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Pignans

Pignans est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle comptait un peu mois de 4700 habitants en 2020.

Pignans
Pignans
Beffroi de Pignans, avec sa cloche de 1607
Blason de Pignans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté de communes Cœur du Var
Maire
Mandat
Fernand Brun
2020-2026
Code postal 83790
Code commune 83092
DĂ©mographie
Gentilé Pignantais/Pignantaises
Population
municipale
4 658 hab. (2020 en augmentation de 22,74 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 134 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 18′ 05″ nord, 6° 13′ 38″ est
Altitude Min. 146 m
Max. 766 m
Superficie 34,87 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Gonfaron
(ville-centre)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Luc
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Pignans
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Pignans
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Pignans
Liens
Site web pignans.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Pignans est situĂ© au nord-ouest du massif des Maures et, Ă  vol d'oiseau, Ă  32 km au nord-est de Toulon, 13 km au sud-ouest du Luc et 18 km au sud-est de Brignoles.

    Pignans fait partie de l'intercommunalité communauté de communes Cœur du Var, avec dix autres communes voisines[1] dont Puget-Ville à 9,8 km et 10,2 de Besse-sur-issole[2].

    Voies routières

    Le village de Pignans est accessible par la route départementale RD 97, qui relie Toulon au Luc-en-Provence. La commune est également traversée par l'autoroute A57, dont la jonction la plus proche est à Carnoules, Sortie 11.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

    La gare de Pignans est ouverte au trafic voyageur, mais ne dispose pas de guichet[3]. Plusieurs navettes de TER desservent quotidiennement la gare, entre la gare des Arcs - Draguignan et celle de Toulon[4].

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Pignans est arrosĂ©e par le RĂ©al Martin, cours d'eau de 27,9 km[6], ainsi que par le RĂ©al Rimauresq[7] et que le Vallon de Notre Dames-des-Anges[8], ses affluent et sous-affluent.

    Cours d'eau sur la commune ou Ă  son aval[9] :

    • le RĂ©al Martin ;
    • le RĂ©al Rimauresq ;
    • val de Garnier ;
    • vallons de Notre-Dame des Anges, des BĂ®mes ;
    • le Grand Vallat.

    Sismicité

    La commune est en zone sismique 2 Faible[10].

    Climat

    La commune est classée Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Pignans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Gonfaron, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 4 communes[15] et 15 006 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,5 %), cultures permanentes (21,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %) et prairies (1,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Histoire

    Antiquité

    Un fragment de silex découvert au quartier du Pouverel et les vestiges d’une enceinte d’oppidum à Notre Dame des Anges, montrent que des hommes préhistoriques vivaient déjà sur le territoire pignantais.

    Des fouilles, quartier Berthoire, ont permis d’identifier Pignans comme un vicus routier, agglomération située sur une voie. Au Ier siècle de notre ère celle-ci reliait Forum Voconii (à proximité du Cannet des Maures) à Telo Martius (Toulon). Le village romain de Pignans s’étendait à l’origine depuis le Carry jusqu’à Berthoire, où sont encore visibles les fondations de bâtiments et de maisons avec des restes de cuves et de pressoirs à vin. Il s'agirait de l'antique « Civitas Pignacensis ».

    Moyen Ă‚ge

    En l'an 517, la décision de construire une église, telle que le montre la « Charte de Thierri », fils de Clovis, Comte de la Gaule narbonnaise et de Provence, va fixer définitivement la population.

    Le nom de Pignanum apparut dans les archives médiévales en 1039. À partir de 1080, une collégiale y fut attestée et une bulle papale (acte d’authentification) de 1152 signale son importance. Le Chapitre des Chanoines de Pignans, soumis à la règle de Saint-Augustin, avaient des dépendances dans une trentaine de prieurés de la région.

    Dès le XIIe siècle, les seigneuries de Besse et de Gonfaron étaient passées entre les mains des moines seigneurs de Pignans. Signe de cette richesse, les procès qui émaillèrent le Moyen Âge comme celui qui opposa les Augustins de Pignans aux Cisterciens du Thoronet à propos de l’occupation d’un monastère sur l’île de Porquerolles. Cette puissance pourrait trouver son origine dans l’Antiquité. En effet, en 1246 est attesté un cloître, dont l'ensemble des bâtiments religieux forment un monastère. Ce monastère, véritable château avec une haute muraille flanquée de 13 tours, est incendié et pillé durant les guerres de Religion par les huguenots, le .

