Rieulay
Rieulay est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle absorbe en 1946 la commune de Marchiennes-Campagne.
Rieulay | |||||
La mairie en juillet 2018. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent | ||||
Maire Mandat |
Marc Delecluse 2020-2026 |
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Code postal | 59870 | ||||
Code commune | 59501 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 258 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 173 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
333 453 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 22′ 50″ nord, 3° 15′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 27 m |
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Superficie | 7,29 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Valenciennes (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sin-le-Noble | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Communes limitrophes
La commune de Rieulay est entourée par Marchiennes, Wandignies-Hamage, Fenain, Somain, Bruille-lez-Marchiennes, Pecquencourt et Vred.
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Rieulay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 333 453 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,9 %), zones humides intérieures (15,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), mines, décharges et chantiers (11,6 %), zones urbanisées (9,8 %), prairies (3,5 %), forêts (2,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la ligne 19 du réseau urbain Évéole ainsi que par la ligne 851 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2.
Histoire
La rue Suzanne-Lanoy porte le nom d'une résistante, elle se nommait avant rue de Bruille[24].
Héraldique
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Les armes de Rieulay se blasonnent ainsi : "D'hermines à la croix de gueules, chargée de cinq roses d'or." |
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 023 inscrits, dont 494 votants (48,29 %), 8 votes blancs (1,62 %) et 480 suffrages exprimés (97,17 %). La liste Ensemble pour Rieulay, notre village menée par le maire sortant Marc Delécluse[25] recueille 320 voix (66,67 %) et remporte ainsi treize sièges au conseil municipal contre deux pour la liste Union démocratique pour l'avenir de Rieulay menée par Luc Dupuich avec 160 voix (33,33 %)[26] - [27].
Liste des maires
Daniel Mio, conseiller municipal dès 1971, a été, entre autres mandats, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais de 1982 à 1992 et de 1997 à 2004, président du parc naturel régional Scarpe-Escaut de 1989 à 2012 et président du centre historique minier de Lewarde jusque 2008[28]. Laurent Houllier a été conseiller général du canton de Douai-Sud de 2004 à 2011.
Ève Bruniau, historienne de Rieulay, dresse ainsi la liste des maires de la commune jusque 1900[29]. Elle indique également que Ghislain Villain et Henri Descloquemant semblent avoir été maires des deux communes de Rieulay et Marchiennes-Campagne en même temps[30].
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
Michel Lemaire (d) | ||||
Joachim Groulez (d)[31] ( - ) | (mort en cours de mandat) | 2 ans | ||
Bonaventure Dussart (d) | 27 ans | |||
Honoré Lemaire (d) | 1 an | |||
Michel Lemaire (d) (mort le ) | 3 ans | |||
Pierre-François Lesens (d) | 14 ans | |||
Michel Lemaire (d) (mort le ) | 3 ans, 4 mois et 2 jours | |||
François Wilbaut (d) | 10 ans, 11 mois et 9 jours | |||
Louis Villain (d) | 3 ans, 4 mois et 9 jours | |||
Pierre Gambiez (d) | 4 ans, 1 mois et 6 jours | |||
Alexis Houseaux (d) ( - ) | 10 ans | |||
Ghislain Villain (d) | 8 ans | |||
Henri Descloquemant (d) ( - ) | 24 ans | |||
Louis Dellesmes (d)[32] ( - ) | années 1960 | années 1970 | ||
Daniel Mio[33] - [34] - [35] ( - ) | (démission) | 29 ans | Parti socialiste | |
Laurent Houllier (d)[36] (né le ) | (démission) | 11 ans | Parti socialiste | |
Marc Delécluse (d)[37] - [38] - [39] - [40] - [41] - [42] (né le ) | En cours | 5 ans, 5 mois et 8 jours | Parti socialiste indépendant |
- Tombe de Michel Lemaire (†1852) et Alexis Housiaux (1836-1880) au cimetière de l'église Saint-Amand de Rieulay.
- Tombe d'Henri Descloquemant au cimetière de l'église Saint-Amand.
- Daniel Mio, ancien maire de Rieulay de 1977 à 2006, en conférence le 9 novembre 2019 sur l'évolution du site du terril des Argales.
- Laurent Houiller, maire de Rieulay de 2006 à 2017, le 12 août 2016 accueillant le sous-préfet de Douai Jacques Destouches sur le site des Argales.
- Réunion du conseil municipal le 10 décembre 2016 ; Laurent Houllier est assis à droite.
- Marc Delécluse avec le maire de Loffre Éric Gouy à Pecquencourt en octobre 2019.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].
