Cravant-les-CĂŽteaux
Cravant-les-Coteaux est une commune française située à l'est de Chinon, dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.
Cravant-les-CĂŽteaux | |||||
L'église médiévale. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Chinon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Chinon, Vienne et Loire | ||||
Maire Mandat |
Christophe Baudry 2020-2026 |
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Code postal | 37500 | ||||
Code commune | 37089 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Cravantais | ||||
Population municipale |
642 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 09âČ 31âł nord, 0° 20âČ 51âł est | ||||
Altitude | Min. 27 m Max. â125 m |
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Superficie | 38,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chinon (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Sainte-Maure-de-Touraine | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | www.cravant-les-coteaux.com | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Commune situĂ©e Ă 9 km Ă l'est de Chinon et Ă 9 km Ă l'ouest de L'Ăle-Bouchard.
Hydrographie
La commune est traversée par la Vienne (4,421 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 26,54 km, comprend deux autres cours d'eau notables, le Ruau (3,017 km) et le Saint-Mexme (9,841 km), et sept petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].
La Vienne, d'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source sur le plateau de Millevaches, dans la Creuse, à une altitude comprise entre 860 et 895 m et se jette dans la Loire à Candes-Saint-Martin, à 30 m d'altitude, aprÚs avoir traversé 96 communes[3]. La station de Chinon permet de caractériser les paramÚtres hydrométriques de la Vienne. Le débit mensuel moyen (calculé sur 10 ans pour cette station) varie de 49 m3/s au mois d'août à 352 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 610 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 5,39 m le [4] - [5]. Sur le plan piscicole, la Vienne est classée en deuxiÚme catégorie piscicole. L'espÚce biologique dominante est constituée essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].
Le Ruau, qui prend le nom de ruisseau du Moulin dans le nord de la commune de Panzoult, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans le nord du territoire communal aux abords du carrefour MathĂ© sur la RD 44 et se jette dans la Vienne en limite des communes de Panzoult et de L'Ăle-Bouchard, aprĂšs avoir traversĂ© 4 communes[7]. Sur le plan piscicole, le Ruau est Ă©galement classĂ© en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole[6].
Le Saint-Mexme, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans le nord-ouest du territoire communal dans la forĂȘt de Cravant et se jette dans la Vienne dans la commune limitrophe, Chinon[8]. Sur le plan piscicole, le Saint-Mexme est Ă©galement classĂ© en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole[6].
Quatre zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « La Belle Ile », « la vallée du Ruisseau du Moulin », « les mares du Petit et du Grand Eplin » et « le marais de Pallus »[9] - [10].
Urbanisme
Typologie
Cravant-les-CÎteaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [11] - [12] - [13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chinon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14] - [15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (55,1 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (55,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (54,2 %), cultures permanentes (19,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,2 %), prairies (4,9 %), terres arables (4 %), zones urbanisĂ©es (2,8 %), eaux continentales[Note 4] (1,2 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,9 %)[16].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[17].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cravant-les-CĂŽteaux est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le risque nuclĂ©aire[18]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[19].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Ruau, le Saint Mexme, la Veude et la Vienne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2008 et 2013[20] - [18].
Pour anticiper une remontĂ©e des risques de feux de forĂȘt et de vĂ©gĂ©tation vers le nord de la France en lien avec le dĂ©rĂšglement climatique, les services de lâĂtat en rĂ©gion Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont rĂ©alisĂ© en 2021 un atlas rĂ©gional du risque de feux de forĂȘt, permettant dâamĂ©liorer la connaissance sur les massifs les plus exposĂ©s. La commune, Ă©tant pour partie dans le massif de Chinon, est classĂ©e au niveau de risque 1, sur une Ă©chelle qui en comporte quatre (1 Ă©tant le niveau maximal)[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 89,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 433 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 256 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 59 %, Ă comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].
Risques technologiques
En cas dâaccident grave, certaines installations nuclĂ©aires sont susceptibles de rejeter dans lâatmosphĂšre de lâiode radioactif. La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre immĂ©diat de 5 km autour de la centrale nuclĂ©aire de Chinon, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. Ă ce titre les habitants de la commune ont bĂ©nĂ©ficiĂ©, Ă titre prĂ©ventif, d'une distribution de comprimĂ©s dâiode stable dont lâingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroĂŻde dâune exposition Ă de lâiode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nuclĂ©aire, des consignes de confinement ou d'Ă©vacuation peuvent ĂȘtre donnĂ©es et les habitants peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă ingĂ©rer, sur ordre du prĂ©fet, les comprimĂ©s en leur possession[24].
