Denée (Maine-et-Loire)
Denée est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Denée | |||||
Le village de Denée. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loire Layon Aubance | ||||
Maire Mandat |
Priscille Guillet 2020-2026 |
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Code postal | 49190 | ||||
Code commune | 49120 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Denéen | ||||
Population municipale |
1 405 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 90 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 22′ 49″ nord, 0° 36′ 24″ ouest | ||||
Altitude | 30 m Min. 12 m Max. 90 m |
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Superficie | 15,6 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Chalonnes-sur-Loire | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site de Denée | ||||
Ce territoire borde la Loire en aval d'Angers, sur le site « Val de Loire, Patrimoine Mondial de l’UNESCO », et est labellisée depuis 2004 « Petite Cité de Caractère ».
Géographie
Localisation
Commune angevine de l'ouest du département de Maine-et-Loire, Denée est située sur la rive gauche de la Loire. Elle se trouve à l'extrême ouest du Saumurois, à 11 km au sud d'Angers, sur la route D 751 entre Mûrs-Erigné (4 km) et Rochefort-sur-Loire (5 km)[1], ses communes limitrophes[2].
Le Saumurois est la petite région qui couvre la partie sud-est du Maine-et-Loire, délimitée au nord par la Loire et à l'ouest par le Layon[3].
Géologie et relief
La commune s'étend sur près de 16 km2 (1 560 hectares), et son altitude varie de 12 à 90 mètres[4]. Commune ligérienne[5] du Val de Loire, Denée s'articule autour de deux reliefs principaux : une partie se situe sur la vallée de la Loire, entre ce fleuve (limite nord), le Louet et l'Aubance, et une autre partie sur des coteaux. La commune se situe sur les unités paysagères des plateaux de l'Aubance et de la Loire des promontoires[6].
Commune rurale, Denée comporte de nombreux hameaux : les Lombardières, Mantelon, les Jubeaux, la Jarretière, Souvigné[2], etc.
Protections des zones naturelles : outre des protections sur des bâtiments (monuments historiques et inventaires), la commune de Denée figure à l'inscription[7] de :
- Protections réglementaires, sites classés et inscrits : Rive et confluence de la Maine et la Loire, et site de la confluence Maine et Loire et des coteaux angevins ;
- Natura 2000 : Zone de protection spéciale pour la Vallée de la Loire de Nantes aux Ponts-de-Cé et zones adjacentes, et site d'importance communautaire pour cette même zone ;
- Inventaires, zones naturelles d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF) pour le lit mineur, berges et îles de Loire entre les Ponts-de-Cé et Mauve-sur-Loire, pour la prairie entre Loire, Louet et Aubance, pour les coteaux schisteux de Mantelon à Denée, pour les prairies de Rochefort et vallée du Louet, et pour la vallée de la Loire à l'amont de Nantes ;
- Eau et milieux aquatiques, zones humides d'importance nationale, pour la Loire entre Maine et Nantes ;
- Patrimoine mondial de l'UNESCO pour le val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes-sur-Loire.
Climat
Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, de par sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[8].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Georges Gard », sur la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire, mise en service en 1950[15] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[16] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 817,9 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 80 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,5 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,2 %), terres arables (20,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), forêts (4,5 %), eaux continentales[Note 5] (4,3 %), zones urbanisées (3,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,2 %), cultures permanentes (2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2009, on trouvait 646 logements sur la commune de Denée, dont 87 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 78 % des ménages en étaient propriétaires[24]. En 2013, on y trouvait 640 logements, dont 87 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 78 % des ménages en étaient propriétaires[25].
Toponymie et héraldique
Toponymie
Formes anciennes du nom : Danea en 1066, Denet en 1145, Deneium en 1160, Daneia en 1225, Denaia en 1278[26], Denée en 1793[27].
Son étymologie est tirée de la racine celtique dann, tann, qui est en rapport avec le chêne[28].
Nom des habitants : les Denéens[28].
