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Sainte-Colome

Sainte-Colome (en béarnais Senta-Coloma ou Sénte-Couloume) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Sainte-Colome
Sainte-Colome
Vue générale sur Sainte-Colome
depuis le nord.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée d'Ossau
Maire
Mandat
Jean-Pierre Garrocq
2020-2026
Code postal 64260
Code commune 64473
DĂ©mographie
Gentilé Saints-Colombiens/Saints-Colomois
Population
municipale
360 hab. (2020 en augmentation de 2,56 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 39 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 06â€Č 12″ nord, 0° 24â€Č 06″ ouest
Altitude Min. 347 m
Max. 618 m
Superficie 9,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Sainte-Colome
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Sainte-Colome
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Sainte-Colome
Liens
Site web https://www.sainte-colome.fr

    Ses habitants s'appellent les Saints-Colombiens ou Saints-Colomois.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Sainte-Colome se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  25 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  22 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : SĂ©vignacq-Meyracq (1,4 km), Arudy (2,1 km), Louvie-Juzon (2,1 km), Izeste (2,2 km), Bescat (3,2 km), Castet (3,9 km), Lys (5,1 km), Buzy (5,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sainte-Colome fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].

    Communes limitrophes de Sainte-Colome[6]
    SĂ©vignacq-Meyracq Lys
    Sainte-Colome
    Louvie-Juzon
    Une ruelle de Sainte-Colome.
    Claveau de porte daté 1563.

    Hydrographie

    Le Landistou prend source sur la commune au nord-est du village, et se dirige vers le nord-est pour rejoindre le BĂ©ez (affluent du gave de Pau) sur la commune de Bruges12,5 km plus loin[6].

    À l'est, la commune est bordĂ©e par l'arriou d'Ombratiou et par son affluent le ruisseau de la fontaine de MesplĂ©, ce dernier alimentĂ© sur le territoire de la commune par le ruisseau de Subercase. Le ruisseau d'Ombratiou se jette dans le ruisseau LestarrĂšs, affluent du BĂ©ez[6].

    Le gave d'Ossau coule Ă  moins de 250 m de la pointe ouest de la commune[6].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 484 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[12] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 304,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  33 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[18].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[19] - [20]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : la « tourbiĂšre de PĂ©destarrĂšs », objet d'un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de protection de biotope, d'une superficie de 33,8 ha[21].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[23] - [Carte 1] :

    • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique avec un systĂšme de saligues[Note 7] encore vivace[24] ;
    • la « tourbiĂšre de Louvie-Juzon », d'une superficie de 31,22 ha, une tourbiĂšre haute d'intĂ©rĂȘt majeur en particulier valeur palynologique[25] ;

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[26] - [Carte 2] : le « tourbiĂšre de Louvie-Juzon » (38,69 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Colome est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [28] - [29] - [30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[31] - [32].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (63,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (63,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (61,2 %), forĂȘts (36,7 %), terres arables (1,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,4 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Lieux-dits et hameaux

    Les hameaux incluent Augareils, Minda et de nombreux petites unités dispersées dans les replis de montagne[6].

    Voies de communication et transports

    Le GR78 traverse la commune d'est en ouest[6].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-Colome est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[34]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[35].

    Sainte-Colome est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[36]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[37] - [38].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[39]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[40].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Colome.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[41]. 88,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [42].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 2007, 2009 et 2021[34].

    Toponymie

    Le toponyme apparaĂźt sous les formes Sancta-Columba (vers 1100[43], titres de Mifaget[44]), Sente-Colome (1277[43], cartulaire d'Ossau ou Livre rouge[45]), Sanctus-Silvester de Sainte-Colome (1655, insinuations du diocĂšse d'Oloron[46]), Sainte-Colomme (1863, dictionnaire de Paul Raymond[43]).

    Selon la légende le nom vient de sainte Colombe, jeune martyre à Sens vers l'an 300[47].

    Son nom béarnais est Senta-Coloma[48] ou Sénte-Couloume[49].

    Andouste, mont situé sur la commune, est mentionné en 1443[43] sous la forme Andoste (rÚglement de la Cour Majour[50]).

    Histoire

    Préhistoire

    La grotte Tastet[51] - [52] - [53] - [54] - [55] fait partie d'un groupe de huit gisements connus en grotte et en abri datant du MagdalĂ©nien moyen et supĂ©rieur situĂ©s dans un rayon de moins de 2 kilomĂštres autour de la ville d'Arudy, Ă  une altitude comprise entre 400 et 500 m[56]. Parmi celles-ci, sur Arudy la grotte d'Espalungue (aussi appelĂ©e grotte d'Izeste) qui a livrĂ© un abondant mobilier dĂ©corĂ©[57] et oĂč F. Garrigou a trouvĂ© entre autres un os mĂ©tatarsien humain portant trois stries[58] ; la grotte Saint-Michel, Ă©galement riche en art mobilier[57]. Mais la grotte Tastet est la seule grotte ornĂ©e connue (en 2013) dans les PyrĂ©nĂ©es bĂ©arnaises[59].

