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Loffre

Loffre est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.

Loffre
Loffre
Blason de Loffre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Éric Gouy
2020-2026
Code postal 59182
Code commune 59354
Démographie
Gentilé Loffriens
Population
municipale
719 hab. (2020 en diminution de 3,75 % par rapport à 2014)
Densité 277 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 25″ nord, 3° 10′ 12″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 39 m
Superficie 2,6 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives Seizième circonscription
Localisation
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Loffre
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Loffre
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Loffre
Liens
Site web www.commune-loffre.fr

    Géographie

    Loffre dans son canton et son arrondissement

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Loffre
    Montigny-en-Ostrevent
    Guesnain Loffre
    Lewarde Masny

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 684 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Loffre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (25,2 %), zones urbanisées (21,8 %), mines, décharges et chantiers (11 %), forêts (7,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la ligne 12 du réseau de transport Évéole.

    Histoire

    Les origines

    Dès 1186, la plus grande partie des terres appartenait à l’Abbaye d'Anchin de Pecquencourt qui y exerçait la juridiction[21] Loffre fut longtemps un hameau dépendant de Lewarde situé dans la châtellenie de Bouchain en Hainaut. C’est en 1790, après la Révolution que Loffre devient une commune indépendante[22]

    Apparemment le village ne comportait pas d’église au début du XVIIe siècle. Sur le plan du dessiné par Deforest, il apparaît qu’il existait à Loffre une très importante zone marécageuse. On dénombrait 17 habitations dans le hameau.

    En 1820, sur le plan cadastral de la commune, il apparaît que les marais ont été asséchés et que la zone de terres labourables est importante. L’étude effectuée à partir de la matrice cadastrale montre que le village possède 34 habitations, de nombreux jardins, près et vergers ainsi que des bois et de la lande. À cette époque deux sablières étaient en exploitation : une au lieu-dit « La croisette » et l’autre au « Mont Quennelez ». On dénombrait dans la commune : 16 fermiers, 4 cabaretiers, un sabotier, un tonnelier et quelques ouvriers (des piqueurs de grès qui travaillaient dans les sablières). Le village possédait aussi un moulin situé au lieu-dit le Moulin qui était exploité par Nicolas Brabant de Montigny[23].

    Époque moderne

    1880 : le village comptait 48 habitations, quelques bâtiments ruraux, trois moulins à vent étaient en activité sur le territoire ainsi que huit sablières. 188 personnes habitaient Loffre à cette époque.

    Dans la commune on dénombrait 21 agriculteurs, 4 cabaretiers, un chiffonnier, un forgeron, un meunier, un couvreur, un charron, un marchand de levure et quelques ouvriers dont des tailleurs de grès qui travaillaient dans les carrières.

    1921 : à cette époque, 222 personnes habitaient le village.

    Loffre comptait 12 agriculteurs, 10 estaminets, un cordonnier, un épicier, un tourneur en bois, un menuisier, un couvreur.
    3 sablières étaient en exploitation sur le territoire.

    1978 : D'après l'étude effectuée à l'époque par Peter Ritschel, étudiant allemand de Karlsruhe, Loffre était une commune de 620 habitants se répartissant en 150 familles environ. L'évolution de la commune a été extrêmement lente. En effet, toutes les communes qui l'entouraient se sont développées grâce à l'exploitation du charbon.
    Aux environs de 1900, la population ouvrière du douaisis se déplaçait à proximité des mines et des usines.
    Loffre restait épargnée par ces implantations, ce qui explique que pendant la première moitié du XXe siècle il n'y eut que quelques constructions nouvelles dans le village. Loffre conservait ainsi son aspect rural, le cadre y restait agréable. Malgré sa situation au sein du bassin minier le paysage très campagnard continuait à contraster avec les rudes paysages industriels des environs. C'est avec la modernisation des moyens de communication, après 1950, que les habitants des communes voisines plus industrialisées ont cherché à s'éloigner du cadre de leur lieu de travail, préférant les zones rurales aux paysages plus rieurs.
    En vingt ans la population a doublé. Dix familles travaillaient dans la commune.