Histoire
En 1134, Geoffroy le Roux, sire de Co(u)lombiers/Villandry, est aussi seigneur de Cravant. Fief ayant relevĂ© du roi de par son chĂąteau de Chinon ; passĂ© Ă la famille de Marmande (Ă VellĂšches et Marigny), puis Ă ses descendants Sancerre, Auvergne-Sancerre (Marguerite, â 1418) et Bueil (Jean IV, â 1415 Ă Azincourt) ; acquis en 1624 par Marie de Bourbon-Montpensier, Ă©pouse de Gaston d'OrlĂ©ans et mĂšre de la Grande Mademoiselle, et conservĂ© par les OrlĂ©ans jusqu'en 1750 (comme principaux hĂ©ritiers de la Grande Mademoiselle).
Le , Cravant-les-CÎteaux a basculé dans la communauté de communes Chinon, Vienne et Loire. Jusqu'alors, elle était dans la communauté de communes du Bouchardais, devenue la communauté de communes Touraine Val de Vienne.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].
En 2020, la commune comptait 642 habitants[Note 8], en diminution de 9,45 % par rapport Ă 2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Saint-Vincent
Du fait de l'importance de la culture viticole pour la commune, la « Saint-Vincent de Cravant-les-CĂŽteaux » est organisĂ©e tous les ans par le comitĂ© des fĂȘtes et des vins de Cravant, le dernier week-end de janvier et est l'une des plus grandes Saint-Vincent communales de France. Tous les ans, environ 1 500 personnes se rĂ©unissent, au lieu-dit la Varenne, pour un repas avant d'aller visiter les caves et domaines cravantais.
Randonnées « à fleur de vigne »
Les randonnĂ©es « Ă fleur de vigne » sont des randonnĂ©es pĂ©destres et cyclistes organisĂ©es Ă la mi-juin par le comitĂ© des fĂȘtes et des vins de Cravant. Elles se dĂ©roulent dans les vignes, les champs cravantais, ainsi que dans la forĂȘt communale.
Enseignement
Cravant-les-CÎteaux se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.
L'école élémentaire accueille les élÚves de la commune.
Ăconomie
Le vignoble de Chinon permet à Cravant-les-CÎteaux, commune viticole, de produire des vins d'appellation d'origine contrÎlée (AOC).
Polyculture.
Culture locale et patrimoine
Associations
Cravant-les-Coteaux possĂšde plusieurs associations de sport et de loisirs:
- l'Association Football Bouchardais; club de football né de la fusion de l'US Parcay-sur-Vienne et du FC Val de Vienne. Ce club regroupe donc les communes de Cravant-les-CÎteaux, l'Ile-Bouchard, Panzoult et Parcay-sur-Vienne.
- l'Amicale Bouliste Cravantaise, association de pétanque, qui organise des tournois d'avril à septembre.
- la Boule Lyonnaise Cravantaise, association de pétanque lyonnaise
- la Gym Volontaire Cravantaise, club de gym et de fitness
- la Belote de Cravant, club de belote.
Il y existe également une association historique "Les Amis du Vieux Cravant" qui a seule la charge et la responsabilité du Sanctuaire carolingien du vieux-bourg, localement dénommée "la vieille église" (voir ci-dessous)
Le Sanctuaire carolingien de Cravant
Lâancien sanctuaire de Cravant, autrefois placĂ© sous le vocable de Saint LĂ©ger et localement dĂ©nommĂ© « la Vieille-Ăglise », est dit Carolingien du fait de sa nef, de ses origines et de son histoire, quand bien mĂȘme certains Ă©lĂ©ments architecturaux et dĂ©coratifs qui le composent semblent dâorigine mĂ©rovingienne. Certains tenants dâhistoire encore plus ancienne affirment mĂȘme que cet Ă©difice fut construit sur les bases dâune basilique romaine ayant elle-mĂȘme succĂ©dĂ© Ă un temple druidique⊠On trouve en effet les traces dâun oppidum gaulois et dâun vaste camp romain dans la forĂȘt surplombant le sanctuaire. Deux transformations sont ensuite intervenues Ă lâĂ©poque romane, avant qu'une chapelle "Notre-Dame" soit construite au Sud en 1372 exactement, en rĂ©ponse au vĆu pieux de Isabelle de MaillĂ©, dame de Sonnay, avec droit de culte transmissible Ă ses hĂ©ritiers-seigneurs de Sonnay. Cette chapelle sera complĂ©tĂ©e au XVe siĂšcle.