    Au lieu de disparaître, cette agglomération aurait traversé le désordre du haut Moyen Âge favorisant ainsi son hégémonie au moment du renouveau de la Provence au XIe siècle. Le Pignans médiéval du XIe et du XIIe siècle bâti à partir de l’église, s’étendit ensuite au sud, du XIIIe au XVe siècle, et était fermé si besoin par des portes, comme l’atteste celle bien conservée, située au débouché de la rue de l’Église sur la place des Armistices.

    Époque moderne

    Plaque commémorant le passage de Napoléon Bonaparte.

    À la fin du XVIIe siècle, Louis XIV décida d’unir la prévôté de Pignans au séminaire royal de Toulon tenu par les jésuites. En 1717, la prévôté fut rétablie dans ses droits et son rayonnement se poursuivit jusqu’à la vente des biens de l’église en 1791[22] - [23] - [24].

    Époque contemporaine

    Grâce à une hydrographie exceptionnelle, une petite industrie liée à l’eau s’est développée au cours du XVIIIe et du XIXe siècle. Durant cette période, Pignans dut sa prospérité à ses fabriques de papier et de martinet en cuivre et à ses moulins (farine et huile). Le liège fut également exploité, le village comptera jusqu’à quatre bouchonneries.

    Les Pignantais étaient alors appelés « lei bras cargats » (les bras chargés).

    Jules Gérard, né à Pignans en 1817, s’engagea dans les Spahis et devient lieutenant. Tireur aussi intrépide qu'habile, il se rendit célèbre en faisant la chasse aux lions qui dévastaient l'Algérie. En onze années, il en tua pas moins de 25. Il a écrit La chasse aux lions et Tueur de lions.

    Lors des guerres 14-18 et 39-45, Pignans subit des pertes importantes.

    Blasonnement

    Les armoiries de Pignans se blasonnent ainsi[25] :
    D'azur aux trois pommes de pin tigées et feuillées d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Fernand Arnaud Rad.soc. Négociant en vins et huiles, propriétaire
    Henri Mouttet[27] SFIO Pharmacien
    Conseiller général du canton de Besse-sur-Issole (1913 → 1919)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Henri Mouttet[27] SFIO Pharmacien de la Marine
    Conseiller général du canton de Besse-sur-Issole (1925 → 1931)

    (démission)
    Léopold Imbert[28] SFIO Commerçant
    Les données manquantes sont à compléter.
    Georges Platel[29] SFIO puis FGDS
    puis PS
    Agriculteur
    Conseiller général du canton de Besse-sur-Issole (1967 → 1973)
    RĂ©Ă©lu en 1947, 1953, 1959 et 1965
    Les données manquantes sont à compléter.
    Hubert Falco UDF-PR
    puis DL
    Directeur général d'entreprise
    Sénateur du Var (1995 → 2002)
    Député de la 6e circonscription du Var
    Conseiller général du canton de Besse-sur-Issole (1985 → 2002)
    Président du conseil général du Var (1994 → 2002)
    RĂ©Ă©lu en 1989 et 1995

    (décès)
    Jean-Louis Raybaud DL puis UMP Viticulteur
    Conseiller général du canton de Besse-sur-Issole (2002 → 2007)
    Chevalier du MĂ©rite agricole
    [30]
    (décès)
    Patrick Astesana UMP Viticulteur
    2e vice-président de la CC Cœur du Var
    RĂ©Ă©lu en 2008
    Robert Michel UMP-LR Cadre de banque retraité
    5e vice-président de la CC Cœur du Var (2014 → 2020)
    RĂ©Ă©lu en 2014
    En cours
    (au 6 juillet 2020)
    Fernand Brun DVD Retraité de la fonction publique hospitalière
    4e vice-président de la CC Cœur du Var[31] (2020 → )

    Intercommunalités

    Flassans-sur-Issole est membre de la communautĂ© de communes CĹ“ur du Var de 37 829 habitants, crĂ©Ă©e en [32].

    Les onze communes composant la communauté de communes en 2012 sont (par ordre alphabétique) :

    Politique environnementale

    Depuis juin 2016, Pignans dispose d'une station d'Ă©puration d'une capacitĂ© de 6 500 Ă©quivalent-habitants[33] - [34] - [35].