En 2020, la commune comptait 1 258 habitants[Note 8], en diminution de 8,77 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 621 hommes pour 673 femmes, soit un taux de 52,01 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- L'église Saint-Amand
- La chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours
- L'oratoire Saint-Joseph
- Les caves de Rieulay.
- La médiathèque.
- Le Pigeonnier du XVIIe siècle, inscrit aux bâtiments de France
- Le terril de Rieulay (n° 144)
- La maison du terril de Rieulay
- Le pigeonnier.
- La chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours.
- L'oratoire Saint-Joseph.
- Les caves de Rieulay.
- La médiathèque.
- L'Église, vue depuis l'ancien cimetière.
Environnement
Site des Argales
Il s'agit d'une ancienne tourbière et de quelques prairies transformées dans les années 1900 en vaste domaine industriel ; les Houillères du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais y ont - du début des années 1900 à 1975 - accumulé une très grande quantité de stériles miniers (essentiellement constitués de grès et de schistes noirs), qui en profondeur deviennent peu à peu rouges sous l'action de la chaleur auto-entretenue dans le terril par un phénomène de combustion lente[49] - [50] - [51]
En 1975, alors que le terril s'étendait sur 140 ha (sur la commune de Rieulay, mais aussi en partie sur la commune de Pecquencourt[49], les houillères ont décidé d'exploiter les restes de charbons qui se trouvaient encore dans le terril, activité qui a cessé en 1988, laissant un site déstructuré par l'exploitation et un vaste bac à schlamms (bassin de décantation des schlamms, boues noires issues du lavage des restes de charbons).
Le site a ensuite fait l'objet d'un programme de paysagement, d'un classement en Espaces Naturels Sensibles (par le Conseil général du Nord et de réhabilitation écologique qui a permis d'en faire un cœur de nature et de le réintégrer dans le paysage et le cadre de vie de la commune. Comme c'est le cas de la plupart des ENS, le site est en partie ouvert à certains loisirs et à la découverte de la nature : une partie des zones humides est ouverte à la pratique de la pêche et de la voile. Une autre partie est ouverte aux loisirs équestres et au VTT (sur les pistes réservées à cet effet), un parking et la Maison du terril de Rieulay accueillant les visiteurs qui peuvent trouver des informations et des visites guidées[49].
Le reste du site est consacré à la nature et au paysage culturel que constitue ce site. Le remodelage (mise en sécurité) et la réhabilitation du terril et de ses dépressions humides ont permis de l'intégrer (comme élément renaturé) dans les éléments paysagers, naturels et culturels (Patrimoine mondial de l'Unesco) du Parc naturel régional Scarpe-Escaut puis de la Trame verte et bleue régionale et nationale. Des techniques de génie écologique adapté au substrat particulier y ont été mises en œuvre à grande échelle sous l'égide de l'Etablissement Public Foncier du Nord-Pas-de-Calais, durant plusieurs décennies et se prolongeront dans les « plans de gestion » successif qui visent à y favoriser ou préserver la biodiversité, tout en conservant au site une vocation de loisirs et de découverte. L’EPF puis le gestionnaire encouragent la renaturation du site, avec le retour d’un boisement (bouleaux, l’espèce pionnière typique de ces milieux), tout en le contrôlant pour conserver des espaces ouverts de schistes noir très propices aux espèces pionnières et aux espèces thermophiles (qui apprécie la chaleur du substrat noir qui accumule bien la chaleur du soleil)[49].
Si l’origine du site est artificielle, les processus de recolonisation qui s’y déroulent sont bien l’expression de la naturalité et ils contribuent à la biodiversité. 25 ha sont traités en réserve ornithologique, le site étant devenu un lieu majeur pour l’hivernage des oiseaux d’eau dans la région[49]. Une gestion différentiée et restauratoire est assurée par les gardes du Conseil général, basée sur des opérations de fauchage, le pâturage extensif ou le scrappage, de manière à conserver une mosaïque de milieux adaptée à une grande partie de la biodiversité potentielle du site.
Cette réhabilitation n’est pas une mesure compensatoire financée par les houillères (qui ne payaient pas non plus de taxes professionnelle), mais une opération résultant de la volonté et des financements de la commune du parc naturel et du département et de la région. Le dernier exploitant a contribué au remodelage et aux premiers aménagements.
