Souvignargues
Souvignargues est une commune française située dans le sud du département du Gard, en région Occitanie, dans le canton de Sommières près de Nîmes.
Souvignargues | |
L'église paroissiale Saint-André à Souvignargues. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Sommières |
Maire Mandat |
Catherine Lecerf 2020-2026 |
Code postal | 30250 |
Code commune | 30324 |
Démographie | |
Gentilé | Souvignarguais |
Population municipale |
883 hab. (2020 ) |
Densité | 80 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 48′ 53″ nord, 4° 07′ 23″ est |
Altitude | Min. 42 m Max. 173 m |
Superficie | 11,09 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Calvisson |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau d'Aigalade, le ruisseau des Corbières et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Souvignargues est une commune rurale qui compte 883 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Souvignarguais ou Souvignarguaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église de Saint-Étienne d'Escattes, inscrite en 1949, et l'église Saint-André, inscrite en 1949.
Géographie
Souvignargues est à un peu plus de 20 km de la préfecture Nîmes. Les communes de Fontanès, Combas, Montpezat, Saint-Côme-et-Maruéjols, Calvisson, Aujargues et Villevieille sont limitrophes de la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villevieille », sur la commune de Villevieille, mise en service en 1970[6] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 754,1 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 19 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[13] : le « bois de Camp Freychat » (162 ha), couvrant 3 communes du département[14].
Urbanisme
Typologie
Souvignargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [I 1] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48,5 %), forêts (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Souvignargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau d'Aigalade. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1992, 1994, 2001, 2002, 2005, 2014 et 2021[20] - [18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 415 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 415 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Histoire
Le centre ancien est construit sur le mode d'une véritable circulade.
Au XVIIe siècle, Souvignargues est le siège d'une seigneurie appartenant à la famille de Brueys.
En 1649, Pierre de Fabrique est viguier de Souvignargues et Saint-Étienne-d'Escattes.
Entre 1790 et 1794, la commune absorbe celle voisine de Saint-Étienne-d'Escattes et porte provisoirement le nom de Souvignargues-Escatte[23].
Héraldique
Blason | D'azur à la tour d'argent, ouverte, ajourée et maçonnée de sable, soutenue de deux scorpions d'argent le dextre mis en bande le senestre en barre. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
La commune fait partie du canton de Sommières, qui dépend de l'arrondissement de Nîmes et de la deuxième circonscription du Gard.
Souvignargues est l'une des 75 communes membres du SCOT du sud du Gard et fait également partie des 34 communes du Pays Vidourle-Camargue.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2020, la commune comptait 883 habitants[Note 7], en augmentation de 4,74 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 356 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 857 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 420 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 8,4 % | 7,3 % | 7,2 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 530 personnes, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs) et 21,6 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 119 emplois en 2018, contre 102 en 2013 et 86 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 382, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,1 %[I 10].
Sur ces 382 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 65 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
54 établissements[Note 10] sont implantés à Souvignargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 54 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 8 | 14,8 % | (7,9 %) |
Construction | 7 | 13 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 15 | 27,8 % | (30 %) |
Information et communication | 3 | 5,6 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 5,6 % | (3 %) |
Activités immobilières | 2 | 3,7 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 12 | 22,2 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 3 | 5,6 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 1 | 1,9 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,8 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 54 entreprises implantées à Souvignargues), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[27] :
- Vernazobres Freres, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits chimiques (13 561 k€)
- JV Holding, activités des sociétés holding (156 k€)
- TPRS Gard, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (70 k€)
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant une frange sud-ouest du département du Gard[28]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 58 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 43 en 2000 puis à 37 en 2010[30] et enfin à 26 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 55 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[31] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 548 ha en 1988 à 321 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 12 ha[30].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- XIIe siècle, de style roman, en partie ruinée, inscrite à l'inventaire des monuments historiques le [32], propriété de la commune de Souvignargues. Très bel édifice, à l'écart du village. Sa restauration, amorcée au début des années 1990, n'a malheureusement pas abouti. Elle est caractérisée par un appareillage en opus monspelliensis.
- Église romane Saint-Étienne d'Escattes (hameau dépendant du village)
- XIIe siècle, de style roman, inscrite à l'inventaire des monuments historiques le [33], propriété de la commune de Souvignargues. Endommagée au XVIe siècle, durant les guerres de religion, elle conserve néanmoins, ce qui est rare dans la région, son allure d'origine avec une abside en cul de four et la belle voûte en berceau de sa nef qui mesure 10 m de long sur 5,60 m de large et environ 8 à 9 mètres de hauteur sous voûte. Si l'on ajoute le chœur, on atteint un peu plus de 15 mètres de longueur sur l'intégralité de l'édifice. Le clocher-pignon qui surmonte la façade ouest est postérieur (XVIIIe siècle) tout comme la cloche qu'il abrite (1829, ateliers Baudoin à Marseille). L'édifice mérite une sérieuse restauration, notamment au niveau de la toiture.
- Bourg de Souvignargues de plan circulaire (« circulade »)
- Ruines du château féodal, XIIIe siècle et XVe siècle
- Château
- Ruines des anciennes fortifications
- Mas d'Auquier
- Église paroissiale Saint-André
- XVIe siècle, reprise au XIXe siècle sur un plan centré original ; au sein de la circulade, en remplacement de l'ancienne église romane de St André hors du village.
- Temple de l'Église protestante unie de France de Souvignargues, XIXe siècle
- Grotte du Bézal
- Grotte occupée au Paléolithique moyen (env. 200 000 ans BP)
- Nombreuses cabanes de pierre sèche appelées localement capitelles, dont la superbe cabane dite de Malet
- Ancien lavoir couvert récemment restauré
- Église paroissiale Saint-André
- Temple de l’Église Protestante Unie de France
- Cabane en pierre sèche dite de Malet.
Personnalités liées à la commune
- Gabriel Boissy, initiateur de la flamme sous l'Arc de triomphe, repose dans le cimetière de Souvignargues
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Souvignargues sur OpenStreetMap.
- Site officiel du Pays Vidourle Camargue
- Site officiel du SCOT Sud Gard
- Souvignargues sur le site de l'Institut géographique national
- Souvignargues sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[29].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Souvignargues » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Souvignargues » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Souvignargues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Souvignargues » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Souvignargues », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Souvignargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
- « Eglise Saint-André », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise de Saint-Etienne d'Escattes », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )