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Ormosia coccinea

Ormosia coccinea est une espÚce néotropicale d'arbres de la famille des Fabaceae. Il s'agit de l'espÚce type du genre est Ormosia Jacks..

Ormosia coccinea
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
échantillon de Ormosia coccinea collecté au Costa Rica

EspĂšce

Ormosia coccinea
(Aubl.) Jacks. (en), 1811[1]

Statut de conservation UICN

( LC )
LC : Préoccupation mineure

Synonymes

Selon Tropicos (09 juin 2022)[2]

  • Ormosia subsimplex Spruce ex Benth.
  • Robinia coccinea Aubl. - Basionyme

Selon GBIF (09 juin 2022)[3]

  • Ormosia coccinea var. coccinea
  • Robinia coccinea Aubl. - Basionyme

Le nom « Ormosia » provient du grec áœ…ÏÎŒÎżÏ‚ hĂłrmos signifiant « collier», en rĂ©fĂ©rence aux graines noires et rouges chatoyantes (toxiques) employĂ©es en perlerie[4].


Il est connu en Guyane sous les noms de Panacoco (Créole, Panacoco désigne en Guyane les lianes et arbres à graines rouges et noires : Ormosia spp.[5], Abrus precatorius, Rhynchosia phasaeolides), Neko[4], Agui (Nenge tongo)[6], Panakoko, Agi (Paramaka) Anakoko (Kali'na), Wanako kamwi (Palikur), Onokeu (Wayãpi), Barakaro (Arawak), Tento (Portugais du Brésil), Kokrikri, Hoogbos kokriki (Sranan tongo), Lucky seed, Barako (Guyana)[7] - [8].

Ailleurs, on l'appelle Gateado, Macure, Palo macure, PeonĂ­a, PeonĂ­o, Pionilla, Pionina, Tento, Too’o (Yanomami), Ya’u balĂ© au Venezuela[9], Canonnier, Gran savonĂšt, KanonyĂš aux Antilles[4], Lucky seed, Jumbie beans (CrĂ©ole du Guyana), Barakaro (Arawak), Anakoko (big type) (Caribe) au Guyana[10], Huayruro au PĂ©rou[11], Jumby bean, Red horse, Eye bean en Anglais[4].

Description

Planche d’Ormosia coccinea par George Jackson (en) (1811)[1] : 1. Ramuli floriferi pars. - 2. Flos sejunctus. - 3. Vexillum. - 4. Alé. - 5. Carina. - 6. Calyx, Stamina et Pistillum. - 7. Calyx vi expansus cum Staminibus. - 8. Pistillum. 8. b. Germinis sectio. - 9. Fructus monospermus. - 10. Idem intus visus, valva superiori amota. - 11. Fructus dispermus vi expansus. - 12. Embryo.

Ormosia coccinea est un grand arbuste ou un arbre petit Ă  grand, haut de 20 Ă  30 m. Son bois lĂ©ger Ă  mi-lourd (densitĂ© : 0,48 Ă  0,77), est de couleur brun clair rosĂ© ou cuivrĂ©, Ă  grain moyen Ă  grossier, plus ou moins ramagĂ©[12].

Les feuilles sont alternes, composĂ©es, imparipennĂ©es Ă  7-11(14) folioles de forme ovale, oblongue, elliptique Ă  obovale, courtement acuminĂ©es, obtuses, rĂ©tuses Ă  Ă©marginĂ©es Ă  l'apex, coriaces-rigides, glabres, luisantes rugueuses sur le dessus, glabres ou finement pubescentes en-dessous, long de 7-12 cm pour 3-6 cm de large. Les nervures mĂ©diane et secondaires (espacĂ©es de 3–10 mm) sont profondĂ©ment imprimĂ©es au-dessus, fortement saillantes en-dessous.

L'inflorescence est un panicule tomenteux de couleur jaune-brun à rouille. Les bractées et bractéoles sont petites, subulées. Les pédicelles sont longs de ± mm.

