Accueil🇫🇷Chercher

Parc animalier de La Barben

Le parc animalier de La Barben — dénommé Zoo de La Barben jusqu'à l'été 2021 — est un parc zoologique français situé dans les Bouches-du-Rhône, entre Salon-de-Provence et Aix-en-Provence, dans la petite commune de La Barben. C'est le zoo le plus proche de la ville de Marseille.

Parc animalier de La Barben

Image illustrative de l’article Parc animalier de La Barben

Date d'ouverture 1971
Situation La Barben, Bouches-du-RhĂ´ne, France
Superficie 33 hectares
Latitude
Longitude
43° 37′ 29″ nord, 5° 12′ 18″ est
Nombre d'animaux 700 revendiqués
Nombre d'espèces 130 revendiquées
Nombre de visiteurs annuels 310 000 (2014)[1]
Accréditations CEPA, AEZA, SNDPZ
Site web parcanimalierlabarben.com
GĂ©olocalisation sur la carte : Bouches-du-RhĂ´ne
(Voir situation sur carte : Bouches-du-RhĂ´ne)
Parc animalier de La Barben
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Parc animalier de La Barben

FondĂ© en 1971 par AndrĂ© Pons, propriĂ©taire du château de La Barben, le parc prĂ©sente plus de 700 animaux de 130 espèces sur 33 hectares, dans un cadre de vĂ©gĂ©tation mĂ©diterranĂ©enne.

Il affirme ĂŞtre frĂ©quentĂ© par 270 000 visiteurs chaque annĂ©e. En 2014, il a reçu 310 000 visiteurs.

Espèces présentées

Le parc présente plus de 700 animaux[2] de 130 espèces, parmi lesquelles : Tigres, lions, guépards, zèbres, singes, léopards, antilopes, loups, éléphants, girafes, tamanoirs, tapirs, hippopotames, rhinocéros, oiseaux, reptiles en vivarium...

Conservation de la nature

La protection des espèces hors de leur milieu naturel (conservation ex situ)

Le maintien et la reproduction de populations sauvages en parcs zoologiques permet d’assurer leur sauvegarde, et si nécessaire de les réintroduire dans leur milieu naturel. Dans cet objectif, deux types de programmes sont mis en place :

  • les EEP, programmes d’élevage europĂ©ens : ils concernent les espèces les plus menacĂ©es. Un coordinateur suit de manière rigoureuse tous les reprĂ©sentants d’une espèce prĂ©sents dans les zoos europĂ©ens, conseille les parcs afin d’apporter les meilleurs soins aux animaux, et dĂ©cide des Ă©changes d’animaux entre les institutions, afin d’éviter toute consanguinitĂ© ;
  • les ESB, studbook (livres d’élevage) europĂ©ens : ils concernent des espèces moins menacĂ©es. Toutes les informations sur la population europĂ©enne de l’espèce y sont regroupĂ©es, afin d’avoir toutes les donnĂ©es nĂ©cessaires lors d’un Ă©ventuel passage de l’espèce en EEP.

Le parc animalier de La Barben contribue activement à la protection animale en s'engageant dans les programmes européens d'élevage (EEP) (une dizaine d'espèces sont concernés : girafes du Niger, tapirs terrestres, rhinocéros blanc, tamarin de Goeldi, ânes sauvage de Somalie...) ainsi qu'une dizaine d’ESB tels que ours brun, maki catta, chimpanzés..., l'un des buts étant la réintroduction dans la nature d'espèces menacées.

La protection des espèces dans leur milieu naturel (conservation in situ)

Le parc soutient des programmes de protection des espèces, en apportant une aide technique (apport de connaissances, relais auprès du public et de partenaires…) et/ou financière.

