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Sainte-Ouenne

Sainte-Ouenne est une commune française située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Sainte-Ouenne
Sainte-Ouenne
L'église Sainte-Eugénie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Parthenay
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gâtine
Maire
Mandat
Thierry Lemaitre
2020-2026
Code postal 79220
Code commune 79284
Démographie
Gentilé Sainte-Ouennais
Population
municipale
777 hab. (2020 en diminution de 4,31 % par rapport à 2014)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 26′ 47″ nord, 0° 26′ 42″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 108 m
Superficie 11,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autize-Égray
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sainte-Ouenne
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Sainte-Ouenne
Liens
Site web sainteouenne.fr

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Localisation

    Sainte-Ouenne est l'une des communes de l'aire urbaine de Niort située dans le canton Autize-Egray.

    Niort est à 13,6 km (à vol d'oiseau) de Sainte-Ouenne[1].

    Localisation et communes limitrophes

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 11,58 km2, l'altitude varie entre 27 (vers la Moussière) et 108 mètres (la vallée de l'Égray aux Optelleries)[2].

    La commune est située sur la limite entre la Gâtine et les plaines de Niort. Au nord de Sainte-Ouenne le paysage est vallonné et boisé, tandis que la plaine s'étend au sud.

    Hydrographie

    La rivière de l'Égray traverse sur 8,5 km environ la commune de Sainte-Ouenne du nord au sud, à l'est du territoire. Sur environ 5 km, l'Égray constitue la limite entre Sainte-Ouenne et la commune de Germond-Rouvre. Le cours d'eau se jette dans la Sèvre niortaise à Saint-Maxire et prend sa source à Mazières-en-Gâtine[3].

    Un ruisseau traverse le bourg de la commune et alimentait autrefois des lavoirs sur son passage. Sa source se situe à la station de pompage.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 883 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Surin », sur la commune de Surin, mise en service en 1950[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 912,6 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 13 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[14] à 12,5 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Ouenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,4 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), zones urbanisées (6,2 %), prairies (3,5 %), forêts (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-Ouenne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Égray. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2011[25] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Ouenne.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[26]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 38,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [28].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[23].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Sainte-Ouenne est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

    Toponymie

    Selon le Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes en Deux-Sèvres[30], l'appellation primitive de Sainte-Ouenne était Sancta Eugenia vers 1210, puis Sancta Oannia et Sansta Oanna en 1246 ; Sansta Audoena est aussi cité en 1247 et Sancta Euginia en 1260. Sainte-Eugénie, appellation française de "Sancta-Eugenia" désigne Sainte-Ouenne en 1698. Plus tard, on trouve St-Oinne en 1725 et Saintte-Ouanne en 1779. Ce n'est qu'après la Révolution que le nom définitif est utilisé : Sainte-Ouenne ; on observe toutefois des variantes orthographiques (avec des accents).

    Histoire

    Les lieux-dits contigus de la Grosse Borne et Pierrefitte désignent probablement un même monument mégalithique, un menhir disparu. Georges Germond[31] indique également la présence de toponymes évocateurs « le Pâtis de la Pierre » et « la Pierre Cacouault ». Là aussi aucun vestige mégalithique n'est conservé.

    En 1972 puis en 1996, autour de l'église une nécropole mérovingienne estimée à environ 300 inhumations a été découverte lors de travaux de réseau[32]. La variété des formes de sarcophage de pierre indique une occupation allant du VIe au IXe siècle. Deux vases a eau bénite du XIIe siècle ont été découverts dans des sépultures. Sur la crête étroite qui sépare le ruisseau l'Égray du ruisseau de Pimpeau entre la ferme des Mottes et le village des Fichères subsiste un tertre de 140 mètres de circonférence pour une vingtaine de mètres de hauteur (parfois considéré comme tumulus). Il s'agit probablement d'une motte féodale avec fossés et talus extérieur.

    Administration

    liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 2014 Didier Delechat[33] PS Conseiller général
    2014 En cours Thierry Lemaître

    Jumelages

    Au , Sainte-Ouenne est jumelée avec :

    La commune de Sainte-Ouenne a également participé à une action humanitaire dans un village du Togo, à Oga[34].

    Population et société

    Démographie

    À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Sainte-Ouenne, cela correspond à 2004, 2009, 2014[35], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc.) sont des estimations légales.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    533496498499623609621662670
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    700693670702711717692732614
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    607632624554551525520506481
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    470474480509523569641669773
    2014 2019 2020 - - - - - -
    812782777------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'enseignement à Sainte-Ouenne peut commencer dès la maternelle. Le groupe scolaire Marc-Gautier est une école publique municipale de la maternelle au CM2. Le collège le plus proche est celui de Champdeniers-Saint-Denis, une liaison est assurée par car scolaire entre Sainte-Ouenne et le collège. Les lycées généraux à proximité sont ceux de Niort, également desservis par le car.

    Santé

    Il n'y a aucun établissement de santé public ou privé sur la commune. On trouve les plus proches sur les communes de Saint-Maxire (médecine généraliste et soins dentaires) et de Champdeniers-Saint-Denis, où une maison de santé pluridisciplinaire accueille médecins et divers professionnels de santé. Le centre hospitalier et la maternité à proximité sont ceux de Niort (à 16 km). Le centre de secours qui intervient à Sainte-Ouenne est celui de Champdeniers-Saint-Denis.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Saint-Ouenne compte trois monuments historiques.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. [lion1906.com/departements/deux-sevres/sainte-ouenne.php Site Lion 1906 - Sainte-Ouenne]
    2. Répertoire géographique des communes, Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. « L'egray [N4124000] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 / Jeux de données de référence Sandre », sur eaufrance.fr (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Surin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Sainte-Ouenne et Surin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Surin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Sainte-Ouenne et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Ouenne », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    30. LEDAIN Bélisaire, Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Deux-Sèvres
    31. Germond G. (1980), Inventaire des mégalithes de la France, tome 6 Deux-Sèvres, édition du CNRS, p. 163
    32. Journal La Nouvelle République du Centre Ouest, édition Deux-Sèvres, 28-29 septembre 1996, Journal Courrier de l'Ouest, édition Deux-Sèvres, 30 septembre 1996; La nécropole médiévale de Sainte-Ouenne, intervention de la DRAC Poitou-Charentes, septembre - octobre 1996
    33. « Municipales : Didier Delechat ne se représentera pas ». La Nouvelle République du Centre-Ouest. .
    34. « Coopération décentralisée Sainte-Ouenne/Oga », sur le site de la Commission Nationale de la Coopération Décentralisée (consulté le ).
    35. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Eglise Sainte-Eugénie », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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