Saint-Gratien (Val-d'Oise)
Saint-Gratien (prononcĂ© [sÉÌ gÊa.ËsjÉÌ]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Val-d'Oise en rĂ©gion Ăle-de-France.
Saint-Gratien | |||||
Vue générale de la ville depuis la colline d'Orgemont. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Ăle-de-France | ||||
DĂ©partement | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Sarcelles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Plaine Vallée | ||||
Maire Mandat |
Julien Bachard 2020-2026 |
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Code postal | 95210 | ||||
Code commune | 95555 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Gratiennois | ||||
Population municipale |
20 914 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 8 642 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 58âČ 00âł nord, 2° 17âČ 00âł est | ||||
Altitude | 55 m Min. 39 m Max. 59 m |
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Superficie | 2,42 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune du pĂŽle principal) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Argenteuil-1 | ||||
LĂ©gislatives | 4e circonscription du Val-d'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Val-d'Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Ăle-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-saintgratien.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Gratiennois.
GĂ©ographie
Localisation
Saint-Gratien est située aux portes de la vallée de Montmorency et à onze kilomÚtres au nord de Paris. Proche de secteurs à forte implantation d'activités économiques, elle reste une ville essentiellement résidentielle.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Argenteuil, Sannois, Eaubonne, Soisy-sous-Montmorency et Enghien-les-Bains dans le dĂ©partement du Val-d'Oise, et Ăpinay-sur-Seine dans le dĂ©partement voisin de la Seine-Saint-Denis.
Ermont | Eaubonne | Soisy-sous-Montmorency | ||
Sannois | N | Enghien-les-Bains | ||
O Saint-Gratien[1] E | ||||
S | ||||
Argenteuil | Ăpinay-sur-Seine |
Carte de la commune. Occupation des sols
Morphologie urbaine
Le centre de Saint-Gratien est constitué par un ßlot trÚs dense d'immeubles de grande hauteur datant des années 1970, entourant une place centrale nommée le « forum ». Celui-ci constitue un centre culturel et commercial, avec la présence de divers commerces ainsi, notamment, que du cinéma et de la médiathÚque de la ville.
Le sud de la commune, au-delĂ des voies ferrĂ©es de la ligne La Plaine - Ermont-Eaubonne et en limite d'Argenteuil et d'Ăpinay-sur-Seine, est essentiellement constituĂ© d'une importante citĂ© HLM, les Raguenets, classĂ©e en zone urbaine sensible depuis 1996. En 2007, ce quartier regroupe 7 000 habitants, soit prĂšs du tiers de la population de la commune[2].
Au nord, l'environnement est nettement plus privilégié en limite d'Enghien-les-Bains, avec un quartier résidentiel aux alentours du lac de la princesse Mathilde, modeste extension du lac d'Enghien. Ce secteur est pour l'essentiel constitué de pavillons, avec la présence de petits collectifs, en particulier autour de l'avenue Mathilde, en limite de Soisy-sous-Montmorency.
Voies de communication et transports
L'autoroute A15 relie directement la commune Ă la DĂ©fense et au pĂŽle d'activitĂ© de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, ainsi quâĂ l'aĂ©roport Roissy-Charles-de-Gaulle. La RD 14 rejoint rapidement la porte d'AsniĂšres ou de Clichy.
Desservi par la ligne C du RER, la gare de Saint-Gratien se situe Ă vingt minutes de Paris Porte Maillot.
Les principales lignes de bus sont :
- lignes 138, 238 et 261 du réseau de bus RATP ;
- lignes 10, 11, 12, 14 et 16 du réseau de bus de la Vallée de Montmorency ;
- ligne 154 du Noctilien.
Urbanisme
Typologie
Saint-Gratien est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6] - [7].
Toponymie
Attestée sous les formes Sanctus Gratianus[8], Sanctus Gracianus en 1186[9].
Saint-Gratien doit son nom à un jeune berger martyrisé au ive siÚcle et canonisé sous le rÚgne de Dagobert Ier en 628. Les moines de l'abbaye de Saint-Denis bùtirent un oratoire à sa mémoire. Une relique de saint Gratien est enterrée sous le maßtre-autel de l'église de la ville.
Histoire
En 1225, Guillaume de Cornillon possĂšde la plus grande partie du territoire.
