Rédené
Rédené [ʁedene] (en breton : Redene) est une commune française, située dans le département du Finistère en région Bretagne. Son nom est Redene en breton.
Rédené | |
Rédené : l'entrée du bourg. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Quimper |
Intercommunalité | Quimperlé Communauté |
Maire Mandat |
Yves Bernicot 2020-2026 |
Code postal | 29300 |
Code commune | 29234 |
Démographie | |
Gentilé | Rédénois[1] |
Population municipale |
2 911 hab. (2020 ) |
Densité | 119 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 51′ nord, 3° 28′ ouest |
Altitude | Min. 4 m Max. 81 m |
Superficie | 24,49 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Lorient (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Quimperlé |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.redene.bzh |
Géographie
Localisation
Rédené est une commune périurbaine du département du Finistère située à la périphérie de la ville de Quimperlé. Le chef-lieu est distant de 7 km de la ville de Quimperlé, située à l'Ouest-Nord-Ouest. La commune est située à 443 km au sud-ouest de Paris, à 137 km au sud-ouest de Rennes, à 158 km à l'ouest de Nantes et à 14 km au nord-ouest de Lorient.
La commune compte 2 743 habitants et fait partie du canton de Quimperlé. Avant 2015 elle faisait partie du canton d'Arzano. Elle appartient à la Communauté de communes du Pays de Quimperlé.
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Géographie physique
Le cours de l'Ellé sert de limite physique au nord avec la commune voisine de Tréméven. La commune est par ailleurs traversée par le Scave, un affluent de rive droite du Scorff. Au nord de la commune, aux abords de l'Ellé, s'étend le Bois de Rosgrand, un site naturel aménagé qui offre de magnifiques points de vue sur la rivière. Le site est escarpé et on peut s'y adonner à la pratique de l'escalade. Le bois a servi de repaire aux maquisards pendant la Seconde Guerre mondiale.
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- L'Ellé entre le moulin de Kergueff et le Bois de Rosgrand (à gauche de la photographie, la rive droite en Tréméven, à droite la rive gauche en Rédené).
- L'Ellé entre le moulin de Kergueff et le Bois de Rosgrand : une vallée encaissée et sauvage.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 12 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Rédené est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lorient, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16] - [17].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 5,8 % | 142 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 1,3 % | 33 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 34,8 % | 856 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 4,3 % | 107 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 37,7 % | 928 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 1,7 % | 41 |
Forêts de feuillus | 10,4 % | 255 |
Forêts de conifères | 3,2 % | 78 |
Forêts et végétation arbustive en mutation | 0,9 % | 23 |
Source : Corine Land Cover[18] |
L'occupation des sols montre la prédominance des territoires agricoles sur la forêt et les milieux semi-naturels : 78,5 % contre 14,5 %. La forêt, qui occupe 13,6 % de la surface communale, est constituée majoritairement de feuillus. Les zones urbanisées, qui occupaient 106 ha en 1990, en occupent 142 ha en 2018 soit une croissance de 34 %.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
La présence de monuments mégalithes confirme le peuplement du pays de Lorient à partir de 3 000 ans av. J.-C. Des vestiges de voies romaines reliant Vannes à Quimper confirment l’occupation des Gallo-romains.
Moyen Âge
Attestée comme paroisse depuis le XIe siècle, Rédené appartenait alors à l’importante seigneurie du Kemenet-Héboé. Celle-ci est découpée au XIIIe siècle, et la paroisse devient partie prenante de celle de La Roche-Moisan. En 1070, Mainguy de Porhoët [Maenyui du Porhoët], évêque de Vannes, donna aux religieux de l'abbaye Sainte-Croix de Quimperlé les dîmes qu'il possédait dans cette paroisse[19].
En juillet 1342, dans une lande au lieu-dit Roscaquen, les mercenaires espagnols de Louis d'Espagne épaulé par des arbalétriers génois livrèrent bataille aux hommes de Gauthier de Mauny, fidèle soutien de Jeanne la Flamme. Bien que les Hispano-génois fussent en supériorité numérique avec 6000 hommes de troupe contre seulement 3000 dans le camp des Anglo-bretons, ils furent battus par ces derniers. Dans les rangs des Anglo-bretons, composés de fantassins et d'archers, combattaient notamment Amaury de Clisson, Yves de Trésiguidy, Guillaume de Cadoudal, les frères Henri et Olivier de Spinefort. Les archers anglais, dont la cadence de tir était bien supérieur à celle des arbalétriers génois, firent en particulier de nombreuses victimes dans le camp adverse. Louis d'Espagne parvint à se sauver avec environ 300 hommes, seuls débris de son armée. Il réussit à regagner le rivage où ses troupes avaient débarqué pour regagner la mer et rejoindre la ville de Redon[19]. Le souvenir de cette bataille est conservé dans le nom du lieu où celle-ci s'est déroulé. En effet le toponyme breton Roscaquen signifie le tertre aux casques en français, sans doute en raison des nombreux morts qui jonchaient le sol.
