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Suricate

Le Suricate (Suricata suricatta), parfois surnommé « sentinelle du désert[1] », est une espèce de mammifères diurnes de la famille des Herpestidés (mangoustes), et la seule connue du genre Suricata. Ce petit carnivore vit dans le sud-ouest de l'Afrique (désert du Namib). Animal très prolifique, il vit en grands groupes familiaux au sein d'une colonie. Ils se réfugient la nuit dans de vastes terriers.

Suricata suricatta

Suricata suricatta
Description de cette image, également commentée ci-après
Suricates (Suricata suricatta), mangoustes namibiennes.

Genre

Suricata
Desmarest, 1804

Espèce

Suricata suricatta
(Schreber, 1776)

Synonymes

Statut de conservation UICN

( LC )
LC : Préoccupation mineure

Répartition géographique

Description de l'image Meerkat Area.svg.

Description de l'espèce

Suricate vu de face, en position de vigilance
Suricata suricatta (meerkat) dressé sur ses pattes arrières, regardant derrière, au zoo de Singapour.

Sa tĂŞte et son corps mesurent de 25 Ă  29 centimètres, et sa queue de 19 Ă  24 centimètres[2]. Le suricate mange entre autres des insectes, des souris, des rats, des oiseaux, de petits reptiles et des tubercules ou bulbes de plantes qu'il dĂ©terre avec ses pattes munies de fortes griffes non rĂ©tractiles de deux centimètres de longueur. Les suricates sont ainsi capables de dĂ©placer leur propre poids de terre en 20 secondes[3]. Une paupière transparente protège leurs yeux lorsqu'ils creusent le sable[3].

Les suricates vivent dans les plaines semi-dĂ©sertiques du sud-ouest de l’Afrique. La gestation dure 11 semaines pour des portĂ©es de 2 Ă  7 petits. Des sentinelles se relaient pour veiller sur le groupe en se dressant sur les pattes arrière et communiquent par cris pour prĂ©venir des dangers, comme la prĂ©sence de rapaces ou de serpents.

Leur pelage est blond avec quelques franges sombres sur le dos. Deux particularités sont importantes : leur queue très agile leur sert de 5e membre et leur vue est perçante[4]. Enfin, des poils plus foncés autour des yeux protègent ceux-ci du soleil. La durée moyenne de vie du suricate est de 12 ans.

Historique de la description et du nom

Illustration de l'explorateur, militaire, naturaliste et linguiste hollandais d'origine écossaise Robert Jacob Gordon. « Ces animaux sont abondants à l'intérieur et vivent dans des trous dans le sol. Ils n'ont que quatre griffes devant et derrière, celles de devant sont très longues et aptes à creuser. Ils vivent en groupes et sont facilement apprivoisés, et ils ne puent pas. Cet animal se rapproche d'un «viverra». Ils se nourrissent de plantes et aussi d'oiseaux, de souris, etc. Dans la langue Hottentot on les nomme « Garáa », et nos agriculteurs les appellent «Graatje» . » (trad.)

Le Suricata suricatta se nomme en anglais suricate ou meerkat, du néerlandais. On l'a aussi appelé en français zénick, et son orthographe surikate s'est transformée en suricate.

Buffon publie une description du premier spécimen du suricate connu en Europe. Il y eut cependant confusion sur son origine et son nom : il a cru à tort qu'il provenait du Suriname[5]. En 1765, Buffon commence ainsi son chapitre sur le « surikate »:

« Le suricate. Cet animal (pl. viii) a été acheté en Hollande sous le nom de Surikate; il se trouve à Surinam et dans les autres provinces de l'Amérique méridionale ... »

— Georges Louis Leclerc, Histoire naturelle générale et particulière : avec la description du Cabinet du Roy, vol. 13, (présentation en ligne), « Le Surikate », p. 72.

Il corrige en 1777 :

« M. Vosmaër, dans une note, [...] fait une remarque qui m'a paru juste, et dont je dois témoigner ici ma reconnaissance. « M. de Buffon (dit M. Vosmaër) a vraisemblablement été trompé sur le nom de surikate & sur le lieu de l'origine de cet animal, qui a été envoyé l'été dernier par M. Tulbagh[6] à S. A. S. Monseigneur le Prince d'Orange. Il n'appartient point à l'Amérique, mais bien à l'Afrique. » [...]

