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Tréméven (Côtes-d'Armor)

Tréméven (/tʁemevɛ̃/) est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne. Tréméven appartient au pays historique du Goëlo.

Tréméven
Tréméven (Côtes-d'Armor)
La chapelle Saint-Jacques.
Blason de Tréméven
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes Leff Armor Communauté
Maire
Mandat
Yves Liennel
2020-2026
Code postal 22290
Code commune 22370
Démographie
Gentilé Trémévenais, Trémévenaise
Population
municipale
351 hab. (2020 en augmentation de 4,15 % par rapport à 2014)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 25″ nord, 3° 01′ 39″ ouest
Altitude 52 m
Min. 20 m
Max. 87 m
Superficie 5,12 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paimpol
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plouha
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Tréméven
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Tréméven
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Tréméven
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Tréméven
Liens
Site web www.tremeven.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 10,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 757 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanleff », sur la commune de Lanleff, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 839,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tréméven est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paimpol, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), forêts (13,2 %), mines, décharges et chantiers (4,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Tremeven en 1427, 1480, 1514, 1536 et en 1543[21].

    Son nom vient de l'ancien breton trev qui veut dire village et de Saint Meven ou Méen (saint du VIe siècle, disciple de saint Samson)[21]. En breton, le nom de la commune est Tremeven.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Un dépôt de haches à douilles a été trouvé en 1836 à Tréméven. Des monnaies gallo-romaines aux effigies d'Adrien et d'Antonin le Pieux ont été découvertes dans la commune en 1827[22].

    Moyen-Âge

    Sous l'Ancien Régime, Tréméven était une paroisse appartenant à l’évêché de Saint-Brieuc et au comté du Goëlo.

    La famille de Coëtmen est originaire de Tréméven où elle posséédait le château éponyme, dit aussi Coatmen ; elle possédait aussi le château de Tonquédec. Elle était fondatrice de l'église primitive de Tréméven.

    Temps modernes

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Tréméven en 1778 :

    « Tréméven ; sur une hauteur ; à 5 lieues au Nord-Ouest de Saint-Brieuc, son évêché et son ressort ; à 25 lieues de Rennes et à 2 lieues 3/4 de Paimpol, sa subdélégation. On y compte 500 communiants[Note 8]. M. le marquis de Rougé[Note 9] en est le seigneur ; la cure est à l'alternative. Le territoire, couvert d'arbres fruitiers et autres, rempli de vallons et de monticules, est très bien cultivé[23]. »

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tréméven en 1845 :

    « Trémeven (sous l'invocation de saint Méen, sanctus Mevennus) : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : le Traou, Lézélech, Saint-Jacques, Kermaéquer, Runalès, Rue-Fardel, Kerautret, Kervorgan, Kerpuns, Toul-Pry, Kernon, la Tournée, Saint-Jean, Leurenou, Traou-Toupin, Traou-Hervé. Maison importante : château de Coatmen. Superficie totale 512 hectares dont (...) terres labourables 439 ha, prés et pâturages 17 ha, vergers et jardins 6 ha, landes et incultes 55 ha (...). Moulins : 2 (à eau, du Lieutenant, de Coatmen) ; 3 routoirs. La route de Lanvollon à Pontrieux traverse cette commune dans sa partie ouest, courant sud-est à nord-ouest. La route de Paimpol à Lanvollon s'embranche sur celle-ci au pont de Kerascouet. Il y avait jadis, en outre de l'église, les chapelles Saint-Jean, Saint-Laurent et Saint-Jacques. Cette dernière, seule desservie aujourd'hui, est située sur la route de Lanvollon à Pontrieux. C'est une jolie chapelle, dans le style du XVe siècle, dont elle porte la date. Coatmen, situé sur une colline élevée, n'est plus remarquable que par ses ruines et ses belles tours, où, selon la tradition habituelle en pareil cas, il y a des souterrains immenses. Géologie : granite, roches amphiboliques dans le nord-est. On parle le breton[24] »

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Tréméven porte les noms de 21 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; trois étaient des marins : Yves Hélary, mort en mer le , Louis Calvez second maître mécanicien, mort des suites de ses blessures à Tréméven et Joseph Moignet, canonnier-marin, tué à l'ennemi à La Panne (Belgique) le et dernier mort de la guerre pour la commune ; tous les autres sont des soldats morts sur le sol français[25].

