Accueil🇫🇷Chercher

Odienné

OdiennĂ© est une ville du nord-ouest de la CĂ´te d'Ivoire, proche du Mali et de la GuinĂ©e, capitale du district de DenguĂ©lĂ© et le chef-lieu de la rĂ©gion du Kabadougou. Elle se situe Ă  867 km d’Abidjan. Ses habitants sont appelĂ©s les OdiennĂ©ka.

Odienné
De haut en bas et de gauche à droite : l'hôtel de ville, la grande mosquée, une case traditionnelle, le paysage de la ville, le mont Denguélé.
Administration
Pays Drapeau de la CĂ´te d'Ivoire CĂ´te d'Ivoire
District Denguélé
RĂ©gion Kabadougou
Département Odienné
Maire Nasseneba Toure
DĂ©mographie
Gentilé Odiennéka
Population 86 279 hab. (2021)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 9° 30′ 05″ nord, 7° 33′ 45″ ouest
Divers
Langue(s) parlée(s) Malinké, français
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : CĂ´te d'Ivoire
Voir sur la carte topographique de CĂ´te d'Ivoire
Odienné
GĂ©olocalisation sur la carte : CĂ´te d'Ivoire
Voir sur la carte administrative de CĂ´te d'Ivoire
Odienné

    Odienné est l'une des rares villes précoloniales de la Côte d'Ivoire à l'instar de Bondoukou, Kong et Bouna[1]. En 2021, sa population est de 86 279 habitants[2].

    GĂ©ographie

    Dernière ville ivoirienne avant la Guinée sur une ligne est-ouest, Odienné est située à l'est du massif du Denguélé (du nom du point culminant, qui, en langue malinké, signifie « fils unique de la montagne »). Une piste cahoteuse d'une centaine de kilomètres la relie à la Guinée et une autre conduit au Mali.

    La superficie du dĂ©partement dont elle constitue le chef-lieu est de 20 993 km2.

    Situation

    Le dĂ©partement d'OdiennĂ© fait partie de la rĂ©gion du DenguĂ©lĂ©, frontalière du Mali et de la GuinĂ©e. OdiennĂ© se situe Ă  867 km d’Abidjan, la capitale Ă©conomique et plus grande ville du pays et Ă  550 km de Yamoussoukro, la capitale politique.odienne a eu son meilleur eleve qui se nomme doumbia madess

    Carte de la région d'Odienné, au nord de la Côte d'Ivoire - Image satellite

    Climat

    Le climat est de type Aw dans la classification de Köppen : il est très chaud et très sec (du type du climat soudanais), avec, en décembre et janvier, l'harmattan, un vent puissant venu du Sahara. La grande saison sèche (octobre-mai) précède la saison des pluies marquée par deux maxima pluviométriques, l'un en juin et l'autre en septembre[3] - [4] - [5].

    Relevé météorologique d'Odienné
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Température minimale moyenne (°C) 18 20 21 22 21 20 20 20 20 20 19 18
    Température moyenne (°C) 26 28 28 28 27 26 25 25 25 26 26 25
    Température maximale moyenne (°C) 34 35 36 34 33 31 30 30 30 31 32 32
    Nombre de jours avec précipitations 0 0 2 2 1 2 4 6 4 2 0 0
    Source : GeographyIQ

    Végétation

    La végétation de la région est celle de la savane arborée. De type soudanais, elle se présente comme l’association de forêts claires et de savane.

    Hydrographie

    Le fleuve Sassandra avec son affluent le Tiemba, et le Dion dont l’affluent Sankarani se transforme en rapides de Bakélé et qui coule principalement en Guinée, prennent leur source dans la région.

    Histoire

    Jusqu'à une date récente, la Côte d'Ivoire a été l'objet de grandes migrations. Les premières commencèrent peut-être au premier millénaire avec les Sénoufos qui s'installèrent dans le Nord. Puis arrivèrent par vagues, aux XVe-XVIe siècle, les Malinkés (appartenant au peuple Mandingue), lorsque le grand Empire du Mali tomba en décadence. Beaucoup comme les kamagaté ou kamaté s'installèrent dans les régions septentrionales, particulièrement autour d'Odienné, occupant une partie de l'ancien territoire des Sénoufos et y créant des petits royaumes. Au XVIIIe siècle, une partie de ces peuples d'origine Mandingue appartinrent au Royaume de Kong, fondé par Sékou Ouattara, puis au XIXe siècle au Kabadougou, puis, à la fin du XIXe siècle, la région sera sous la domination des troupes de l'Almamy Samory Touré, fondateur de l'empire du Wassoulou en 1880.