    Jumelages

    La commune n'est jumelée à aucune ville et aucun village pour le moment.

    Budget et fiscalité 2019

    Mairie de Pignans[36].

    En 2019, le budget de la commune est constitué ainsi[37] :

    • total des produits de fonctionnement : 3 833 000 â‚¬, soit 944 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 3 612 000 â‚¬, soit 889 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 680 000 â‚¬, soit 167 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 1 276 000 â‚¬, soit 314 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 1 721 000 â‚¬, soit 424 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 19,58 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 16,54 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 117,58 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2018 : MĂ©diane en 2018 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 20 380 â‚¬[38].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].

    En 2020, la commune comptait 4 658 habitants[Note 3], en augmentation de 22,74 % par rapport Ă  2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5002 2302 0512 4212 3802 3402 3032 2782 296
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3752 7032 6262 5172 4472 1142 0261 9241 754
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8401 7161 6771 6001 6251 5691 6091 4851 493
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 5201 7921 6741 7892 3382 5982 9153 0253 296
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 7954 5884 658------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Industrie :
      • Usine de papeterie[43].
    • Agriculture (Patrimoine agricole) :
      • Moulin Ă  farine[44].
      • Moulins Ă  huile[45] - [46] - [47].
      • CoopĂ©rative vinicole dite CoopĂ©rative la Bourgade, puis le Cellier des Trois Pignes[48].
      • CoopĂ©rative vinicole dite CoopĂ©rative la Ruche, puis le Cellier des Trois Pignes[49].
    • Tourisme :
      • HĂ´tel de voyageurs[50].
      • GĂ®tes, chambres d'hĂ´tes.
    • Commerce :
      • Comme de nombreux villes et villages de Provence, un marchĂ© est organisĂ© Ă  Pignans. Il a lieu tous les jeudis et dimanches matin[51].
      • Commerces de proximitĂ©, bars, restaurants[52].

    Équipements et services

    Enseignement

    École primaire[53].

    La commune dĂ©pend de l'acadĂ©mie de Nice. Les Ă©lèves de Pignans commencent leur scolaritĂ© dans la commune, Ă  l'Ă©cole maternelle « Alphonse Daudet » (183 enfants)[54] et l'accès aux Ă©coles primaires « Jean Giono » et « Marcel Pagnol » (356 Ă©coliers)[55] - [56]. Les plus proches collèges se situent Ă  Besse-sur-Issole et au Luc en Provence[57] - [58]. Un service de transport scolaire est Ă  disposition des collĂ©giens[59].

    Sports

    Divers équipements sportifs, tel qu'un stade municipal, une salle polyvalente avec un dojo ou encore des courts de tennis permettent d'effectuer des activités sportives telles que :

    • Basket-ball ;
    • Judo ;
    • KaratĂ© ;
    • Danse ;
    • Yoga
    • Tennis ;
    • Football ;
    • Badminton;
    • AĂŻkibudo;
    • Escrime;
    • Gym douce;
    • Pilates;
    • Sophrologie;
    • VTT.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé présents à la maison médicale - rue des cliquesses :

    • MĂ©decins[60].
    • Dentistes
    • HĂ´pitaux proches[61] : Pierrefeu-du-Var, Le Luc, Brignoles.

    Culte

    La paroisse catholique de Pignans dépend du diocèse de Fréjus-Toulon et du doyenné de Brignoles[62]. La communauté dispose de la collégiale Notre-Dame-de-la-Nativité placée aussi sous le vocable de Notre-Dame-de-l'Assomption.

