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Ruitz

Ruitz [ʁɥi] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ruitz
Ruitz
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Jean-Pierre Sansen
2020-2026
Code postal 62620
Code commune 62727
Démographie
Population
municipale
1 521 hab. (2020 en diminution de 4,28 % par rapport à 2014)
Densité 307 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 06″ nord, 2° 35′ 25″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 111 m
Superficie 4,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Nœux-les-Mines
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Nœux-les-Mines
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Ruitz
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Ruitz
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Ruitz
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Ruitz
Liens
Site web http://ville-ruitz.fr/

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Les communes limitrophes sont Houchin, Barlin, Haillicourt, Houdain et Maisnil-lès-Ruitz.

    Urbanisme

    Entrée de la commune.

    Typologie

    Ruitz est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[4] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (53,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (36,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (27,9 %), zones urbanisées (15,9 %), mines, décharges et chantiers (10,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Transport ferroviaire

    La commune était située sur la ligne de Bully - Grenay à Brias, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, de 1875 à 1990, Bully-les-Mines à Brias.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ruith (1135) ; Ruyth (1154) ; Ruit (1239) ; Ruiz (1302) ; Ruid (1318) ; Ruic (1329) ; Ruyt (1422) ; Ruict-lez-Béthunes (1665) ; Ruy (1705) ; Ruich (1720) ; Ruytch (1739) ; Ruit (1837)[11].

    Le toponyme est issu du germanique roden « essartage », le s est tardif[12].

    Histoire

    On trouve une première mention de Ruitz dans une charte d'Eustache de Boulogne en 1070.

    Au XIVe siècle, Jean Daulle y a habité un manoir et on avance que la famille de Robespierre serait originaire de notre village.

    Les deux chapelles

    La chapelle située à côté de la mairie possède une crypte qui est en fait le tombeau où sont enterrés les descendants de la famille des châtelains Briois, de Rocourt, d'Oresmieux et d'Anoux.

    La petite chapelle appartenait aux Houillères. Elle a été rachetée par la commune, démontée pierre par pierre et remontée définitivement rue de Maisnil.

    L'église

    Elle fut construite en 1787 à côté de la tour de l'église qui existait auparavant.

    En effet, la base de la tour fut bâtie au XIIIe siècle, l'étage édifié au XVe et le couronnement rajouté en 1705. À l'intérieur de l'église, on peut observer une statue de la Vierge en bois polychrome datant du XVIIe et des panneaux de bois sculpté du XVIIIe représentant quatre évangélistes.

    Le bois de Clairbois

    Il s'étend sur 16 hectares autour du château, des écoles, du foyer Saint-Jean.

    Le château

    Il fut bâti au XVIIIe siècle par Pierre Lericque. Au début du XIXe siècle, le domaine de Ruitz fut légué au marquis d'Oresmieux qui céda ensuite le château, les terres et le bois de Ruitz à la société Saint-Gabriel pour qu'elle y crée un orphelinat de garçons. Le château fut fermé en 1903 et les terres louées aux fermiers. Le château fut occupé par les troupes françaises et britanniques pendant la Première Guerre mondiale.

    Dans les années 1930, les pères du Saint-Esprit y installèrent une école de missions jusqu'en 1952.

    La terre et la seigneurie de Ruitz furent vendues par le marquis de Mailly en 1725 à Pierre Ignace Le Ricque de Surgeon. De son mariage avec Mademoiselle Charlotte Roberty, il eut deux enfants ; un fils Charles Procope Le Ricque seigneur de Ruitz, lieutenant au régiment d'Auxerrois, mort sans alliance, et une fille Marie-Thérèse Le Ricque qui épousa en 1728 à Ruitz, Charles Joseph de Briois, écuyer seigneur d'Angres et Neulette, officier du régiment de Bourbon Infanterie et qui mourut en 1774. C'est ce dernier qui bâtit le château actuel. Est ensuite retrouvé Jean Baptiste François Xavier de Briois (1759-1828), écuyer, seigneur de Ruitz. Fils de Pierre Dominique de Briois, seigneur d'Hulluch, et de Marie Françoise Josèphe Le Vasseur de Bambecque, il nait le , devient capitaine au régiment de Bresse infanterie, chevalier de Saint-Louis. Il meurt à Béthune le , à 69 ans. Il épouse en octobre 1801 Pélagie Lucie Joseph Lefebvre-Delattre (1762-1839). Fille de Ferdinand Joseph, seigneur de Ligny-en-Weppes , bourgeois de Lille, convoqué aux assemblées de nobles, et de Marie Philippine Alexandrine Le Clément-de-Saint-Marcq, elle nait à Lille en juin 1762 (baptisée le ) et meurt à Béthune le , à l'âge de 76 ans[13]. Marie-Joseph de Briois, arrière-petite-fille de Charles Joseph Briois, née à Lille le 18 ventôse de l'an I (), décédée à Arras le , épousa Fortuné Le Ricque de Rocourt, chevalier de Saint Louis et de la Légion d'honneur.