Ainsi, il s’implique à différents niveaux :

  • le zoo soutient financièrement des projets de protection des animaux :
    • les tapirs de Guyane française (association Kwata),
    • les Ă©lĂ©phants au Burkina Faso (association Des ElĂ©phants et des Hommes),
    • les girafes du Niger (l’ASGN),
    • les gibbons d'IndonĂ©sie (association Kalaweit),
    • les rhinocĂ©ros d’Afrique (Save The Rhino) ;
  • le parc est aussi un relais de leurs actions auprès du public.
  • le parc a crĂ©Ă© l’association Ecofaune afin de soutenir et accompagner des projets pour la protection de la biodiversitĂ©.
  • le zoo est membre de l’association CEPA : Conservatoire des espèces et des populations animales.

RĂ©seau

Le parc animalier est membre de l'association nationale des parcs et jardins zoologiques privés, de l'Association européenne des zoos et aquariums (AEZA) et du Syndicat national des directeurs de parcs zoologiques (SNDPZ).

Courant 2011, le zoo de La Barben a menĂ© une campagne de sensibilisation et de rĂ©colte de dons pour la sauvegarde des grands singes. Grâce aux nombreux participants, qui ont donnĂ© et ont participĂ© aux animations, le zoo a rĂ©coltĂ© près de 4 000 €, intĂ©gralement reversĂ©s Ă  des projets de sauvegarde de ces espèces. Ă€ l'Ă©chelle europĂ©enne, l'action des 160 zoos participants a permis de rĂ©colter plus de 400 000 €, permettant de soutenir 4 premiers projets :

Activité du site

Un petit train à l'entrée permet de rejoindre le cœur du parc, les deux gares se trouvent à gauche de l'entrée et en face de l'installation des éléphants, où le snack propose rafraîchissement et restauration à l'intérieur du parc. Des espaces pique-nique ombragés sont à disposition, ainsi que différentes tables disséminées le long des sentiers. Sans oublier l’aire de jeux, récemment réaménagée, en face des éléphants.

En quittant le parc, le visiteur a encore la possibilité de découvrir le vivarium avec de nombreux reptiles qui se trouvent dans le bâtiment d'accueil. Les nombreux terrariums ont été installés dans une vieille bergerie datant du XIIe siècle au sous-sol du bâtiment. La chaleur humide et les murs de pierre créent une atmosphère intéressante.