Ce témoignage de M. Tulbagh est positif, et ce que dit auparavant M. Vosmaër est juste ; j'y souscris avec plaisir, car, quoique j'aie eu cet animal vivant pendant longtemps, et que je l'aie décrit et fait représenter, je n'étais assuré ni de son nom, ni de son climat originaire que par le rapport d'un marchand d'animaux, qui me dit l'avoir acheté en Hollande sous le nom de Surikate, et qu'il venait de Surinam. Ainsi, nous dirons maintenant qu'il ne se trouve point à Surinam, ni dans les autres provinces de l'Amérique méridionale, mais en Afrique dans les terres montagneuses, au-dessus du cap de Bonne-Espérance. Et à l'égard du nom, il ne fait rien à la chose, et nous changerons volontiers celui de surikate lorsque nous serons mieux informés »

— Georges Louis Leclerc, Œuvres complètes de M. le Comte de Buffon, vol. 8, (lire en ligne), « Supplément à l'histoire des animaux quadrupèdes (Le Surikate) », p. 283.

Alimentation

Suricate en Namibie mangeant une grenouille.

Le suricate est avant tout un insectivore mais il ne dĂ©daigne pas les lĂ©zards, de petits serpents, des scorpions, des Ĺ“ufs, des mille-pattes et toutes sortes de petits mammifères ou, plus rarement, des oiseaux. Depuis le venin des morsures de serpents Ă  celui des piqĂ»res de scorpions — y compris des scorpions particulièrement venimeux du dĂ©sert du Kalahari â€” les suricates sont naturellement immunisĂ©s contre une grande variĂ©tĂ© de poisons[7]. Les morsures ou piqĂ»res de ces animaux venimeux n’en sont pas moins douloureuses, pouvant causer la mort de l'individu touchĂ©. Les oiseaux de proie sont leurs principaux prĂ©dateurs.

Leur peu de rĂ©serves en tissu adipeux contraint les suricates Ă  une alimentation journalière (ils passent 8 heures par jour Ă  chasser[3]). Cependant, en cas de disette, ils sont capables d'abaisser leur mĂ©tabolisme au point qu'un insecte peut leur suffire pour la journĂ©e. Les proies leur fournissent une quantitĂ© d'eau suffisante mais les suricates vont parfois s'abreuver dans une flaque si les conditions climatiques les y contraignent[3].

Leur ouĂŻe extrĂŞmement fine et leur odorat dĂ©veloppĂ© permettent aux suricates de repĂ©rer une proie sous le sable, qu'ils creusent parfois assez profondĂ©ment pour chercher leur nourriture. Ils ont donc la tĂŞte enfouie dans le sable et pendant ce temps ne peuvent repĂ©rer un prĂ©dateur qui pense en faire son repas. Les « sentinelles » ont pour rĂ´le de prĂ©venir les autres membres du groupe de la prĂ©sence de tels prĂ©dateurs par des cris spĂ©cifiques[8]. On a recensĂ© 30 cris diffĂ©rents selon le type de danger (terrestre ou aĂ©rien) et son Ă©loignement. Un cri continu indique que tout va bien[3]. Des recherches rĂ©centes[9] ont montrĂ© que les guetteurs Ă©taient des individus du groupe qui n'avaient plus faim. Chaque surveillance dure environ une heure, pendant laquelle la sentinelle Ă©met des cris continus Ă  intervalles rĂ©guliers, lorsque tout va bien. En cas de danger, elle aboie ou siffle très fort. Chaque membre du groupe se prĂ©cipite alors dans le terrier. Les jeunes ne fouillent pas le sol avant l'âge d'un mois et suivent alors un suricate plus âgĂ©, qui joue le rĂ´le d'Ă©ducateur[10].

Reproduction et mise bas

Petits suricates, Ă  La Palma.

Les suricates sont très prolifiques. Ils atteignent leur maturité sexuelle vers l'âge d'un an. Ils peuvent avoir jusqu'à quatre portées par an de généralement trois petits à l'état sauvage mais peuvent encore réduire leur fertilité si les conditions alimentaires sont mauvaises ou, au contraire, mettre bas jusqu'à cinq petits si les conditions environnementales sont bonnes. Les suricates sont itéropares et peuvent se reproduire à n'importe quelle époque de l'année mais la majorité des mises bas survient à la saison chaude.

Les femelles sont capables de provoquer leur mise bas. Cette faculté permet au groupe d'avoir des petits au même stade de développement au même moment et de ne pas entraver les migrations du groupe.

