Accueil🇫🇷Chercher

Pradines (Corrèze)

Pradines (Pradinas en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Pradines
Pradines (Corrèze)
Blason de Pradines
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources
Maire
Mandat
André Laurent
2020-2026
Code postal 19170
Code commune 19168
Démographie
Gentilé Pradinois, Pradinoises
Population
municipale
81 hab. (2020 en diminution de 22,12 % par rapport à 2014)
Densité 4,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 30′ 27″ nord, 1° 54′ 36″ est
Altitude Min. 599 m
Max. 907 m
Superficie 19,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Plateau de Millevaches
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pradines
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pradines
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Voir sur la carte topographique de la Corrèze
Pradines
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Pradines
Liens
Site web pradines-correze.fr

    Géographie

    Commune du Massif central située sur le plateau de Millevaches dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin. Elle est arrosée par la Corrèze de Pradines et par la Douyge qui y prend sa source.

    Il existe deux autres communes homonymes : Pradines dans le département de la Loire près de Saint-Étienne et Pradines dans le département du Lot près de Cahors.

    Outre le bourg, la commune possède quatre hameaux :

    • au nord, le Magoutier à 3 km et Pradines-Vieille à 5 km
    • à l'est, le Malazeyrat à 5 km
    • au sud, Peyrat à 2 km

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Pradines (Corrèze)
    Gourdon-Murat
    Lestards Pradines (Corrèze) Bonnefond
    Veix Grandsaigne
    Entrée du village par la route de La Vaysse.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 436 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bugeat », sur la commune de Bugeat, mise en service en 1996[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 599,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 49 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Pradines est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,1 %), prairies (23,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pradines est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pradines.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 15,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 116 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 6 sont en en aléa moyen ou fort, soit 5 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[25]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Pradines est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

    Histoire

    Période gallo-romaine

    Deux chemins probablement antiques se croisaient près du fanum situé au col des Géants ou des Jaillants. L'un d'eux reliait Meymac au Lonzac, l'autre Chaumeil à Veix.

    Près du Vietheil, au lieudit la Croix, des débris de tegulae et bac en granit indiquent la présence d'une structure gallo-romaine[28].

    Près du Vietheil, au lieu-dit les Jaillants ou les Géants, de nombreux objets antiques ont été recueillis à l'emplacement d'un bâtiment (céramique commune et sigillée, fragments d'antéfixes à tête de Gorgone, fragment de meule en basalte, deux monnaies non décrites...)[29].

    La fouille de ce site a permis de mettre au jour deux fanums[30]. Le premier, de plan rectangulaire, possède une cella de 8 m sur 6 m avec des murs épais de 0,40 m. Le mobilier est très réduit : des clous, quelques tessons et quatre monnaies (un as d'Auguste, un dupondius de Nîmes, un sesterce de Marc Aurèle et monnaie de Lucile).

    Les structures du second monument, situé à 30 m au nord du précédent, sont mieux conservées. De plan carré, les dimensions extérieures sont de 12,75 m pour la galerie et 6,80 m pour la cella. La face externe des murs de la galerie, épais de 0,65 m, est construite en petit appareil régulier. La face interne est bâtie en opus incertum, comme le mur de la cella épais de 0,70 m. Tous les angles sont appareillés en gros blocs de gneiss parfaitement taillés. Un dallage précédait l'entrée orientée à l'est. Le mobilier recueilli lors de la fouille de ce bâtiment comprend un antéfixe, des débris d'enduits peints, des plaques et une base de colonne en calcaire, quelques tesselles de mosaïque en pâte de verre, un sesterce d'Antonin le Pieux, un tesson de verre à décor gravé et de la céramique. Le site a livré quelques objets (des fragments d'antéfixes, de la céramique sigillée et commune et deux monnaies (une de Nîmes et un bronze de Marc Aurèle[31].

    • Plan du sanctuaire des Jaillants.
      Plan du sanctuaire des Jaillants.
    • Le fanum avant les fouilles de 1980-1981.
      Le fanum avant les fouilles de 1980-1981.
    • Le mur nord en petit appareil régulier.
      Le mur nord en petit appareil régulier.
    • Dalles de gneiss à la base du mur ouest.
      Dalles de gneiss à la base du mur ouest.
    • Une des fosses du Ier siècle av. J.-C.
      Une des fosses du Ier siècle av. J.-C.
    • Fragments d'antéfixes représentant une tête de Gorgone.
      Fragments d'antéfixes représentant une tête de Gorgone.

    En 1981 et 1982, deux nouvelles campagnes de fouilles ont porté sur la partie nord de la galerie et les extérieurs ouest et nord du fanum[32]. La fouille a révélé une occupation antérieure à la construction de celui-ci. En effet, une couche de terre noire scellée par le sol de la galerie incluait de la céramique de tradition gauloise, en particulier des vases non tournés décorés d'une ligne horizontale de motifs impressionnés à la base du col. À l'extérieur, ce niveau précoce, moins marqué, a livré un as de Nîmes coupé par le milieu et quelques tessons de céramique du Ier siècle av. J.-C. associés à de la céramique non tournée. Trois petites fosses comblées de pierres, de 0,60 m. de diamètre, appartenaient à cette première phase d'occupation.