Installations

  • 1991 : crĂ©ation d'un centre d'Ă©levage pour rhinocĂ©ros blanc du Sud, constituĂ© d’un vaste bâtiment divisĂ© en plusieurs loges respectives et d’un vaste enclos extĂ©rieur de 1 hectare (10 000 m2) soit le plus grand enclos du parc. DiffĂ©rents panneaux d'information sur les rhinocĂ©ros sont proposĂ©s sur le sentier qui longe l'installation. La plaine est de type rocailleuse-dĂ©sertique si l’on excepte la prĂ©sence de quelques pins apportant de l’ombre aux animaux et est entourĂ© d’un petit muret et d’un fossĂ© servant de simple sĂ©paration entre le public et les animaux.
  • 1994 : crĂ©ation de l'installation des girafes du Niger. Le groupe reproducteur composĂ© de 6 individus disposent d'un vaste bâtiment et deux enclos extĂ©rieur, l’un sableux et l’autre herbeux, sĂ©parĂ©s du public par de gros rochers et de larges rambardes en bois. Quelques conifères et une haute construction en bois permettent aux animaux de se protĂ©ger du soleil durant l'Ă©tĂ©. Des naissances sont rĂ©gulièrement enregistrĂ©es au sein du groupe prĂ©sent.
  • 2000 : crĂ©ation de l'installation des tigres, avec une conception unique, accolĂ© Ă  une paroi rocheuse culminant Ă  plus de 10 mètres de hauteur. L'enclos est entourĂ© de hautes grilles et offre ainsi l’opportunitĂ© aux fĂ©lins d’évoluer de promontoire en promontoire pour atteindre le haut de la falaise, oĂą leur observation au milieu des rochers et des arbustes est alors particulièrement singulière. Une petite cascade se jette dans un bassin creusĂ© au bas de l’enclos, visible Ă  travers de larges baies vitrĂ©es permettant leur observation sous-marine, un fait unique en France. Il est possible d'observer les fauves du bas de la paroi, mais aussi Ă  partir des hauteurs (accessibles depuis un escalier), ce qui donne une vue d'ensemble sur l'installation.
  • 2000 : crĂ©ation d'un grand enclos herbeux et grillagĂ© pour la prĂ©sentation des loup Ă  crinières, amĂ©nagĂ© sous un couvert vĂ©gĂ©tal offrant de nombreux lieux oĂą se dissimuler du public.
  • 2000 : rĂ©novation partielle de l'installation des Ă©lĂ©phants d'Asie, l'enclos est composĂ© d'un bâtiment intĂ©rieur et d'un enclos extĂ©rieur sĂ©parĂ© des visiteurs par un fossĂ© sec. Un bassin, des rochers et un tronc d'arbre agrĂ©mentent la structure extĂ©rieure. Un programme d’enrichissement a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© afin d’amĂ©liorer le quotidien des animaux (tas de sable, foin accrochĂ© dans une boule en fer…). Actuellement et par suite de problèmes de cohabitation, il ne reste qu'une seule Ă©lĂ©phante.
  • 2001 : principale nouveautĂ© de l’annĂ©e 2001, l’enclos du couple de lions d’Afrique nommĂ©s Anibal et Mathieu et les nouveaux Simba et Moufasa arrivĂ©s en , tandis qu'Igor s'est envolĂ© le . AmĂ©nagĂ© sur une vaste surface herbeuse de 2 000 m2, parsemĂ©e de massifs rocailleux et de troncs nus, il comprend une partie dĂ©couverte et une zone amĂ©nagĂ©e Ă  l’ombre des arbres voisins oĂą ils ont la possibilitĂ© de se soustraire lors des trop fortes chaleurs. Un bâtiment contenant plusieurs loges est accolĂ© Ă  ce dernier. Plusieurs naissances ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es, la première depuis l’arrivĂ©e du couple datant de .
