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Saint-Georges-sur-Loire

Saint-Georges-sur-Loire est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Saint-Georges-sur-Loire
Saint-Georges-sur-Loire
L'hôtel de ville.
Blason de Saint-Georges-sur-Loire
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Loire Layon Aubance
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Maillart
2020-2026
Code postal 49170
Code commune 49283
Démographie
Gentilé Saint-Georgeois
Population
municipale
3 706 hab. (2020 en augmentation de 5,49 % par rapport à 2014)
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 36″ nord, 0° 45′ 40″ ouest
Altitude 20 m
Min. 11 m
Max. 81 m
Superficie 33,36 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Georges-sur-Loire
(ville isolée)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chalonnes-sur-Loire
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Saint-Georges-sur-Loire
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Saint-Georges-sur-Loire
Liens
Site web Site de Saint-Georges-sur-Loire

    Géographie

    Localisation

    Commune angevine implantée sur la rive nord de la Loire, Saint-Georges-sur-Loire se situe à 17 km au sud-ouest d'Angers[1], sur les routes D 723 (ex-N 23), Angers - Nantes, D 961, Saint-Augustin-des-Bois - Chalonnes-sur-Loire, et D 311, Savennières[2].

    Son territoire se situe sur les unités paysagères des marches du Segréen et de la Loire des promontoires[3].

    Géologie

    La commune repose sur le bassin houiller de Basse Loire[4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 704 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Pommeraye », sur la commune de Mauges-sur-Loire, mise en service en 1980[11] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 670,9 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 70 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,5 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Georges-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-sur-Loire, une unité urbaine monocommunale[21] de 3 706 habitants en 2020, constituant une ville isolée[22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24] - [25].

    Morphologie urbaine : La commune s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

    En 2011 on trouvait 1 429 logements sur la commune de Saint-Georges-sur-Loire, dont 93 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 69 % des ménages en étaient propriétaires[26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,9 %), terres arables (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), forêts (4,4 %), eaux continentales[Note 7] (4 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Beau-Site[29].

    Histoire

    Selon Célestin Port (Dictionnaire de Maine-et-Loire, St-Georges-sur-Loire, p. 82-88, dont p. 85), la seigneurie relevait concomitamment de l'abbé de St-Georges et du sire du Plessis-Macé, puis à partir de 1642, le seigneur de Serrant exerça tous les droits seigneuriaux par cession des du Bellay du Plessis-Macé.

    Des mines de houille sont exploitées entre 1826 et 1848 sur le territoire de la commune[4].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 avril 1967 Léon Draunet Centre gauche
    avril 1967[30] mars 1989 Bernard Guitton[31] DVD Directeur de cabinet
    Conseiller général du canton de Saint-Georges-sur-Loire (1967 → 1979)
    mars 1989 mars 2001 Denis Mercier
    mars 2001 mai 2020 Daniel Froger[32] PS Cadre de la MSA
    mai 2020 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Philippe Maillart[33]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes Loire-Layon-Aubance. Jusqu'en 2016 elle était intégrée à l'intercommunalité Loire-Layon qui regroupait 10 communes[34] et qui faisait partie de la structure administrative d'aménagement du territoire Pays de Loire en Layon[35].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Saint-Georges-sur-Loire est chef-lieu du canton de Saint-Georges-sur-Loire, et fait partie de l'arrondissement d'Angers[36]. Ce canton compte alors dix communes. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[37].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2020, la commune comptait 3 706 habitants[Note 8], en augmentation de 5,49 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3492 3202 2582 5412 5322 5632 7122 8012 725
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7142 7672 6982 5922 5092 4562 4642 3442 354
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2332 2502 2162 0331 9721 8441 8541 9341 846
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 9602 0012 3303 0153 1013 0113 2123 2703 529
    2018 2020 - - - - - - -
    3 6493 706-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 803 hommes pour 1 846 femmes, soit un taux de 50,59 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,7
    6,2
    75-89 ans
    8,7
    16,7
    60-74 ans
    15,9
    18,5
    45-59 ans
    16,8
    21,2
    30-44 ans
    21,0
    13,4
    15-29 ans
    14,4
    23,0
    0-14 ans
    20,4
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Sports

    On trouve sur la commune la pratique de plusieurs sports : basket, boule de fort, boule de sable, cyclotourisme, escalade, football, hand ball, judo, danse, tennis et tennis de table[43].

    La 6e étape du Tour de France 1904 emprunte le territoire de la commune[44].

    Économie

    Au XIXe siècle, on produit à Saint-Georges des vins blancs du blé, du chanvre. On y trouve des mines de houille, une magnanerie et une filature de soie, et du commerce de tissus, de fil, de cire, de chevaux, etc[45].