    Le parement externe du mur nord du fanum est construit en petit appareil très soigné. L'épaisseur des lits de moellons de la base du mur augmente progressivement, puis les lits se dédoublent à intervalle régulier pour compenser la pente naturelle du terrain. De grandes dalles de granit longues de 0,80 à 1,75 m, hautes de 0,65 m forment un soubassement sur toute la longueur du mur ouest. Un gravillon noyé dans une couche de mortier maigre constituait le sol de la galerie qui reposait sur un hérisson formé de deux couches de pierres. Le mobilier recueilli se limite à quelques tessons de céramique, une coupelle en verre incolore ornée d'un décor meulé et un as de Clodius Albinus. Les matériaux de construction en terre cuite comprennent, outre les antéfixes, des briques de faîtage, des carreaux de briques et des tegulae dont les dimensions permettent de distinguer deux groupes, l'un avec une longueur comprise entre 0,39 et 0,45 m, l'autre entre 0,47 et 0,49 m.

    Les éléments chronologiques recueillis au cours de la fouille sont peu nombreux. La céramique de tradition gauloise associée à des éléments gallo-romains précoces permet de situer l'origine de l'occupation du site au Ier siècle av. J.-C. La construction du fanum est postérieure à cette époque et date probablement de la seconde moitié du Ier siècle de notre ère. L'abandon du monument doit par contre se situer avant la fin du IIIe siècle. La situation géographique de ces temples, en position dominante, sur un col, évoque un sanctuaire routier.

    Héraldique

    Blason de Pradines Blason
    D'azur au lion d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Le monument aux morts.
    La rue principale.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 Juin 1995 Albert Laurent PCF Retraité
    Juin 1995 Mars 2001 Jean Madranges PCF Métallurgiste à la retraite
    mars 2001 En cours André Laurent[33]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    PCF Retraité Fonction publique

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35]. En 2020, la commune comptait 81 habitants[Note 7], en diminution de 22,12 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    595340447437484490491600639
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    544548572559604640674648637
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    577603526522506450380330254
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    23718215214112095102104105
    2018 2020 - - - - - - -
    8681-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Carte postale de la place de l'église vers 1925 (le monument aux morts est déjà présent).
      Carte postale de la place de l'église vers 1925 (le monument aux morts est déjà présent).
    • La façade nord de l'église.
      La façade nord de l'église.
    • Le clocher-mur "aveugle" soutenu par deux imposants contreforts.
      Le clocher-mur "aveugle" soutenu par deux imposants contreforts.
    • La façade sud avec son porche, unique ouverture de l'église.
      La façade sud avec son porche, unique ouverture de l'église.
    • Visage sculpté sur le porche.
      Visage sculpté sur le porche.
    • Le porche gothique.
      Le porche gothique.
    • La nef côté choeur.
      La nef côté choeur.
    • La nef côté clocher-mur.
      La nef côté clocher-mur.
    • L'autel.
      L'autel.
    • Les vitraux du choeur.
      Les vitraux du choeur.
    • La cuve baptismale.
      La cuve baptismale.
    • Le village abandonné de Clédat (dont l'entretien est co-géré par les communes de Bonnefond, Grandsaigne et Pradines)
    • Les vestiges gallo-romains présents au col des Jaillants (cf. paragraphe Histoire).
    • Le col des Géants (824 m)

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Madranges (1925-2011), ancien maire de la commune de 1995 à 2001 et résistant durant la Seconde Guerre mondiale.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Bugeat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Pradines et Bugeat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bugeat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Pradines et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Pradines », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pradines », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    24. Article R214-112 du code de l’environnement
    25. « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    28. Vazeilles (M.), « Vestiges de constructions gallo-romaines en Haute et Moyenne Corrèze (1re liste) », Bull. de la soc. des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze, no 63,‎ , p. 135-164 [139]..
    29. Vazeilles (M.), « id. », Bull. de la soc. des Lettres, Sciences et Arts de la Corrèze,‎ .
    30. Joudoux (R.), « Note sur les recherches effectuées au site gallo-romain des Jaillants (commune de Pradines, 19) », Lemouzi, no 21,‎ , p. 33-43.
    31. Joudoux (R.), « Los Jalhants, fanum à plan carré. Fouilles de sauvetage de l'été 1973 », Actes du 34e congrès de la Féd. des Soc. Sav. du Centre, Brive,,‎ , p. 23-35..
    32. Lintz (G.), « Le Fanum des Jaillants, commune de Pradines (Corrèze) », Travaux d'archéologie limousine, no 5,‎ , p. 45-56..
    33. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Eglise paroissiale Saint-Georges », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.