    En 2009, dans la commune une sablière est en cours d’exploitation et deux agriculteurs éleveurs continuent leur activité. Au fil du temps, Loffre a changé, cette commune à vocation agricole s’est transformée en village pavillonnaire.

    Héraldique

    Les armes de Loffre se blasonnent ainsi :"D'azur semé de fleurs de lys d'or, au cerf d'argent passant sur le tout."

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 585 inscrits, dont 241 votants (41,20 %), 4 votes blancs (1,66 %) et 232 suffrages exprimés (96,27 %). Tous les sièges sont pourvus dès le premier tour, ce qui inclut le maire sortant Éric Gouy, qui toutefois récolte le plus faible nombre de suffrages exprimés avec 217 voix[24] - [25].

    Liste des maires

    Seize maires se sont succédé à Loffre depuis la Révolution française[26].

    Titulaires de la fonction de maire de Loffre
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Hubert Manin (d)1 an
    Pierre Miens (d)1 an
    Pierre-Michel Caron (d)24 ans
    Pierre Miens (d)1 an
    Pierre-Antoine Caron (d)17 ans
    Guislain Legrand (d)13 ans
    Pierre-Joseph Caron (d)
    (mort le )
    22 ans
    Aimable Blanchart (d)
    ( - )
    17 ans
    Pierre-François Debève (d)1 an
    Charles Grimbert (d)[27]
    ( - )

    (mort en cours de mandat)
    7 ans, 4 mois et 11 jours
    Jules Poutrain (d)9 ans
    Philippe Poulet (d)
    (né le )
    15 ans
    François Fauqueux (d)10 ans
    Alphonse Poulet (d)
    ( - )
    48 ans
    Jean-Marie ChÅ“ur (d)[28]12 ans
    Yves Brillon (d)[29] - [30]25 ans
    Éric Gouy (d)[31] - [32]
    (né le )
    En cours9 ans, 3 mois et 5 jours indépendant
    • Tombe de Pierre-Joseph Caron dans le cimetière de l'église Saint-Roch.
      Tombe de Pierre-Joseph Caron dans le cimetière de l'église Saint-Roch.
    • Tombe de Charles Grimbert dans le cimetière de l'église Saint-Martin de Masny.
      Tombe de Charles Grimbert dans le cimetière de l'église Saint-Martin de Masny.
    • Détail de la stèle de Charles Grimbert.
      Détail de la stèle de Charles Grimbert.
    • Le maire de Rieulay Marc Delécluse avec Éric Gouy à Pecquencourt en octobre 2019.
      Le maire de Rieulay Marc Delécluse avec Éric Gouy à Pecquencourt en .

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 719 habitants[Note 8], en diminution de 3,75 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    120114128141185186161168181
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    202208217204188198208222248
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    236249222236248248319311284
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    357388511611702726760758755
    2014 2019 2020 - - - - - -
    747714719------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 359 hommes pour 363 femmes, soit un taux de 50,28 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    1,4
    8,7
    75-89 ans
    8,4
    20,0
    60-74 ans
    24,5
    25,9
    45-59 ans
    23,4
    15,5
    30-44 ans
    14,2
    13,8
    15-29 ans
    15,6
    15,2
    0-14 ans
    12,5
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Roch.
    • La chapelle Delcambre.
    • Les deux monuments aux morts de la Première Guerre mondiale.
    • L'église Saint-Roch.
      L'église Saint-Roch.
    • La chapelle Delcambre.
      La chapelle Delcambre.
    • Le monument ancien.
      Le monument ancien.
    • Le monument nouveau.
      Le monument nouveau.