Au XVIIe siĂšcle, le marĂ©chal Nicolas de Catinat hĂ©rite de sa mĂšre le territoire de Saint-Gratien. DisgraciĂ© en 1701 Ă la suite dâune conspiration, il se retire dans son chĂąteau Ă Saint-Gratien, construit en 1610 par son grand-pĂšre. Il y reçoit Bossuet, FĂ©nelon, Vauban, madame de SĂ©vignĂ©, madame de Coulanges, le duc de La Rochefoucauld, et partage son existence entre la culture des arbres fruitiers et la gestion de son domaine qui sâĂ©tend depuis Orgemont jusquâaux rives du lac dâEnghien. Il meurt Ă Saint-Gratien le et est inhumĂ© dans la chapelle du village. Pour rendre hommage Ă cet homme, la commune de Saint-Gratien a adoptĂ© les armoiries du marĂ©chal de Catinat en juillet 1994.
DÚs la fin du XVIIIe siÚcle, Saint-Gratien devient le site privilégié de villégiature des Parisiens qui y construisent des résidences secondaires dont certaines sont encore visibles.
En 1806, le comte de Luçay, Jean-Baptiste Legendre, préfet impérial, acquiert Saint-Gratien et y fait construire un chùteau inauguré par Napoléon Ier.
En 1832, le marquis Astolphe de Custine, Ă©crivain, voyageur et diplomate, fit Ă©galement construire un chĂąteau, qui fut rasĂ© en 1860 par ses hĂ©ritiers ; il y reçut de nombreux artistes : Balzac, Victor Hugo, Chopin, Delacroix, Chateaubriand qui fut intimement liĂ© Ă sa mĂšre pendant vingt ans, Alfred de Musset, Barbey dâAurevilly, George Sand et Lamartine ; il en reste un bĂątiment de dĂ©pendances, 67, rue SĆur-AngĂšle.
La princesse Mathilde Bonaparte, fille de JérÎme Bonaparte, passait ses étés tout d'abord au chùteau Catinat en tant que locataire du marquis de Custine, puis acheta en 1853 le chùteau construit par le comte de Luçay (aujourd'hui appelé « chùteau de la Princesse Mathilde »).
Elle y reçut de nombreux écrivains et artistes du Second Empire : Prosper Mérimée, Théophile Gautier, Jules et Edmond de Goncourt, Gustave Flaubert, Alexandre Dumas.
Elle sâinvestit beaucoup dans la vie de Saint-Gratien et de ses habitants en participant financiĂšrement Ă la construction de la premiĂšre Ă©cole (aujourdâhui disparue), Ă la crĂ©ation de postes dâinfirmiĂšres, Ă lâinstallation de lâĂ©clairage public et Ă lâĂ©dification de lâĂ©glise actuelle (pour remplacer celle du xiiie siĂšcle qui menaçait de s'Ă©crouler).
Elle mourut Ă Paris le et est inhumĂ©e selon sa volontĂ© dans lâĂ©glise de Saint-Gratien.
En 1850, le territoire des communes de Saint-Gratien, Deuil-la-Barre et Ăpinay-sur-Seine est amputĂ© afin de permettre la crĂ©ation des communes de Soisy-sous-Montmorency et d'Enghien-les-Bains[10].
Au XXe siĂšcle, la commune a connu le dĂ©veloppement des villes de banlieue parisienne avec un essor de sa population et la rĂ©novation de son centre-ville, favorisĂ© par la mise en service du tramway d'Enghien Ă Montmorency en 1901 ou 1902 et qui a desservi Saint-Gratien jusqu'en 1908, annĂ©e oĂč est crĂ©Ă©e la gare de Saint-Gratien. De 1910 Ă 1970, le nombre dâhabitants est ainsi passĂ© de 2 520 Ă 20 000.
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
- Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du [11], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise, aprÚs un transfert administratif effectif au .
Rattachée à l'arrondissement d'Argenteuil lors de la mise en place du département, elle est transférée en 1985 à l'arrondissement de Montmorency, devenu arrondissement de Sarcelles en 2000[10].
Elle Ă©tait rattachĂ©e de 1793 Ă 1964 au canton de Montmorency, annĂ©e oĂč elle est intĂ©grĂ©e au canton d'Enghien-les-Bains avant de devenir, en 1985, le chef-lieu du canton de Saint-Gratien[10]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription Ă©lectorale
Saint-Gratien fait partie de la juridiction dâinstance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[12] - [13].
- Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Argenteuil-1
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la sixiÚme circonscription du Val-d'Oise.
Intercommunalité
La commune était membre fondateur de la communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001.
Dans le cadre de la mise en Ćuvre de la loi MAPAM du , qui prĂ©voit la gĂ©nĂ©ralisation de l'intercommunalitĂ© Ă l'ensemble des communes et la crĂ©ation d'intercommunalitĂ©s de taille importante, la CAVAM fusionne le avec la communautĂ© de communes de l'Ouest de la Plaine de France.
