Saint-Gervais-les-Trois-Clochers
Saint-Gervais-les-Trois-Clochers est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Gervais-les-Trois-Clochers | |||||
Saint-Gervais-les-Trois-Clochers - l'église, la façade |
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Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Vienne | ||||
Arrondissement | ChĂątellerault | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Grand Chùtellerault | ||||
Maire Mandat |
Antoine Braguier 2020-2026 |
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Code postal | 86230 | ||||
Code commune | 86224 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Gervessiens | ||||
Population municipale |
1 333 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 46° 54âČ 06âł nord, 0° 24âČ 30âł est | ||||
Altitude | Min. 70 m Max. 163 m |
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Superficie | 39,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | ChĂątellerault (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de ChĂątellerault-2 | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintgervais86.notremairie.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Le bourg se situe dans le Chùtelleraudais. Cette région s'apparente, par ses paysages, davantage à la Touraine voisine qu'au Poitou. Le tuffeau et les hauts toits de tuiles plates des maisons, concurrencées depuis le XIXe siÚcle par les ardoises d'Anjou, se différencient nettement des matériaux de construction du Poitou.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Thure », sur la commune de ThurĂ©, mise en service en 1990[7] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 670,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă 37 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Gervais-les-Trois-Clochers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (83,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (55,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (17,5 %), forĂȘts (14,6 %), prairies (8 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Gervais-les-Trois-Clochers est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Veude. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2010, 2018 et 2020[22] - [20].
Saint-Gervais-les-Trois-Clochers est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2014, le deuxiĂšme plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2015-2024[23]. Les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement sont dĂ©finies dans un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [Note 8] - [24], celles relatives Ă l'emploi du feu et au brĂ»lage des dĂ©chets verts le sont dans un arrĂȘtĂ© permanent du [25] - [26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[27]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[28]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[29]. 50,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].
Histoire
Et d'abord une rĂ©ponse Ă la question que chacun se pose naturellement Ă son arrivĂ©e : pourquoi trois clochers alors qu'il n'y en a qu'un seul, et encore, bien modeste. En fait, Saint-Gervais-les-Trois-Clochers est bien la rĂ©union de trois anciennes paroisses qui eurent chacune leur vie propre. Ce furent : Saint-Gervais dont l'Ă©glise se trouvait Ă l'emplacement de celle qui s'y dresse aujourd'hui ; Saint-Martin-de-Quinlieu Ă la sortie sud du bourg sur la route de LencloĂźtre et enfin Avrigny sur la mĂȘme route Ă environ 700 m de Saint-Martin. Trois paroisses, trois villages, et pour tous des souvenirs bien anciens.
De la préhistoire, pour commencer, puisque des armes paléolithique y ont été découvertes ainsi qu'un atelier de taille de pierre et les traces d'une cité lacustre. De l'époque de la domination romaine ensuite, comme en témoignent les recherches de l'historien le pÚre de Lacroix, qui avait délimité un camp d'exercice pour les soldats entre Saint-Martin et Avrigny.
De la mĂȘme Ă©poque, deux noms de lieux-dits sont restĂ©s : le Temple et le Martray. Au IVe siĂšcle, le pays fut Ă©vangĂ©lisĂ© par saint Martin qui se rendait frĂ©quemment de Tours Ă Poitiers et LigugĂ©. Il consacra ce territoire Ă saint Gervais et saint Protais. La construction d'une Ă©glise Ă Saint-Gervais s'ensuivit au Ve siĂšcle. Cette Ă©glise fut reconstruite au XIIe siĂšcle, puis au XIXe siĂšcle de 1883 Ă 1886. Saint-Martin avait son Ă©glise et une petite communautĂ© de Carmes la desservait. Avrigny enfin Ă©tait une vĂ©ritable petite ville avec douves, murailles, poternes et son Ă©glise Notre-Dame d'Avrigny. Sa population s'Ă©levait en 1759 Ă prĂšs de 400 habitants, mais leur nombre fut trĂšs rĂ©duit aprĂšs l'inondation de la Veude en 1761, qui provoqua l'Ă©boulement de nombreuses maisons.
C'est en 1818 que les paroisses de Saint-Martin et d'Avrigny furent supprimées et rattachées à celle de Saint-Gervais. De cette époque date aussi l'organisation de Saint-Gervais en commune. Actuellement, la commune de Saint-Gervais-les-Trois-Clochers s'étend sur 3 915 hectares (dont 2 846 hectares de terres cultivables) et comptait au dernier recensement 1 203 habitants. L'habitat y est relativement dispersé puisqu'on dénombre 159 écarts (commune du département de la Vienne qui en a le plus grand nombre).
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour dâassises de la Vienne.