    En 2011, sur les 275 établissements présents sur la commune, 12 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 15 % du secteur de la construction, 51 % de celui du commerce et des services et 15 % du secteur de l'administration et de la santé[26]. Fin 2015, sur les 301 établissements actifs, 9 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 53 % de celui du commerce et des services et 16 % du secteur de l'administration et de la santé[46].

    Lieux et monuments

    • Le château de la Bénaudière.
    • Le château de Chevigné.
    • Le château de la Comterie.
    • Le prieuré (dépendant de l'abbaye de St-Georges) puis château d'Épinay, a été transformé en chambres d'hôtes ; Racine fut en concurrence avec un certain Valéran-Jean Le Ferron pour en être le prieur commendataire d'Epinay, et l'affaire finit en justice, expérience qui inspira au dramaturge Les Plaideurs (cf. Célestin Port : Dictionnaire de Maine-et-Loire, St-Georges-sur-Loire, p. 82-88, dont p. 86).
    • Le château de Serrant : château Renaissance qui a pour base les anciens fondements d’un château médiéval en schiste ardoisier : les douves témoignent de cette période reculée où Serrant était une place forte qui surveillait le passage de la Loire. Classé MH par arrêté du [47].
    • L'ancienne abbaye, édifiée en 1152, par le seigneur du Plessis-Macé. Elle subit les ravages des guerres entre Français et Anglais, puis celles entre le roi de France et les grands seigneurs coalisés. L’abbaye fut reconstruite au XVIe siècle, mais ne prit son aspect définitif qu’à partir de 1680. Depuis 1970, l’abbaye abrite l’hôtel de ville. Inscrite MH par arrêtés du et du , bâtiment conventuel classé MH par arrêté du [48].
    • L’église Saint-Georges, édifiée à partir de 1824, inscrite MH par arrêté du [49].
    • Le château de Serrant.
      Le château de Serrant.
    • L’hôtel de ville, ancienne abbaye.
      L’hôtel de ville, ancienne abbaye.
    • L’église Saint-Georges.
      L’église Saint-Georges.

    Personnalités liées à la commune

    • La Famille Walsh de Serrant.
    • Arthur de Cumont (1818-1902), ancien député et ministre français, mort à Saint-Georges-sur-Loire[50].
    • Jacques-Ambroise Monprofit (1857-1922), né à Saint-Georges-sur-Loire, médecin et chirurgien, député de 1910 à 1914 et de 1919 à 1922[51].
    • Stani Nitkowski (1949-2001), artiste peintre installé sur la commune en 1976, avant de terminer sa vie à Angers[52]. Il est l'auteur d'un chemin de croix de l'actuelle église[53].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Saint-Georges-sur-Loire (49), consulté le 21 octobre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
    2. IGN et BRGM, Géoportail Saint-Georges-sur-Loire (49), consulté le 21 octobre 2012.
    3. Département de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Le Polygraphe, 2003, p. 56 — Données consultables sur WikiAnjou.
    4. H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France La Pommeraye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Saint-Georges-sur-Loire et Mauges-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France La Pommeraye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Saint-Georges-sur-Loire et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Saint-Georges-sur-Loire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Insee, Statistiques locales du territoire de Saint-Georges-sur-Loire (49283), consultées le 23 novembre 2014.
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. « M. Bernard Guitton, directeur du cabinet de M. Jeanneney, élu à Saint-Georges-sur-Loire (Maine-et-Loire) », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    31. A apporté son parrainage à la candidature de Michel Debré en vue de l'élection présidentielle de 1981. legifrance.
    32. Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
    33. « Saint-Georges-sur-Loire. Philippe Maillart en bleu, blanc, rouge », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    34. Insee, Composition de l'EPCI de Loire Layon (244900833), consulté le 4 août 2013.
    35. Insee, Observation sociale du territoire du Pays de Loire en Layon, février 2007.
    36. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Saint-Georges-sur-Loire, consultée le 15 février 2015.
    37. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Georges-sur-Loire (49283) », (consulté le ).
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    43. Mairie de Saint-Georges, Sports, consulté le 4 juillet 2013.
    44. Collectif, « Tour de France 1904. La sixième étape. Itinéraire de la sixième étape », L'Auto-vélo, vol. 5, no 1380,‎ , p. 1 et 3 (lire en ligne, consulté le ).
    45. Jules Verne, Géographie illustrée de la France et de ses colonies, J. Hetzel, , p. 398.
    46. « Dossier complet - Commune de Saint-Georges-sur-Loire (49283) », sur Insee, (consulté le ).
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    48. Fiche de présentation de l'abbaye dans la base Mérimée.
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    51. « Jacques Monprofit », sur Assemblée nationale (assemblee-nationale.fr) (consulté le ).
    52. Présentation du peintre Stani Nitkowski.
    53. « Visiter - L'église », sur Mairie de Saint-Georges-sur-Loire (saint-georges-sur-loire.fr) (consulté le ).
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