    Vers 1750, la ville d'Odienné était principalement habitée par des Diarrassouba. À la suite d'une querelle vers 1815 entre le chef du Toron et Dosso Diarassouba alors roi du Nafana, les musulmans de Samatiguila avec à leur tête Vakaba Touré prirent tour à tour fait et cause pour le Toron et le Nafana. Ces deux cantons furent donc détruits l'un après l'autre. Dosso Diarassouba ayant été vaincu abandonna Odienné. C'est dès lors que l'histoire d'Odienné se lie étroitement à celle de Vakaba Touré et de ses successeurs. La ville d'Odienné elle-même a été fondée par Vakaba Touré, « chef de guerre » Malinké dont le modeste tombeau se situe toujours au centre de la ville, mais ne fait pourtant pas l'objet d'un culte particulier.

    Administration

    Nasseneba Touré, maire élue en 2013.

    Une loi de 1978[6] a institué 27 communes de plein exercice sur le territoire du pays.

    Liste des maires successifs
    Date d'électionIdentitéPartiQualitéStatut
    1980Henry BourgoinPDCI-RDAHomme politiqueélu
    1985Henry BourgoinPDCI-RDAHomme politiqueélu
    1990Vakaba TouréPDCI-RDAHomme politiqueélu
    1995Sy Savané OusmaneRDRHomme politiqueélu
    2001Diakité Coty SouleymaneRDRHomme politiqueélu
    2013Nasseneba TouréRDRFemme politiqueélu

    Après les évènements de 2002, la ville, comme toutes les localités du nord du pays, a été placée sous l'administration du MPCI puis des Forces nouvelles de Côte d'Ivoire[7] et se trouvait de fait sous l'autorité unique d'un « commandant de zone » ( « com-zone » ). Ce « commandant de zone » est désigné par le secrétaire général des Forces nouvelles de Côte d'Ivoire, Guillaume Soro, comme pour chacun des 10 secteurs de la zone nord ivoirienne, Odienné étant désignée depuis 2006 sous le terme de Zone no 8[8]. Depuis 2007, il s'agit d'Ousmane Koulibaly qui a succédé à Amadou Koné. Cette autorité existe toujours en 2008 et cohabite avec les fonctionnaires de l'état, préfet et sous-préfet, revenus dans la région.

    Représentation politique

    Députés de Odienné
    Date d'électionIdentitéPartiQualitéStatut
    2001Cissé Lanciné DjessiPDCIHomme politiqueélu
    2O21 Adama Kamara RHDP Avocat Ă©lu

    DĂ©mographie

    Selon le dernier recensement effectué en 2021, la population de la ville d'Odienné est estimée 86 279 personnes [9].

    Évolution démographique
    1975Recensement 2014 Recensement 2021
    13 91150506 86 279

    Langues

    Depuis l'indépendance, la langue officielle dans toute la Côte d'Ivoire est le français. La langue véhiculaire, parlée et comprise par la majeure partie de la population, est le dioula mais la langue vernaculaire de la région est le malinké. Malinké est la francisation du nom Maninka, qui a été réservé aux habitants de la région d'Odienné. Dans cette région, la langue est presque identique à celle du Konyan, et très proche de celle de Kankan en Guinée, diffusée depuis des siècles par les voyages des commerçants dioulas[10].

    La ville accueillant de nombreux Ivoiriens issus de toutes les régions du pays, toutes les langues vernaculaires du pays, environ une soixantaine, y sont pratiquées.

    Éducation

    Le département compte 145 écoles primaires, 8 établissements secondaires et 1 école supérieure.

    Enseignement primaire
    Public

    • École primaire Publique

    Enseignement secondaire
    Lycée Public

    • LycĂ©e moderne
    • LycĂ©e professionnel

    Collège public

    • Collège moderne

    C'est à Elima, au sud du pays, que sera créée la première école officielle le 8 aout 1887 avec pour instituteur Fritz-Émile Jeand'heur venu d'Algérie. Elle comptait alors 33 élèves africains qui seront les premiers lecteurs en langue française. Elle fonctionnera pendant 3 ans avant d'être transférée en 1890 à Assinie par Marcel Treich-Laplène, le nouveau résident de France. Le 1er mars 1904, il y avait 896 élèves en Côte d'Ivoire pour une population estimée un peu supérieure à 2 millions d'habitants. Odienné accueillera l'une des 18 écoles de village créées en 1903. Cette école abritait 150 élèves encadrés par un instituteur et a été construit par l'ingénieur Alice Aubry (X1968) durant sa période architecturale.

