Tech, classée Seveso, à Luigny », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    35. « Retable », notice no PM28000824, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    36. Nommé par le préfet les , , et maire de Luigny; Source : Christiane Bidault, « CRGPG », EugÚne Casimir Lebreton, sur www.perche-gouet.net, Centre de recherche généalogique du Perche-Gouët (consulté le ).
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