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Rivarennes (Indre-et-Loire)

Rivarennes est une commune française du département d'Indre-et-Loire, de la région Centre-Val de Loire, connue pour sa spécialité culinaire, les poires tapées.

Rivarennes
Rivarennes (Indre-et-Loire)
L'Ă©glise Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre
Maire
Mandat
Agnès Bureau
2020-2026
Code postal 37190
Code commune 37200
DĂ©mographie
Gentilé Rivarennais
Population
municipale
984 hab. (2020 en diminution de 3,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 52 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 16′ 02″ nord, 0° 21′ 17″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 121 m
Superficie 18,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chinon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rivarennes
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Rivarennes
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Rivarennes
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Rivarennes

    Ses habitants sont appelés les Rivarennais et Rivarennaises.

    GĂ©ographie

    Localisation et communes limitrophes

    À une trentaine de kilomètres de Tours, Rivarennes est entourée par les communes de Bréhémont, Cheillé, Rigny-Ussé, Saint-Benoît-la-Forêt et Panzoult.

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de Rivarennes.

    La commune est traversĂ©e par l'Indre (1,678 km) au nord-est de son territoire. Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 15,72 km, comprend Ă©galement six petits cours d'eau dont le Turpenay (6,091 km), qui traverse le bourg[1] - [2].

    L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source Ă  une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le dĂ©partement du Cher et se jette dans la Loire Ă  Avoine, après avoir traversĂ© 58 communes[3]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de l'Indre tourangelle[5], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Monts. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 14 ans pour cette station) varie de 4,51 m3/s au mois de septembre Ă  34 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 236 m3/s le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 5,56 m ce mĂŞme jour[6] - [7]. Ce cours d'eau est classĂ© dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut ĂŞtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă  la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă  des prescriptions permettant de maintenir le très bon Ă©tat Ă©cologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit ĂŞtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des règles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă  dĂ©faut, l'exploitant[8] - [9]. Sur le plan piscicole, l'Indre est classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[10].

    En 2019, la commune est membre de la communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre qui est elle-même adhérente au syndicat d'aménagement de la vallée de l'Indre. Créé par arrêté préfectoral du à la suite des crues historiques de décembre 1982 et janvier 1983, ce syndicat a pour vocation d'une part l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau par des actions de restauration de zones humides et des cours d'eau, et d'autre part de participer à la lutte contre les inondations par des opérations de sensibilisation de la population ou de restauration et d'entretien sur le lit mineur, et sur les fossés situés dans le lit majeur de l'Indre appelés localement « boires », et de l'ensemble des cours d'eau du bassin versant de l'Indre[11].

    Une zone humide[Note 4] a été répertoriée sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : du Moulin du Roi à la Grande Pièce »[12] - [13].

    Urbanisme

    Typologie

    Rivarennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %), terres arables (2,4 %), cultures permanentes (1,8 %), prairies (1,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rivarennes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rivarennes.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[24]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 95 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 479 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 375 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 78 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[27].

    Toponymie

    Rivarenna, mentionnĂ© dans un chronique de 887 est très probablement une Ă©volution de *Riparenna, composĂ© des mots latins ripa (« rive Â») et arena (« sable Â»). Le toponyme dĂ©signe donc la rive sableuse d'un cours d'eau (l'Indre)[28].

    Histoire

    Aux temps de la féodalité, Rivarennes était un fief relevant de la famille de L'Ile-Bouchard[29] - [30] - [31] - [32], jusqu'au XIVe siècle. Notamment, Barthélemi IV de L'Isle-Bouchard, † vers 1335, est sire de Rivarennes : ses fils et petit-fils Bouchard IX (ou VIII) et Jean Ier de L'Isle-Bouchard († 1415 à Azincourt) le sont-ils encore ? En tout cas, vers 1400, on trouve comme seigneur de Rivarennes : soit Pierre II Drumas de Ste-Maure-Montgaug(i)er (petit-fils de Guillaume IV de Ste-Maure et cousin germain de Jean Ier, fl. dès 1338/1340), soit son fils Jean Ier de Ste-Maure-Montgauger († 1425, baron de Montgogier et de Nesle). Comment s'est fait le passage de la famille de L'Isle-Bouchard à celle de Ste-Maure-Montgoger ? On peut juste indiquer que Barthélemi IV de L'Isle-Bouchard épousa Jeanne de Ste-Maure, † 1355, fille de Guillaume IV ou de Guillaume V de Ste-Maure : cette union entraîna-t-elle un échange, une vente, un arrangement familial ? Toujours est-il qu'on retrouve désormais Rivarennes aux mains des Sainte-Maure de Montgog(i)er, puis de leurs descendants des familles de Baraton, de Brillouet de Riparfond(s), et de la branche cadette des Beauvau du Rivau (voir à l'article Montgauger).

    Dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, Rivarennes fut vendu par les Beauvau du Rivau à Louis Ier Bernin de Valentinay (~1627-1709 ; fils de Thomas Bernin marquis de Valentinay, secrétaire du Roi, qui acquit Ussé en 1659), marquis d'Ussé en 1700 avec les terres de Rigny, Rivarennes et Bréhémont, receveur général des finances à Tours, ami de Charles Perrault. En 1780, les lointains descendants et héritiers des Bernin de Valentinay (Anne-Claude Bonnin de La Bonninière, 2e marquis de Beaumont) vendent le marquisat d'Ussé, avec Rigny, Rivarennes et Bréhémont, aux Rohan-Guéméné-Montbazon, qui le cèdent en août 1785 à Louis-Vincent Roger de Chalabre, entrepreneur de jeux et manieur d'argent lié à Marie-Antoinette9.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1801 1812 Delalande
    14 décembre 1812 1816 René Véron
    10 juin 1816 1834 SĂ©verin Poirier
    27 novembre 1834 ? Louis Charpentier
    mars 2001 mars 2008 François Chiquet
    1873 1881 Chebance-Guignard Propriétaire
    janvier 1881 ? Delalande-LĂ©cureuil
    mars 2008 mars 2014 Marie-Thérèse Viscière
    mars 2014 En cours Agnès Bureau SE Employée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 984 habitants[Note 7], en diminution de 3,72 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    756755719589795837846865801
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    823803824823881848829859883
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    840829740695652621597631665
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    674725723687712713759802995
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 022987984------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Rivarennes se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

    L'école maternelle accueille les élèves de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Sachet de poires tapées.

    Production phare Ă  Rivarennes au XIXe siècle, la poire tapĂ©e disparut brutalement en 1932. Une association l'a fait renaĂ®tre en 1932 et cette spĂ©cialitĂ© culinaire a très vite connu le succès, ce qui a permis Ă  deux artisans, Ă  un CAT et au pâtissier du village de redonner Ă  Rivarennes le titre de « Village de la poire tapĂ©e Â» qu'il avait au XIXe et au dĂ©but du XXe siècle. Le musĂ©e de la poire tapĂ©e est gĂ©rĂ© par l'association, qui a Ă©galement plantĂ© deux vergers de vieilles variĂ©tĂ©s.

    • Église Saint-Pierre : l'Ă©glise Saint-Pierre de Rivarennes appartenait au IXe siècle aux chanoines de Saint-Martin de Tours. Au XIe siècle, l'abbaye de Cormery fonda un prieurĂ© Ă  Rivarennes et l'Ă©glise entra au bĂ©nĂ©fice du prieurĂ©. Du XIe siècle, il ne subsiste probablement que la muraille septentrionale. La base du chevet date du XIVe siècle et l'ensemble a Ă©tĂ© restaurĂ© en 1881. Un vitrail de 1925, sur le cĂ´tĂ© nord, reprĂ©sente en premier plan un soldat gisant en tenue bleu horizon. L'arrière-plan montre un village en flamme et une rivière. Ce vitrail est signĂ© Lux Fournier, peintre-verrier[37].

    Personnalités liées à la commune

    Clément Nobileau, artiste contemporain né en janvier 1992 à Rivarennes. Il a notamment réalisé des tableaux célèbres comme Rusted Angel ou Sensibility.

    Notes et références

    Notes

    1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[4].
    2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Rivarennes », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    4. « Les inondations lentes », sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
    5. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    6. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    7. « Station hydrométrique K7522620, l'Indre à Monts », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    10. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Objectifs du SAVI », sur http://www.savi37.fr/ (consulté le ).
    12. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    13. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Rivarennes », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    28. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 190-191.
    29. « L'Isle-Bouchard », sur Racines & Histoire.
    30. « Seigneurs de L'Ile-Bouchard », sur France Balade : Touraine.
    31. « Le Château de Rivarennes, par Mikérynos », sur Touraine insolite.
    32. « Rivarennes », sur Tourainissime.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Fondation du Patrimoine

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Audin, « Rivarennes, une commune de la basse vallĂ©e de l'Indre », Le Val de l'Indre, no 31,‎ , p. 25-42.

    Articles connexes

    Liens externes

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