Le XVe siècle
Les maisons nobles qui existaient à Rédené en 1440 étaient : le manoir de Rosangrat ou Rosgrand à Louis du Tertre, La Villeneuve à Jean Le Bourhis, Limiziec à Charles de Kerhiec, le manoir du Plessis au sieur de Quimerch, le manoir de Prateusmonter à Jean de Kerneau, le manoir de Kerdoharn à Jean de Renerven et le manoir de Benerven à Robin Le Digoedec[19].
Le XVIIIe siècle
En 1759 la paroisse de Rédené devait chaque année fournir 25 hommes pour servir de garde-côtes[20].
Le géographe Jean-Baptiste Ogée donne une population de 2000 communiants pour la paroisse de Rédené, y compris sa trêve de Saint-David.
Révolution
En 1790, la paroisse appartenant jusque-là au pays vannetais est incluse dans le département du Finistère. Arzano, Guilligomarc'h et Rédené sont les trois paroisses du diocèse de Vannes, donc parlant le vannetais, rattachées au département du Finistère.
En août 1791, le territoire de Rédené est amputé de l’importante trêve de Saint-David, rattachée à Quimperlé. La population diminue alors de moitié. Cette même année, l’église perd son statut de paroisse et dépend alors de Quimperlé. Rédené prend majoritairement le parti de la contre-révolution[21].
Le XIXe siècle
L'économie demeure longtemps principalement rurale et la population augmente lentement dans le courant du XIXe siècle.
Un rapport d'avril 1872 indique que Rédéné fait partie des 28 communes du Finistère à être encore sans école[22].
La Belle Époque
Le , Troadec, curé de Rédené, fait partie des 31 prêtres du diocèse de Quimper dont les traitements[23] sont retenus par décision du gouvernement Combes « tant qu'ils ne feront pas emploi de la langue française dans leurs instructions et l'enseignement du catéchisme » car ils utilisaient le breton[24]. Pourtant cette même année 1903, le dit curé écrit : « Étant donné la difficulté que nous autres, fidèles du Finistère, nous avons à parler le vannetais qui est l'idiome exclusif de cette paroisse, nous ne pouvons, mon vicaire et moi, que favoriser l'extension du français »[25].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Rédené porte les noms de 53 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[26].
L'Entre-Deux-Guerres
La Première Guerre mondiale marque une chute du niveau de la population amplifié par l’exode rural.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Rédené porte les noms de dix-sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[27].
Par ailleurs, Auguste Robic, né le à Rédené, maquisard de la 2e compagnie FFI du capitaine Mercier, fut tué à l'ennemi le à la Croix de Lanveur en Kernével[28].
Le château de Rosgrand, propriété de la famille de André Coquebert de Neuville, accueillit de nombreux résistants. Le , le château est encerclé par les allemands mais les maquisards parviennent à s'enfuir. André trouve refuge dans une grotte du bois de Rosgrand. Quelques jours plus tard il décide de retourner au château pour récupérer le matériel radio et des armes mais il est abattu par une rafale de mitraillette dans le bois.
L'après-Seconde-Guerre-mondiale
Un soldat (Étienne Cruguel[29]) originaire de Rédené est mort pendant la Guerre d'Indochine et un autre (Vincent Le Berre) pendant la Guerre d'Algérie. Après avoir perdu des habitants, Rédené est redevenu attractive à partir de 1968 grâce à une modernisation entreprise dans les années 1960. De nouveaux résidents s’installent. Rédené séduit une population provenant du sud Finistère comme de la région lorientaise. Ainsi le gain de population est de 1855 habitants entre 1968 et 2017, soit presque un triplement du nombre d'habitants.
Toponymie
L'origine du nom Rédené est obscur. Il pourrait provenir du breton « raden » qui signifie « fougère » ou du celtique « red » qui signifie « gué ».
