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Puget-Théniers

Puget-Théniers (So Puget Tenier dans la variété d'occitan locale[1], Poggetto Tenieri en italien) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Pugetois.

Puget-Théniers
Puget-Théniers
Vue sur le village en grimpant vers le col de Saint-Raphaël.
Blason de Puget-Théniers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté de communes Alpes d'Azur
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Corporandy
2020-2026
Code postal 06260
Code commune 06099
DĂ©mographie
Gentilé Pugetois
Population
municipale
1 826 hab. (2020 en diminution de 3,03 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 187 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 57′ 25″ nord, 6° 53′ 39″ est
Altitude Min. 353 m
Max. 1 436 m
Superficie 9,76 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vence
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Puget-Théniers
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Puget-Théniers
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Puget-Théniers
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Puget-Théniers

    Jusqu'en 1860, le nom officiel en italien était « Poggetto Tenieri ».

    GĂ©ographie

    Localisation

    Puget-Théniers est une cité méridionale ramassée au confluent de la Roudoule et du Var. Elle est située dans la moyenne vallée du Var, à environ 60 kilomètres de Nice.

    Les communes limitrophes sont Entrevaux, Auvare, La Croix-sur-Roudoule, La Penne, Puget-Rostang, Rigaud et Touët-sur-Var.

    GĂ©ologie et relief

    Le territoire de la commune s'Ă©tend entre 320 m et 1 450 m (Ă  la cime du Gourdan).

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité moyenne[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau traversant la commune :

    • La commune est traversĂ©e d'ouest en est par le Var[3].
    • Rivière la Roudoule,
    • 5 ruisseaux[4].

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[5].

    Voies de communications et transports


    Voies routières

    Commune desservie par la route nationale 202.

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

    • Lignes d'Azur, rĂ©seau de la RĂ©gion Sud Provence Alpes CĂ´te d’Azur[6].
    • Liaison par la ligne Nice-Digne qui assure 4 navettes par jour.
    • Le train des Pignes Ă  vapeur[7].

    Urbanisme

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[8].

    Typologie

    Puget-Théniers est une commune rurale[Note 1] - [9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Attestée sous la forme Pogit au XIe siècle de pogittum (« petit podium »).
    Qualifiée en latin médiéval de Pugetum Tenearum en 1346 , la ville se voit alternativement appelée lo puget de tenias en dialecte local et poggetto en italien, avant de se fixer sous la forme actuelle Puget-Théniers.

    Selon Charles Jacquet, les deux éléments du nom désignent[16] :

    • l’un, une petite montagne, sous la forme d’un diminutif de puy : le puget ;
    • l’autre, le fleuve Var : le cours moyen de celui-ci Ă©tait en effet appelĂ© TinĂ©e, comme son affluent, au Moyen Ă‚ge.
    • Selon Charles Jacquet, dans son livre "Puget-ThĂ©niers Moult Noble citĂ© et ancienne" (page 2), le nom viendrait de: Podium Tinearum (tertre ou Plateau des Ectini)

    Les Ectini étaient le peuple qui vivait en ces lieux, on retrouve ce nom inscrit sur le trophée de la Turbie.

    Histoire

    Les territoires au moment de la dédition de Nice à la Savoie en 1388

    La position stratégique sur le passage du Var place Puget-Théniers au milieu des affrontements armés entre le royaume de France et l’Empire. Elle lui bénéficie aussi, puisqu'une foire et un péage y étaient établis[17]. La peste n'épargna pas ce bourg rural, qui perdit un tiers de sa population lors de la première vague de « mort noire » au milieu du XIVe siècle[18].

    Guillaume de Puget, viguier d'Avignon (1347-48), vice-sénéchal de Provence (1353), chevalier, fut coseigneur de Puget-Théniers[19], seigneur de Figanières, de Bargemon, Flayosc, etc. Il fut conseiller et chambellan[20] de la reine Jeanne qu'il suivit de Provence à Naples[21]. Il eut au moins deux fils, Guillaume et Honorat, coseigneurs de Figanières[22]. Manuel de Puget (?-av.1384), viguier-capitaine de Nice (1374) puis viguier d'Arles (1374-1384), fut chevalier, coseigneur de Puget-Théniers et Figanières, seigneur de Bargemon ; il fut conseiller de la reine en 1350. Il fut assassiné avant le 1er août 1384 alors qu'il était viguier d'Arles, par Bertrand Sanneri d'Arles[23]. La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté soutient les Duras jusqu’en 1386, puis change de camp pour rejoindre les Angevins grâce aux négociations patientes de Marie de Blois, veuve de Louis Ier et régente de leur fils Louis II. La reddition d’Aix a également pu jouer un rôle dans le retournement de la communauté[24].