C'est ainsi qu'est créée la communauté d'agglomération Plaine Vallée, dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques
Lors des Ă©lections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise[14], la liste conduite par le maire sortant Julien Bachard (LR) â qui avait succĂ©dĂ© Ă Jacqueline Eustache-Brinio en 2017 â remporte le scrutin dĂšs le premier tour avec 2 729 voix, soit 59,4% des suffrages exprimĂ©s, devançant celles menĂ©es par[15] :
- Emmanuel Mikael (MoDem, 915 voix, soit 19,91%),
- Isabelle Volat (PCF : 539 voix, soit 11,73 %),
- Christine Valery (PS, 231 voix, soit 5,02 %),
- Abdallah Senbel (LREM, 180 voix, soit 3,91 %),
le scrutin étant marqué par une forte abstention de 64.87%.
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[28] - [Note 3].
En 2020, la commune comptait 20 914 habitants[Note 4], en diminution de 0,39 % par rapport Ă 2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăquipements culturels
- Le centre culturel du Forum
- Espace Jacques-Villeglé (lieu d'art contemporain)
- Le théùtre Jean-Marais
- Le centre culturel Camille-Claudel
- Le centre du Parc
- La salle Georges-Brassens
- Le cinéma « Les Toiles »
- La médiathÚque Théodore-Monod
- La bibliothĂšque Motordu
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Saint-Gratien ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire, le chĂąteau Catinat, avenue Gabriel-PĂ©ri[30])
Construit en 1610 par le grand-pĂšre de Nicolas de Catinat, il fut habitĂ© par le marĂ©chal de 1637 Ă 1712, annĂ©es durant lesquelles il y reçut de trĂšs nombreuses personnalitĂ©s. En 1857, le chĂąteau fut rachetĂ© par la princesse Mathilde, qui en fit une maison dâamis.
Aujourdâhui, il accueille une partie des services sociaux de la mairie[31].
On peut Ă©galement remarquer :
- Ăglise Saint-Gratien, place Charles-de-Gaulle : BĂątie de 1856 Ă 1859 sur les plans de LĂ©on Ohnet, grĂące aux subventions accordĂ©es par lâĂtat et Ă la princesse Mathilde, pour remplacer l'Ă©glise du XIIIe siĂšcle qui menaçait de s'Ă©crouler. Le marĂ©chal Nicolas de Catinat (1637-1712) et la princesse (1820-1904) y sont enterrĂ©s.
- HÎtel de ville, place Gambetta : Construit sur les plans de l'architecte Paul Nief, dans le style d'une maison bourgeoise, il fut inauguré le . Deux ailes basses ont été rajoutées en 1936.
- La salle des Mariages, avec son décor néogothique, possÚde de nombreuses peintures illustrant l'histoire de Saint-Gratien[31].
- CÚdre du Liban : Situé place Gambetta, la légende locale rapporte qu'il aurait été planté sur ordre de Louis XIV vers 1710, en reconnaissance à Nicolas de Catinat, seigneur de Saint-Gratien, maréchal de France[31].
- ChĂąteau de la princesse Mathilde : Il fut bĂąti en 1806 par Jean-Baptiste Legendre, comte de Luçay. La princesse Mathilde le racheta en 1853 et le fit rehausser dâun Ă©tage. Lâimmense parc du chĂąteau fut amputĂ© de son grand lac, cĂ©dĂ© Ă la ville nouvelle dâEnghien-les-Bains.
- Monsieur TerrĂ©, maire de Saint-Gratien, fit alors construire pour la princesse le bassin de lâOuest en dĂ©dommagement de la perte du lac d'Enghien.
- AprÚs la mort de la princesse en 1904, le parc fut loti et devint le quartier résidentiel dénommé « le Parc ». Mal conservé, le chùteau était fortement délabré et fut déclaré insalubre en 1967. Il fut réhabilité par un particulier, en 1985, puis vendu en appartements[31].
- Marché couvert et foyer municipal, place Roger-Salengro[31].
- Bùtiment-voyageurs de la gare de Saint-Gratien : Son bùtiment-voyageurs de 1908 est un exemple particuliÚrement remarquable du style architectural propre à la banlieue parisienne entre la fin du XIXe siÚcle et les années 1930, avec large recours à la meuliÚre et mélange de différents matériaux[31].
- ChĂąteau Catinat.
- ChĂąteau de la princesse Mathilde.
- Foyer municipal.
- Gare de Saint-Gratien.
Personnalités liées à la commune
- Ărik Boisse (nĂ© en 1980), champion olympique d'Ă©pĂ©e en 2004.
- Philippe Boisse (né en 1955), champion olympique d'épée par équipe en 1984.
- La princesse Mathilde Bonaparte (1820-1904) y a vécu sous le Second Empire et y est inhumée dans l'église.
