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Bruille-lez-Marchiennes

Bruille-lez-Marchiennes est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Bruille-lez-Marchiennes
Bruille-lez-Marchiennes
La mairie et église Saint-Samson.
Blason de Bruille-lez-Marchiennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Jean-Jacques Candelier
2020-2026
Code postal 59490
Code commune 59113
Démographie
Population
municipale
1 354 hab. (2020 en augmentation de 2,81 % par rapport à 2014)
Densité 313 hab./km2
Population
agglomération
333 453 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 34″ nord, 3° 14′ 41″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 34 m
Superficie 4,33 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
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Bruille-lez-Marchiennes
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Bruille-lez-Marchiennes

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Bruille-lez-Marchiennes
    Pecquencourt Rieulay
    Écaillon Bruille-lez-Marchiennes Somain
    Auberchicourt Aniche

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 682 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bruille-lez-Marchiennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 333 453 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), zones urbanisées (14,2 %), prairies (8,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), forêts (4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les lignes 12, 19, 20 et 112 du réseau de transport Évéole.

    Histoire

    La brasserie Leduc est fondée en 1912 par Georges Leduc, les installations sont détruites en 1991 et en 2021[24].

    Héraldique

    Blason de Bruille-lez-Marchiennes

    Les armes de Bruille-lez-Marchiennes se blasonnent ainsi :« D’or à la croix engrêlée de gueules »

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 878 inscrits, dont 817 votants (70,27 %), 11 votes blancs (1,78 %) et 591 suffrages exprimés (95,79 %). La liste d'union de la gauche et de progrès soutenue par le Parti communiste français menée par le maire sortant Jean-Jacques Candelier[25] recueille 430 voix (72,76 %), représentant ainsi treize sièges au conseil municipal contre deux pour la liste L'alternative bruilloise menée par Christophe Dejaigher et ses 161 voix (27,24 %)[26] - [27].

    Liste des maires

    Jean-Jacques Candelier au Centre historique minier de Lewarde lors des Quatre jours de Dunkerque 2013.

    Le premier maire élu est M. Lesage, en 1790[28].

    Jean-Jacques Candelier a notamment été président de la communauté de communes Cœur d'Ostrevent de 1983 à avril 2014, conseiller général du canton de Marchiennes de 1985 à 2008, et député de la seizième circonscription du Nord de 2007 à 2017.

    Titulaires de la fonction de maire de Bruille-lez-Marchiennes
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Charles François Régis Dumont (d)années 1800
    Louis Joseph Gosselin (d)8 ans
    Augustin Joseph Puvion (d)
    (années 1750 - )

    (mort en cours de mandat)
    7 ans
    Charles Lesage (d)
    (années 1770 - )

    (mort en cours de mandat)
    33 ans
    Emmanuel Défontaine (d)
    ( - )

    (mort en cours de mandat)
    10 ans et 2 mois
    Par intérim :
    Jean-Baptiste Herbage (d)
    8 mois
    Jules Lemaire (d)
    ( - )
    6 ans et 6 mois
    Casimir Lemaire (d)
    ( - )
    6 mois
    Jules Lemaire (d)
    ( - )

    (mort en cours de mandat)
    2 ans et 3 mois
    André Pol (d)2 ans et 3 mois
    Casimir Lemaire (d)
    ( - )
    9 mois
    Nicolas Brabant (d)10 ans et 6 mois
    Charles Hayez (d)8 ans et 4 mois
    Alphonse Buisset (d)8 ans et 10 mois
    Constant Bourez (d)3 ans et 11 mois
    Ernest Guislain (d)2 ans et 4 mois
    François Durut (d)
    (mort en )
    1 an et 7 mois
    Emmanuel Correaux (d)années 1910
    Raymond Delporte (d)
    ( - )
    32 ans Parti communiste français
    Jean-Jacques Candelier[29] - [30] - [31] - [32]
    (né le )
    En cours46 ans et 4 mois Parti communiste français

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2020, la commune comptait 1 354 habitants[Note 8], en augmentation de 2,81 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    510503531606665679683720762
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8158519059731 0581 0511 0701 1201 144
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1941 3561 2561 1521 1971 2171 2431 1931 129
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0671 0921 0341 0411 1291 2131 3021 3301 322
    2018 2020 - - - - - - -
    1 3651 354-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 673 hommes pour 692 femmes, soit un taux de 50,7 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,4
    2,7
    75-89 ans
    5,6
    16,9
    60-74 ans
    16,5
    18,3
    45-59 ans
    17,6
    21,7
    30-44 ans
    21,0
    17,1
    15-29 ans
    18,5
    22,9
    0-14 ans
    20,4
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Économie

    En 2017, la commune est très peu endettée et les impôts locaux n'y ont pas été augmentés depuis vingt ans[39].