Il n'y a pas de parade nuptiale prĂ©copulatoire. Le mâle amadoue la femelle jusqu'Ă  ce qu'elle accepte l’accouplement. Le mâle reste en position assise durant l'acte. La gestation dure approximativement onze semaines. Les petits naissent dans le terrier souterrain et sont incomplètement dĂ©veloppĂ©s. Leurs yeux deviennent fonctionnels au bout de 10 Ă  14 jours et leurs oreilles au bout de 15 jours. Ils sont sevrĂ©s au bout de 50 Ă  65 jours. Ils ne sortent du terrier qu'au bout de 21 jours de vie. Le clan au complet entoure le terrier pour assister Ă  la sortie des petits qui sont confiĂ©s Ă  des baby-sitters sĂ©journant près de la tanière. Ils se joignent aux adultes dans leur quĂŞte de nourriture une semaine environ après leur première sortie.

Le couple dominant peut tuer tout autre petit du groupe et préserve ainsi la meilleure chance de survie à sa propre descendance. Il peut aussi chasser une mère hors du groupe. De nouveaux groupes composés de femelles évincées et de mâles vagabonds se forment, ce qui limite la consanguinité.

Les membres du groupe dominant ne s'accouplent pas entre eux lorsque ces derniers sont des proches (ceci survient lorsque la femelle dominante meurt et qu'une de ses filles lui succède), mais avec des mâles vagabonds issus d'autres groupes. Les femelles pleines ont alors tendance à tuer et dévorer les petits nés d'une autre mère.

Comportement et vie sociale

Les suricates vivent dans de vastes terriers aux entrĂ©es multiples, qu'ils ne quittent que dans la journĂ©e. Ce sont des animaux sociaux de 20 Ă  30 membres au sein d'une mĂŞme colonie. Hors du groupe, les suricates sont vouĂ©s Ă  une mort quasi certaine. Les animaux du mĂŞme groupe se toilettent rĂ©gulièrement entre eux pour tisser des liens sociaux puissants. Le couple dominant exprime son autoritĂ© sur le reste du groupe en le marquant de son odeur. Les animaux de second rang toilettent alors le couple dominant et lui lèchent la gueule. Ce comportement se rencontre habituellement lorsque les membres du groupe se trouvent rĂ©unis après une courte pĂ©riode de sĂ©paration. La plupart des suricates d'un mĂŞme groupe sont la progĂ©niture du couple dominant.

Les suricates ont un comportement altruiste au sein de leur colonie. Un ou plusieurs d'entre eux surveillent en sentinelles les autres membres qui creusent ou jouent entre eux. Lorsqu'un prédateur est repéré, l'alerte est donnée par un aboiement particulier. La bande se précipite alors pour se cacher dans un des terriers dont ils ont parsemé leur territoire. La sentinelle est la première à réapparaître du terrier à la recherche d'éventuels prédateurs. Elle aboie en continu pour maintenir les autres suricates dans leurs terriers. Lorsqu'elle cesse d'aboyer les autres suricates peuvent émerger en toute sécurité.

Lorsque les jeunes ont moins de 3 semaines, des individus du groupe restent avec eux au terrier durant toute la journée[11]. Ces baby-sitters, qui ne sont pas nécessairement parents des jeunes, ne mangent pas de toute la journée pour surveiller le terrier et les jeunes. Comme tous les baby-sitters ne sont pas parents des jeunes qu'ils gardent, la théorie de la sélection de parentèle ne suffit pas. Récemment, ce comportement a pu être expliqué par la théorie de l'augmentation du groupe[12]. Ainsi, des membres du groupe non apparentés aux jeunes ont aussi intérêt à prendre soin de ces jeunes car les groupes les plus nombreux ont plus de chances de survie[13]. Les femelles qui n'ont jamais mis bas sont chargées d'allaiter les petits de la femelle dominante pendant que cette dernière est partie au loin avec le reste du groupe. Elles protègent également les jeunes des attaques des prédateurs, souvent au péril de leur vie. En cas d'alerte, les baby-sitters conduisent les petits dans les terriers et s'apprêtent à les défendre si nécessaire. Si la retraite sous le sol est impossible, elle réunit les petits et s'allonge par-dessus.

Les suricates partagent volontiers leur terrier avec la mangouste jaune et l'écureuil terrestre, espèces avec lesquelles ils n'entrent pas en compétition pour la nourriture. Ils hébergent parfois des serpents... s'ils n'ont pas de chance. Cependant, ils peuvent mordre leur « invité » en cas de mésentente.

