Saint-Georges-lès-Baillargeaux
Saint-Georges-lès-Baillargeaux est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Georges-lès-Baillargeaux | |||||
L'église Saint-Georges. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Poitiers | ||||
Intercommunalité | Grand Poitiers | ||||
Maire Mandat |
Éric Ghirlanda 2020-2026 |
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Code postal | 86130 | ||||
Code commune | 86222 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
4 265 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 126 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 40′ 18″ nord, 0° 24′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 61 m Max. 143 m |
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Superficie | 33,90 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Saint-Georges-lès-Baillargeaux (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Jaunay-Marigny | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saint-georges-les-baillargeaux.fr | ||||
Géographie
Au nord de l'agglomération, les terrasses du Clain sont exploitées de part et d'autre de la route. Ces carrières présentent un décor étrange, rougeâtre, ocre avec des parois qui changent de couleur en fonction des travaux. On y a trouvé de l'outillage et des ossements d'animaux datant de la préhistoire.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marigny Brizay », sur la commune de Jaunay-Marigny, mise en service en 1991[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 614 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 13 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Georges-lès-Baillargeaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-lès-Baillargeaux, une unité urbaine monocommunale[17] de 4 168 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33 %), forêts (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), zones urbanisées (8 %), prairies (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Georges-lès-Baillargeaux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Châtellerault, regroupant 17 communes concernées par un risque de débordement de la Vienne et du Clain. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs pour la Vienne sont les crues de février 1698 (1 670 m3/s à Châtellerault), de juillet 1792 (1 520 m3/s), de mars 1913 (1 500 m3/s), de décembre 1944 (1 510 m3/s) et de janvier 1962 (1 500 m3/s). Les crues historiques du Clain sont celles de 1873 (330 m3/s à Poitiers) et de décembre 1982 (330 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25] - [26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999, 2001 et 2010[27] - [23]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation (PPRI) de la « vallée du Clain », approuvé le , puis par le nouveau PPRI « Vallée du Clain », prescrit le [28].
Saint-Georges-lès-Baillargeaux est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[29]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 8] - [30], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [31] - [32].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[33]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[34]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. 32,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [36].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[23].
Toponymie
Le nom du bourg proviendrait de baillarge qui est le nom d'une orge de printemps ramenée par Charlemagne[37].
Histoire
Antiquité
La crête au-dessus du Clain, proche de la ville actuelle, est occupée au Néolithique[38].Au lieu-dit Varennes, une enceinte a, en effet, été découverte. Elle est délimitée par un double fossé. De nombreux ossements humains et d’animaux y ont été retrouvés ainsi que des outils en pierre.
Une importante résidence aristocratique gauloise a été retrouvée aux Gains. L’enclos, parfaitement carré, avait une superficie de 7 200 m2 ; il était protégé par un fossé de 4,5 m de largeur et 2,5 m de profondeur[38]. L’entrée était défendue par un monumental porche en bois, et la résidence, de 80 m2, était décorée d’enduits peints[38]. Elle est incendiée à la fin du Ier siècle[38] et le site est abandonné environ 20 ans plus tard[39].
D'autres découvertes proches (tombe féminine du Mia, très proche) témoignent également de la présence d'une riche aristocratie à la fin de la période d'Indépendance gauloise[38].
Révolution française
Saint-Georges-lès-Baillargeaux accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires[40]. Un peu plus tard, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour la Montagne, hommage à la Montagne, courant dominant auquel appartenait Robespierre[41].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[48].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].
En 2020, la commune comptait 4 265 habitants[Note 10], en augmentation de 6,02 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 49 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Économie
Agriculture
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[53], il n'y a plus que 18 exploitations agricoles en 2010 contre 39 en 2000.
Développement durable
La commune abrite l'un des trois centres de tri des déchets ménagers du département de la Vienne. Sa capacité est de 12 000 tonnes par an alors que pour l'ensemble du département, elle est de 30 000 tonnes par an en 2011[54].
La commune accueille aussi l'une des cinq installations de stockage de déchets non dangereux d'une capacité de 150 000 tonnes. La capacité des cinq sites est de 474 000 tonnes en 2011[54].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Le château de Vayres date des XVe et XVIIe siècles. La façade et la toiture sont inscrites comme monument historique depuis 1959. Le classement du jardin date de 1966 et la fuie du château de 1994. Le château occupe, à l'ouest de la route D 4, les pentes qui conduisent au Clain. Le domaine occuperait le site d'une ancienne villa gallo-romaine et un certain Varius lui aurait donné son nom. Le manoir actuel se dresse à l'emplacement d'un château fort roman. Au bout d'une allée, le châtelet avec ses deux tours rondes, reconstruites par les seigneurs de Gennes au XVIIe siècle, conserve l'appareillage de l'ancienne forteresse. En contrebas, dans les jardins à la française, le pigeonnier (ou fuie) a des dimensions imposantes. Il accueille 2 620 boulins. Il aurait été offert par la reine Anne d'Autriche (1601-1666) en remerciement de l'accueil qu'elle reçut au château en compagnie du cardinal Mazarin (1602-1661) et de son fils Louis XIV (1638-1715), en 1656.