De ces transformations au fil du temps, l'Ă©difice a conservĂ© les traces de campagnes de peintures murales successives qui sâavĂšrent ĂȘtre au nombre de 5 : carolingienne, romane, gothique, baroque et romantiqueâŠ
L'abside de l'église. Reste d'un pilier qu décor carolingien. La fresque de l'église.
Autres lieux et monuments
- L'imposante allée couverte du Gros-Chillou est sans conteste le plus ancien monument de la commune. En partie encastrée dans le mur d'un bùtiment d'habitation, elle allonge ses 17 m au bord de la route départementale 21 avec ses pierres de 3 mÚtres de haut. Elle est probablement, avant celle de Saint-Antoine du Rocher, la plus grande du département
- Restes de l'ancien chĂąteau de Cravant dominant le sanctuaire carolingien, Ă l'orĂ©e de la forĂȘt, au lieu-dit « la Fosse Herminette ».
- De nombreux manoirs et maisons fortes : Nueil, la BelloniĂšre, les BerthaisiĂšres (porche inscrit ISMH - Inventaire SupplĂ©mentaire des Monuments Historiques)âŠ
- Le chĂąteau de Sonnay, ancien fief relevant de la Roche-Clermault « Ă foi et hommage lige et un roussin de service », signalĂ© dĂšs lâannĂ©e 1268 comme appartenant Ă un certain Pierre de Sonnai, chevalier.
- La chapelle Sainte Catherine du chĂąteau de Sonnay. Alors qu'il construisait son "hĂŽtel particulier" constituant la partie Est du chĂąteau actuel, Jean Barillet, anobli de Xaincoins en 1446, receveur gĂ©nĂ©ral des finances de Charles VII (1438-1449), faisait Ă©galement bĂątir une chapelle. ConsacrĂ©e le 3 septembre 1446 par Jean Bernard, archevĂȘque de Tours, elle fut placĂ©e sous le vocable de Sainte-Catherine (dâAlexandrie).
Pour la « Saint-Jean dâĂ©tĂ© » 2002, elle a Ă©tĂ© reconstruite en lâactuel emplacement par FrĂ©dĂ©ric de Foucaud, en rĂ©ponse au vĆu pieux de sa mĂšre nĂ©e Catherine Dehollain. Cette restauration a remportĂ© le prix VMF - "Vieilles maisons françaises - pour la meilleure "restauration d'un lieu ayant ou ayant eu une fonction cultuelle".
Voir aussi
Bibliographie
- Paulette Doireau, Cravant, Cravant-les-CĂŽteaux, [l'auteur], , 380 p.
- Bulletin de la Société Archéologique de Touraine - La famille de Saint-Exupéry et la Touraine par Raymond Mauny, Tome XXXV8, , 325 à 331
- Bulletin de la Société d'Histoire de Chinon Vienne & Loire - De Guillaume de Sonnac à Wilhelm de Sonay par Jean-François Lavrard, Tome XI numéro 8, , 751 à 780
- Bulletin de la Société d'Histoire de Chinon Vienne & Loire - Monument aux morts de Cravant : Roger de Saint-Exupéry par Frédéric de Foucaud, Tome XII numéro 2, , 323 à 326
- Nouvelle République d'Indre-et-Loire - Les attaches tourangelles de la famille Saint-Exupéry par Bruno Pille, numéro 824,
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- DâaprĂšs lâarticle L. 211-1 du Code de lâenvironnement, « on entend par zone humide les terrains, exploitĂ©s ou non, habituellement inondĂ©s ou gorgĂ©s dâeau douce, salĂ©e ou saumĂątre de façon permanente ou temporaire ; la vĂ©gĂ©tation, quand elle existe, y est dominĂ©e par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de lâannĂ©e ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Désiré Sourdais-Boué démissionne en 1911.
- Marcel Taveau démissionne en 1949.
- Marcel Habert démissionne en 1954.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du SystÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Cravant-les-CÎteaux », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - la Vienne », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
- « Station hydrométrique L7220610, la Vienne à Chinon », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Ruau », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Saint-Mexme », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Cravant-les-CÎteaux », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Atlas du risque de feux de forĂȘt en Centre â Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consultĂ© le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.