Les fleurs sont de couleur violet foncĂ©. Le calice est tomenteux Ă  l'extĂ©rieur, long de 6 Ă  8 mm. L'Ă©tendard est rĂ©flĂ©chi, campanulĂ©, bicalle au-dessus de l'onglet, avec un limbe long de (6)8-10 mm pour 10-12 mm de large. L'ovaire est subsessile, tomenteux.

Le fruit est un gousse glabre, plus ou moins ligneuse, dĂ©hiscente le long de la suture ventrale, longue de 30 Ă  45 mm pour (15)20 Ă  25 mm de large et 13-30 mm d'Ă©paisseur, de forme obliquement dĂ©primĂ©e-subglobuleuse (Ă  base obliquement attĂ©nuĂ©e sur environ mm, et Ă  bec droit, aigu, obliquement acuminĂ© sur 1-7 mm), de couleur brun foncĂ© Ă  rouge vif, luisante, contenant gĂ©nĂ©ralement 1 graine, Ă  valves Ă©paisses charnues-coriaces (pĂ©ricarpe Ă©pais, quelque peu resserrĂ© entre les graines si 2 graines). Il contient 1(-2) graines dures, dĂ©primĂ©es-globuleuses, de 10-12 x 10-12 x 8 mm, de couleur rouges avec une grande tache noire. Les cotylĂ©dons sont transversaux[13] - [8] - [14] - [9] - [10].

RĂ©partition

Ormosia coccinea est prĂ©sent en Colombie, au Venezuela (BolĂ­var, Amazonas, Apure, Monagas), dans les Guyanes[8] (Guyana, Suriname, Guyane), en Équateur, au PĂ©rou, au BrĂ©sil[9] (Amazonas, ParĂĄ[13]).

Écologie

Ormosia coccinea est un arbre[8] des lisiĂšres forestiĂšres, des bosquets de savane, et des savanes arbustives sur sable blanc, 50–200 m d'altitude au Venezuela[9], occasionnel dans les forĂȘts mixtes et marĂ©cageuse au Guyana[10].

Il fleurit en Guyane en fin de saison sÚche et fructifie drant la saison des pluies suivante. Ses gaines sont disséminées par les oiseaux (ornithochorie)[7].

Ormosia coccinea a été étudié sous divers aspects :

Utilisation

collier de graines d’Ormosia coccinea (grandes) et d’Abrus precatorius (petites)
collier de graines d’Ormosia coccinea (grandes) et d’Abrus precatorius (petites)

Les graines d’Ormosia coccinea sont trĂšs utilisĂ©es dans le bassin amazonien pour l'artisanat amĂ©rindien (ex : Wayanas) : colliers, bracelets et autres bijoux[4]... Au Guyana, elles sont utilisĂ©es chez les enfants Arawak pour jouer et parfois pour leur apprendre Ă  compter. Elles servent de perles ou sont conservĂ©es sur soi comme porte-bonheur[10].

Le bois est utilisé localement pour fabriquer des planches[10] ou du parquet[26].

Au Guyana, l'écorce pilée est utilisée en bain de vapeur contre la fiÚvre[10].

Les graines sont réputées toxiques[7].

Ormosia coccinea présente des propriétés cicatrisantes sur le rat[27], et entre, associé à Ananas comosus, dans la composition d'une crÚme cicatrisante[28].

La sciure de bois d’Ormosia coccinea sert Ă  fabriquer des briques Ă©cologiques Ă  base de plastiques PET[11].

L'extrait mĂ©thanolique d’Ormosia coccinea prĂ©sente des propriĂ©tĂ©s anti-inflammatoires et analgĂ©siques[29] - [30].

L'extrait d’Ormosia coccinea a montrĂ© des propriĂ©tĂ©s antimicrobiennes marquĂ©es Ă  250 ”g/mL sur Klebsiella pneumoniae et Staphylococcus aureus - [31].

Protologue

En 1775, le botaniste Aublet propose le protologue suivant pour Robinia coccinea Aubl., 1775 (synonyme d’Ormosia coccinea (Aubl.) Jacks., 1811) :

planche originale manuscrite de Plumier en Martinique « Pƿeudo-acacia ingens fructu coccineo, nigrù maculù notato »[32].