    Désiré Tartivel, tirailleur au 5e régiment de tirailleurs marocains est mort à L'Arba de Tissa, en Taounate (Maroc) le [Note 10] il a été décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Tréméven porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles : Paul Pierre, second maître, est mort lors du naufrage du torpilleur Siroco lors de la Débâcle le ; André Vincent, sous-lieutenant au 159e régiment d'infanterie alpine, a été tué à l'ennemi, également lors de la Débâcle, le , à Armentières-sur-Ourcq (Aisne) ; Louis Hervé est mort le à Évreux (Eure) ; Pierre Amp est disparu en mer lors du naufrage de la corvette Mimosa, des Forces navales françaises libres, au large de Terre-Neuve le ; Pierre Hervé (frère de Louis Hervé), marin, est mort le à Casablanca (Maroc) ; Jean Amp, quartier-maître dans le régiment blindé de fusiliers marins, est mort des suites de ses blessures le à Paris[25].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Un soldat (Marcel Adelin) originaire de Tréméven est mort pour la France durant la guerre d'Indochine[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1817 Charles Jézéquel
    avant 1827 1834 François Le Floch[Note 11] Meunier et cultivateur.
    1834 1848 Yves Hello[Note 12] Laboureur, meunier.
    1848 1881 Vincent Camio[Note 13] Laboureur.
    1881 1884 Yves Le Corre[Note 14], Laboureur.
    1884 1892 Norbert Gérard[Note 15] Laboureur.
    1892 1896 Yves Le Calvez[Note 16]
    1896 1903 Norbert Gérard Déjà maire entre 1884 et 1892.
    1903 1909 François Gérard[Note 17] Cultivateur. Fils de Norbert Gérad, maire à deux reprises précédemment.
    1910 après 1914 Emmanuel de Rougé[Note 18] Comte.
    1919 Jean-Baptiste Le Corre[Note 19] Cultivateur. Fils d'Yves Le Corre, maire entre 1881 et 1884.
    juin 1978 mars 1989 François Gérard[26] (1936-2021) Exploitant agricole
    mars 1989 juin 1995 Jeanine Cochard
    juin 1995 3 juillet 2020 Chantal Delugin PS
    3 juillet 2020 En cours Yves Liennel[27] Technico-commercial
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 351 habitants[Note 20], en augmentation de 4,15 % par rapport à 2014 (Côtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    482550623801770762721760737
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7737177771 693759779661659656
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    616526550485495455404401344
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    342311290247286277299318352
    2014 2019 2020 - - - - - -
    337348351------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Méen.
    • Église paroissiale Saint-Méen, construite par l'architecte et entrepreneur Drillet (de Lanvollon) entre 1848 et 1886 ; elle est en forme de croix latine.
    La chapelle Saint-Jacques.

    La chapelle Saint-Jacques

    Datée du XVIe siècle, elle aurait été fondée par les seigneurs de Coatmen[32]. La fontaine Saint-Jacques se trouve à l'extérieur du chevet de la chapelle. Le tout est classé monument historique, la chapelle depuis le et la fontaine depuis le [33]. Veillant sur la fontaine se trouve une rare statue de saint Jacques en majesté (assis sur un trône ou fauteuil), remontant à environ 1450, faite en pierre de Kersanton[34] - [35].

    Voir aussi :

    Château de Coat Men

    Le château de Coat Men, construit au Moyen Âge est inscrit depuis 1927 aux monuments historiques[36]. En 1966, les vestiges du château comportent un donjon en ruines ainsi que les vestiges d'une chapelle castrale[37]. Les restes du donjon sont détruits à dessein en 1993 par le propriétaire du terrain sur lequel les vestiges sont situés[38].