- La Pierre levée d'Aillé : dolmen classé comme monument historique en 1932 Classé MH (1932)[55].
- La Roche aux Oies : dolmen totalement ruiné, dont il ne reste qu'une dalle.
La forêt de Moulière
Forêt de Moulière : d'une superficie de 5 000 ha, elle est située au nord-est de Poitiers et couvre neuf communes : Bignoux, Bonneuil-Matours, La Chapelle-Moulière, Dissay, Liniers, Montamisé, Saint-Cyr et Vouneuil-sur-Vienne.
Le bois de Vayres
Le bois de Vayres est situé sur la rive droite du Clain. C’est un bois d’une centaine d’hectares, dont la topographie est très plane. Il occupe des terres de "groies".
Le bois de Vayres est largement exploité, de nos jours, par l’homme, notamment par la sylviculture du pin sylvestre. Toutefois, le bois a pu conserver, surtout sur ses lisières, quelques traces du peuplement forestier d’origine. Le chêne pubescent en est l’essence caractéristique. Toutefois, on trouve, aussi, quelques alisiers et sorbiers. De petites clairières résiduelles abritent les plantes typiques des pelouses calcicoles sèches de la région poitevine.
Le bois de Vayres doit essentiellement son classement pour sa flore qui comprend quatre espèces de plantes rares.
La plante la plus rare recensée dans le bois de Vayres est la goodyère rampante. C’est une orchidée montagnarde qui n’a été observée que dans trois sites dans le département de la Vienne. Il s’agit d’une plante vivace qui prospère sur la litière épaisse et acide accumulée sous les résineux. C’est une plante nord-continentale, assez répandue dans les Alpes, les Pyrénées et le Massif central, mais très rare dans les plaines atlantiques de l’Ouest de la France. Son extension récente est peut-être due à la multiplication des plantations de résineux. Le bois de Vayres abrite plusieurs autres orchidées sauvages, moins rares mais également intéressantes, comme la limodore presque dépourvue de chlorophylle, ou la Platanthère dont la pollinisation ne peut être assurée que par des papillons dont seule la longue trompe est apte à extraire le nectar situé au fond de l’éperon.
À la limite du bois, à la marge de certaines cultures céréalières l’entourant, existe une zone tampon qui présente un grand intérêt pour la flore. En effet, c’est là que se cantonnent plusieurs messicoles (c’est-à -dire des plantes liées plus ou moins strictement aux moissons de céréales) en voie de forte raréfaction dans toute la France. Y ont, ainsi, été recensés le bleuet, le bugle Petit Pin, l’euphorbe en faux et le caucalis fausse-carotte.
Le bois de Vayres abrite non seulement une avifaune commune aux sites forestiers poitevins (fauvettes, pouillots et grives) mais aussi quelques espèces plus rares et plus localisées comme le pouillot siffleur qui est un passereau insectivore inféodé aux forêts âgées à canopée élevée et la Mésange huppée, cette dernière étant liée généralement à la présence des pins.
Personnalités liées à la commune
- Ernest Albert-Favre, ministre sous la Troisième République, né à Saint-Georges en 1868.
- Michel Grain, né le à Saint-Georges-lès-Baillargeaux, coureur cycliste français.
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à l'aigle bicéphale au vol abaissé de sable, becquée et membrée d'or, chargée sur l'estomac d'une fleur de lys du même. |
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
- Saint-Georges-lès-Baillargeaux sur le site de l'Institut géographique national
- Saint-Georges-lès-Baillargeaux, site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Sources
Bibliographie
- Élisabeth Offredi-Jeulin, Les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem en Poitou au XVe siècle. La commanderie de Saint-Georges-les-Baillargeaux, Université de Poitiers, 1980
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition Flohic – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
- Inrap, Une résidence aristocratique fortifiée de la période gauloise à Saint-Georges-lès-Baillargeaux, 2010.
- « Vienne. Saint-Georges-lès-Baillargeaux. Ferme fortifiée gauloise », in L'Archéologue, no 114, juin-juillet 2011, p. 8.
- Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 186.
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008
- « Fnaca : André Granger honoré », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
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- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Rapport de l’AREC – La gestion des déchets ménagers en Vienne – Recueil des données – Année 2011
- « Dolmen d'Aillé », notice no PA00105689, base Mérimée, ministère français de la Culture.