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Rigny-Ussé

Rigny-Ussé est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Rigny-Ussé
Rigny-Ussé
L'Indre à Rigny-Ussé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre
Maire
Mandat
Jean-Jacques Gazave
2020-2026
Code postal 37420
Code commune 37197
DĂ©mographie
Gentilé Rigny-usséens
Population
municipale
511 hab. (2020 en augmentation de 2,82 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 37 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 15′ 11″ nord, 0° 18′ 00″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 114 m
Superficie 13,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chinon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rigny-Ussé
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Rigny-Ussé
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Rigny-Ussé
Liens
Site web http://www.rigny-usse.fr/

    Ses habitants sont appelés les Rigny-usséens et Rigny-usséennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Rigny-Ussé est implantée sur la rive gauche de l'Indre, une dizaine de kilomètres à l'est de sa confluence avec la Loire.

    L'altitude maximale est de 114 m au lieu-dit les BrĂ»leaux et plus prĂ©cisĂ©ment sur la partie haute du CR 26 en direction du champ d'oiseaux commune de Rivarennes.

    Le territoire communal est arrosé par l’Indre, ainsi que la Loire sur toute sa partie nord.

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Rigny-Ussé.

    La commune est bordĂ©e sur son flanc nord par la Loire (1,928 km) qui coule d'est en ouest et traversĂ©e par l'Indre (4,128 km) dans la partie nord de son territoire. Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 23,2 km, comprend en outre sept petits cours d'eau[1] - [2].

    Le cours de la Loire s’insère dans une large vallĂ©e qu’elle a façonnĂ©e peu Ă  peu depuis des milliers d’annĂ©es. Elle traverse d'est en ouest le dĂ©partement d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'Ă  Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire prĂ©sente des fluctuations saisonnières de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-NĂ©gron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Langeais. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 34 ans pour cette station) varie de 142 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  753 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 3 060 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 4,89 m le [4] - [5]. La hauteur maximale historique a Ă©tĂ© atteinte le avec 6,80 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

    L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source Ă  une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le dĂ©partement du Cher et se jette dans la Loire Ă  Avoine, après avoir traversĂ© 58 communes[8]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de l'Indre tourangelle[3], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Monts. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 14 ans pour cette station) varie de 4,51 m3/s au mois de septembre Ă  34 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 236 m3/s le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 5,56 m ce mĂŞme jour[4] - [10]. Ce cours d'eau est classĂ© dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut ĂŞtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă  la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă  des prescriptions permettant de maintenir le très bon Ă©tat Ă©cologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit ĂŞtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des règles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă  dĂ©faut, l'exploitant[11] - [12]. Sur le plan piscicole, l'Indre est Ă©galement classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole[7].

    Quatre zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : du Pont du Vivier à la Loire », « Les étangs d'Ussé », « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin » et « l'étang des Landes de Rigny-Ussé »[13] - [14].

    Urbanisme

    Typologie

    Rigny-Ussé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,2 %), terres arables (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), eaux continentales[Note 7] (5,3 %), prairies (3,4 %), zones urbanisées (3,1 %), cultures permanentes (0,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rigny-Ussé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Loire et l'Indre. La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) d'Angers-Authion-Saumur, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portĂ©s Ă  22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂŞme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout système de protection)[24] - [25]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[26] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rigny-Ussé.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 89,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 349 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 329 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 94 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2001[22].

    Risques technologiques

    Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

    En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[31].

    Histoire

    Politique et administration

    De 1789 à 1799, en vertu de la loi du , les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune âgés d'au moins 25 ans, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt équivalent au moins à dix journées de travail. De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après les lois organiques 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus au suffrage censitaire pour six ans. Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants. De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour cinq ans à partir de 1855. Après 1871, les maires sont de nouveau élus, sauf dans les chefs-lieux (de départements, d'arrondissements ou de cantons). Ce n'est que le , qu'une loi sur l’organisation municipale (encore en vigueur) est votée, et qui régit le principe de l'élection du maire et des adjoints par le conseil municipal, quelle que soit l'importance de la commune (sauf pour Paris). La loi du fixe le mandat à quatre ans, durée portée le à six ans. La commune ayant moins de 3 500 habitants l'élection des conseillers municipaux est au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, avec panachage : •au premier tour, des candidats sont élus s'ils ont obtenu la majorité absolue et le vote d'au moins le quart des électeurs inscrits ; •au second tour, la majorité relative suffit. Les listes ne sont pas obligatoires. Les suffrages sont comptabilisés individuellement, et le panachage est autorisé.