    La baillie de Puget-Théniers avait sous son autorité la vallée de la Tinée et le cours moyen du Var, lui aussi appelé Tinée à cet endroit[16]. Elle est érigée en viguerie en 1379[25] et est surnommée viguerie des deux Tinées[16]. Elle fait partie du comté de Provence jusqu'à la dédition de 1388, par laquelle la rive gauche de la vallée se mit sous la protection du comte de Savoie. Puget-Théniers fut alors inféodé au puissant Jean Grimaldi, baron de Beuil et instigateur du transfert de suzeraineté. Cette branche de la Maison des Grimaldi, les Grimaldi de Bueil, perdit Puget-Théniers à la suite de l'une de ses nombreuses rébellions contre la Maison de Savoie.

    Dès lors Puget-Théniers devint domaine de la Maison de Savoie avant d'être élevé au rang de comté en vue de l'inféoder au comte Nicolas Grimaldi. Un descendant du rameau des Grimaldi d'Antibes, Nicolas Grimaldi, reçut l'investiture de Puget-Théniers des mains du duc Victor Amédée de Savoie en 1704[26].

    Puget-Théniers, comme la plus grande part du comté de Nice, fut un foyer contre-révolutionnaire jusqu'à la Restauration, qui rétablit le roi de Sardaigne dans ses droits. Les nombreux changements de frontières à travers les âges ont profondément influencé Puget-Théniers et la vallée du Var, tant au plan de l'identité, qu'à celui de l'administration.

    Le dernier en date, en 1860, fut mené par Napoléon III en compensation de son intervention dans la guerre d'indépendance de l'Italie. Il devait durablement rattacher Puget-Théniers à la France. En dépit d'une résistance initiale des autorités, la révolution industrielle et son chemin de fer pénétrèrent également la vallée. Trente ans plus tard, le « train des Pignes » apportait une nouvelle prospérité.

    Puget-Théniers fut une sous-préfecture des Alpes-Maritimes de 1860 à 1926. C'était alors l'une des sous-préfectures les moins peuplées de France. Depuis, si son importance administrative a quelque peu diminué, Puget-Théniers reste un centre commercial assez actif.

    À la suite du redécoupage cantonal de 2014, Puget-Théniers n’est plus chef-lieu de canton et a été rattaché au canton de Vence.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1919 1945 François Boyer
    1945 1947 Charles Isnardy
    1947 1977 Jean Bailet
    1977 1995 Gilbert Laugier PS
    1995[27] 2020 Robert Velay UMP-LR Commerçant
    Conseiller général du canton de Puget-Théniers (1992-2015)
    2020 En cours Pierre Corporandy LR Président de l'Association des maires ruraux des Alpes-Maritimes

    Budget et fiscalité 2018

    HĂ´tel de ville et Maison des services publics.

    En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 873 000 â‚¬, soit 953 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 697 000 â‚¬, soit 864 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 1 638 000 â‚¬, soit 834 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 849 000 â‚¬, soit 432 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 12 000 â‚¬, soit € par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 18,09 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 14,35 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 35,19 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2017 : mĂ©diane en 2017 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 19 110 â‚¬[29].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 1 826 habitants[Note 3], en diminution de 3,03 % par rapport Ă  2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    8009141 0111 0531 1681 1951 0771 3041 289
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    1 2221 4031 4261 2151 5711 2241 3371 3831 166
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    1 2521 2611 2791 2711 1051 0891 4151 4881 438
    1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020
    1 4461 7031 5331 7961 8361 8151 8831 8401 826
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[34] :

    • École maternelle,
    • École primaire,
    • Collège,
    • LycĂ©e Ă  Valdeblore.
    • Campus connectĂ©

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[35] :

    • MĂ©decins, kinĂ©sithĂ©rapeutes, dentistes
    • Pharmacie
    • HĂ´pital (EHPAD)

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • Agriculture et sylviculture[37].
    • Élevages.

    Tourisme

    Commerces

    • Commerces de proximitĂ©[40].
    • Un abattoir est prĂ©sent sur la commune qui le finance Ă  hauteur de 5 %.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments


    • La place de l'Ă©glise
      La place de l'Ă©glise
    • Le clocher
      Le clocher
    • IntĂ©rieur de l'Ă©glise
      Intérieur de l'église

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption

    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption a été construite au XIIIe siècle[41]. Elle renferme de nombreuses œuvres d'art parmi lesquelles certaines sont exceptionnelles. À noter en particulier les groupes sculptés en bois verni (XVIe siècle) du premier autel latéral à gauche, représentant de bas en haut : la Mise au tombeau, la Vierge quittant le calvaire, la Résurrection, attribué à Mathieu d'Anvers. Le retable primitif (1525) derrière le maître-autel, attribué à Antoine Ronzen. Les peintures du chœur et de la voûte ont été terminées le par le peintre tessinois L. Adami[42]. Une partie du mobilier provient du couvent des Augustins qui a été supprimé en 1783[43].