  • 2002 : la nouvelle volière des vautours, Ă  proximitĂ© d’un sous-bois, afin d’amĂ©liorer la collection aviaire du Zoo et de prĂ©senter au public 2 des plus grands prĂ©dateurs du ciel grâce Ă  une prĂ©sentation en semi-libertĂ©. Le public est ainsi invitĂ© Ă  pĂ©nĂ©trer dans cet espace unique amĂ©nagĂ© au milieu des rochers, des arbustes locaux et des troncs morts mis Ă  la disposition des oiseaux, et y dĂ©couvrir un groupe de 4 vautours africains cohabitant avec un vautour fauve et des milan noirs Ă©voluant en totale libertĂ©. Le volume et les dimensions (25 Ă— 32 mètres) offerts aux animaux qui la peuplent leur permettent de larges possibilitĂ©s d’évolution. Ă€ noter qu’il y a un spectacle de rapaces au Zoo depuis 2011.
  • 2002 : rĂ©novation du vaste enclos des loup gris, les clĂ´tures ont Ă©tĂ© rĂ©novĂ©es et des baies vitrĂ©es ont Ă©tĂ© ajoutĂ©es ainsi que deux postes d'observation privilĂ©giĂ©e ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s. L'enclos est de grande taille et amĂ©nagĂ©, de bosquets et d’un massif rocailleux. Il est occupĂ© par une meute de 5 individus.
  • 2003 : nouvelle installation du lĂ©opard de Perse, il s'agit d'un grand enclos vitrĂ© sur deux cĂ´tĂ©s et garni d’un bassin, de massifs buissonneux oĂą il a la possibilitĂ© de se cacher, et d’une plate-forme en bois. L'observation directe de l'animal est ainsi privilĂ©giĂ©e. L’individu, hĂ©bergĂ© seul au parc, est un mâle prĂ©nommĂ© FrĂ©dĂ©ric.
  • 2003 : crĂ©ation de deux petites structures amĂ©nagĂ©es derrière l’enclos des rhinocĂ©ros complète la plaine africaine offerte aux visiteurs, avec la prĂ©sence des deux petits carnivores que sont les suricates et les fennecs. Deux enclos vitrĂ©s sableux agrĂ©mentĂ©s de petites plantes grasses et de rochers, couplĂ©s de bâtiments vitrĂ©s, leur ont Ă©tĂ© offerts.
  • 2004 : installation des lynxs d'Europe, il s'agit d'un grand enclos vitrĂ©e sur deux cĂ´tĂ©s, il leur offre un très bel espace, qui, grâce Ă  la prĂ©sence d’arbres et de rochers, sont difficilement observables malgrĂ© la prĂ©sence de deux points d’observations vitrĂ©s. Une maison abritant les logements de nuit relient l'enclos.
  • 2005 : crĂ©ation de 4 volières, pour la prĂ©sentation de 4 espèces de petits mammifères sud-amĂ©ricains. De taille relativement rĂ©duite, leur amĂ©nagement est en revanche dĂ©veloppĂ© et l’ajout d’une lĂ©gère vĂ©gĂ©tation, de structures d’escalade et la prĂ©sence d’un substrat naturel permet aux animaux de se dissimuler facilement du regard du public. Elles abritent de rares binturongs, des coatis Ă  queue annelĂ©e, un mâle ocelot baptisĂ© « ZĂ©bulon », âgĂ© de 7 ans et saisi par la douane chez un particulier en dĂ©but d’annĂ©e 2005 et des saĂŻmiris Ă  tĂŞte noire arrivĂ©s durant l’hiver 2008–2009.
  • 2006 : une nouvelle installation, accolĂ©e Ă  une paroi rocheuse a Ă©tĂ© totalement restructurĂ©e pour des oiseaux exotiques. Des branchages faisant office de perchoirs ont ainsi Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©s pour l’accueil de perroquets gris du Gabon, de deux amazone Ă  front bleu et de perruches d’Alexandra, tandis que la partie terrestre de la volière, reconfigurĂ©e grâce Ă  l’ajout de rochers et de troncs nus, est aujourd’hui occupĂ©e par des porcs-Ă©pics Ă  crĂŞte offrant une cohabitation singulière entre deux ordres animaliers diffĂ©rents.
  • 2006-2007 : la nouvelle installation des ours bruns, autrefois confinĂ©s dans leur cage exiguĂ« durant 10 ans, la nouvelle installation et plus adaptĂ©e Ă  leurs besoins vitaux. Les deux animaux y dĂ©couvrirent alors un espace Ă  la surface 3 fois plus importante qu’auparavant, amĂ©nagĂ© tout en longueur face Ă  une pente abrupte agrĂ©mentĂ©e de gros rochers Ă  laquelle ils ont entièrement accès, leur permettant d’évoluer sur plusieurs biotopes et niveaux diffĂ©rents. Une tanière artificielle amĂ©nagĂ©e entre ces massifs rocailleux Ă  proximitĂ© d’une petite cascade leur permet de se dissimuler facilement du regard des visiteurs. L’observation du public a d’ailleurs Ă©tĂ© facilitĂ©e grâce Ă  l’ajout de discrètes baies vitrĂ©es tandis qu’une vision sub-aquatique offre l’opportunitĂ© unique en France d’observer de façon singulière les plantigrades lors de leurs baignades les jours d’étĂ©.