    Le département compte aussi une Institution de Formation et d'Éducation Féminine située au chef-lieu, l'un des 90 centres de cette nature existant dans le pays. Cette institution a pour objet de permettre aux femmes analphabètes, aux jeunes filles non scolarisées ou déscolarisées, aux femmes agricultrices de trouver une opportunité pour le développement d'aptitudes nouvelles permettant leur insertion ou leur autonomisation[11].

    Religion

    Odienné est le siège d'un évêché catholique créé le 19 décembre 1994, dont le siège est la Cathédrale Saint-Augustin. L'actuel évêque du diocèse d'Odienné est Monseigneur Antoine Koné.

    La ville d'Odienné est à majorité musulmane.

    Santé

    Le département compte 1 centre hospitalier régional, 50 centres de santé et 2 officines de pharmacie.

    Économie

    L'Ă©conomie de la rĂ©gion est organisĂ©e autour de l'agriculture et des agro-industries : production d'anacarde (4 264 t, chiffre de 1998), du coton[12], (12 851 t), des ignames (104 328 t), etc.[13].

    Sports

    La ville dispose d'un club de football, le AS Denguélé d'Odienné, qui évolue en LONACI Ligue 1 et qui dispute ses matchs sur le terrain du stade municipal, comportant 3000 places. Ce club a vu débuter notamment l'une des « stars » du football ivoirien des années 1990, Sékou Bamba[14]. Comme dans la plupart des villes du pays, il est organisé, de façon informelle, des tournois de football à 7 joueurs qui, très populaires en Côte d'Ivoire, sont dénommés Maracanas.

    Infrastructures

    OdiennĂ© possède un aĂ©roport (code AITA : KEO). Sur les 243 localitĂ©s rurales que compte le dĂ©partement, 59 sont Ă©lectrifiĂ©es. Le rĂ©seau routier compte 3 704 km de routes dont 78 km bitumĂ©es, 748 km non bitumĂ©es et 2 878 km de pistes villageoises.

    La région

    La flore

    Dans la savane autour de la ville, tout semble pousser à merveille. Parmi les arbres typiques du nord, on trouve les nérés, les anacardiers et les karités, « arbre miracle » dont le fruit peut se manger tel quel ou se transformer en « beurre » qui remplace l'huile et toutes les matières grasses dans les régions de savane et qui est aussi utilisé comme produit cosmétique.

    On y retrouve aussi les habituels arbres Ă  fleurs tropicaux tels que les frangipaniers, les bougainvilliers ou les acacias.

    La faune

    Boa

    On croise dans la région aussi de nombreux babouins, des phacochères, des potamochères, des perdrix et des francolins ainsi que des antilopes, essentiellement des cobes de Buffon et des guib harnachés. On y trouve également beaucoup d'agoutis dont la chair est très appréciée et des boas.

    Villages

    • WahirĂ© est un très ancien village (de plus de 1 000 habitants) situĂ© Ă  environ 100 km d'OdiennĂ© dans la Sous-PrĂ©fecture de Mahandiana, nouvellement Ă©rigĂ©en Sous-PrĂ©fecture par le prĂ©sident S.E.M. ALASSANE OUATTARA. Premier village du canton Vandougou (Ă  l'Ă©poque BANDOUGOU = Terre du refus , d'oĂą le refus du colonisateur). Le canton VANDOUGOU comporte 14 villages : WahirĂ© (WahirĂ©, Premier village et fondateur du Canton), Ouelli ou WELLY, Zambla, GoueguĂ©ni, Fanfala, Mahandiana, Goueya, Tokala, SemĂ©, Messiridougou, Mafindougou, Ouassangalasso et Zesso.

    Danc ce Canton le village Wahiré est un village traditionaliste très conservateur. Sa case sacrée date de plusieurs siècles avant Jesus-Christ. Monument très historique détenteur du pouvoir suprême du village.