    Chapelle Sainte-Croix des PĂ©nitents Blancs

    La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs date du XVIe siècle[44]. Située rue Lucien-Viborel, elle a été restaurée. C'est la seule chapelle subsistante des huit chapelles primitives. Elle possède un tableau représentant la Transfiguration, daté de 1620, réalisé pour la confrérie du Saint-Sauveur sous le rectorat de Pierre de Millia et Thomas Raynaud[45] - [46].

    Autres Ă©difices religieux

    • Chapelle N-D de La Roudoule[47].
    • Ancien Couvent des Augustins. Il se trouvait Ă  l'emplacement des no 2-4-6 rue Papon.

    Autres lieux et monuments

    Ruelle en escalier à Puget-Théniers
    • Fresque de la mĂ©diathèque[48].
    • Porche de l'ancien couvent de templiers, rue Papon.
    • Ruines du château au-dessus de la ville avec la base du donjon XIIe siècle et les vestiges de l'enceinte[49].
    • Maisons anciennes Ă  loggias rapportĂ©es et pans de bois rue Casimir-Brouchier[50], maisons Ă  granges-auvents, portes mĂ©diĂ©vales, insignes de maĂ®trise gravĂ©s sur les linteaux rue Papon[51].
    • Ancienne sous-prĂ©fecture XIXe siècle.
    • Maison natale de Louis-Auguste Blanqui.
    • Maison natale de Jean-Pierre Papon au no 14 rue Papon.
    • Maison Barety, au no 8 rue Papon.
    • Maison Renaissance, datĂ©e de 1569, Ă  l'angle de la rue Papon et de la rue Centrale.
    • HĂ´tel de l'ancienne sous-prĂ©fecture, rue du 4-Septembre[52].
    • Ancien tribunal de grande instance, place Casimir-Brouchier[53].
    • Buste du XIXe siècle de Jean-Pierre Papon, de m de haut.
    • La statue L'Action enchaĂ®nĂ©e, Ă©galement appelĂ©e La libertĂ© enchaĂ®nĂ©e de 1908 : Ĺ“uvre du sculpteur Aristide Maillol, en hommage Ă  Auguste Blanqui[54], cĂ©lèbre leader socialiste de la fin du XIXe siècle et enfant du pays. Une rĂ©plique de cette statue (et non l'inverse) se trouve dans le Jardin des Tuileries Ă  Paris.
    • Anneaux qui portaient les chaĂ®nes servant Ă  fermer l'ancien ghetto, rue JudaĂŻque.
    • Inscriptions XVIe siècle au quartier de la Haute Coste.
    • Fontaine, place Adolphe-Conil.
    • Four communal