Projet de fusion de communes / Saint-gervais-les-trois-clochers et Léigné-sur-Usseau (Abondonné)
Un projet de fusion de deux communes avait Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© par les deux conseils municipaux de LĂ©ignĂ© sur Usseau et de Saint-gervais-les-trois-clochers[33]. Ce projet portait sur la fusion gĂ©ographique, administrative et politique de la commune de LeignĂ©-sur-Usseau au sein de la Commune de Saint-gervais-les-trois-clochers et est censĂ© ĂȘtre effectif dĂšs janvier 2023[34]. Les maires, Antoine Braguier pour Saint-Gervais-les-trois-clochers et FrĂ©dĂ©ric Merchadou pour LeignĂ©-sur-Usseau Ă©taient favorables Ă la crĂ©ation d'une commune nouvelle regroupant les services et les emprises des deux communes.Les conseils municipaux respectifs ont validĂ© Ă la majoritĂ© pour l'enclenchement du processus sans consultation publique prĂ©alable. L'intitulĂ© de cette commune nouvelle reste inconnu.
Les arguments en faveur de cette fusion rĂ©lĂšvĂšrent d'une volontĂ© politique de mutualisation et de rationalisation des moyens humains et matĂ©riels partagĂ©s par les Ă©lus des deux communes et qui semble initiĂ© par la sous-prĂ©fecture de ChĂątellerault. Dans un contexte de rĂ©duction des dotations de l'Ă©tat et de baisse dĂ©mographique, les maires avait arguĂ© l'intĂ©rĂȘt Ă s'associer. Le but Ă©tait selon eux, "n'est pas enlever quelque chose Ă quelqu'un mais d'ĂȘtre plus forts ensemble". Les maires reprise par Ă la presse prĂ©cisaient que "ce type de projet ne plaĂźt pas Ă tout le monde, peut bousculer"[33].
Des oppositions importantes ont vu le jour lorsque les citoyens de Léigné sur Usseau en reunion publique ont appris la fusion envisagée par les conseils municipaux sans approbation de la population[34]. Un collectif citoyen se questionnant sur la fusion a vu le jour sous le nom de "Union contre la Fusion".
à la suite des mobilisations, voire des menaces à l'encontre des élus locaux, les élus de Leigné-sur-usseau firent marche arriÚre et annulÚrent ce projet de fusion[35].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[37].
En 2020, la commune comptait 1 333 habitants[Note 10], en augmentation de 0,83 % par rapport Ă 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, selon lâInsee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 34 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Ăconomie
Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[40], il n'y a plus que 28 exploitations agricoles en 2010 contre 44 en 2000. Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont diminuĂ© et sont passĂ©es de 2 773 hectares en 2000 Ă 369 hectares en 2010. 58 % sont destinĂ©es Ă la culture des cĂ©rĂ©ales (blĂ© tendre essentiellement mais aussi orges et maĂŻs), 20 % pour les olĂ©agineux (colza et tournesol Ă parts Ă©gales), 10 % pour le fourrage et moins de 1 % reste en herbe. En 2000, quatre hectares (zĂ©ro en 2010) Ă©taient consacrĂ©s Ă la vigne[40].
Six exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un Ă©levage de bovins (352 tĂȘtes en 2010 contre 324 tĂȘtes en 2000). Les Ă©levages de volailles ont disparu au cours de cette dĂ©cennie (5 363 tĂȘtes rĂ©parties entre 23 fermes)[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Personnalités liées à la commune
- Georges Edouard Brutus Gilles de La Tourette.
- Jean Giraudeau.
HĂ©raldique
Blason | D'azur Ă trois clochers d'argent mouvant de la pointe, celui du milieu, plus grand, brochant sur un comble du mĂȘme, ledit comble chargĂ© Ă dextre de l'inscription de sable « SEMPER VIRENS » sur deux rangs et Ă senestre d'un talus de sinople mouvant du flanc et sommĂ© de six arbres du mĂȘme de taille dĂ©croissante de dextre vers senestre[42].
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Détails | Le blason représente les trois clochers qui existaient en 1817, date de la transformation des trois paroisses, Saint-Martin, Saint-Gervais et Avigny, en une commune désignée sous le nom de Saint-Gervais-les-Trois-Clochers. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le brĂ»lage des dĂ©chets verts Ă lâair libre ou Ă lâaide dâincinĂ©rateurs individuels est interdit toute lâannĂ©e et sur lâensemble du dĂ©partement de la Vienne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- http://www.saintgervais86.notremairie.fr/index.php?page=211
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- Nouvelle-République (Anthony FLOC'H), « Dans le Chùtelleraudais, Leigné-sur-Usseau ne fusionnera finalement pas avec Saint-Gervais - Article de presse », (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- « Eglise paroissiale Saint-Gervais, Saint-Protais », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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