    Liste des maires successifs à Rigny-Ussé
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 An II (1793-1794) Pierre Gilles Lemesle - Salpétrier
    9 frimaire an III (29 novembre 1794) 20 thermidor an VIII (8 août 1800) André Papin - Agriculteur
    20 thermidor an VIII (8 août 1800) 16 prairial an XII (5 juin 1804) François Benoit Gallet - Meunier
    16 prairial an XII (5 juin 1804) 15 mai 1815 Antoine Georget - RĂ©gisseur
    15 mai 1815 25 septembre 1815 René Lemesle - Salpétrier
    25 septembre 1815 27 octobre 1827 Antoine Georget - RĂ©gisseur
    24 août 1828 24 septembre 1830 Joseph Nicolas Louet - Régisseur
    24 septembre 1830 juin 1846 Luc Carré - Agriculteur
    août 1846 juin 1848 Hilaire Lejanvre - Tonnelier
    juin 1848 mai 1884 François Hilaire Lejanvre - Tonnelier
    mai 1884 septembre 1889 Claude Lemesle Brûlon - Agriculteur
    novembre 1889 17 mai 1896 Claude Severin Taffonneau - Agriculteur
    17 mai 1896 15 mai 1904 Jacques Lemesle Derouet - Agriculteur
    15 mai 1904 27 juin 1917 Florent Prestrau Lemesle - Agriculteur
    8 juillet 1917 10 décembre 1919 Armand Rolland - Agriculteur
    10 décembre 1919 28 novembre 1927 Armand Rolland - Agriculteur
    28 novembre 1927 20 mai 1945 Jacques Lemesle - Agriculteur
    20 mai 1945 30 mars 1970 Louis de Blacas - Propriétaire du château
    10 mai 1970 26 mars 1979 Raymond Richard - Retraité de l'armée
    26 mars 1979 19 mars 1989 Jean SĂ©jeau - Chef d'entreprise
    19 mars 1989 18 mars 2001 Claude Malyquevique - Retraité EDF
    18 mars 2001 19 mars 2008 Gisèle Bouchet - Retraité PTT
    19 mars 2008 3 juillet 2020 Colette Azé Retraitée du privé
    3 juillet 2020 En cours Jean-Jacques Gazave Retraité du privé
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 511 habitants[Note 8], en augmentation de 2,82 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8409741 0191 0931 2351 2121 2271 2071 235
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2441 2191 2401 2091 2091 1581 0791 053935
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    850864825640642625593654588
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    646580533511509506505499527
    2014 2019 2020 - - - - - -
    497511511------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Rigny-Ussé se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

    L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

    Lieux et monuments

    • Château d'UssĂ©.
      Château d'Ussé.
    • Église Notre-Dame.
      Église Notre-Dame.

    Cultes

    Les curés de Rigny-Ussé

    Prêtres ayant officié à Rigny-Ussé
    Prénoms Noms de à
    LĂ©on Ruzet[Note 9] 1853 1870
    Henri Flabert 1870 1896
    Joseph Moriet 1896 1905
    Armand Bernier 1905 1934
    Eugène Guérin 1934 1950
    Alexis Guichon 1950 1952
    Paul Potier 1952 1957
    Albert Saint Pol 1957 1965
    Robert Gigout 1965 1970
    Pierre Perreau[Note 10] 1970 1972
    Joseph Cantet 1972 19??

    Notes

    1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[9].
    2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Il est à noter que ce dernier prit ses fonctions à Rigny, avant la fusion de Rigny et Ussé.
    10. Il est à noter que ce dernier fut le dernier prêtre à habiter le presbytère de Rigny-Ussé.

    Sources

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Rigny-Ussé », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    4. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    5. « Station hydrométrique K6830020, la Loire à Langeais », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
    7. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    9. « Les inondations lentes », sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
    10. « Station hydrométrique K7522620, l'Indre à Monts », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    11. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    13. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    14. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Rigny-Ussé », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « cartographie des risques d'inondations du TRI d'Angers-Authion-Saumur », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    25. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    30. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    31. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Notice no PA00098034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Notice no PA00098035 et Notice no IA00011320, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Prix d’honneur de l’association « Momus » pour la restauration de l’église Notre-Dame de Rigny
    39. L'église de Notre Dame de Rigny, située sur la commune de Rigny-Ussé, en France, par l'Association Notre-Dame De Rigny

    Bibliographie

    • Elisabeth Zadora-Rio, Henri GaliniĂ©, Marie-Claude Baron, Philippe Husi, Anne-Marie Jouquand, Marie-Christèle Martineau, Jean-Marcel Mascla, Agata Poirot, Xavier Rodier et Christian Theureau, « Fouilles et prospections Ă  Rigny-UssĂ© (Indre-et-Loire) : rapport prĂ©liminaire - / Excavation and fieldwork in the parish of Rigny-UssĂ© (Indre-et- Loire), - : interim report. », Revue archĂ©ologique du Centre de la France, vol. tome 31,‎ , pages 75 Ă  166 (DOI 10.3406/racf.1992.2668, lire en ligne, consultĂ© le ).
    • Elisabeth Zadora-Rio et Henri GaliniĂ©, « La fouille de l'ancien centre paroissial de Rigny (commune de Rigny-UssĂ©, Indre-et-Loire) — : Deuxième rapport prĂ©liminaire (-) / Excavation of the former parish cemetery at Rigny (commune of Rigny-UssĂ©, Indre-et-Loire) - Second interim report (-). », Revue archĂ©ologique du Centre de la France, vol. tome 34,‎ , pages 195-249 (DOI 10.3406/racf.1995.2728, lire en ligne, consultĂ© le ).

    Compléments

    Articles connexes

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