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Port-de-Piles

Port-de-Piles est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Port-de-Piles
Port-de-Piles
L'église Notre-Dame-Immaculée de Port-de-Piles.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement ChĂątellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Chùtellerault
Maire
Mandat
Pascal Barbot
2020-2026
Code postal 86220
Code commune 86195
DĂ©mographie
Gentilé Port de Pilois, Port de Piloises
Population
municipale
563 hab. (2020 en augmentation de 1,81 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 106 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 00â€Č 12″ nord, 0° 36â€Č 02″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 49 m
Superficie 5,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction ChĂątellerault
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de ChĂątellerault-2
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Port-de-Piles
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Port-de-Piles
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Port-de-Piles

    GĂ©ographie

    Port-de-Piles est limitrophe de la commune de Ports, qui est parfois appelée Ports-sur-Vienne.

    Les citoyens de Port de Piles sont nommés les Port-de-Pilois et les Port-de-Piloises.

    Hydrographie

    Le territoire communal est arrosé par les riviÚres Creuse et Vienne. Le confluent de ces deux cours d'eau est sur le territoire de la commune.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 682 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Dange-Fleau », sur la commune de DangĂ©-Saint-Romain, mise en service en 1993[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 659 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le dĂ©partement d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et Ă  50 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,7 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Port-de-Piles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (69,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), forĂȘts (16,1 %), eaux continentales[Note 8] (9,6 %), zones urbanisĂ©es (6,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Port-de-Piles est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[22] - [20]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques (PPR) inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Vienne "aval" - Section Antran/Port-de-Piles », approuvĂ© le et par le PPRI « Vienne CommunautĂ© d’AgglomĂ©ration de Grand ChĂątellerault (CAGC) », prescrit le [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Port-de-Piles.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[24]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[26]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages d'Éguzon dans l’Indre et de VassiviĂšre dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d'un de ces ouvrages[29].

    Histoire

    Monument aux morts.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, la gare est bombardĂ©e par l’US Air Force le . Quatre P-38 (doubles queues) lĂąchent huit bombes en tentant de toucher la gare et les voies, et d’éviter les maisons. Aucun dĂ©gĂąt n’est causĂ© aux installations ferroviaires, mais six personnes sont tuĂ©es, huit blessĂ©es, et 14 maisons dĂ©truites[30] - [31]. Par la suite, l’aviation alliĂ©e attaque rĂ©guliĂšrement des « cibles d’opportunitĂ© » Ă  Port-de-Piles, pour un total de 15 mitraillages aĂ©riens jusqu’au [31].

    En 1945, pour fĂȘter la LibĂ©ration et le retour de la RĂ©publique, un arbre de la libertĂ© est plantĂ©[32].

    Origines de Port-de-Piles[33]

    Port-de-Piles (le) canton de Dangé, commune érigée le , démembrée de celle des Ormes.

    Appellations successives :

    Portus qui est ad pilas (le port qui est aux piles) Vers 1064 (Cartulaire de Noyers)

    Portus pilarum ou Portus de pilis (vers 1081)

    Portus de Piles (vers 1107)

    Prioratus de pile (Le prioré de Pile vers 1244)

    Portus de Piles (d'aprĂšs BOUQUET)

    Le Port de Piles (vers 1446 Duché de Chùtellerault)

    Le Port de Pille (1728 Cure de Noyers)

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune est rattachée à la Communauté d'agglomération de Grand Chùtellerault.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1971 mars 1989 Daniel Redlinger PS
    mars 1989 ? GĂ©rard Dubosson
    mars 2001 mars 2014 Joseph Souhard
    mars 2014 en cours Pascal Barbot

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    DĂ©mographie

    L'Ă©cole.


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[35].

    En 2020, la commune comptait 563 habitants[Note 11], en augmentation de 1,81 % par rapport Ă  2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
    599552439450478412424429513
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
    477482433495497500497460494
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
    395494535562608577487513511
    2011 2016 2020 - - - - - -
    550563563------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densitĂ© de population de la commune Ă©tait de 103 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le dĂ©partement, 68 hab./km2 pour la rĂ©gion Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes[38], il n'y a plus que 2 exploitations agricoles en 2010.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Viaduc ferroviaire de Port-de-Piles, sur la Creuse, pont de cinq travĂ©es en maçonnerie de 20 mĂštres d'ouverture, de 8,60 m de largeur et 150 m de longueur totale[39].
    • Église Notre-Dame-ImmaculĂ©e de Port-de-Piles.
    • Église Saint-Nicolas de Port-de-Piles.
    • Ancienne Ă©glise Saint-Nicolas de Port-de-Piles, dĂ©saffectĂ©e.
      Ancienne église Saint-Nicolas de Port-de-Piles, désaffectée.
    • Portail monumental, place de la RĂ©sistance.
      Portail monumental, place de la RĂ©sistance.
    • La Creuse entre Port-de-Piles et La Celle-Saint-Avant.
      La Creuse entre Port-de-Piles et La Celle-Saint-Avant.

    Personnalités liées à la commune

    Ouvrages littératures

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[28].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dange-Fleau - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Port-de-Piles et Dangé-Saint-Romain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dange-Fleau - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Port-de-Piles et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chùtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Port-de-Piles », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Les plans de prévention des risques naturels (PPRN) dans la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Port-de-Piles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. Article R214-112 du code de l’environnement
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    30. Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La CrÚche, Geste éditions, coll. « 30 questions », , 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), p. 44.
    31. Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 108-111.
    32. Robert Petit, Les Arbres de la libertĂ© Ă  Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/FĂ©dĂ©ration des Ɠuvres laĂŻques, 1989, p. 224.
    33. GĂ©rard JEAN, "Port-de-Piles et son Histoire", , 72 p. (ISBN 2 9514299 08).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    39. Philippe Croizette-Desnoyers, Notice sur les divers procédés employés pour fonder des piles de ponts au moyen de caissons en charpente sans fond, et sur le décintrement des arches de grande ouverture, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 1849, 2e semestre, p. 129-176 (lire en ligne) et planches 170 à 172

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

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