Saint-Chaptes
Saint-Chaptes [sɛ̃ ʃapt], Villa Sancta-Agatha (Gallia Christiana, t. VI, p. 304) en 1121, est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.
Saint-Chaptes | |
L'église catholique. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Nîmes Métropole |
Maire Mandat |
Jean-Claude Mazaudier 2020-2026 |
Code postal | 30190 |
Code commune | 30241 |
Démographie | |
Population municipale |
1 979 hab. (2020 ) |
Densité | 151 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 58′ 19″ nord, 4° 16′ 47″ est |
Altitude | Min. 58 m Max. 101 m |
Superficie | 13,07 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Uzès |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le ruisseau de l'Auriol, Valat de Gouloubert, Valat de la Combe, Valat de la Dame, Valat de la Font Saint-Estève et par deux autres cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Chaptes est une commune rurale qui compte 1 979 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Saint-Chaptois ou Saint-Chaptoises.
Saint-Chaptes, commune de la communauté d'agglomération de Nîmes Métropole et chef-lieu de canton, est l'une de 79 communes du S.CO.T. du Sud-Gard et fait partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1988, et le domaine de la Tour, classé en 2011.
Géographie
Le village est situé à environ 20 km du centre de Nîmes par la route, 14 km d'Uzès et 27 km d'Alès.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rouvière », sur la commune de La Rouvière, mise en service en 1986[6] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 918,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 16 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13] - [14].
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15] - [16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17] : la « plaine de Saint-Chaptes » (2 279 ha), couvrant 5 communes du département[18], et la « rivière du Gardon entre Moussac et Russan » (682 ha), couvrant 7 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [17] : la « vallée moyenne des Gardons » (1 848 ha), couvrant 24 communes du département[20].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Chaptes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 1] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (38,7 %), terres arables (33,7 %), forêts (11,7 %), zones urbanisées (8,6 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), prairies (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Chaptes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard et le ruisseau de l'Auriol. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1995, 2002, 2005 et 2014[26] - [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 704 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 704 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 8] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].
Histoire
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Beauregard[31].
Les Hospitaliers
Le mas du Luc et le domaine attenant de 32 hectares appartiennent à la Commanderie de Saint Christol de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. L'ensemble est vendu comme bien national, en 1790, et acheté par Louis Joyeux, négociant de Nîmes, moyennant la somme conséquente de 90 600 livres.
Toponymie
Contrairement aux apparences, est un nom de sainte. La forme ancienne de ce nom de commune est, en 1121, Sancta Agatha, ce qui signifie qu'il représente Agatha, vierge et martyre du IIIe siècle. L'élision Sant(a) Ag(a)ta (le mot est accentué sur la première syllabe) a entraîné Sanch Agta, compris comme un masculin ; la mécoupure a fait le reste : San Chate et Saint-Chaptes.
Héraldique
Blason | De vair au pal losangé d'argent et de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANIM), dont le siège se trouve à Nîmes.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2020, la commune comptait 1 979 habitants[Note 9], en augmentation de 7,32 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 772 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 856 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 700 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 6,6 % | 8,4 % | 10,4 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 142 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6 % d'actifs (64,2 % ayant un emploi et 10,4 % de chômeurs) et 25,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 448 emplois en 2018, contre 505 en 2013 et 421 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 738, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,4 %[I 10].
Sur ces 738 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 186 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 7,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
191 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-Chaptes au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 191 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 9 | 4,7 % | (7,9 %) |
Construction | 46 | 24,1 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 42 | 22 % | (30 %) |
Information et communication | 2 | 1 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 5 | 2,6 % | (3 %) |
Activités immobilières | 6 | 3,1 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 35 | 18,3 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 32 | 16,8 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 14 | 7,3 % | (8,8 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,1 % du nombre total d'établissements de la commune (46 sur les 191 entreprises implantées à Saint-Chaptes), contre 15,5 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35] :
- PLS Publicite, activités des agences de publicité (171 k€)
- D3J, activités des sièges sociaux (143 k€)
- Di-Lorenzo, restauration de type rapide (110 k€)
- David Multiservices Plus, autres activités de nettoyage n.c.a. (32 k€)
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 46 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 32 en 2000 puis à 19 en 2010[38] et enfin à 13 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 72 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[39] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 736 ha en 1988 à 845 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 65 ha[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Sainte-Agathe de Saint-Chaptes.
- Le temple protestant de Saint-Chaptes.
- L'école publique maternelle et primaire de Saint-Chaptes sur le Champ de Foire.
- Le pont du Gardon de Saint-Chaptes.
- La capitelle (cabane en pierre sèche) sur l'un des deux carrefours giratoires de Saint-Chaptes.
- Une statue représentant « la Coupo Santo » sur l'autre carrefour giratoire, au sud de Saint-Chaptes.
- Les arènes.
- Le château de la Tour, construit à partir du XIIIe siècle, au sud-est du village.
- Le château de Saint-Chaptes situé au centre du village. Il hébergea Louis XIII et Richelieu du au , au lendemain de la signature de la paix d'Alès.
- Le mas du Luc : L'ensemble est vendu comme bien national, en 1790, et acheté par Louis Joyeux, négociant de Nîmes, moyennant la somme conséquente de 90 600 livres.
- Le mas du Claux : il appartient, en 1741, à noble Jean Phélis de Brueys de Brugal. La maison couvre alors 92 canes, soit 368 m² de toiture, et comprend un pigeonnier, 16 m², une cour, 96 m², un jardin et une aire, 4000 m² et une grande terre, de plus de 5 hectares.
Personnalités liées à la commune
- Antoine Georges François Chabaud, propriétaire du château de la Tour à la mort de son père Antoine Chabaud en 1791. Il est fait baron le et devient Antoine Georges François baron de Chabaud-Latour.
- Roger Saubert de Larcy, propriétaire du château de la Tour à Saint-Chaptes à partir de 1835.
- Hippolyte Triat (1812-1881), né dans cette ville, fondateur du Gymnase Triat.
- Commandant Albert Edmond Mézergues - Fils de gendarme, il nait le à Saint-Chaptes et devient aviateur. Mort à 31 ans, des suites de blessures survenues au Maroc, pendant la guerre du Rif, le . Voir : La Base École 708 « Commandant Mézergues ».
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- http://www.saintchaptes.com
- www.les-sorcieres-de-st-chaptes.com
- Site officiel du SCOT du Sud Gard
- Saint-Chaptes sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Chaptes » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Chaptes » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Chaptes » (consulté le ).
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Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).