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Guesnain

Guesnain [ɡenɛ] est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France. La Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert la fosse Saint René.

Guesnain
Guesnain
La mairie en septembre 2018.
Blason de Guesnain
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Douaisis
Maire
Mandat
Maryline Lucas
2020-2026
Code postal 59287
Code commune 59276
Démographie
Gentilé Guesninois
Population
municipale
4 667 hab. (2020 en diminution de 0,58 % par rapport à 2014)
Densité 1 152 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 11″ nord, 3° 08′ 44″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 42 m
Superficie 4,05 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Aniche
Législatives Seizième circonscription
Localisation
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Guesnain
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Guesnain
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Guesnain
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Guesnain

    Géographie

    Guesnain dans son canton et son arrondissement

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Guesnain
    Montigny-en-Ostrevent
    Dechy Guesnain Loffre
    Roucourt Lewarde

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 680 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douai », sur la commune de Douai, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 716,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Guesnain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[17] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), zones urbanisées (39,8 %), prairies (11 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par la ligne A du bus à haut niveau de service de Douai ainsi que par la ligne 12 du réseau Évéole.

    Histoire

    bon communal de Guesnain émis en 1914. Archives nationales de France

    Une implantation humaine datant des Mérovingiens a été attestée par des fouilles, à proximité de l'église, à l'endroit où est bâtie l'actuelle médiathèque.

    Le domaine a appartenu à l’Abbaye de Maubeuge jusqu'à la Révolution.

    Le développement de la localité a été lié à l'exploitation minière dès le dernier tiers du XIXe siècle. En 1865, la Compagnie des mines d'Aniche réalisa le forage d'un premier puits, celui de la fosse Saint-René. Le deuxième puits fut mis en service en 1899.

    Les équipements eurent à souffrir lors de la Première Guerre mondiale. L'exploitation de la houille put reprendre dès 1921. Cette activité s'interrompit définitivement en 1964.

    Héraldique

    Les armes de Guesnain se blasonnent ainsi : "D'argent à trois chevrons de sable."

    Politique et administration

    Tombe de Georges Monchecourt au cimetière de Guesnain.
    Jean Pot lors du Grand Prix de Denain 2019.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-sept sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 384 inscrits, dont 1 710 votants (50,53 %), 14 votes blancs (0,82 %) et 1 673 suffrages exprimés (97,84 %). La liste étiquetée divers gauche Ensemble solidaires et responsables pour les guesninois menée par la maire sortante Maryline Lucas[24] recueille 1 007 voix (60,19 %) et remporte ainsi vingt-deux sièges au conseil municipal contre trois pour la liste divers gauche Guesnain, notre ville, votre avenir menée par Sylvain Devred avec 343 voix (20,5 %) et deux pour la liste divers droite Notre parti, c'est Guesnain menée par Éric Gola avec 323 voix (19,31 %)[25] - [26].

    Liste des maires

    Alexandre Derveaux a été conseiller général du canton de Douai-Sud de 1967 à 1985. Maryline Lucas devient en 2015 conseillère départementale du tout nouveau canton d'Aniche avec Charles Beauchamp.

    Maire en 1802-1803 : G. Leduc[27].

    Maire en 1807 : Jacquart[28].

    Maire en 1881 : Leleu-Haudion[29].

    Le groupe d'histoire locale de Guesnain dresse ainsi la liste des maires de Guesnain[30] :

    Titulaires de la fonction de maire de Guesnain
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Auguste Jacquart (d)8 mois
    Georges Monchecourt (d)
    (années 1900 - )

    (mort en cours de mandat)
    2 ans et 2 mois
    Henri Coupez (d)
    ( - )

    (mort en cours de mandat)
    14 ans
    René Golliot (d)
    ( - )

    (mort en cours de mandat)
    3 ans, 4 mois et 12 jours
    Jules Lekien (d)
    (mort le )

    (mort en cours de mandat)
    11 ans, 3 mois et 18 jours
    Alexandre Derveaux (d)
    ( - )
    31 ans Parti communiste français
    Jean Pot (d)[31]18 ans et 10 mois apparenté PCF (d)
    Maryline Lucas (d)[32] - [33]
    (née le )
    En cours9 ans et 3 mois Front de gauche
    Parti communiste français