    La vicomtesse de Rocourt ne laissant pas d'héritier direct, son fils Octave de Rocourt étant mort après avoir perdu ses deux fils en bas âge, enfants nés de son mariage avec Mademoiselle de Beaumetz, légua son domaine de Ruitz à son cousin le marquis d'Oresmieux de Fouquières par testament en date du .

    Dans le but de conserver le souvenir de sa famille et en mémoire de ses petits-enfants, Madame de Rocourt posa comme condition à Monsieur d'Oresmieux de fonder un orphelinat de garçons. À sa mort en 1880, ce dernier accepta cette lourde charge et mis en possession du legs, il proposa le domaine à une œuvre religieuse et en l'année 1890 Monsieur d'Oresmieux céda le château de Ruitz, terres, bois et constructions, à la société Saint-Gabriel dont le but était de créer à Ruitz un orphelinat de garçons dirigé par les pères salésiens de Don Bosco.

    L'orphelinat fut fondé le par l'arrivée des pères salésiens venus de Lille et il portait le nom de Saint-Joseph. Les enfants suivaient les cours de l'école primaire et se consacraient à l'exploitation agricole et au jardinage. La maison étant trop petite une aile fut ajoutée au château ainsi qu'un vaste préau couvert. L'orphelinat prospérait et comprenait une soixantaine d'enfants quand a été promulguée la loi contre les congrégations ; celle des pères salésiens n'ayant pas été autorisée par le Sénat, les pères furent obligés de partir et les enfants furent disséminés les uns dans leur famille ; les autres en Belgique en 1903.

    Puis le château fut fermé et les terres louées aux fermiers du village. Pendant la guerre de 1914, le château fut occupé par les troupes françaises et britanniques qui y causèrent de graves dégâts. Après la guerre, les salésiens ne jugèrent pas possible de réinstaller un orphelinat malgré les insistances de monsieur d'Oresmieux. En 1929, les pères du Saint-Esprit prenaient possession de Ruitz pour y installer une école des missions qui fonctionna jusqu'en 1952, date à laquelle le révérend père provincial déclara à la société Ruitz Fouquières qu'il renonçait à son bail.

    C'est à cette date que Monsieur Perrin, évêque d'Arras, demanda à Monsieur le comte d'Annoux, gendre de Monsieur d'Oresmieux et président de la société Ruitz Fouquières, l'autorisation de reprendre le château et le domaine de Ruitz pour y installer les Aumôniers du Travail, dans le but d'évangéliser la région des mines. Sur le parc s'ouvre la chapelle possédant une crypte, tombeau de la famille Le Ricque de Rocourt, ancienne famille d'Artois éteinte aujourd'hui.

    Cette chapelle a été construite en 1866 et elle porte les armes des Le Ricque et des Du Fresne de Beaumetz.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton de Nœux-les-Mines.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[14] - [15]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1946 1965 Charles Pecqueur Mineur
    avant 1995 2008 Jacques Brévart PS
    mars 2008 juillet 2015[16] Jean-Louis Adancourt[17] - [18] Militant syndical
    Vice-Président de la CA de l'Artois (2014 → 2016)
    Mort en fonction
    octobre 2015 En cours
    (au 4 avril 2022)
    Jean-Pierre Sansen Enseignant[19] - [20]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[21] - [22]

    Équipements et services publics

    Espaces publics

    La commune obtient, en 2019, une troisième fleur au concours des villes et villages fleuris[23].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2020, la commune comptait 1 521 habitants[Note 3], en diminution de 4,28 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    365373370390416430461513508
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    496461444448455530565561638
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    679664762828838819826834918
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    9481 0161 0351 4261 5941 5821 5231 5111 532
    2015 2020 - - - - - - -
    1 6241 521-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 755 hommes pour 807 femmes, soit un taux de 51,66 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    1,0
    5,2
    75-89 ans
    7,6
    21,6
    60-74 ans
    24,3
    22,6
    45-59 ans
    19,7
    18,5
    30-44 ans
    16,9
    17,0
    15-29 ans
    14,4
    15,0
    0-14 ans
    16,0
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Sports et loisirs

    Ruitz est connue dans la région pour sa course pédestre, les 10 km de Ruitz qui se déroulent en octobre[30].

    Manifestations culturelles et festivités

    Les « 10 km de Ruitz » est une course pédestre créée en 1990 par La Maison des Jeunes de Ruitz. C'est une course très appréciée des athlètes[31], notamment pour sa difficulté dans la montée de la Renardière. Elle est inscrite au calendrier des courses hors-stades de la Fédération Française d'Athlétisme (FFA).