On rencontre les appellations suivantes : Redene (en 1066-1081), Redenne (en 1382), Redené (en 1793 et en 1801).
À signaler que l'orthographe officielle est Rédené cependant la population locale et de nombreuses autres sources (site municipal officiel, panneaux de signalisation routière, almanach des postes…) ont pour habitude d'orthographier le nom de la commune en Rédéné.
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2020, la commune comptait 2 911 habitants[Note 7], en augmentation de 0,52 % par rapport à 2014 (Finistère : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (32,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 29,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 482 hommes pour 1 425 femmes, soit un taux de 50,98 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Les indicateurs de revenus et de fiscalité à Rédené et dans l'ensemble du Finistère en 2016 sont présentés ci-dessous.
Monuments
- L'église Notre-Dame-de-Lorette restaurée en 1904/05 par Charles Chaussepied, l’église se réfère au sanctuaire marial de la Sainte Maison de Lorette sur les bords de la Mer Adriatique.
- La chapelle Sainte-Marguerite. Cet édifice rectangulaire du XVIe siècle, cantonné de quatre contreforts d'angle, semble avoir été commandité, peu après 1500, par les Caric, seigneurs voisins du manoir de la Porte. Décorée de fleurs de lis au chevet et de deux angelots sur la porte latérale, la petite sacristie est un ajout du début du XXe siècle. Percée par un obus en septembre 1944, la chapelle est rapidement restaurée. Un pardon y est célébré le deuxième dimanche de juillet.
- La chapelle de Rosgrand. La chapelle de Rosgrand dite de la Mère de Dieu est située dans un enclos attenant à l’ensemble de la propriété de Rosgrand. Cette chapelle funéraire fut construite en 1766 pour Simon Joly, sénéchal de Quimperlé et propriétaire du domaine de Rosgrand, avec des éléments provenant de différents édifices ruinés du secteur. Voulu comme mausolée familial et musée, l’édifice, béni en 1781, possède de nombreux remplois de qualité (porte du XVIe siècle, armoiries). La chapelle est une construction en schiste et granite avec moellons et enduit partiel. La toiture est à longs pans et recouverte d’ardoises. De plan rectangulaire, la chapelle a subi des modifications depuis sa création, notamment sur le clocher : à l’Est le rajout d’une sacristie et d’une tour carrée (vers 1900) enfermant un escalier tournant donne accès à l’ancienne chambre de cloche. La flèche surmontant la tour a disparu. La partie ouest de la chapelle est en partie semi enterrée et sert de caveau. Le mur latéral est percé d’un “portail antique”. L’enclos possède des piliers monumentaux coiffés des statues et d’armoiries sculptées.
- Rédené : l'église paroissiale Notre-Dame-de-Lorette.
- Rédené : la chapelle Sainte-Marguerite.
- Rédené : fontaine de dévotion située dans le bourg.
- Rédené : statues et inscription sur un mur (dans le bourg).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- gentilé d'après le portail géographique de la Bretagne
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Lorient-Lann Bihoue - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Rédené et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole communes; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne,tome 2, 1845 page 436
- "Ordonnance… portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne…", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f6.image.r=Pleuven?rk=107296;4
- http://fr.topic-topos.com/redene
- Armand Pihoret, « Rapport présenté au conseil général du département par M. Armand Pihoret, préfet du Finistère », Rapports et délibérations / Conseil général du Finistère, (lire en ligne, consulté le ).
- En vertu du Concordat, les prêtres étaient alors payés par l'État
- Journal La Croix no 6064 du 18 et 19 janvier 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2199243/f1.image.r=Pouldreuzic.langFR
- Fanch Broudic, L'interdiction du breton en 1902 : la IIIe République contre les langues régionales, Spézet, Coop Breizh, , 182 p. (ISBN 2-909924-78-5).
- Memorialgenweb.org - Rédené : monument aux morts
- Memorialgenweb.org - Rédené : les morts de 1939-1945
- Memorialgenweb.org - Auguste ROBIC
- Étienne Cruguel, né le à Guilligomarc'h, caporal-chef au 31e bataillon du génie, mort en captivité en septembre 1954 à Ðiện Biên Phủ
- « Élu maire de Rédené, Yves Bernicot succède à Jean Lomenech », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
- « Pays de Quimperlé. Rédéné : Yves Bernicot élu maire de la commune », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rédené (29234) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Finistère (29) », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 à Rédené » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 dans le Finistère » (consulté le ).
Voir aussi
Article connexe
Liens externes
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