Savennières
Savennières est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Savennières | |||||
Panorama du bourg depuis les coteaux. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Angers Loire Métropole | ||||
Maire Mandat |
Jérémy Girault 2020-2026 |
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Code postal | 49170 | ||||
Code commune | 49329 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saponarien | ||||
Population municipale |
1 337 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 64 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 02″ nord, 0° 39′ 23″ ouest | ||||
Altitude | 20 m Min. 12 m Max. 77 m |
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Superficie | 21,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Angers-3 | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site de Savennières | ||||
Située dans la deuxième couronne sud de la ville d'Angers, on trouve sur la commune un vignoble réputé.
Géographie
Localisation
Commune angevine implantée sur la rive nord de la Loire, Savennières est située à une quinzaine de kilomètres à l’ouest d’Angers, dans la zone du val de Loire inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis .
Aux alentours
Les communes les plus proches sont Béhuard (1 km), La Possonnière (2 km), Rochefort-sur-Loire (3 km), Denée (4 km), Saint-Jean-de-la-Croix (6 km), Bouchemaine (6 km), Saint-Aubin-de-Luigné (6 km), Saint-Martin-du-Fouilloux (6 km), Chaudefonds-sur-Layon (8 km) et Mûrs-Erigné (8 km)[1].
Géologie et relief
L'altitude de la commune varie de 12 à 77 mètres[2]. Elle est due à ses nombreux vallons à l'est du bourg jusqu'à Bouchemaine, en bord de Loire. Son territoire s'étend sur plus de 21 km2 (2 101 hectares)[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Georges Gard », sur la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire, mise en service en 1950[10] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 817,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 76 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,5 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Savennières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
La ville se compose des bourgs de Savennières et d'Épiré[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,8 %), prairies (25,5 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), forêts (11,4 %), cultures permanentes (5,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %), zones urbanisées (1,8 %), eaux continentales[Note 7] (1,4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Ce toponyme vient de la saponaire. Formes anciennes du nom : Vicus Saponaria au VIIe siècle, Saponaria in territorio Andegavensi, Curtis Saponaria au XIe siècle, Savoneriœ au XIIe siècle, la paroisse de Savonnières au XIIIe siècle, Parochia de Sapponnerüs au XIVe siècle, Sapvonnières au XVIe et XVIIe siècles, avant de devenir Savennières puis Savennières en 1619[25], Savenière et Savennières aux XVIIIe et XIXe siècles[3].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Une hache polie, et une autre percée, sont les seules preuves de l'occupation du territoire à l'époque préhistorique. Pour l'époque antique, des pierres gravées, peut-être des bornes milliaires, ont été retrouvées, ainsi qu'un reste de mosaïque dans le bourg et des sarcophages en pierre coquillère[25], datant plus probablement de l'époque mérovingienne. Une voie romaine qui reliait Angers à Nantes passait par le territoire de la commune, par La Ségourie. Dans l'église d’Épiré, le bénitier a été creusé dans un tronçon de colonne et chapiteau composite[25].
Moyen Âge
Un vicus est attesté dès le VIe siècle, et jusqu'au XIe siècle vraisemblablement. Ravagé par les troupes bretonnes, puis normandes, le territoire de Savennières passe aux mains des comtes de Nantes et accueille la sépulture du comte Lambert II de Nantes, avant de repasser sous l'influence des comtes d'Anjou. Au XIIe siècle, afin de protéger la voie d'Angers à Nantes, le château de la Roche-aux-Moines est érigé.
En 1214 se déroula une bataille opposant les Plantagenêt aux troupes royales[26]. Après avoir débarqué avec ses alliés à La Rochelle, Jean sans Terre fit de Rochefort-sur-Loire sa base d'opérations et assiégea La Roche-aux-Moines (à Savennières), château confié au sénéchal Guillaume des Roches[27]. Jean fut défait par les troupes royales du Prince Louis, fils de Philippe Auguste.
Une famille féodale a porté le nom de Savennières ou de Savonnières (sans rapport avec Savonnières en Touraine)[28].
Ancien Régime et Révolution
Au XVIIIe siècle, la paroisse dépend du doyenné de Candé et de l'élection d'Angers. Les habitants de la paroisse sont pauvres, nombre d'entre eux étant des journaliers aux faibles revenus travaillant dans les vignes[29].
Pendant la Révolution, le curé prête serment, mais le chapelain refuse et s'exile. Trois habitants sont victimes de la Terreur, ayant été condamné à mort par la commission militaire d'Angers[29].