Ce n'est pas le terril le plus haut d'Europe (qui est situé non loin de là à Loos-en-Gohelle, mais c'est celui dont la base a la plus grande étendue (si l'on prend en compte que le terril double de Germinies (près de Lallaing) qui cumule 200 ha de surface est en réalité séparés par la Scarpe et constitue donc deux terrils (qui portent d'ailleurs deux numéros différents ; n° 143 « Germinies Sud » et 143A « Germinies Nord »)[49].
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Rieulay et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Rieulay et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jules Deleforge, « En moins d'un siècle trois communes de l'arrondissement de Douai ont cessé d'être des communes », ?,‎
- « Une équipe motivée pour faire vivre le village », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. 20.
- « Élections municipales, Rieulay », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 36.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Rieulay », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 10.
- [PDF] « Discours de Jean-Louis Joseph, président de la Fédération des Parcs naturels régionaux de France pour la remise des insignes d’Officier dans l’Ordre National du Mérite », sur http://www.pnr-scarpe-escaut.fr/, Parc naturel régional Scarpe-Escaut, .
- Bruniau 2019, p. 80.
- Bruniau 2019, p. 81.
- Sébastien Bottin, Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République, Douai, Imprimerie de Marlier, , 306 p. (lire en ligne), p. 279 :
« Rieulay, Groulé. »
- Ève Bruniau, Les dates nous mènent : Rieulay de 1217 à 1900, , 115 p., p. 112
- « Parc naturel régional Scarpe-Escaut, présidence : Érick Charton succède à Daniel Mio », La Voix du Nord, : « Daniel Mio qui a aussi été maire de Rieulay de 1977 à 2008 a abandonné ses fonctions en cours de mandat pour des raisons de santé. »
- Victor Gobert (préf. Claude Durut), Somain, tome II, 1950-1980, vol. 2, Éditions Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 2-84253-735-1), p. 101
- Marie-Caroline Debaene, « Le père du terril des Argales, Daniel Mio, est décédé », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« L’ancien maire de Rieulay, Daniel Mio, est décédé jeudi à l’âge de 80 ans. »
- « Rieulay : les derniers vœux de Laurent Houllier, ému et amer », La Voix du Nord, : « Également à ranger dans le registre des regrets, le mandat inachevé qu’il souhaitait mener à son terme, et dont l’arrêt prématuré résulte de circonstances imprévues, la déception due à un sentiment de trahison. »
- Jean-Luc Rochat, « À l'issue d'une élection serrée, le nouveau maire est Marc Delécluse », La Voix du Nord, : « La liste « Ensemble pour Rieulay, notre village », conduite par l’ancien premier adjoint de Laurent Houllier s’est imposée face à Luc Dupuich, conseiller municipal d’opposition. Une victoire serrée obtenue par vingt voix d’écart. »
- Bruno Place, « Rieulay : la liste de Marc Delécluse élue au premier tour », L'Observateur du Douaisis, : « Avec 20 voix de différence, la liste menée par Marc Delécluse (Ensemble pour Rieulay, notre village) remporte ces élections (301 voix soit 51,72 % des suffrages exprimés) devant la liste menée par Luc Dupuich (Union démocratique pour l’avenir de Rieulay) qui a rassemblé 281 voix (48,28 %) »
- Marie-Caroline Debaene, « Sans surprise, Marc Delécluse officiellement installé dans le fauteuil du maire. », La Voix du Nord, : « Marc Delécluse, l’ancien premier adjoint de Laurent Houllier, qui s’est imposé dimanche face à la liste de Luc Dupuich, conseiller municipal d’opposition, a été élu maire de Rieulay par douze voix sur quinze. »
- Marie-Caroline Debaene, « Orchésis : à un an des municipales, votre maire se représente-t-il ? », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428) :
« Rieulay. Marc Delécluse, 70 ans, qui a été élu en janvier 2018 après des élections partielles, avait déjà annoncé sa candidature à ses vœux. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Rieulay : sans étiquette »
- Bruno Place, « Cœur d’Ostrevent : le président Frédéric Delannoy s’entoure de 14 vice-présidents », L'Observateur du Douaisis,‎ (ISSN 0183-8415 et 1639-2221, lire en ligne) :
« 10e vice-président : Marc Delécluse, maire de Rieulay, délégué au développement et à la promotion du tourisme »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rieulay (59501) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- CG 59, présentation du terril des Argales
- PNR, Vidéo sur les Argales de Grégory Smellinckx , photographe animalier]
- Les Argales, sur Wikimapia
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15
Voir aussi
Bibliographie
- Ève Bruniau, Les dates nous mènent : Rieulay de 1217 à 1900, , 115 p.
Articles connexes
- Liste des communes du Nord
- Terril de Rieulay de la Compagnie des mines d'Aniche