Héraldique
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Héraldique : |
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Histoire
Préhistoire
La présence humaine est attestée sur le site de Denée dès le Néolithique (environ 4000 ans av. J.-C.). On y a trouvé une hache en pierre polie[30].
Antiquité
À Mantelon, aux Jubeaux, au Dicechien et aux Grands Moulins, on y a retrouvé des vestiges de constructions gallo-romaines[30].
Moyen Âge
Le visage actuel de la commune prend forme au Xe siècle. Au Moyen Âge, Denée est un fief relevant de Brissac, et le bourg est fortifié[30].
Ancien Régime
Le comté de Brissac est constitué en 1561 de la baronnie de Brissac et des châtellenies et seigneuries de Luygné, Claye et Denée.
À la veille de la Révolution française (royaume de France), Denée dépend du doyenné des Mauges, du grenier à sel d'Ingrandes et de l'élection d'Angers[30].
Époque contemporaine
À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, le Maine-et-Loire succède à l'Anjou. Denée est intégrée en 1790 au canton de Rochefort et au district d'Angers, puis en 1800 au canton de Chalonnes et à l'arrondissement d'Angers[27].
Politique et administration
Administration municipale
La commune est créée à la Révolution (Denée)[27]. Le conseil municipal est composé de 15 élus[31].
Intercommunalité
Jusqu'en 2016 la commune est intégrée à la communauté de communes Loire-Layon. Cette structure intercommunale regroupe dix communes : Chalonnes, Champtocé, Chaudefonds, Denée, Ingrandes, La Possonnière, Rochefort, Saint-Aubin, Saint-Georges et Saint-Germain[37]. L'intercommunalité est membre du Pays de Loire en Layon, structure administrative d'aménagement du territoire. Cette intercommunalité regroupe quatre communautés de communes : Coteaux-du-Layon, Gennes, Loire-Layon et Vihiersois-Haut-Layon[38].
À la suite de la révision du schéma départemental de coopération intercommunale, le les communautés de communes Loire-Layon, Coteaux du Layon et Loire Aubance fusionnent dans la communauté de communes Loire Layon Aubance[39].
Autres circonscriptions
Denée fait partie du canton de Chalonnes et de l'arrondissement d'Angers[40].
Jusqu'en 2014, le canton de Chalonnes comporte cinq communes (Chalonnes, Chaudefonds, Denée, Rochefort et Saint-Aubin). Il a été constitué en 1790 (canton de Rochefort-sur-Loire), et modifié en 1800 (canton de Chalonnes-sur-Loire)[27]. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune reste rattachée à ce même canton de Chalonnes, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[41].
Denée fait partie de la deuxième circonscription de Maine-et-Loire, composée de cinq cantons dont Angers-Sud et Chemillé. La deuxième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].
En 2020, la commune comptait 1 405 habitants[Note 6], en augmentation de 0,43 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 690 hommes pour 698 femmes, soit un taux de 50,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
Située dans l'académie de Nantes, la commune compte deux écoles maternelle et primaire. Est également présent, un point poste et une bibliothèque[48].
La plupart des structures de santé se trouvent soit à Chalonnes-sur-Loire, siège du canton, soit sur l'agglomération angevine. L'hôpital local se trouve à Chalonnes, ainsi qu'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes et une maison de retraite[49].
La collecte des ordures ménagères (collecte sélective) est gérée par la communauté de communes Loire-Layon (SYCTOM du Loire-Béconnais)[50].
On trouve sur la commune deux sociétés de boule de fort, dont l'une aux Jubeaux (bord de Loire), jeu typique de l'Anjou inscrit au patrimoine ligérien[51].
Transports en commun : la commune est desservie par une ligne d’autobus du réseau interurbain de Maine-et-Loire AnjouBus, la ligne 23. Celle-ci va d'Angers à Saint-Florent-le-Vieil, en passant par Mûrs-Érigné, Denée, Rochefort[52].