Époque contemporaine
Savennières devenue commune, devient chef-lieu de canton du canton de Savennières en 1795, avant que celui-ci disparaisse en 1801 (canton de Saint-Georges-sur-Loire)[3]. La commune d’Épiré y est rattachée en 1795[29].
La commune se composait jusqu'en 1851 de La Possonnière[29] - [3] et de L'Alleud, mais celles-ci ont été distraites par une loi promulguée par l'Assemblée nationale sous le sceau de l’État par Louis-Napoléon Bonaparte.
La Première Guerre mondiale voit la mort de 17 habitants d’Épiré. Les deux guerres mondiales emporteront la vie de 59 habitants de Savennières[29].
L'électricité arrive dans la commune dès 1923, et l'eau courante à partir de 1938[29]. En 1937, le président de la République française, Albert Lebrun, s'arrête à Savennières lors d'une visite dans le vignoble à l'occasion de la cinquième fête nationale des vins de France[29].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[33], elle-même membre du syndicat mixte pôle métropolitain Loire Angers[34].
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, Savennières fait partie du canton de Saint-Georges-sur-Loire et de l'arrondissement d'Angers[35]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton d'Angers-3, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[36].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2020, la commune comptait 1 337 habitants[Note 8], en diminution de 1,47 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est plus âgée que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 651 hommes pour 685 femmes, soit un taux de 51,27 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
Services publics présents sur la commune : mairie, écoles maternelle et primaire, accueil péri-scolaire, maison de retraite, poste. D'autres services publics sont présents à Saint-Georges-sur-Loire ou sur l'agglomération angevine.
Enseignement
Le collège se trouve sur la commune de Saint-Georges-sur-Loire, tandis que les lycées sont sur Angers.
Sports et équipements sportifs
Les équipements sportifs se trouvent soit à Saint-Georges-sur-Loire, soit sur l'agglomération angevine.
Deux cercles de boule de fort sont présents sur la commune, la Concorde dans le bourg de Savennières et la Bonne tenue dans celui d'Épiré.
Manifestations culturelles et festivités
Plusieurs manifestations ont lieu au cours de l'année :
- fête du goût et du patrimoine (mois de mai),
- festival Littéraire Terres à Vins, terres à Livres (fin septembre)[43].
Économie
Tissu économique
Sur 113 établissements présents sur la commune à fin 2010, 29 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[44]. Fin 2015, sur les 135 établissements actifs, 22 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 4 % du secteur de la construction, 59 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[45].
En 2008, sur les 101 établissements présents, 47 % relevaient du commerce et des services et 33 % de celui de l'agriculture[46].
Agriculture
On comptait 32 exploitations agricoles en 2000[47]. Le nombre d'exploitations a diminué entre 1988 et 2000, passant de 51 à 32, mais la superficie cultivée a, elle, augmenté dans cette période, passant de 1 392 hectares (moyenne 27 hectares par exploitation) à 1 463 hectares (46 hectares par exploitation). Quatorze exploitations élevaient des bovins, le nombre de têtes augmentant de 1 295 à 1 451 entre 1988 et 2000, et sept des volailles[47].
Vignoble
Après l'embouchure de la Maine vers la Loire, à Épiré commence le vignoble de Savennières. Le vignoble de Savennières est un vignoble du Val-de-Loire, situé sur les communes de Savennières, Bouchemaine, et La Possonnière.
Appellations sur le territoire
La commune possède au total trente-cinq appellations sur le territoire[48]:
- AOC - AOP Anjou blanc, Anjou gamay, Anjou gamay nouveau ou primeur, Anjou mousseux blanc, Anjou mousseux rosé, Anjou rouge, Anjou Villages ;
- AOC - AOP Cabernet d'Anjou, Cabernet d'Anjou nouveau ou primeur ;
- AOC - AOP Crémant de Loire blanc, Crémant de Loire rosé ;
- AOC - AOP Rosé d'Anjou, Rosé d'Anjou nouveau ou primeur, Rosé de Loire ;
- AOC - AOP Savennières, Savennières Coulée de Serrant, Savennières Coulée de Serrant demi-sec, Savennières Coulée de Serrant moelleux ou doux, Savennières demi-sec, Savennières moelleux ou doux, Savennières Roche aux Moines, Savennières Roche aux Moines demi-sec, Savennières Roche aux Moines moelleux ou doux ;
- AOC - AOP Maine-Anjou ;
- IGP Maine-et-Loire blanc, Maine-et-Loire rosé, Maine-et-Loire rouge ;
- IGP BÅ“uf du Maine, Cidre de Bretagne ou Cidre breton ;
- IGP Volailles de Cholet, Volailles de Loué, Volailles du Maine, Volailles d’Ancenis, Œufs de Loué.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques[49]
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Romain de Savennières des Xe et XIIe siècles, classée monument historique en 1840[50].