À l'instar de plusieurs espèces, les jeunes suricates font leur apprentissage en observant et en mimant le comportement des adultes, qui s'impliquent cependant dans un enseignement actif. Par exemple, l'adulte enseigne aux petits comment attraper sans risque un scorpion venimeux et lui arracher le dard avant de le manger[14].

La chaleur du désert du Kalahari pouvant être mortelle, les parents ou leurs substituts recouvrent les petits de sable pour les mettre à l’abri du soleil au cours des déplacements.

Vocalises

Les vocalises des suricates sont relativement riches et peuvent avoir plusieurs sens avec, en particulier, celui indiquant le type de prédateur repéré (aérien ou terrestre). Les caractéristiques acoustiques du signal varient en fonction du degré d'urgence de la situation. On a pu individualiser six alarmes différentes : prédateur aérien avec un degré d'urgence bas, moyen et élevé ; prédateur terrestre avec un degré d'urgence bas, moyen, élevé. La réponse des suricates est différente selon qu'il s'agit d'un prédateur aérien ou terrestre. Par exemple, un signal d'urgence concernant la présence d'un prédateur terrestre invite le suricate qui le perçoit à scruter l'environnement et à s'abriter. Par contre, le suricate regarde le ciel et s'aplatit sur le sol en cas de danger imminent lorsque le prédateur est aérien[15]. Outre ce cri d'alarme, on répertorie le cri de panique, celui de recrutement et celui invitant à se sauver. On a recensé 30 cris différents correspondant chacun à un danger. Un cri continu émis à intervalles réguliers signe l'absence de danger. L'animal pépie, trille, grogne ou aboie en fonction des circonstances[16].

Devenir d'un groupe

Groupe de suricates.

Un groupe de suricates peut mourir après l'attaque d'un prédateur, si le couple dominant est stérile, lors d'une disette ou d'une épidémie.

La taille du groupe est variable. Lorsqu'il comprend un nombre trop important d'individus, il se disperse au loin à la recherche de nouveaux territoires pour se nourrir. Ou bien, à l'occasion d'une alerte, le groupe recherche un abri dans différents terriers. Le résultat en est une scission du groupe.

Nous avons Ă©galement vu qu'un nouveau groupe peut se former Ă  partir de femelles Ă©vincĂ©es et de mâles vagabonds Ă  la recherche d'une partenaire qui, Ă  son tour, mettra bas des portĂ©es de 2 Ă  5 petits.

Mortalité liée au groupe

Malgré leur comportement altruiste, les suricates tuent parfois un jeune membre du groupe afin d'accroître leur propre position sociale au sein de ce groupe[17].

Une Ă©tude publiĂ©e en 2016 et portant sur plus de mille espèces de mammifères classe les suricates au premier rang pour la mortalitĂ© rĂ©sultant d'« interactions intraspĂ©cifiques » (19,36 % du nombre total de morts)[18].

Sous-espèces

La famille des suricates regroupe trois sous-espèces[19].

Selon Mammal Species of the World (version 3, 2005) (9 mars 2014)[20], Catalogue of Life (9 mars 2014)[21] :

  • sous-espèce Suricata suricatta iona (Cabral, 1971)
  • sous-espèce Suricata suricatta marjoriae (Bradfield, 1936)
  • sous-espèce Suricata suricatta suricatta (Schreber, 1776)

Suricates célèbres

  • Timon, le compère de Pumbaa dans Le Roi lion.
  • Billy, l'un des personnages principaux du film d'animation Animaux & Cie.
  • Le Clan des suricates, sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e crĂ©Ă©e en 2005 et diffusĂ©e sur la chaĂ®ne Animal Planet.
  • Le Clan des suricates : L'aventure commence, film documentaire crĂ©Ă© en 2008 et diffusĂ© sur la chaĂ®ne Animal Planet.
  • La VallĂ©e des meerkats, film documentaire : RĂ©alisateur : Alain DegrĂ©, Éditeur vidĂ©o : Fil Ă€ Film.
  • « Nono », un suricate surdouĂ©, est l'un des hĂ©ros du roman jeunesse Ă€ la poursuite du Kraken, tome 1 de la sĂ©rie Les Cryptides d'Alexandre Moix Ă©ditĂ©e chez Plon.
  • Dernièrement, les suricates sont devenus les vedettes des publicitĂ©s de Telus.
  • La Famille Suricate, film britannique de James Honeyborne[22].
  • La version d'Ubuntu, 10.10, s'appelle Maverick Meerkat, soit en français Suricate Rebelle.
  • OmĂ©ga : Planète Invisible, le suricate est une race possible pour les personnages.
  • L'OdyssĂ©e de Pi (Life of Pi) met en scène des suricates.
  • Suricate est le nom d'un groupe d'humoristes (RaphaĂ«l Descraques, Julien Josselin et Vincent Tirel), leurs sketchs sont diffusĂ©s sur W9 dans Le Meilleur de Golden Moustache ainsi que sur internet.
  • Hurikat, une application mobile communautaire dĂ©diĂ©e Ă  lutter contre les files d'attente, se base sur l'univers du suricate.
  • En , le collectif artistique italien Cracking Art Group, installe une trentaine de sculptures de suricates autour de la cathĂ©drale du Mans[23]. Sept de ces suricates sont ultĂ©rieurement volĂ©s[24] mais deux sont retrouvĂ©s le [25].

