Aujargues
Aujargues est une commune française située dans le sud du département du Gard, en région Occitanie.
Aujargues | |
Église Saint-Martin d'Aujargues. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Sommières |
Maire Mandat |
Bernard Chluda 2020-2026 |
Code postal | 30250 |
Code commune | 30023 |
Démographie | |
Population municipale |
788 hab. (2020 ) |
Densité | 115 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 47′ 26″ nord, 4° 07′ 25″ est |
Altitude | Min. 50 m Max. 143 m |
Superficie | 6,85 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Calvisson |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau des Corbières et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Aujargues est une commune rurale qui compte 788 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Aujarguois ou Aujarguoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Martin, inscrite en 1984, et le château, inscrit en 2014.
Géographie
Localisation
Les communes de Souvignargues, Calvisson, Congénies, et Villevieille sont limitrophes de la commune d'Aujargues.
Communes limitrophes
Souvignargues | Calvisson | |||
Villevieille | N | Congénies | ||
O Aujargues E | ||||
S | ||||
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villevieille », sur la commune de Villevieille, mise en service en 1970[6] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 754,1 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 20 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[13] : le « bois de Camp Freychat » (162 ha), couvrant 3 communes du département[14], et le « vallon du ruisseau des Corbières » (72 ha), couvrant 4 communes du département[15].
Urbanisme
Typologie
Aujargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [I 1] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2] - [I 3].
Aujargues est l'une des 79 communes membres du Schéma de cohérence territoriale SCOT du sud du Gard et fait également partie des 34 communes du Pays Vidourle-Camargue.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37 %), cultures permanentes (36,1 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,6 %), zones urbanisées (7,3 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Aujargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 2002 et 2014[21] - [19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 415 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 406 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
Toponymie
Abbatia Sancti-Martini de Orianiches (bullaire de Saint-Gilles : Ménard I, preuves p. 29, c. 1) en 1119. Du nom de personne latin Aurius, suivi du suffixe -anicis.
Ses habitants sont les Aujarguois et Aujarguoises.
Histoire
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2020, la commune comptait 788 habitants[Note 7], en diminution de 9,94 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
Manifestation Taurine organisées par l'Association Jeunesse Aujarguoise le second weekend de juin, tous les ans.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 372 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 854 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 520 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 7,1 % | 8,8 % | 10,7 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 487 personnes, parmi lesquelles on compte 77 % d'actifs (66,3 % ayant un emploi et 10,7 % de chômeurs) et 23 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 87 emplois en 2018, contre 106 en 2013 et 99 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 325, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,9 %[I 10].
Sur ces 325 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 1,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
81 établissements[Note 10] sont implantés à Aujargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 81 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 8 | 9,9 % | (7,9 %) |
Construction | 21 | 25,9 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 19 | 23,5 % | (30 %) |
Information et communication | 1 | 1,2 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 2,5 % | (3 %) |
Activités immobilières | 1 | 1,2 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 9 | 11,1 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 12 | 14,8 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 8 | 9,9 % | (8,8 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,9 % du nombre total d'établissements de la commune (21 sur les 81 entreprises implantées à Aujargues), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[28] :
- Chadapi, supermarchés (3 911 k€)
- SARL Mirahbel, commerce de détail de fleurs, plantes, graines, engrais, animaux de compagnie et aliments pour ces animaux en magasin spécialisé (1 053 k€)
- CRV, taille, façonnage et finissage de pierres (629 k€)
- Sudware, édition de logiciels applicatifs (235 k€)
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant une frange sud-ouest du département du Gard[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (34 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 75 ha[31] - [Carte 5] - [Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Édifices religieux
- Église Saint-Martin d'Aujargues : elle est inscrite à l'inventaire des Monuments historiques depuis le 28 décembre 1984[32]. C'est un édifice de la fin du XVIIe siècle construit entre 1686 et 1689.
- Le temple de l'Église réformée de France vers 1840 à l'emplacement de l'ancienne église.
Édifices civils
- Château d'Aujargues, site naturel classé depuis 1969. Inscription Monuments Historiques 2015. D'abord château fort situé hors du village, il a appartenu vers 1150 à la famille Bernard Aton, chevaliers des Arènes. Vers 1306, Philippe le Bel donne ce château à Guillaume de Nogaret pour le remercier de son rôle dans le conflit qui l'opposait au pape Boniface VIII (attentat d'Anagni). Le château et le domaine resteront 494 ans dans la famille des Nogaret. Le 1er avril 1792, le château est incendié (le même jour que les châteaux d'Aubais et Gallargues-le-Montueux). En 1800, Joseph de Nogaret le vend à M. Causse d'Aigues-Vives.
- Ancien et remarquable pigeonnier ( IMH 2015 ) appartenant au château, de l'autre côté de la petite route qui va à Junas. Sa tour est posée sur 4 arcades formant une voûte dont la clef porte la date de sa construction en 1699. À signaler, sous le château, une glacière d'époque Louis XIV appartenant elle aussi au château. La glace était très appréciée à cette époque.
- L'ancien pont de la Cure qui permettait au curé d'aller du presbytère à son jardin. Sous Napoléon III, les services des Ponts et Chaussées ont creusé une tranchée pour permettre une circulation plus facile sur la départementale 10 (actuel CD 40 ) de cette époque en direction de Sommières. Le curé a donc demandé la construction d'un pont pour rejoindre son jardin depuis la cure par-dessus la nouvelle route. C'est ce qui a été fait. En 1866, la route était ainsi ouverte à la circulation. À signaler qu'en 1993, un camion a malencontreusement détruit ce pont. Il a été reconstruit à l'identique mais entièrement en pierre tendre contrairement au modèle original qui comportait des éléments en calcaire de Roquemallière, plus durs. De nombreux peintres ont fait des tableaux à partir de ce site particulièrement pittoresque.
- Le monument aux morts (1923), à côté de l'église, est une œuvre répertoriée par la DRAC.
- Les anciens lavoirs.
- Nombreuses et remarquables cabanes de pierre sèche, les capitelles, à travers la garrigue.
Patrimoine environnemental
Plantations de nombreuses espèces d'arbres sur le domaine du château ; dans le même secteur, un groupe de cyprès approcherait les 350 voire 400 ans (ouvrage Arbres remarquables du Gard).
Personnalités liées à la commune
- Guillaume de Nogaret
- Frédéric Jacques Temple (1921-2020), écrivain et poète, résidant dans la commune.
Héraldique
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Les armes d'Aujargues se blasonnent ainsi : Deux écus accolés : 1. Écartelé : au premier et au quatrième d'or aux trois lambels de gueules l'un sur l'autre, au deuxième et au troisième d'azur aux trois pals d'or, les pals d'azur chargés chacun de quatre roses d'argent ; sur le tout d'argent au noyer terrassé de sinople 2. D'azur au chevron accompagné en chef d'un croissant accosté de deux étoiles et en pointe d'un trèfle, le tout d'argent[33]. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Aujargues sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Site Officiel du SCOT Sud Gard », sur www.scot-sud-gard.fr (consulté le )
- « Site Officiel du Pays Vidourle Camargue », sur www.pays-vidourlecamargue.fr (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Aujargues », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[30].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Aujargues » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Aujargues » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Aujargues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Aujargues » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Villevieille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Aujargues et Villevieille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Villevieille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aujargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « bois de Camp Freychat » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « vallon du ruisseau des Corbières » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune d'Aujargues », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Aujargues », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Aujargues », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Aujargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Notice no PA00102965, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).