- Logis de la Coulée de Serrant du XVe siècle, Monument historique inscrit par arrêté du 20/09/1968 (façades et toitures).
- Logis de la Cour, Monument historique inscrit par arrêté du 14/03/1986.
- Le Château des Vaults
- Manoir des Lauriers du XVIIIe siècle, Monument historique inscrit par arrêté du 28/08/1974.
- Moulin à vent de Plussin, Monument historique inscrit par arrêté du 12/12/1975.
- Moulin à vent du Fresne (ou de la Petite Roche), Monument historique inscrit par arrêté du 21/11/1975.
- Presbytère, rue de la Cure, Monument historique inscrit par arrêté du 24/09/1986 (cheminée avec décor de toiles peintes, salon, élévation, toiture, décor intérieur).
Sites classés[51]
- Ensemble formé par le château de Serrant et le château de Chevigné, ainsi que les étangs de Chevigné et de la Brelaudière, site classé par arrêté du .
- Ruines de l'ancien château de la Roche-Serrant, site protégé classé par arrêté du .
- Site formé par la confluence et les coteaux angevins, site protégé classé par arrêté du .
- Zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager, ZPPAUP créée le .
- Pierre Bécherelle et rochers voisins, site protégé classé par arrêtés des et .
- Allée de cyprès, à mi-hauteur de la Roche aux Moines, site protégé inscrit le .
Autres lieux
- Parc du Fresne, dont un platane d'Orient plusieurs fois centenaire[52].
Personnalités liées à la commune
- Guillaume des Roches (1165 ou 1170-1222), occupant du château de la Roche-aux-Moines (à Savennières).
- Mgr Henri Brincard (1939-2014), évêque du Puy en 1988, né à Savennières.
- Danièle Sallenave (1940- ), originaire de la commune, écrivain français, membre de l'Académie française[54].
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 344-348.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 3 (N-Z), Angers, Lachèse & Dolbeau, , p. 500-502.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Savennières (49) », sur Lion1906, (version du 5 mai 2016 sur Internet Archive) — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RCG 2010), consulté le 2 février 2012 — Données consultables sur WikiAnjou.
- EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, consulté le 28 juin 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Georges Gard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Savennières et Sainte-Gemmes-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Georges Gard - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Savennières et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- IGN et BRGM, Géoportail Savennières (49), consulté le 28 juin 2012.
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Célestin Port 1878, p. 500-502 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
- Bataille citée dans plusieurs ouvrages, dont :
• Adrien Pascal, Histoire de l'Armée et de tous les Régiments, Volume 1, 1853
• Henri Chevallier, Histoire du Moyen Âge, 1859
• André Sarazin, Manoirs et gentilshommes d'Anjou, 1965
• Louis Le Gendre, Nouvelle Histoire de France, 2012 - Jacques Boussard, Le Comté d'Anjou sous Henri Plantagenêt et ses fils, 1938.
- François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, « Savonnières ou Savennières en Anjou et sa Maison féodale, p. 505-516, p. 505 notamment », sur chez Antoine Boudet à Paris, .
- Célestin Port 1996, p. 344-348.
- Ouest-France, Jacques Chambrier, réélu maire à l'unanimité, article du 30 mars 2014.
- Ouest-France, Jérémy Girault prend les rênes de la commune, article du 25 septembre 2018.
- « Savennières. Jérémy Girault élu maire pour un second mandat », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Savennières, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Savennières (49329) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Festival de Savennières, Dossier de presse 2011, document du 14 mai 2012.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Savennières (49), consultées le 26 mai 2013.
- « Dossier complet - Commune de Savennières (49329) », sur Insee, (consulté le ).
- Insee, Statistiques 2008 du territoire de Savennières, consultée le 29 juin 2011
- Insee, Chiffres clés de Savennières, consultée le 29 juin 2011.
- INAO, Fiche de Savennières, consultée le 30 juin 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et inventaire du patrimoine culturel, Base Mérimée consultée le 11 août 2011.
- Ministère de la Culture, Base Mérimée, Notice no PA00109346.
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, Liste des zonages recensés sur la commune de Savennières, consultée le 11 août 2011.
- Krapoo Arboricole, Platane du parc de Savennières, novembre 2009.
- Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 3 (N-R), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878), p. 459-460.
- Danièle Sallenave, L'églantine et le muguet, Paris, Éditions Gallimard, , 530 p. (ISBN 978-2-07-017989-3), p. 13.