« 3. ROBINIA (coccinea) fructu coccinea; nigrù maculù notato: Pƿeudo-acacia ingens fructu coccineo, nigrù maculù notato. Plum, Cat. 19. Mƿƿ. t. 7. tab. 145[32], citée par Aublet dans son protologue.


Le PETIT PANACOCO des habitans de la Guiane.

Cet arbre Ćże trouve auƿƿi dans les forĂȘts qu'on traverĆże pour aller Ă  l'habitation de Pitrebot Ă  l'IĆżle de France. »

— FusĂ©e-Aublet, 1775[33].











Notes et références

  1. (la) George Jackson, « XVI. Account of Ormosia, a new Genus of Decandrous Plants belonging to the Natural Order of he guminosĂŠ », Transactions of the Linnean Society of London, vol. 10,‎ , p. 360 (lire en ligne)
  2. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 09 juin 2022
  3. GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 09 juin 2022
  4. Nathalie Vidal, Le grand livre des ÉTONNANTES GRAINES : entre Nature et Cultures, Orphie, , 200 p. (ISBN 978-2-87763-639-1), p. 116-117
  5. Pierre Grenand, Christian Moretti, Henri Jacquemin et Marie-Françoise Prévost, Pharmacopées traditionnelles en Guyane : Créoles. Wayãpi, Palikur, Paris, IRD Editions, , 663 p. (ISBN 978-2-7099-1545-8, lire en ligne), p. 537
  6. Marie Fleury, "BUSI-NENGE" - LES HOMMES-FORÊT : Essai d'etnobotanique chez les Alukus (Boni) en Guyane Française, universitĂ© de Paris 6, coll. « thĂšse de doctorat », (lire en ligne)
  7. ONF, Guide de reconnaissance des arbres de Guyane : 2e Ă©dition, ONF, , 374 p. (ISBN 978-2842072957), p. 74-75
  8. (en) Mark G.M. Van Roosmalen, Fruits of the guianan flora, INSTITUTE OF SYSTEMATIC BOTANY UTRECHT UNIVERSITY - SILVICULTURAL DEPARTMENT OF WAGENINGEN AGRICULTURAL UNIVERSITY, , 483 p. (ISBN 978-9090009872), p. 50
  9. (en) Charles H. Stirton, Gerardo A. Aymard C., Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 5, Eriocaulaceae–Lentibulariaceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 833 p. (ISBN 9780915279715), p. 365-367
  10. Tinde van Andel, Non-timber forest products of the North-West district of Guyana. Part II. A field guide., vol. 8, National Herbarium Nederland. Universiteit Utrecht. Tropenbos-Guyono Series, , 284 p. (lire en ligne)
  11. (es) Linda Almendra CHINO RUIZ et Alessandra Carolina MATHIOS CASTRO, « ElaboraciĂłn de ladrillos ecolĂłgicos a base de plĂĄsticos PET reutilizados y aserrĂ­n de la especie Huayruro (Ormosia coccinea) de las industrias madereras en Ucayali, PerĂș », Tesis - UNIVERSIDAD NACIONAL DE UCAYALI, PUCALLPA-PERÚ,‎ (lire en ligne)
  12. Pierre DÉTIENNE, Paulette JACQUET et Alain MARIAUX, Manuel d'identification des bois tropicaux : Tome 3 Guyane française, Quae, (lire en ligne), p. 126-128
  13. (en) A. A. Pulle, Flora of Suriname : PAPILIONACEAE, vol. II, PART 2, Leiden, VEREENIGING KOLONIAAL INSTITUUT TE AMSTERDAM, , 1-254 p., p. 112
  14. Albert Lemée, Flore de la Guyane française : Tome II - Podostémonacées à Sterculiacées, Brest, LIBRAIRIE LECHEVALIER, , 400 p., p. 114