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Samson.
    • La motte féodale du XIIe siècle, situé chemin des Masures. À l'époque le monticule était entouré d'enceintes en bois, dans le bas une première enceinte renforcé de fossés constituait la basse cour ; puis une autre enceinte formait la haute cour ; au centre, une tour de guet, également en bois[40].
    • L'oratoire Saint-Roch, chemin Léo-Ferré, restauré en 2022[41].
    • La ferme du Muid à l'époque mérovingienne ; elle était la propriété de l'Abbaye Saint-Calixte de Cysoing et relevait du Prieuré Beaurepaire de Somain.
    • L'église Saint-Samson.
      L'église Saint-Samson.
    • L'intérieur de l'église.
      L'intérieur de l'église.
    • L'oratoire Saint-Roch avant sa restauration.
      L'oratoire Saint-Roch avant sa restauration.
    • Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale.
      Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale.
    • Le monument aux morts de la Seconde Guerre mondiale. Å’uvre du sculpteur Julien Rémy réalisée en 1946.
      Le monument aux morts de la Seconde Guerre mondiale. Œuvre du sculpteur Julien Rémy réalisée en 1946.

    Personnalités liées à la commune

    Folklore

    La commune a pour géant Gautier de Châtillon[42], également nommé Gauthier de Bruille. Le chevalier Gauthier de Châtillon est attesté en 1116, 1136 et 1162, et meurt en 1163. Le géant est créé en 2001 par les élèves de SEGPA du collège Jean-Zay de Lomme sous la direction de leur professeur Jacques Boulanger. Il s'agit d'un géant tracté en bois, haut de quatre mètres et lourd de cent-cinquante kilos. Il sort notamment à l’occasion de la fête des Boudaines ed'coin. Il devient le parrain de Pelotin le Marchiennois en mai 2010[28].

    Sport

    La ville possède un club de tennis de table professionnel, le CTT Bruille qui évolue en championnat de France de Pro B pour la saison 2022-2023[43].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bruille-lez-Marchiennes et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bruille-lez-Marchiennes et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. J.-C. L., « Découvrez l'histoire de la Brasserie Leduc, en cours de démolition », La Voix du Nord, no 24464,‎ , B.
    25. Jean-Louis Bécart, « Jean-Jacques Candelier veut jouer les prolongations », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , B.
    26. « Élections municipales, Bruille-lez-Marchiennes », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 30.
    27. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Bruille-lez-Marchiennes », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 8.
    28. « Gauthier de Bruille, géant, chevalier et grand seigneur de l’Ostrevent », La Voix du Nord, .
    29. J.-F. Guybert, « Législatives - seizième circonscription du Nord : le député sortant dit adieu à l’Assemblée nationale », La Voix du Nord,  : « Maire de Bruille depuis 1977, il a aussi été conseiller général, de 1985 à 2008, avant de devenir député en 2007, en remplacement de Georges Hage, lui aussi communiste, et d’être réélu en 2012. »
    30. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 282 p. (ISBN 2-35258-159-1), p. 59 :
      « Appartenance politique : COM »
    31. « Les municipales dans le Douais: premier mandat pour Raphaël Aix, huitième pour Jean-Jacques Candelier », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
      « Près de 30 ans les séparent. À 75 ans, Jean-Jacques Candelier est maire depuis 1977 et le restera. »
    32. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
      « Bruille-lez-Marchiennes : Parti communiste »
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bruille-lez-Marchiennes (59113) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    39. « BRUILLE-LEZ-MARCHIENNES - Jean-Jacques Candelier ne sera pas candidat aux législatives », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    40. Cœur mag' d'Ostrevant numéro 34, avril 2011, page 22
    41. « Bruille-lez-Marchiennes : la chapelle Saint-Roch et le monument aux morts seront rénovés cette année », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne)
    42. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15
    43. « Pro », sur www.fftt.com (consulté le )
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