  • 2007 : une nouvelle installation des pumas, amĂ©nagĂ©e Ă  l’emplacement des anciens enclos des pumas et des babouins hamadryas, transfĂ©rĂ©s vers la singerie. AdossĂ©e Ă  une falaise culminant Ă  une cinquantaine de mètres d’altitude, elle a Ă©tĂ© inaugurĂ©e en . Les 4 fĂ©lins du parc, longtemps confinĂ©s dans une cage 10 fois plus rĂ©duite, y disposent dĂ©sormais de 500 m2 dans un environnement herbeux et rocheux parcouru en son centre d’un ruisseau se jetant dans un bassin, de diffĂ©rents conifères et ont la possibilitĂ© d’accĂ©der Ă  une partie de la falaise abrupte dĂ©crite prĂ©cĂ©demment, un fait unique en Europe, offrant un vĂ©ritable panorama nord-amĂ©ricain aux visiteurs qui ont la possibilitĂ© d’observer les animaux Ă  partir de baies vitrĂ©es.
  • 2007 : crĂ©ation d'une volière, amĂ©nagĂ©e sur une dizaine de mètres de long, vitrĂ©e sur l’une de ses faces qui offre depuis un important espace pour voler Ă  un groupe d’ara chloroptères au milieu d’une dense vĂ©gĂ©tation et d’un important enchevĂŞtrement de branchages.
  • 2007-2008 : crĂ©ation d'une volière africaine, deux espèces de grues, la grue demoiselle de Numidie et la grue couronnĂ©e noire, cohabitent avec des touraco verts, des ibis sacrĂ©s et des tortues grecques au sein d’une vaste volière herbeuse de forme rectangulaire amĂ©nagĂ©e, superbement agrĂ©mentĂ©e d’un bassin, de perchoirs, de bosquets d’arbustes locaux et de plantes exotiques.
  • 2008 : crĂ©ation de la nouvelle volière des lĂ©muriens, autrefois prĂ©sentĂ©s dans les petites cages de la singerie, les varis noirs et blancs et les makis cattas ont dĂ©couvert leur nouvel enclos dans lequel ils cohabitent aujourd’hui. Entièrement herbeux, vĂ©gĂ©talisĂ© et recouvert d’un filet culminant Ă  plusieurs mètres de hauteur, il est entourĂ© de baies vitrĂ©es et agrĂ©mentĂ© de structures d’escalades et de petites huttes en bois dans lesquelles ils peuvent se rĂ©fugier. Un bâtiment accolĂ© Ă  la volière et recouvert de rondin de bois et agrĂ©mentĂ© d'une grande baie vitrĂ© en plexi qui permet aux visiteurs d'observer aussi ses primates dans leur maison.
  • 2008 : agrandissement de la volière des chimpanzĂ©s du parc, composĂ© de 3 vieux animaux âgĂ©s d’une quarantaine d’annĂ©es (un mâle et deux femelles), leur nouvelle volière est ainsi 3 fois plus grande. Autrefois confinĂ©s dans un espace particulièrement peu appropriĂ© Ă  la prĂ©sentation de grands singes, ils ont dĂ©couvert en 2008, une nouvelle installation aux amĂ©nagements multiples : sol herbeux, cordages, utilisation massive du bois dans les structures d’escalade... Dans le but d’enrichir leur quotidien, un nouveau programme d’enrichissement a Ă©tĂ© mis en place grâce Ă  l’ajout de boĂ®tes vitrĂ©es ou de termitières artificielles.
  • 2009 : l’agrandissement de l’enclos des tapirs terrestres, occupĂ© par un groupe reproducteur, a Ă©tĂ© achevĂ© entre janvier et fĂ©vrier. Les animaux disposent dĂ©sormais d’une surface herbeuse deux fois plus importante qu’auparavant et vĂ©gĂ©talisĂ©e, qui s’est vu accueillir une nouvelle espèce durant l’hiver : le capybara, qui cohabite dĂ©sormais avec les 3 tapirs sur la plaine.