    La grotte Tastet se trouve dans la pointe ouest de la commune, entre le GR78 et la D232 menant Ă  SĂ©vignacq-Meyracq[6]. Elle est Ă  environ 512 m d'altitude sur le versant est du bassin d'Arudy, dans une barre calcaire haute d'environ 2,5 m, orientĂ©e NO-SE et qui affleure Ă  cet endroit sur plusieurs dizaines de mĂštres au milieu de formations de marnes schisteuses[60].

    De nos jours, son entrĂ©e fait 0,5 m de hauteur pour une largeur de m. Elle ouvre sur une salle de 10 m2 pour une hauteur maximum de m, suivie d'une galerie Ă©troite et rectiligne d'environ 15 m de long orientĂ©e vers le sud-est[n 1] - [60]. Il semble qu'au MagdalĂ©nien son entrĂ©e ait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©e d'un auvent, aujourd'hui disparu[59].

    Elle a Ă©tĂ© fouillĂ©e Ă  partir de 2012 par l'Ă©quipe de Jean-Marc PĂ©tillon[61], avec une 8e campagne de fouilles en 2020[62]. L'intĂ©rieur de la grotte leur a livrĂ© des sĂ©quences du MagdalĂ©nien moyen rĂ©cent[61] (environ 17 800 Ă  16 800 ans cal. AP Ă  l'intĂ©rieur, surmontant une couche du dĂ©but du MagdalĂ©nien moyen datĂ©e Ă  18 000 - 17 800 ans cal. AP[63].
    L'extérieur, sous l'ancien auvent[64], a été fouillé jusqu'à une couche datant du tout début du Magdalénien moyen (vers 19 ka cal. AP)[65].
    Le Magdalénien supérieur est totalement absent du site[66].

    Elle a livré 74 piÚces d'industrie osseuse dont 33 du Magdalénien moyen récent : lissoirs et aiguilles à chas en os ; et en bois de renne des outils intermédiaires de type coin/ciseau, plusieurs pointes de projectiles uniquement à biseau simple, des fragments de baguettes demi-rondes[67].

    L'industrie lithique de la mĂȘme Ă©poque inclut un outillage sur lames rĂ©guliĂšres façonnĂ©es au percuteur tendre organique ; une dizaine de fragments de lames robustes en silex du Bergeracois ; des supports de microlithes fabriquĂ©s Ă  partir de blocs ou d’éclats, dont presque une centaine de lamelles Ă  dos tronquĂ©es de type triangle scalĂšne[68].

    Sa décoration pariétale, dans le style du Magdalénien moyen, inclut deux bisons, deux chevaux et une série de traits gravés, le tout en un panneau d'environ m2 sur la paroi sud de la petite salle[59]. Elle est connue depuis les années 1970[69].

    Moyen-Âge

    Durant les XIIe et XIIIe siÚcles, les seigneurs de Sainte-Colome se livrÚrent à des expéditions punitives contre les habitants de la commune limitrophe de Pont-Long. En 1385, Sainte-Colome comptait 91 feux et dépendait du bailliage d'Ossau. Au XIVe siÚcle, la grande peste fut particuliÚrement virulente et l'on dénombra 90 décÚs à Sainte-Colome et 40 au hameau du Bourdelat. En août 1569, en pleine guerre de Religion, Sainte-Colome a été victime d'une attaque de Montgoméry.

    Paul Raymond note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

    XIXe siĂšcle

    La commune de Lys a été séparée de Sainte-Colome en 1858.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2001 Paul Garrocq
    2001 2008 Jean Boussou
    2008 2014 Jean Boussou

    Intercommunalité

    La commune fait partie de six structures intercommunales[70] :

    • la communautĂ© de communes de la VallĂ©e d'Ossau ;
    • le syndicat d'eau de la vallĂ©e d'Ossau ;
    • le syndicat d'Ă©lectrification du Bas-Ossau ;
    • le syndicat de la perception d'Arudy ;
    • le syndicat de regroupement pĂ©dagogique de Sainte-Colome et SĂ©vignacq-Meyracq ;
    • le syndicat intercommunal d'assainissement de Sainte-Colome.

    Sainte-Colome accueille le siÚge du syndicat de regroupement pédagogique de Sainte-Colome et Sévignacq-Meyracq.

    La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-BĂ©arn.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[72].