Pour accéder au réseau ferroviaire, la ligne Angers-Cholet est accessible à la gare de Chalonnes et la ligne Angers-Nantes à La Possonnière[53].
Autrefois, la Loire servait également de voie de communication. Ce n'est plus le cas aujourd'hui ; celle-ci ne servant plus qu'au tourisme fluvial.
Jumelages
Denée est jumelée avec la commune belge homonyme.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le revenu fiscal médian par ménage était en 2010 de 18 549 €, pour une moyenne sur le département de 17 632 €[24].
En 2009, 57 % des foyers fiscaux étaient imposables, pour 51 % sur le département[24].
Tissu économique
En 2009, sur les 88 établissements présents sur la commune de Denée, 22 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 18 % sur le département)[54]. L'année suivante, sur les 99 établissements présents, 20 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 16 % du secteur de l'administration et de la santé[24].
Sur 119 établissements présents sur la commune à fin 2013, 12 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 19 % du secteur de la construction, 56 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[25].
On y trouve plusieurs commerces, tels une boulangerie pâtisserie, une boucherie alimentation, un bar tabac presse, un hôtel restaurant, etc.[48].
Agriculture
(Cliquez pour agrandir).
Comme dans le reste du département, l'agriculture est fortement implantée sur ce territoire rural, dont la viticulture qui représente la première activité agricole.
Denée se trouve dans la zone des vignobles du Val de Loire. Liste des appellations présentes sur le territoire[55] :
- AOC AOP Anjou blanc, Anjou gamay, Anjou gamay nouveau ou primeur, Anjou mousseux blanc, Anjou mousseux rosé, Anjou rouge, Anjou Villages Brissac, Cabernet d'Anjou, Cabernet d'Anjou nouveau ou primeur, Coteaux de l'Aubance, Coteaux de l'Aubance Sélection de grains nobles, Rosé d'Anjou, Rosé d'Anjou nouveau ou primeur, Rosé de Loire ;
- AOC AOP Crémant de Loire blanc, Crémant de Loire rosé, Vin destiné à l'élaboration de Crémant de Loire blanc, Vin destiné à l'élaboration de Crémant de Loire rosé ;
- AOC Maine-Anjou ;
- Bœuf du Maine, Volailles de Cholet, Volailles d’Ancenis, Brioche vendéenne.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Denée comporte plusieurs inscriptions au Patrimoine[56], dont cinq monuments historiques, trois sites protégés et une zone de protection du patrimoine urbain et paysager[57].
- Château de Mantelon, des XVIe et XVIIIe siècles, façades et toitures, Monument historique inscrit le 2 octobre 2003.
- Château de Souvigné, rue de la Reine-Fabiola, des XVIIIe et XIXe siècles, façades et toitures du château et de ses communs, Monument historique inscrit le 20 août 1976.
- Domaine de la Noue, également sur la commune de Mozé-sur-Louet, des XVIIe et XVIIIe siècles, maison et jardin, Monument historique inscrit le 16 février 1995.
- Église Notre-Dame, des XIIe (mur nord) XVe XVIe et XVIIe siècles, église possédant une miséricorde, Monument historique inscrit le 26 juin 1968.
- Presbytère, rue de la Cure, du XVIIIe siècle, Monument historique inscrit le 8 février 1968.
- Ensemble formé par le hameau de Mantelon, site protégé inscrit par arrêté du 18 décembre 1974.
- Site formé par la confluence et les coteaux angevins, concerne notamment les communes de Denée, Murs-Erigné et Rochefort-sur-Loire, site protégé classé par arrêté du 23 février 2010.
- Site urbain de Denée, site protégé inscrit par arrêté du 10 décembre 1974.
- Zone de protection du patrimoine architectural et paysager (ZPPAUP) créée le 8 juillet 2004.
- Abri troglodytique, dit souterrain du Port Thinault, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Chapelle Saint-André, lieu-dit les Jubeaux, du XVIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Château de Manthelon, des XVIe XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Demeure rue Borée, dite logis Guérin Beaumarchais, du XVIIIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Demeure place Müller dans le bourg, dite la Chabotière, des XVIe XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel[58].
