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Rébénacq

Rébénacq est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Rébénacq
Rébénacq
L'église Saint Jean-Baptiste de Rébénacq.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée d'Ossau
Maire
Mandat
Alain Sanz
2020-2026
Code postal 64260
Code commune 64463
Démographie
Population
municipale
653 hab. (2020 en diminution de 4,11 % par rapport à 2014)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 36″ nord, 0° 23′ 44″ ouest
Altitude Min. 257 m
Max. 516 m
Superficie 10,50 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rébénacq
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Rébénacq
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Rébénacq
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Rébénacq

    Le gentilé est Rébénacquois[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Rébénacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 17 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 19 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bescat (4,5 km), Bescat (4,8 km), Lasseubetat (5,2 km), Sévignacq-Meyracq (5,2 km), Haut-de-Bosdarros (5,5 km), Buzy (5,8 km), Bosdarros (6,3 km), Sainte-Colome (6,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Rébénacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Communes limitrophes de Rébénacq[7]
    Gan Bosdarros
    Buzy Rébénacq Sévignacq-Meyracq
    Bescat

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Rébénacq.

    La commune est drainée par le Neez, le Soust et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le Neez, d'une longueur totale de 26,1 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq-Meyracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Jurançon, après avoir traversé 5 communes[9].

    Le Soust, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq-Meyracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Pau, après avoir traversé 7 communes[10].

    • Culture locale et patrimoine
    • La source captée de l'Œil du Néez, ou "L'Oelh deth Néez".
      La source captée de l'Œil du Néez, ou "L'Oelh deth Néez".
    • Plaque commémorative du captage de l'Œil du Néez.
      Plaque commémorative du captage de l'Œil du Néez.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 398 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[16] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[17] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 304,6 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 27 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[24], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[25] - [Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Rébénacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [26] - [27] - [28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29] - [30].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,9 %), forêts (32,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), mines, décharges et chantiers (6,3 %), zones urbanisées (4,2 %), terres arables (1,1 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Lieux-dits et hameaux

    • Bitaube ;
    • las Bouderies ;
    • Ger ;
    • Hourquet ;
    • Pic ;
    • la Serre ;
    • Village.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rébénacq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Soust et le Nez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 2007, 2009, 2011, 2014 et 2018[34] - [32].

    Rébénacq est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[35]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36] - [37].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[38]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[39].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rébénacq.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 91,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [41].

    Toponymie

    Le toponyme Rébénacq apparaît[42] sous les formes Arrevenac (1346, contrats de Barrère[43]), Revenac (1385, censier de Béarn[44]), Bastide de Rebenacq (1445, dénombrement de Rébénacq[45]), Arrebenag (1457, notaire d'Assat[46]) et Rebenac à la Révolution.

    Son nom béarnais est Revenac[47] ou Rebenac[48].

    La commune tient son nom de Jean de Rébénacq, officier de Gaston Fébus chargé de la construction de la bastide[49].

    Histoire

    En 1385, Rébénacq comptait 25 feux et dépendait du bailliage de Nay[42].

    La bastide de Rébénacq est une bastide créée par Gaston Fébus en 1347. La commune tire son nom de son constructeur, Roger d'Arevenac, officier vicomtal.

    Lors de la Révolution française, un suffrage censitaire est institué pour les élections municipales. Seules les personnes dont le montant de l’impôt direct était supérieur à l’équivalent de trois journées de travail pouvaient voter. Les communes pouvaient ajuster ce montant, et Rebenac le fit. Le montant prévu par l’Assemblée constituante ne permettait qu’à 11 personnes de voter. En abaissant le montant du cens à 18 sol, elle permit à 130 personnes de devenir citoyens actifs[50].

    Le 14 juin 1944, trois policiers résistants, Louis Mourlhon, Michel Loustau et Pierre Cotonat sont exécutés par l'armée allemande à Rébénacq. Le corps du premier sera retrouvé dans une fosse commune à Idron.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 1989 Joël Barradat
    1989 En cours Alain Sanz MoDem

    Intercommunalité

    La commune fait partie de quatre structures intercommunales[51] :

    La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].

    En 2020, la commune comptait 653 habitants[Note 11], en diminution de 4,11 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8106818359531 1391 0701 1031 1051 119
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0271 0051 004949945924840865785
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    840825835681665621589527559
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    543541505519672673659660681
    2015 2020 - - - - - - -
    678653-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Rébénacq fait partie de l'aire urbaine de Pau.

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
    La pureté des eaux du Neez a permis le développement de la pisciculture.
    De son passé industriel (papeterie, marbrerie), il reste surtout plusieurs carrières de roches massives, servant notamment à la construction de route et d'enrochements, en activité sur le territoire de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Fête communale le jour de la Saint-Jean.

    Patrimoine civil

    • Bastide médiévale du XIVe siècle.
    • Château de Bitaubé (XVIIIe siècle).
    • De nombreuses fontaines et lavoirs répartis sur tout le territoire du village.
    • Des bains thermaux (XIXe siècle).

    Patrimoine religieux

    • Église Saint-Jean-Baptiste des XVIIIe et XIXe siècles.

    Équipements

    La commune possède une école primaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste de Bitaubé, expatrié (Cadix) de retour au pays en 1775, fit construire le château qui domine le village, et qui porte son nom.
    • Rose Caubet (1842-1923), couturière et cafetière française proche des milieux anarchistes, notamment impliquée dans la Commune de Paris. Elle est née et a grandi dans une maison très modeste située au début de la route de Bosdarros (disparue aujourd'hui).

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    7. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Rébénacq » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Rébénacq », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Rébénacq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Rébénacq et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Rébénacq et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Rébénacq », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Rébénacq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le Neez ».
    10. Sandre, « le Soust ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Asson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Rébénacq et Asson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Asson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Rébénacq et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    25. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    32. « Les risques près de chez moi - commune de Rébénacq », sur Géorisques (consulté le )
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    35. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le )
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    37. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    38. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    39. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rébénacq », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
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    43. Barrère, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle- Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    44. Manuscrit de 1385 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    45. Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    46. Notaire d'Assat - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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    55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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