    Personnalités liées à la commune

    Folklore

    Loffre avait pour géant le moine Guillaume mais il a disparu[40].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pecquencourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Loffre et Pecquencourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pecquencourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Loffre et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Eugène Mannier, Etudes etymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages de département du Nord, Auguste Aubry, , 395 p. (lire en ligne), p. 1186 LOFFE titre de l abbaye d Anchin 1195 LOFFES id 1254 LOFFRE id LAUFFE LOFFE documents divers Bullet fait venir Loffre du celtique le bord et auf rivière étymologie toute de fantaisie et peu satisfaisante Loffe Lauffc est plutôt un mot d'origine germanique c est le Lauffen ou Loffen des Allemands nom commun à plusieurs localités et rivières de ce pays Lauffen Loopen a signifié chez les anciens peuples du Nord couler courir fluere currere de fluviis aut fluviorum cataractis Lauffen cataracta Inde oppida dicta Laufen ubi Birsa Liufenberg ubi Rhenus prœceps mit Scherzius C'est un nom qui a été donné à certaines villes pour marquer un endroit où l'eau se précipitait ce qui peut s'entendre d'une cataracte pour les fleuves ou d'une cascade d'une chute d'eau pour les rivières et ruisseaux. Le nom de Loffre pourrait également venir de loof en hollandais feuillage verdure laube en teuton obumbra culum in forestis ombrage lieu ombragé. C'est en tous cas un nom d'origine germanique et la première étymologie est la plus probable.
    22. Victor Derode, Histoire de Lille, Volume 1, (lire en ligne), À partir de 1783 les villages et territoires de Dechy Erchin Férin Fles quières Guesnain Lallaing Loffre Masny Roucourt qui faisaient partie de la châtellenie de Bouchain furent réunis à la Flandre wallonne ainsi que les terres qui en dépendent et qui sont enclavées dans les villages de Waziers Sin le Noble Montigny Lewarde et Gœulzin par contre Erre Abscon Marquette furent cédés à la châtellenie de Bouchain Ainsi réduite elle contenait 44,223 bon niers. Elle se divisait en deux parties l'une au Midi sèche marneuse produisant de bons grains l'autre au Nord plus grosse et fertile donnant toute sorte de récoltes.
    23. « moulins », sur loffre-toussaintdomise.fr (consulté le )
    24. « Élections municipales, Loffre », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 34.
    25. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Loffre », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
    26. « Les maires », sur http://loffre-toussaintdomise.fr/.
    27. « D’hier à aujourd’hui Loffre : À Loffre, les premiers conseils municipaux se sont tenus dans un bistrot », La Voix du Nord,  : « Élu en 1888, Charles Grimbert fait adopter le projet de construction d’une mairie pour des raisons d’indépendance mais aussi de prestige. Inaugurée en 1889, elle sera financée par un don personnel du maire. Le bâtiment devient le cÅ“ur du village. Il est aménagé puis transformé sous les mandats de Jean-Marie ChÅ“ur (1977-1989) et Yves Brillon (1989-2014) successeurs d’Alphonse Poulet (dont le père Philippe fut maire de 1904 à 1918). »
    28. « Loffre : Jean-Marie Chœur appelle au regroupement des anciens combattants », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
      « Nous diviser c’est nous affaiblir, insiste l’ancien maire de Loffre de 1977 à 1989. »
    29. « Loffre : Yves Brillon, maire honoraire, reçoit cette distinction « avec fierté » », La Voix du Nord,  : « Premier adjoint de 1983 à 1989 puis maire jusqu’en 2014, Yves Brillon sera élevé ce vendredi à l’honorariat, une distinction qui récompense trente-et-un ans de dévouement à ses concitoyens, dont un quart de siècle comme premier magistrat. »
    30. « Cérémonie des vÅ“ux à Loffre : c’était la « der » pour Yves Brillon », La Voix du Nord,  : « De nombreux loffriens étaient réunis salle polyvalente pour assister aux derniers vÅ“ux du maire, Yves Brillon. »
    31. « Loffre : Yves Brillon passe l’écharpe tricolore à Éric Gouy », La Voix du Nord,  : « Dimanche 30 mars, Éric Gouy a pris la succession d’Yves Brillon qui se retire après trente ans au service des collectivités locales. »
    32. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
      « Loffre : sans étiquette »
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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