- Demeure rue Haute-Halopean, dite le Vieux Château, des XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Demeure, dite le Petit Manthelon, du XVIIIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Demeure rue Saint-Charles, dite logis Maret de la Faye, du XVIIIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Ferme chemin du Plessis, des XVIIe XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison rue Bourgeoise, du XVIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison Grand-Rue, des XVIe et XVIIIe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maisons rue Basse-Halopeau, des XVe XVIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison rue Haute-Halopean, dite logis de Bon-Accueil, du XVIIIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison Henri IV, lieu-dit Mantelon, des XVIe XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison, dite le Prieuré, lieu-dit Mantelon, des XVIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison place Müller dans le bourg, dite logis du Pinier, des XVIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel[59].
- Maison des Notaires, place Müller, du XVIIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison rue du 8-Mai, dite logis Beucher, des XVIe et XVIIe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maisons rue du Port Thinault, des XVIe XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Maison rue de la Reine-Fabiola, du XVIe siècle, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Manoir, dit logis de la Dépeignerie, des XVIIe et XVIIIe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- Moulin à vent, lieu-dit les Grands-Moulins, des XVIIe et XIXe siècles, Inventaire général du patrimoine culturel.
- La chapelle Saint-Joseph, au bout de la rue du Colonel.
- Le clocher de l'église, en août 2011.
- Le niveau des crues au Port Thinault.
- Chapelle Saint-Joseph.
Personnalités liées à la commune
- Général Delcambre (1871-1951), directeur de l'Office National Météorologique, avant de s'installer à Denée pour sa retraite où il a anima la Commission météorologique départementale[60].
- André Sarazin de Haes (1933-2007), maire de Denée, archiviste et historien, auteur de Denée ou la vie campagnarde.
- Jean-Baptiste Müller (?-1857), médecin des pauvres, prodiguait des soins aux démunis sans rémunération. La place centrale, où se trouve son buste, porte son nom.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 28-31.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 2 (D-M), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 25-27.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Denée (49) », sur Lion1906 (version du 25 janvier 2013 sur Internet Archive), consulté le 15 novembre 2011 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- IGN et BRGM, Géoportail Denée, consulté le 29 mars 2010.
- Louis Poirier, « Bocage et plaine dans le sud de l'Anjou », Annales de Géographie, t. 43, no 241,‎ , p. 22 — Voir Saumurois.
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011.
- Ligérienne, voir sur Wiktionnaire.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 140 et 176 — Données consultables sur WikiAnjou.
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, Liste des zonages recensés sur la commune de Denée, consultée le 17 novembre 2011.
- Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du 28 janvier 2010 sur Internet Archive), consulté le 23 septembre 2010.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Georges Gard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Denée et Sainte-Gemmes-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Georges Gard - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Denée et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Denée, consultées le 3 janvier 2013.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Denée (49120), consultées le 7 août 2016.
- Célestin Port 1876, p. 25-27 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
- École des hautes études en sciences sociales, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Denée, consultée le 16 novembre 2011 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 73.
- Armorial des communes de Maine-et-Loire, Le blason des communes de l'Anjou de Gérard Byron-Clouzard.
- Célestin Port 1978, p. 28-31.
- Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
- Ouest-France, Paul Germon est le nouveau maire de la commune, article du 31 mars 2014.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
- Ouest-France, Et le nouveau maire est... Jean-Paul Saulgrain, 3 juillet 2016.
- Mairie de Denée, Procès-verbal de délibérations, du 11 juillet 2016.
- « Denée. Priscille Guillet est élue maire de la commune », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de Loire Layon (244900833), consulté le 4 août 2013.
- Insee, Observation sociale du territoire du Pays de Loire en Layon, février 2007.
- « Arrêté préfectoral DRCL/BSFL no 2016-176 », sur Préfecture de Maine-et-Loire, .
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Denée (49), consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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