    Lieux et monuments

    • Fontaine situĂ©e Place Mazel.
      Fontaine située Place Mazel.
    • Place de l'Ă©glise.
      Place de l'Ă©glise.
    • La collĂ©giale Notre-Dame de la NativitĂ© sur la place de l'Ă©glise.
      La collégiale Notre-Dame de la Nativité sur la place de l'église.
    • Clocher de la collĂ©giale.
      Clocher de la collégiale.
    • Chapelle Notre-Dame-des-Anges et son imposant relai de communication.
      Chapelle Notre-Dame-des-Anges et son imposant relai de communication.
    Patrimoine civil
    Patrimoine religieux
    • Vues intĂ©rieures du patrimoine religieux :
    • Grosse cloche datant de 1823.
      Grosse cloche datant de 1823.
    • Moyenne cloche datant de 1856.
      Moyenne cloche datant de 1856.
    • Petite cloche datant de 1989.
      Petite cloche datant de 1989.
    • Orgue de l'Ă©glise.
      Orgue de l'Ă©glise.
    • Nef et chĹ“ur Ă©glise depuis la tribune de l'orgue.
      Nef et chœur église depuis la tribune de l'orgue.
    • IntĂ©rieur de la chapelle Notre-Dame-des-Anges et ses ex-voto. La vierge noire est posĂ©e sur un autel en marbre.
      Intérieur de la chapelle Notre-Dame-des-Anges et ses ex-voto. La vierge noire est posée sur un autel en marbre.
    • IntĂ©rieur de l'Ă©glise.
      Intérieur de l'église.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. communauté de communes cœur du Var
    2. Itinéraires
    3. Gare de Pignans.
    4. [PDF] horaire gare de Pignans.
    5. Le Réal Martin rivière saint-pierre.
    6. RĂ©al Martin sur le site du Sandre.
    7. RĂ©al Rimauresq sur le site du Sandre.
    8. Vallon de Notre Dames-des-Anges sur le site du Sandre.
    9. L'eau dans la commune.
    10. [PDF] Les risques naturels.
    11. Table climatique.
    12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Gonfaron », sur Insee (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Un peu d'histoire », sur Pignans (consulté le ).
    23. « Secrets de… Pignans », sur coeurduvartourisme.com (consulté le ).
    24. « Pignans à visiter (83) », sur Provence 7 (consulté le ).
    25. Cœur du Var Plaine des Maures : Pignans, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau.
    26. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, p. 359-360 [lire en ligne].
    27. La fiche biographique de MOUTTET Henri sur le Maitron en ligne
    28. La fiche biographique de IMBERT LĂ©opold sur le Maitron en ligne
    29. La fiche biographique de PLATEL Georges, LĂ©on, Achille, Edmond sur le Maitron en ligne
    30. « Patrick Astesana, maire de Pignans, est mort », Var-Matin,‎ (lire en ligne).
    31. Communes appartenant au Groupement Fiscalisé : Communauté de communes Cœur du Var et les Comptes des communes : Commune Flassans-sur-Issole.
    32. [PDF] Diagnostic SAGE Gapeau VF, p. 93.
    33. Service : Pignans / assainissement collectif.
    34. La nouvelle station d'épuration inaugurée à Pignans, Var-Matin.
    35. « Hôtel de ville », notice no IA00127370, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Les comptes de la commune.
    37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. « Usine de Papeterie », notice no IA00127478, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Moulin à farine », notice no IA00127471, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Mairie, Moulin à huile », notice no IA00127369, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Moulin à huile lieu-dit Rimauret », notice no IA00127470, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Moulin à huile au lieu-dit le Paradou », notice no PA00081562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Coopérative vinicole dite Coopérative la Bourgade, puis le Cellier des Trois Pignes », notice no IA00127436, base Mérimée, ministère français de la Culture pré-inventaire normalisé ; enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur).
    48. « Coopérative vinicole dite Coopérative la Ruche, puis le Cellier des Trois Pignes », notice no IA00127437, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Hôtel de voyageurs », notice no IA00127435, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Marché à Pignans.
    51. Tourisme Ă  Pignans.
    52. « École primaire », notice no IA00127373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « École maternelle Alphonse Daudet », sur Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    54. « École primaire Jean Giono », sur Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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    106. « Oratoire Notre-Dame-de-la-Salette », notice no IA00127466, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    108. « Oratoire lieu-dit Migranon », notice no IA00127462, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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    Voir aussi

    Bibliographie

    • Histoire de la commune de Pignans, par Henri Linder (ISBN 2-84373-394-4) (ISBN 978-2-84373-394-9).
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France : Pignans, Strasbourg, Éditions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3), p. 901.
    • ValĂ©rie Roux et Monique Cubells (dir.), L'hĂ´pital de Pignans au XVIIIe siècle (Thèses et Ă©crits acadĂ©miques), Aix-en-Provence, s.n., , 116 p., 30 cm (OCLC 1136495781, SUDOC 238612511, prĂ©sentation en ligne).

    Article connexe

    Liens externes

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