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Puget-Théniers

    De gueules à la croix pattée d'argent

    À droite : Détail décoratif du palais des ducs de Savoie à Nice, de gauche à droite : armes de Grasse (sous-préfecture), de Nice (préfecture), et de Puget-Théniers (ancienne sous-préfecture) — noter l’émail du fond pour cette dernière ville tel qu’il apparaît aujourd’hui[55].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Suchier signale, après Mistral, que la variété d'occitan parlée à Puget-Théniers conserve l'article défini so, sa, sei issu du latin IPSE (au lieu de lo, la, lei issu de ILLE dans la majorité des parlers provençaux), fait rarissime dans les langues romanes et qu'on ne trouve encore vivant que de façon parcellaire dans l'occitan provençal des Alpes-Maritimes, dans les variétés de catalan parlées à Majorque et en sarde (Groebers Grundriss I, p. 759).
    2. Didacticiel de la réglementation parasismique
    3. L'eau dans le Bassin Rhône-Méditerranée
    4. GĂ©ographie : Hydrographie
    5. Table climatique
    6. Desserte de Puget-Théniers
    7. Le train des pignes Ă  vapeur
    8. Plan local d'urbanisme
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 81..
    17. Lucien Stouff, « Ports, routes et foires du XIIIe au XVe siècle », carte 12 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit..
    18. Abbé Cauvin, Antoine (1810-1902), Mémoires pour servir à l'histoire naturelle, statistique, industrielle, agraire, politique, morale et religieuse de la commune de Contes et du hameau de Sclos : avec des notions sur les villes, bourgs et villages, couvents et sanctuaires de l'ancien comté de Nice, Nice, , 429 p. (ISBN 291363706X et 978-2913637061, lire en ligne), p. 189
    19. J.-P. Boyer, aux origines, p. 217.
    20. Cortez, les grands officiers, p. 119.
    21. LĂ©onard, Histoire, t.II, p. 177.
    22. AD du 13, série 309E6f105v.
    23. Musée Arbaud, MQ563, p. 270.
    24. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-419.
    25. Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 5.
    26. La maison de Savoie de 1343 Ă  1946
    27. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008.
    28. Les comptes de la commune
    29. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Établissements d'enseignements
    35. Professionnels et établissements de santé
    36. Paroisse Notre-Dame du Var
    37. Agriculture et sylviculture
    38. Gîtes
    39. Camping Lou Gourdan
    40. Commerces de proximité
    41. Église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption
    42. Puget-Théniers, Notre-Dame-du-Var , ou de l'Assomption, sur dignois.fr/
    43. Couvent des Augustins
    44. Chapelle des PĂ©nitents Blancs
    45. Chapelle des PĂ©nitents Blancs
    46. Chapelle Sainte-Croix-des-PĂ©nitents-Blancs
    47. Chapelle N-D de La Roudoule
    48. Fresque de la médiathèque de l'ancienne mairie
    49. Puget-Théniers, sur www.departement06.fr/patrimoine-par-commune/
    50. maison médiévale
    51. Papon (rue) 16
    52. Sous-préfecture (ancienne)
    53. Tribunal d'instance (ancien)
    54. Monument Ă  Auguste Blanqui
    55. Alpes d'Azur Vallée d'Azur ouest : Puget-Théniers, Puget-Théniers, vexil.prov.free.fr/

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Nadine Bovis-Aimar, Puget-ThĂ©niers Ă  la fin du XIXe siècle d’après les notes du docteur Alexandre Barety, p. 198-213, Nice Historique, annĂ©e 2000, no 64, [lire en ligne]
    • Charles Jacquet, Puget-ThĂ©niers, moult noble citĂ© et ancienne, p. 236, Serre Ă©diteur, Nice, rĂ©Ă©dition 2002 (ISBN 978-2-86410-023-2)
    • Luc ThĂ©venon, Les arts dans le canton de Puget-ThĂ©niers, p. 168-197, Nice Historique, annĂ©e 2000, no 271, [lire en ligne]
    • Olivier Vernier, Puget-ThĂ©niers, les mutations d’une capitale administrative de la montagne Ă  l’époque contemporaine, p. 214-225, Nice-Historique, annĂ©e 2000, no 296, [lire en ligne]
    • Le village de Puget-ThĂ©niers
    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton Ă  Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Puget-Théniers : pp. 725 à 732 : Puget-Théniers
    • Puget ThĂ©niers : chemin Puget Gilette 1795, Ghettos du ComtĂ© de Nice, jhs avec entrelacement, le ComtĂ© de Nice en 1850, mythe des tĂŞtes humaines
    • Puget ThĂ©niers, sur montnice.fr/, par JPB le mer
    • sous la direction de Colette Bourrier-Reynaud, La vallĂ©e du Var. Route des vignobles d'hier et des vins d'aujourd'hui, Nice, Serre Editeur, , 40 p. (ISBN 2-86410-314-1)
      Puget-Théniers, p. 26 Syndicat mixte touristique des Alpes d'Azur (SITALPA). Ouvrage collectif coordonné par Colette Bourrier-Reynaud, présidente du SITALPA. L'Ancre Solaire
    • Sylviculture. Une dĂ©forestation millĂ©naire, Un siècle de reboisement, Le flottage du bois sur le Var
    • Coordination gĂ©nĂ©rale : RenĂ© Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. RĂ©daction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie RĂ©ol. Direction rĂ©gionale des antiquitĂ©s prĂ©historiques (DRAP) : GĂ©rard Sauzade. Direction rĂ©gionale des antiquitĂ©s historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-CongĂ©s Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la MĂ©diterranĂ©e - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide - Monuments Historiques Provence Alpes CĂ´te d’Azur, Marseille, Direction rĂ©gionale des affaires culturelles et Conseil rĂ©gional de Provence – Alpes - CĂ´te d’Azur (Office RĂ©gional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 2-906035-00-9)
      Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Puget-Théniers, p. 73
    • Chiffres clĂ©s publiĂ©s par l'institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques (INSEE). Dossier complet
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

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