  15. (en) Rosilei A. GARCIA, Jedi ROSERO-ALVARADO et Roger E. HERNÁNDEZ, « Swelling strain assessment of fiber and parenchyma tissues in the tropical hardwood Ormosia coccinea », Wood Science and Technology, vol. 54, no 6,‎ , p. 1447-1461 (DOI 10.1007/s00226-020-01223-z, lire en ligne)
  16. (pt) Arthur A. LOUREIRO et Pedro L. Braga LISBOA, « Anatomia do lenho de seis espĂ©cies de Ormosia (Leguminosae) da AmazĂŽnia », Acta Amazonica, vol. 9, no 4,‎ , p. 731-746 (lire en ligne)
  17. (es) Ángel David ESPÍRITU CABALLERO, « PlantaciĂłn de Ormosia coccinea Jack en fajas y fertilizaciĂłn con tres dosis NPK. UniĂłn Capiri-Satipo », Tesis - UNIVERSIDAD NACIONAL DEL CENTRO DEL PERÚ,‎ , p. 60 (lire en ligne)
  18. (es) Murayari ARÉVALO et Billy MITCHELL, « DinĂĄmica poblacional de la biomasa foliar en plantaciones de tres edades de" quillosisa" Erisma bicolor y" huayruro" Ormosia coccinea en el CIEFOR-Puerto Almendra, Loreto-PerĂș », tesis ESCUELA DE FORMACIÓN PROFESIONAL DE INGENIERÍA FORESTAL, Iquitos – PerĂș,‎ (lire en ligne)
  19. (es) Carol Margareth SÁNCHEZ VELA, « Macroinvertebrados del suelo colonizadores de la necromasa en plantaciones de especies maderables y bosques secundarios de tierra firme, Iquitos-PerĂș. SUNEDU », Tesis - FACULTAD DE AGRONOMÍA, IQUITOS - PERU,‎ (lire en ligne)
  20. (es) Ruller SOTO HONORIO, « IdentificaciĂłn y cuantificaciĂłn de la entomofauna de hojarasca en plantaciones de Vochysia lomatophylla Standl (quillosisa) y Ormosia coccinea Jant (huayruro) en Puerto Almendra, Iquitos-PerĂș », Tesis - Universidad Nacional de la Amazonia Peruana,‎
  21. (es) Marilia Cateri FLORES PÉREZ, « EvaluaciĂłn de daños por insectos xilĂłfagos en plantaciones de Vochysia lomatophylla" quillosisa" y Ormosia coccinea" huayruro" CIEFOR-Puerto Almendra-Loreto. PerĂș », SUNEDU - FACULTAD DE CIENCIAS FORESTALES, IQUITOS, PERÚ,‎ , p. 69 (lire en ligne)
  22. (es) Carmela ARCE-URREA, « DINÁMICA DE DESCOMPOSICIÓN Y MINERALIZACIÓN DE MACRONUTRIENTES EN HOJARASCA DE PLANTACIONES DE Ormosia coccinea (Aubl.) JACKSON," HUAYRURO" Y Vochysia lomatophylla Standl," QUILLOSISA, IOUITOS, LORETO, PERÚ », Folia AmazĂłnica, vol. 16, nos 1-2,‎ , p. 101-106 (DOI 10.24841/fa.v16i1-2.293, lire en ligne)
  23. (es) Zylla Melvet SANCHEZ VELA et Patricia Giovanna GONZALES GRANDEZ, « DinĂĄmica de la descomposiciĂłn de la hojarasca fina en diferentes plantaciones: Ormosia coccinea (Aubl.) Jackson" huayruro", Cedrelinga cateniformis (Ducke) Ducke" tornillo" y bosque secundario de tierra firme, Iquitos-PerĂș, 2016 », Universidad Nacional de la AmazonĂ­a Peruana,‎ (lire en ligne)
  24. (es) RuĂ­z VIENA et Simy Luisa CATHERINE, « ValoraciĂłn econĂłmica del secuestro de CO2 en plantaciones de 27 años en especies de Ormosia coccinea, Parkia igneiflora, y Simarouba amara, en el CIEFOR-PTO. Almendra, PerĂș », Tesis - ESCUELA DE FORMACIÓN PROFESIONAL DE INGENIERÍA FORESTAL,‎ , p. 86 (lire en ligne)