    En 2020, la commune comptait 360 habitants[Note 12], en augmentation de 2,56 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5911 4411 4871 4601 6801 7401 8261 7771 755
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 789676654630616589603574543
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    507508486434386358315321299
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    322280284256283268326334365
    2017 2020 - - - - - - -
    356360-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[73] puis Insee Ă  partir de 2006[74].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage ainsi que vers l'horticulture (hibiscus). Sainte-Colome fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
    Des carriÚres de marbre, aujourd'hui fermées, subsistent sur le territoire de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Ruines du chĂąteau.
    • Grotte Tastet, seule grotte ornĂ©e connue dans les PyrĂ©nĂ©es bĂ©arnaises[59], datant du MagdalĂ©nien (voir plus haut la section « PrĂ©histoire »)
    • Oppidum protohistorique.
    • ChĂąteau, ancienne maison forte des XIIIe et XIVe siĂšcles, inscrit Ă  l'inventaire des Monuments Historiques le 29 avril 1999[p 1]. Il a Ă©tĂ© incendiĂ© en 1569, lors de la campagne des Huguenots pour reprendre le BĂ©arn Ă  Charles IX[75]. Durant cet Ă©pisode (troisiĂšme guerre de religions), les Huguenots Ă©taient commandĂ©s par Gabriel de Montgomery, lieutenant gĂ©nĂ©ral de la reine de Navarre, Jeanne III d'Albret.
    • Maisons du XVIe siĂšcle et du XVIIe siĂšcle. Certaines s'ornent de linteau ouvragĂ© ou de personnages et d'angelots encadrant les fenĂȘtres.
    • Lavoir.
    • Monument aux Morts.
    • Plaque en mĂ©moire de 18 Poilus de 1914-1918 (dans l'Eglise).

    Patrimoine religieux

    Les trois croix.
    • Église Saint-Sylvestre de style gothique flamboyant, des XVe et XVIe siĂšcles, classĂ©e Monument Historique le 12 juillet 2001[p 2]. L'Ă©glise contient un certain nombre d'objets classĂ©s[p 3] :
      • deux sculptures : une Vierge Ă  l'Enfant[p 4] et un Christ en croix[p 5]
      • deux tableaux : Vierge et St Jean devant la Croix[p 6], et St François-Xavier tenant un crucifix et un livre[p 7]
      • le retable latĂ©ral sud et sa sculpture : St SĂ©bastien[p 8]
      • Autel, retable et tableau : Assomption de la Vierge[p 9]
      • Autel, retable, gradin d'autel, tabernacle, statues (maĂźtre-autel)[p 10]
      • le lutrin[p 11]
      • les fonts baptismaux et leur dĂ©cor[p 12]
      • un confessionnal[p 13]
      • le chĂąsse-reliquaire de Ste Colome[p 14]
    • Étape sur le chemin du Piedmont pyrĂ©nĂ©en (ou el cami deu pĂ© de la coste), un itinĂ©raire secondaire du pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
    • Calvaire du BoilĂ€ Trois croix, dominant le village.

    Sainte Colome se trouve sur deux itinéraires du pÚlerinage de Saint Jacques de Compostelle. Celui de la voie du piémont qui passe par Sévignacq-Meyracq et Bescat pour rejoindre Oloron Sainte-Marie et un autre qui passe par Louvie-Juzon pour gagner Laruns.

    Équipements

    La commune possÚde une école primaire et un parc de jeu aménagé par la commune.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[9].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
    7. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    Notes de type "n"
    1. Voir Langlais & PĂ©tillon 2019, p. 6, fig. 2 pour un plan de la grotte Tastet sans la galerie sud-est.

    Références

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    6. « Sainte-Colome, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
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    9. « autel, retable et tableau : Assomption de la Vierge », notice no PM64002419, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    10. « autel, retable, gradin d'autel, tabernacle, statues (maßtre-autel) », notice no PM64000389, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
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    12. « fonts baptismaux et leur retable », notice no PM64002422, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    13. « confessionnal », notice no PM64002421, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • [Langlais & PĂ©tillon 2019] Mathieu Langlais et Jean-Marc PĂ©tillon, « Les PyrĂ©nĂ©es, une frontiĂšre prĂ©-historiographique pour le MagdalĂ©nien ? RĂ©flexions Ă  partir du MagdalĂ©nien moyen rĂ©cent de la grotte Tastet (Sainte-Colome, PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques) », dans Marianne Deschamps, Sandrine Costamagno, Pierre-Yves Milcent, Jean-Marc PĂ©tillon, Caroline Renard et Nicolas Valdeyron (dir.), La conquĂȘte de la montagne : des premiĂšres occupations humaines Ă  l'anthropisation du milieu (Actes du 142e congrĂšs du CTHS, avril 2017), Éditions du ComitĂ© des travaux historiques et scientifiques, coll. « Actes des congrĂšs nationaux des sociĂ©tĂ©s historiques et scientifiques », (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr).

    Articles connexes

    Liens externes

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