    Cette course est composée de 4 courses[32]: km, 2,4 km, km, 10 km. Il est possible de s'inscrire en mairie ou le jour même.

    Un tee-shirt est offert à chaque coureur. Pour les 3 premiers ou premières un cadeau est offert.

    Économie

    Connu pour sa zone industrielle où sont implantés des grands noms tels que Ripolin, la Sta (groupe Renault), Lenze, Huwer, Plastic Omnium, etc.

    En termes d'équipements, le village arbore deux écoles (maternelle et primaire), une cantine, une salle des sports, une salle des associations, une salle polyvalente.

    De nombreuses associations apportent le divertissement nécessaire à la bourgade (basket-ball, pétanque, football, maison des jeunes, etc.).

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine mondial

    Depuis le , la valeur universelle et historique du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais est reconnue et inscrite sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Parmi les 353 sites, répartis sur 109 lieux inclus dans le périmètre du bassin minier, le site no 100 de Ruitz est composé des terrils coniques nos 2 et 3, respectivement dénommés 6 de Bruay Est et 6 de Bruay Ouest, à Ruitz et Maisnil-lès-Ruitz. Ils sont issus de l'exploitation de la fosse no 6 - 6 bis - 6 ter des mines de Bruay, sise à Haillicourt[33] - [34].

    • Les terrils nos 2 et 3.
      Les terrils nos 2 et 3.

    Autres lieux et monuments

    L'église.
    • Le jardin de plantes aromatiques et médicinales situé autour de la mairie.
    • L'église Saint-Maurice.
    • Le monument aux morts[35].

    Personnalités liées à la commune

    • Marcel Legay (1851-1915), doyen des chansonniers de Montmartre et auteur de écoute, ô mon cœur, chanson du pays d'Artois, né à Ruitz.
    • Alexis Demailly (1980-), trompettiste et cornettiste, né à Ruitz.

    Héraldique

    Blason de Ruitz Blason
    D'or à deux écussons d'azur accolés en abîme, celui de dextre chargé de trois agrafes [?] d'or et celui de senestre de deux chevronnels jumelés et alésés du même, les deux écussons sommé d'un trèfle d'argent et surmontés d'une couronne vicomtale de gueules et supportés par deux branches de lierre de sinople[36].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noeux-les-Mines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 334.
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 733.
    13. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.350-352 (lire en ligne).
    14. « Les maires de Ruitz », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    15. « Jardin de Charles Pecqueur ».
    16. « Jean-Louis Adancourt, le maire de Ruitz, emporté par la maladie : Jean-Louis Adancourt, 67 ans, est décédé mercredi. Les Ruitelots ont perdu leur maire. Après un premier mandat riche, il avait entamé le second avec la même énergie mais la maladie a eu raison de lui », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    17. « Ruitz : un deuxième mandat pour Jean-Louis Adancourt », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    18. Cécile Rubichon, « Les projets des maires - Ruitz : le bien-vivre au village, principale préoccupation de Jean-Louis Adancourt : Les investissements, « c’est la partie la plus facile » pour Jean-Louis Adancourt, maire de Ruitz. Financièrement, la commune se porte bien. Mais « il faut que petits et grands se sentent bien. » Ce sera la priorité de son deuxième mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    19. S.C.C., « Ruitz : Jean-Pierre Sansen, le « fidèle compagnon », enfile l’écharpe de maire : Depuis dimanche matin, la commune de Ruitz a un nouveau maire : Jean-Pierre Sansen, 62 ans. Un homme bien connu des habitants du village qui s’inscrira dans les pas de Jean-Louis Adancourt, son prédécesseur, décédé cet été », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    20. « Ruitz : première cérémonie de vœux pour Jean-Pierre Sansen, non sans hommage à Jean-Louis Adancourt », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    23. « Ruitz », sur le site du concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Ruitz (62727) », (consulté le ).
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    30. Vicky Brisse, « Courses à pied : Ruitz a retrouvé ses coureurs après deux ans d’absence : Pertubée depuis deux ans à cause de la pandémie sanitaire, la 30ème édition de courses à pied a repris vie ce dimanche 16 octobre à Ruitz. », La Voix du Nord, (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
    31. « Compte Rendu de course les 10km de Ruitz 2018 », sur www.je-vais-courir.com (consulté le ).
    32. « Les 10 km de Ruitz ».
    33. « Bassin minier du Nord-Pas de Calais », sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
    34. « Liste des 109 lieux et des 353 sites qui les composent » [PDF] (217 Mo), sur le site du patrimoine mondial de l'Unesco (consulté le ).
    35. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    36. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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