  25. (es) J. L. MASSON, « Pruebas de tratamiento pre-germinativo de algunas semillas nativas [Ormosia coccinea, Parkia sp., Copaifera reticulata, germinacion] » [« Pre-germinative treatment trials of some native seeds [Ormosia coccinea, Parkia sp., Copaifera reticulata] »], Revista Forestal del Peru, vol. 9, no 1,‎ , p. 81-90 (lire en ligne)
  26. (es) JA. Blanco Suarez, « Aptitud de la madera de cuatro especies forestales para parquet [Diplotropis martiusii, Ormosia coccinea, Aspidosperma vargasii, Tabebuia heteropoda] » [« Aptitude of four forestry wood species for parquet [Diplotropis martiusii, Ormosia coccinea, Aspidosperma vargasii, Tabebuia heteropoda] »], Universidad Nacional Agraria La Molina, Lima (Peru),‎
  27. (es) HĂ©ctor Alexander VÍLCHEZ CÁCEDA, Miguel Angel INOCENTE CAMONES et Oscar Bernuy FLORES LÓPEZ, « Actividad cicatrizante de seis extractos hidroalcohĂłlicos de plantas en heridas incisas de Rattus norvegicus albinus » [« Healing activity of six hydroalcoholic extracts of plants in incised wounds of Rattus norvegicus albinus »], Revista Cubana de Medicina Militar, vol. 49, no 1,‎ , p. 86-100 (lire en ligne)
  28. (es) Milagro Patricia VARGAS HUYHUA, « Efecto cicatrizante de una crema de extracto hidroalcohĂłlico de tallos de huairuro ormosia coccinea (aubl.) jacks, y de pulpa de piña ananas comosus (l.) merr. en ratones albinos », Tesis - UNIVERSIDAD INCA GARCILASO DE LA VEGA,‎ (lire en ligne)
  29. (en) Estela Guerrero DE LEÓN et Juan Antonio MORÁN-PINZÓN, « Antinociceptive and anti-inflammatory activities of methanol extract of ormosia coccinea (Aubl.) jacks in vivo », Journal of pharmacy and pharmacology, vol. 5,‎ , p. 289-298 (DOI 10.17265/2328-2150/2017.06.001, lire en ligne)
  30. (es) Miguel Angel DÍAZ CASTILLO, « EvaluaciĂłn de la actividad analgĂ©sica y antiinflamatoria de los extractos metanĂłlicos de Ormosia coccinea (Aubl) jacks y Macrolobium pittieri (Rose) Schery », ThĂšse de doctorat. Universidad de PanamĂĄ. Vicerrectoria de InvestigaciĂłn y Postgrado,‎ (lire en ligne)
  31. (es) Leandra GÓMEZ LEIJA, Carmen ESPINO CASTILLERO, Estela GUERRERO DE LEÓN, Juan MorĂĄn PinzĂłn, JosĂ© Luis LĂłpez PĂ©rez, Gisela Montenegro Navarro, Dionisio Olmedo Agudo et Mahabir Prashad Gupta, « Cribado de la actividad antimicrobiana de plantas panameñas de la familia Fabaceae », Revista MĂ©dica de la Universidad de Costa Rica, vol. 8, no 2,‎ , p. 11-23 (DOI 10.15517/rmu.v8i2.19617, lire en ligne)
  32. (la) Charles Plumier, Botanicon Americanum, 1689–1697 (lire en ligne), tab. 145. tom. 7.
  33. Jean Baptiste Christian FusĂ©e-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangĂ©es suivant la mĂ©thode sexuelle, avec plusieurs mĂ©moires sur les diffĂ©rents objets intĂ©reƿƿants, relatifs Ă  la culture & au commerce de la Guiane françoiĆże, & une Notice des plantes de l'IĆżle de France. volume II, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la FacultĂ© de MĂ©decine, quai des Augustins, , 867 p. (lire en ligne), p. 773

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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