Annexes

Références taxinomiques

Liens externes

Bibliographie

  • A. DegrĂ© et S. Robert, La vallĂ©e des meerkats. Plon, 1987, in-4 cartonnage Ă©diteur illustrĂ©, 126 pages. Très nombreuses photos en couleurs.
  • Claude Venault, « Ă€ la rencontre du suricate »,
  • (en) Moira J. van Staaden, « Suricata suricatta », Mammalian Species, American Society of Mammalogists, no 483,‎ , p. 6 (lire en ligne)

Notes et références

  1. Suricate sur larousse.fr.
  2. van Staaden 1994
  3. Émission télévisée sur la 5 du 11-04-2013.
  4. , SURICATE - SURICATA SURICATTA.
  5. Venault 2017
  6. Ryk Tulbagh
  7. (en) David Attenborough, Meerkats United, 2000.
  8. (en) Martha B. Manser, « Response of foraging group members to sentinel calls in suricates, Suricata suricatta », Proceedings B, Royal Society of London, no 266,‎ , p. 1013-1019 (lire en ligne [PDF]).
  9. (en) T. H. Clutton-Brock et al., « Selfish sentinels in cooperative mammals », Science, no 284,‎ , p. 1640-1644.
  10. (en) Deborah Petersen, « Mighty Masked Meerkat Mobs », Blog Life In The Fast Lane, (consulté le ).
  11. (en) Clutton-Brock, T. H. et al., 2000, Proceedings of the Royal Society of London B, 267, 301-305: Individual contributions to babysitting in a cooperative mongoose, Suricata suricatta.
  12. (en) Hokko, H. et al., 2001, Proceedings of the Royal Society of London B, 268, 187-196: The evolution of cooperative breeding through group augmentation.
  13. Clutton-Brock, T. H. et al., 1999, Journal of animal ecology, 68, 672-683: Predation, group size and mortality in a cooperative mongoose, Suricata suricatta.
  14. (en) Alex Thornton, Katherine McAuliffe, « Teaching in Wild Meerkats », Science 313 (5784), pp. 227–229, doi:10.1126/science.1128727. PMID 16840701, (consulté le ).
  15. .
  16. Marta Manser, Lindsay Fletcher, « Vocalize to localize: A test on functionally referential alarm calls », Interaction Studies, volume 5, N° 3, pp. 327–344, doi = 10.1075/is.5.3.02man (consulté le ).
  17. (en) « Murderous Meerkat Moms Contradict Caring Image, Study Finds », News.nationalgeographic.com, (consulté le ).
  18. José María Gómez, Miguel Verdú, Adela González-Megías et Marcos Méndez, « The phylogenetic roots of human lethal violence (Supplementary Information) », Nature,‎ , p. 12-52 (DOI 10.1038/nature19758, lire en ligne).
  19. (en) Katie Kimble, « Meerkat Studbook Suricata suricatta North American Region », (consulté le ).
  20. Mammal Species of the World (version 3, 2005), consulté le 9 mars 2014
  21. Catalogue of Life Checklist, consulté le 9 mars 2014
  22. Télérama du 18/10/2008.
  23. http://www.lemainelibre.fr/sondage/le-mans-les-animaux-du-cracking-art-group-arrivent-vous-aimez-video-17-09-2015-143246.
  24. http://www.lemainelibre.fr/actualite/le-mans-vol-de-suricates-sept-sculptures-disparaissent-dans-la-nature-24-09-2015-143865.
  25. http://www.lemainelibre.fr/actualite/le-mans-deux-suricates-derobes-devant-la-cathedrale-ont-ete-restitues-01-02-2016-153624.
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