    Fontaine

    • La fontaine du bourg, dédiée à saint Méen, dont les eaux avaient la réputation de guérir l'eczéma.

    Évènements

    • The Irish Rendez-Vous : festival de musique traditionnelle irlandaise, ayant lieu tous les deux ans, pendant deux jours.
    • Les Joutes Nautiques organisées par l'association Tréméven-les-Bains, dont la première édition a eu lieu le week-end du et qui est reconduite sur deux jours, en 2016.

    Personnalités liées à la commune

    • Le marquis Pierre François de Rougé, baron de Coëtmen par sa femme, dernière de sa maison. Le marquis de Rougé fut le signataire de la première convention de protection des médecins, blessés et hôpitaux en situation de guerre, en 1749.
    • Alain Gérard.
    • Louis Capart.

    Héraldique

    Blason de Tréméven Blason
    D'azur à deux bourdons de pèlerin d'or passés en sautoir, cantonnés, en chef, d'une tour ruinée, ouverte et ajourée du champ et maçonnée de sable, aux flancs, de deux coquilles d'argent et, en pointe, d'un poisson ployé en bande du même ; à la champagne engrêlée d'argent chargée d'une moucheture d'hermine de sable ; le tout enfermé dans une bordure cousue de gueules chargée de sept annelets d'argent[39].
    Détails
    Adopté en .

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Personnes en âge de communier.
    9. Bonabes Alexis de Rougé, fils de Pierre François de Rougé et de Marie-Claude-Jeanne-Julie de Coëtmen.
    10. Il est mort probablement lors des révoltes survenues en 1919 dans l'Anti-Atlas marocain contre le protectorat français.
    11. François Le Floch, né le à Tréméven, décédé le à Tréméven.
    12. Yves Hello, né le à Tréméven, décédé le à Tréméven.
    13. Vincent Camio, né le à Tréméven, décédé le à Tréméven.
    14. Yves Marie Le Corre, né le à Tréméven, décédé le à Tréméloir (Côtes-du-Nord).
    15. Norbert Gérard, né le à Plouezec (Côtes-du-Nord), décédé le à Plouezec.
    16. Yves Le Calvez, né le à Tréméven.
    17. François Gérard, né le à Trémeven.
    18. Emmanuel Léon Marie de Rougé, né le , décédé après 1930.
    19. Jean-Baptiste Le Corre, né le à Tréméven.
    20. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Lanleff - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tréméven et Lanleff », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Lanleff - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tréméven et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Tréméven ».
    22. « Étymologie et histoire de Tréméven », sur InfoBretagne.com (consulté le ).
    23. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 457.
    24. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Molliex (lire en ligne), page 934.
    25. « Monument aux Morts - Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    26. « Décès de l’ancien maire de Tréméven, François Gérard », Le Télégramme, (lire en ligne)
    27. « Municipales à Tréméven. Le maire est élu, mais il faudra retourner aux urnes », Ouest-France, (lire en ligne).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Iza Lambert, La chapelle Saint-Jacques en Trémeven, son association, Carnets du Goëlo n° 30 (2014) / Société d'études historiques et archéologiques du Goëlo.
    33. « Chapelle Saint-Jacques et sa fontaine », notice no PA00089734, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Carnet de voyage 2015 - Lanvollon-Plouha, guide édité par Gîtes de France.
    35. Coordonnées de la chapelle Saint-Jacques : 48° 40′ 43″ N, 3° 02′ 28″ O.
    36. Notice no PA00089735, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « INRAP, Rapport de diagnostic archéologique, Arrêté de prescription n° 2004 / 020 ».
    38. Cour de Cassation, no 99-84.137, 20 juin 2000
    39. « 22370 Tréméven (Côtes-d'Armor) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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