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2020, la commune comptait 4 667 habitants[Note 8], en diminution de 0,58 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    360387415460495497493479427
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4304404595318109141 0041 0541 130
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7482 2452 5342 2932 8413 0413 2013 5644 298
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 7904 7024 7035 0765 0484 8824 6634 7154 651
    2020 - - - - - - - -
    4 667--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 184 hommes pour 2 507 femmes, soit un taux de 53,44 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,3
    6,5
    75-89 ans
    11,2
    17,4
    60-74 ans
    18,8
    18,2
    45-59 ans
    17,7
    18,4
    30-44 ans
    17,5
    17,8
    15-29 ans
    14,4
    21,3
    0-14 ans
    19,0
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Lieux et monuments

    • L'église Sainte-Aldegonde
    Bâti au milieu du XIXe s., l'édifice de brique et pierre se caractérise par la présence, de part et d'autre du portail, de deux anciens fûts de colonnes surmontés d'un chapiteau, dressés sans contact avec l'édifice lui-même. Ces deux éléments appartenaient à l'ancienne église du village.
    • Hôtel-de-ville
    La Mairie est installée dans l'ancien logement patronal de la brasserie.
    • Vestiges de l'ancienne brasserie
    La date de construction (1883) est encore parfaitement visible sur le cylindre de brique qui subsiste de la cheminée. La brasserie fut en service jusqu'au début de la Seconde Guerre mondiale[40].
    • L'église Sainte-Aldegonde.
      L'église Sainte-Aldegonde.
    • La chapelle Notre-Dame-de-Grâce.
      La chapelle Notre-Dame-de-Grâce.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le cimetière.
      Le cimetière.
    • Les vestiges de la fosse Saint-René, détruits en 2021.
      Les vestiges de la fosse Saint-René, détruits en 2021.

    Personnalités liées à la commune

    Daniel Leclerc y a entraîné l'équipe de football du SC Guesnain de 1990 à 1992

    Activités associatives, culturelles, festives et sportives

    • Les géants le Nain Gaillou et Maud de Saint-René[41], défilent chaque année avec d'autres pour une parade organisée par l'association Les Tiots de Guesnain[42].
    • Musiciens et choristes de L'Accord musical, association active depuis 1999[43].
    • Société colombophile[44]
    • Football : Le SC Guesnain, club local de niveau régional qui évolua en CFA 2 (5e division nationale) entre 1997 et 2000 et obtint la 5e place de ce championnat en 1998 (meilleur résultat du club)

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Douai - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Guesnain et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Douai - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Guesnain et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Julien Gilman, « Maryline Lucas veut mener au bout les projets de l'école et du Cœur d'îlot », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , p. C.
    25. « Élections municipales, Guesnain », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 33.
    26. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Guesnain », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 9.
    27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
    28. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 134-135 (images 164-165).
    29. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3.
    30. « Les maires de Guesnain dans l'Histoire récente », sur http://guesnainhistoirelocale.blogspot.com/, .
    31. « Guesnain : l’honorariat pour Jean Pot, l’ancien maire », La Voix du Nord,  : « Élu pour la première fois en 1989, et maire pendant dix-neuf ans à partir de 1995, Jean Pot a été fait maire honoraire de la commune. Une initiative de sa remplaçante, Maryline Lucas. »
    32. J.-F. Guybert, « Canton d’Aniche : Charles Beauchamp et Maryline Lucas passent devant le FN », La Voix du Nord,  : « Ils étaient qualifiés pour le second tour, mais avaient devant eux les candidats du Front national. Finalement, les deux représentants du Parti communiste l’emportent de 1692 voix dans le nouveau canton d’Aniche »
    33. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
      « Guesnain : Parti communiste »
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guesnain (59276) », (consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    40. Base Mérimée
    41. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15
    42. Site de l'association Les Tiots de Guesnain
    43. Site de L'Accord musical
    44. La Voix du Nord du 28 nov. 2008
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