Écaillon (Nord)
Écaillon est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Écaillon | |||||
L'église Notre-Dame-de-la-Visitation en 2018. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent | ||||
Maire Mandat |
Georges Cino 2020-2026 |
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Code postal | 59176 | ||||
Code commune | 59185 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Écaillonnais, Écaillonnaises | ||||
Population municipale |
1 936 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 484 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
333 453 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 21′ 05″ nord, 3° 13′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 19 m Max. 35 m |
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Superficie | 4 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Valenciennes (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | ville-ecaillon.fr | ||||
Géographie
Écaillon est située à 10 km au sud de Douai. Situé sur le ruisseau Escaillon qui va former l'île où se situera l'abbaye d'Anchin[1].
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[8] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 14 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Écaillon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[18] et 333 453 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), zones urbanisées (17,8 %), prairies (10 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la ligne A du bus à haut niveau de service de Douai ainsi que par les lignes 20 et 108 du réseau urbain Évéole.
Histoire[25]
- Vers 1240 : Josué Broyart, chevalier sire d'Escaillon et Alexandra son épouse, firent des libéralités à l'Abbaye d'Anchin et y furent inhumés contre la chapelle de la Sainte-Vierge dehors l'église.
- 1304 : le comte du Hainaut à la tête des bourgeois de Valenciennes reprend le château à des brigands qui s'en étaient emparés.
- 1405 : la comtesse de Flandre Marguerite de Bourgogne, veuve du Duc de Bourgogne envoie des hommes d'armes assaillir le château contre Jean de Robersart à cause de traitements odieux qu'il a fait subir au chanoine de Cambrai.
- Par son mariage Jeanne de Lallaing (décédée en 1472) avec Philippe de Bourbon Escaillon et Bruilles passent dans la maison princière de Bourbon.
- 1510 : Jeanne de Bourbon, fille de Philippe de Bourbon, vend ces deux terres à son cousin Charles ; Baron de Lallaing
- 1511 : Escaillon et Bruilles furent esclissés de la seigneurie d'Haussy et réunis à la baronnie de Lallaing en faveur dudit Charles Doyen des pairs du Hainaut
Héraldique
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Les armes d'Écaillon se blasonnent ainsi : D'argent à la croix engrêlée de gueules. |
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales le , dix-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 402 inscrits, dont 678 votants (48,36 %), 8 votes blancs (1,18 %) et 664 suffrages exprimés (97,94 %). La liste Écaillon pour tous menée par le maire sortant Georges Cino[26] recueille 341 voix (51,36 %), la liste Écaillon, réunis pour réussir menée par l'ex-adjointe aux fêtes, qui avait claqué la porte avec cinq élus en 2018, Fabienne Giovannini[27] recueille quant à elle 323 voix (48,64 %). L'écart n'est que de dix-huit voix[28] - [29]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[30]. Georges Cino est réélu maire pour un deuxième mandat le 23 mai avec quinze voix sur dix-neuf[31].
Liste des maires
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
François Masclet (d) | années 1800 | |||
Pierre François Boulangé (d) | 14 ans et 9 mois | |||
Augustin Chantreau (d) | 9 ans | |||
Nicolas Houriez (d) (XVIIIe siècle - ) | (mort en cours de mandat) | 2 mois | ||
Par intérim : Pierre André Masclet (d) ( - ) | 9 mois et 18 jours | |||
Pierre André Masclet (d) ( - ) | 22 ans et 7 mois | |||
Charles Tréca (d) | 2 ans et 2 mois | |||
Anselme Houriez (d) | 2 ans et 9 mois | |||
Adonis Brevet (d) | 5 ans et 2 mois | |||
Par intérim : Alexandre Moché (d) | 6 mois | |||
Alexandre Moché (d) | 1 an et 3 mois | |||
Philippe Antoine Masnin (d) | 1 an et 6 mois | |||
Isaïe Héroguer (d) | 2 mois | |||
Adonis Brevet (d) | 6 mois | |||
François Masclet (d) | 3 ans et 2 mois | |||
Honoré Lecouffe (d) | 6 ans et 4 mois | |||
Pierre Joseph Proust (d) (années 1820 - ) | 3 ans et 9 mois | |||
Par intérim : Édouard Houriez (d) ( - ) | 3 mois | |||
Édouard Houriez (d) ( - ) | 8 ans | |||
Honoré Lecouffe (d) | 3 ans | |||
Fleury Masnin (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 3 ans et 4 mois | ||
Édouard Houriez (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 4 ans et 3 mois | ||
Joseph Lecouffe (d) | 12 ans et 8 mois | |||
André Masnin (d) | 3 ans et 1 mois | |||
Par intérim : Antoine Joseph Brevet (d) | 1 mois | |||
Antoine Joseph Brevet (d) | ||||
Paul Gambier (d)[32] ( - ) | 30 ans | Parti communiste français | ||
Pierre Dubois (d)[33] | 13 ans | Parti communiste français | ||
Georges Cino (d)[34] - [35] (né le ) | En cours | 9 ans, 3 mois et 4 jours | divers gauche indépendant |
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2020, la commune comptait 1 936 habitants[Note 8], en diminution de 0,97 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 873 hommes pour 1 063 femmes, soit un taux de 54,91 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- La chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours.
- La chapelle Notre-Dame-de-la-Visitation.
- L'oratoire Notre-Dame-des-Orages.
- L'église Notre-Dame-de-la-Visitation, église neuve consacrée en 1816 fut bâtie sur l'emplacement de l'ancienne. Les fonts baptismaux en grès sont aux armes de Berlaymont avec date de 1598.
- Le donjon d'Escaillon est cité dans les annales des XIVe et XVe siècles. Il était tenu du chapitre de Saint-Amé de Douai, bien que le gros de la seigneurie fût soumis à une autre suzeraineté. Il était situé dans la partie élevée du village à proximité de l'église au bord de l'Escaillon. Vers 1855, un château à tourelles fut bâti en son emplacement[42].
- La motte, qui subsiste en partie, de profil tronconique, a un diamètre à sa base de 50 à 55 mètres pour 45 mètres au sommet et mesure 5 mètres de hauteur. Érigée probablement au XIIe siècle, elle est bordée au sud-est d'une basse-cour à côté de l'église. Les premières constructions ont été une tour carrée central en bois de 6 mètres de côté, une maison sur sablière basse, un fond de cabane avec la trace d'un métier à tisser et des fosses-dépotoirs. Il est probable qu'une palissade en bois ceignait la plateforme sommitale. Au XIVe siècle, ces bâtiments disparaissent et laissent place à un donjon en pierre carrée de 10 mètres de côté. Ce donjon présentait « deux nefs et trois travées reposant sur deux piliers centraux et couverts par des voûtes d'arêtes » au-dessus d'une cave. La plateforme sommitale quant à elle prenait appui sur un mur de chemise qui entourait la motte à son sommet, épais de 3 mètres et percé d'une porte large de 2 mètres à l'opposé du donjon[43].
Personnalités liées à la commune
Seigneurs de Robersart
Seigneurs hennuyers au service des rois d'Angleterre (1326-1450)[44] :
- Thierry de Robersart, fils du Borgne de Robersart seigneur des fiefs d'Ecaillon et de Bruille dit le "Chanoine d'Ecaillon", né en 1340 décédé le 14 décembre 1387
- En 1420, relaté par le chroniqueur Enguerrand de Monstrelet, Jean de Robersart (1370-1450), fils de Thierry de Robersart seigneur d’Escaillon et de Bruille, enlève la duchesse Jacqueline, comtesse de Hainaut, pour la conduire en Angleterre. Le roi d’Angleterre lui donna entre autres la ville de Saint-Sauveur-le-Vicomte[45].
- Loys de Robersart naturalisé anglais en 1416, chevalier de l’ordre de la Jarretière et Lord, frère de Jean de Robersart
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Page 614 Statistique archéologique du Département du Nord. Seconde partie-1867-archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Écaillon et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Écaillon et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Page 615, Statistique archéologique du département du Nord-1875- archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- Nello Benedetti, « Tête de la liste « Écaillon pour tous », Georges Cino brigue un second mandat », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. 25.
- Nello Benedetti, « « Écaillon, réunis pour réussir », slogan de Fabienne Giovannini », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. 24.
- « Élections municipales, Écaillon », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 32.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Écaillon », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 8.
- « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, .
- « Un deuxième mandat pour Georges Cino », L'Observateur du Douaisis, no 907,‎ , p. 20.
- Odette Hardy-Hémery, « GAMBIER Paul, Henri », Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, : « Né le 28 janvier 1920 à Écaillon (Nord), mort en juin 2009 ; ouvrier du jour aux mines ; syndicaliste et militant communiste du Nord ; déporté ; maire d’Écaillon (1971-2001). »
- « Écaillon : Pierre Dubois surpris et déçu du résultat des municipales », La Voix du Nord, : « Le maire sans étiquette a en effet été balayé après trois mandats dès le premier tour par son adversaire divers gauche, Jacques Pereira, 60,11 % contre 39,89 %. »
- « Écaillon : Georges Cino succède à Pierre Dubois en tant que maire », La Voix du Nord, : « Georges Cino a été logiquement choisi par les membres du conseil, en l’absence des trois élus de l’opposition. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
« Écaillon : sans étiquette »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écaillon (59185) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Page 615, Statistique archéologique du département du Nord. Seconde partie -1867- archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 351.
- Bibliothèque du Moyen Age ; Philippe le Bon, sa politique et son action par Paul Bonenfant, études présentées par A-M Bonenfant-Feytmans, De Boeck université numérisé par Google Books.
- Page 615, statistique archéologique du département du Nord, datant de 1875, archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- « Auberchicourt : Aubert le loup entre officiellement dans la cour des géants », sur https://www.lavoixdunord.fr/, La Voix du Nord, : « Tous ses amis géants des communes alentour étaient là : le Baudet, de Monchecourt, Fraisinou, d’Écaillon, Floris de Montmorency, de Montigny-en-Ostrevent, Philipotte de Lannoy, d’Hordain et Kopierre, d’Aniche. ».
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15