  • 2011 : prĂ©sentation d'un amphithéâtre sonorisĂ© naturel de 1 000 places assises pour les spectacles de rapaces, hiboux, aigles, faucons, buses... tous ces oiseaux de proie, Ă©voluant librement en pleine nature.
  • 2011 : Transformation du grand enclos (1 hectare)[3] des rhinocĂ©ros en plaine africaine, la cohabitation s'agrandit, les rhinocĂ©ros et les gnou bleus sont ainsi rejoints par des oryx beisa et des springboks. Deux espèces d'antilopes originaires des rĂ©gions semi-dĂ©sertiques d'Afrique.
  • 2011 : arrivĂ©e de ânes sauvages de Somalie confiĂ©s dans le cadre du programme d'Ă©levage europĂ©en (EEP). Cette espèce est gravement menacĂ©e de disparition, il ne subsiste que quelques centaines d'animaux dans la nature. Les 4 jeunes femelles sont visibles dans l'ancien enclos des oryx beisa qui a Ă©tĂ© entièrement rĂ©novĂ©[4].
  • 2012 : rĂ©novation de l'enclos des zèbres de Burchell, agrandissent de l'espace, avec l'ajout d'une nouvelle maison plus moderne, ainsi qu'un nouveau grillage plus esthĂ©tique, des nouveaux points d’observations avec de larges fosses ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s avec l'agrĂ©ment de massifs de plantes de la rĂ©gion pour dĂ©corer et enrichir le milieu. La nouvelle volière des singes capucins, est plus moderne, naturelle, et spacieuse que l'ancienne. RĂ©novation de l'enclos des hippopotames, et nouvelle volière pour le milan royal.
  • 2013 : au mois d'avril, le parc amĂ©nage un nouvel enclos Ă  cĂ´tĂ© de celui du loup Ă  crinière, pour une nouvelle espèce de carnivore: il s'agit de la hyène rayĂ©e, qui est considĂ©rĂ© comme plus jolie que ses cousines, les hyène tachetĂ©es. Cette espèce est de nature plutĂ´t solitaire ou peut vivre Ă©galement en couple avec ses petits. Depuis , vous pouvez dĂ©couvrir aussi une nouvelle espèce originaire d'AmĂ©rique du Sud cette fois : des ouistitis Ă  pinceaux blancs ! Ces tout petits singes pèsent moins de 400 grammes pour une longueur maximale de 25 cm. Très vifs, ils explorent leur nouvelle volière...
  • 2014 : arrivĂ©e de tamanoirs
  • 2015 : arrivĂ©e de petits pandas roux
  • 2016 : arrivĂ©e d'ibis rouges
  • 2017 : arrivĂ©e de guĂ©pards[5]
  • 2018 : crĂ©ation et amĂ©nagement de la forĂŞt des cerfs Ă©laphes et amĂ©nagement du rocher des macaques.
  • 2019 : amĂ©nagement d’un nouveau parc pour les loups d’Europe (3 000 m2), puisque leurs ancien sera transformĂ© en un nouveau parc Ă  tigre, car le parc prĂ©voit d’en accueillir Ă  nouveau.
  • 2019-2020-2021: crĂ©ation et amĂ©nagement d'un nouvel enclos pour le retour des tigres, (les premiers tigres Ă©taient dans une ancienne conception, plus petite et moins idĂ©aliste). Dans la nouvelle installation, il y a une grande rivière qui traverse leurs parc et qui se jette dans un vaste bassin, et d'une cascade pour leur bien ĂŞtre ainsi qu'un grand espace herbeux semi-boisĂ© de 4 000 m2. Cette installation plus moderne est rĂ©alisĂ©e sur un terrain plat contrairement Ă  l'ancienne qui Ă©tait pentue et accolĂ©e Ă  une falaise. En 2021, un couple de chiens des buissons a pris possession d'un nouvel espace amĂ©nagĂ© par l'Ă©quipe technique du parc animalier[6].
  • 2021-2022-2023: CrĂ©ation et amĂ©nagement dans l'ancien enclos des lamas et des moutons, d'une vaste zone d'environ 5 000 m2 qui sera dĂ©diĂ©e aux diffĂ©rents reptiles.

Économie et fréquentation

Il affirme être fréquenté par 270 000 visiteurs chaque année[7]. En 2014, il a reçu 310 000 visiteurs[1].

Voir à proximité

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.