- Maréchal Nicolas de Catinat (1637-1712) y a passé la fin de sa vie, y est mort et y est enterré.
- Jean-Luc Cazettes (1943-2005), président de la CFE-CGC.
- Maurice Copreaux (1908-1995), graveur, y est né.
- Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875) y a travaillé.
- Astolphe de Custine (1790-1857) y a vécu et y est décédé.
- Lucienne Desnoues (1921-2004), poétesse, y est née.
- Alexandre Dumas (1802-1870) y a vécu.
- Jacques FlÚchemuller (né en 1945), artiste peintre, y a vécu.
- André Kaminker (1888-1961), interprÚte-traducteur, pÚre de Simone Signoret, y est né.
- Guy Lux (1919-2003), y a vécu.
- Prosper Mérimée (1803-1870) y a séjourné[32]
- Félix Pyat (1810-1899), député à l'Assemblée constituante de 1848 et membre du Conseil de la Commune de Paris y est mort.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Communes limitrophes de Saint-Gratien (Val-d'Oise) » sur Géoportail..
- [PDF] Mairie de Saint-Gratien : la lettre du maire - Numéro spécial Raguenets, février 2007
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1547
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant rĂ©organisation de la rĂ©gion parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204â6209, fac-similĂ© sur LĂ©gifrance.
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- MinistĂšre de la justice - Conseil DĂ©partemental de l'AccĂšs au Droit du Val-d'Oise
- Christophe LefĂšvre, « Municipales Ă Saint-Gratien : quatre candidats face au plus jeune maire du Val-dâOise : Sur les 5 candidats aux municipales de Saint-Gratien (Val-dâOise), ils sont 4 Ă conduire une Ă©quipe pour la premiĂšre fois. Parmi eux, Julien Bachard (LR), 34 ans, est maire depuis 2017 », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Stanislas de LivonniÚre, « Municipales à Saint-Gratien : les résultats du premier tour », sur http://www.leparisien.fr, (consulté le ).
- « Les maires de la commune », sur ASGVO - Aimons Saint Gratien en Val d'Oise,
- [PDF] « Les maires de la ville », sur asgvo.org, Saint-Gratien en V.O. n°1,
- « Le comte de Luçay, Jean Baptiste Charles Legendre (1754-1836) », sur ville-saintgratien.fr
- « La famille Terré : Laurent Hilaire Terré », sur ASGVO - Aimons Saint Gratien en Val d'Oise,
- « La famille Hayem : Simon Hayem », sur ASGVO - Aimons Saint Gratien en Val d'Oise,
- Daniel Pestel, « Jacqueline Eustache-Brinio succĂšde Ă François Scellier Ă Saint-Gratien », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne).
- A B., « Ces sĂ©nateurs du Val-dâOise vont devoir lĂącher leur mairie », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- RĂ©Ă©lue pour le mandat 2014-2020 : « Municipales : rĂ©Ă©lection record de la maire de Saint-Gratien », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne).
- « Luc Strehaiano et Jacqueline Eustache-Brinio rĂ©intĂšgrent l'UMP », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne).
- J.L., « Saint-Gratien : Julien Bachard pressenti pour succĂ©der Ă Jacqueline Eustache-Brinio », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Selon toute vraisemblance, câest Julien Bachard qui devrait lui succĂ©der. Enfant de Saint-Gratien, celui-ci est conseiller municipal depuis 2008 et septiĂšme adjoint au maire chargĂ© du dĂ©veloppement durable depuis 2014 ».
- J.L, « Saint-Gratien : Julien Bachard devient le plus jeune maire du Val-dâOise : ĂgĂ© de 31 ans, il a Ă©tĂ© Ă©lu ce vendredi soir par le conseil municipal », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Thibault Chaffotte, « Val dâOise : le conseil municipal de Saint-Gratien Ă©lit Julien Bachard (LR) maire : Le conseil municipal dâinstallation sâest tenu dans des conditions sanitaires strictes et quasiment sans public », Le Parisien, Ă©dition du Val-d'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no PA00080196, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Yves Breton, Catherine Costes et StĂ©phane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-dâOise : Saint-Gratien », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Ăditions, vol. II,â , p. 741-479 (ISBN 2-84234-056-6).
- L'Echo Régional, supplément gratuit au N°3106 du 12 septembre 2008 - Guide du Val d'Oise 2008-2009 : Sur la trace des écrivains
Voir aussi
Bibliographie
- Association Saint-Gratien d'hier et d'aujourd'hui, Saint Gratien autrefois, Saint-Gratien, Centre culturel du Forum, , 191 p.