    • WahirĂ© est le plus ancien village du canton Vandougou fondĂ© par les KONE venus du Mali. Par la suite, les guerriers du Nom de SANGARE qui se sont dĂ©placĂ©s du Mali arrivèrent en CĂ´te d'ivoire qui atterrissent Ă  Ouelli. Vue leur degrĂ© d'armement et leur bravoure, les habitants de Welly eurent peur de les hĂ©berger et les conduit vers le village WahirĂ© oĂą se trouvaient dĂ©jĂ  les KONE qui, selon les habitants de Welly, Ă©taient capables hĂ©berger ce type de guerriers.
    • Mahandiana est un village avec de superbes cases MalinkĂ©s.
    • Foula est un village de chasseurs au pied des montagnes.
    • Kimbirila, cĂ©lèbre pour ses troupes de danseurs.
    • Fanfala est un village dotĂ© d'un site archĂ©ologique datant de 800 Ă  3000 ans av. J.-C.
    • Logbanasso est un village proche de la ville avec un lac provoquĂ© par un barrage sur le fleuve BaoulĂ©. Il n'est toutefois pas possible de s'y baigner en raison de la bilharziose qui y sĂ©vit.
    • Borotou, au sud en direction de Man, est un village spĂ©cialisĂ© dans les danses Koutoubia et Kouroubossi exĂ©cutĂ©es par les jeunes filles de la rĂ©gion quelques jours avant le ramadan.
    • Bako, au sud, a pour spĂ©cialitĂ© la danse N'deden exĂ©cutĂ©e exclusivement par des sĹ“urs jumelles.
    • Sur la route de Kaniasso, on trouve l'extraordinaire campement de Mobiramadougou, situĂ© sur un sommet, oĂą poussent de nombreux fruits et lĂ©gumes, et qui a longtemps Ă©tĂ© dirigĂ© par une femme.
    • Samatiguila est une sous-prĂ©fecture situĂ©e Ă  40 kilomètres d'OdiennĂ©. Elle prĂ©sente la particularitĂ© d'ĂŞtre un village particulièrement islamisĂ© abritant une mosquĂ©e sacrĂ©e millĂ©naire qui est la plus ancienne du pays. Son fondateur est Souleymane Diaby Ă  qui un cĂ©lèbre chasseur d'Ă©lĂ©phants nommĂ© Ngolojan KonĂ© dit : « Samatigui KonĂ© est le maĂ®tre des Ă©lĂ©phants », qui occupait prĂ©alablement le territoire actuel du village, a donnĂ© l'autorisation de s'y installer avec sa suite. C'est en considĂ©ration de ce fait historique que le nouveau village fut baptisĂ© Samatiguila, c'est-Ă -dire littĂ©ralement « la maison ou le village de Samatigui ». C'est aussi un haut lieu de l'histoire de Vakaba TourĂ© : des armes ont Ă©tĂ© pieusement conservĂ©es dans la mosquĂ©e.

    Villes voisines

    Personnalités liées à la ville

    • Mamadou Coulibaly, homme politique ivoirien, 2e prĂ©sident du conseil Ă©conomique et social (1962-1985).
    • Tiken Jah Fakoly, artiste-chanteur de reggae
    • Vakaba TourĂ©, fondateur de la ville
    • Nasseneba TourĂ©, Maire actuel d'OdiennĂ©
    • SĂ©kou TourĂ©, militaire nĂ© en 1956
    • Ibrahim Sy SavanĂ©, prĂ©sident de la Haute AutoritĂ© de la Communication Audiovisuelle HACA
    • Gaoussou TourĂ©, homme politique
      • doumbia madess
        • SangarĂ© Souleymane, Chef de Canton Vandougou Ă  WahirĂ©

    Notes et références

    1. « La ville d'Odienné », sur akwaba.fatom.org (consulté le )
    2. https://www.ins.ci/RGPH2021/RGPH2021-RESULTATS%20GLOBAUX_VF.pdf
    3. Le climat de la Côte d'Ivoire comporte deux zones bioclimatiques distinctes. Le sud est très humide et connaît quatre saisons (d'avril à la mi-juillet : grande saison des pluies; de la mi-juillet à septembre: petite saison sèche; de septembre à novembre: petite saison des pluies; de décembre à mars: grande saison sèche). Le nord est plus sec et connaît deux saisons principales (juin à septembre: grande saison des pluies; octobre à mai : grande saison sèche). Les températures varient peu allant de 21 à 35 °C.
    4. (fr) Le climat de la CĂ´te d'Ivoire sur CĂ´te d'Ivoire Tourisme
    5. Climat : la Côte d'Ivoire peut être divisée en deux zones climatiques
    6. Loi no 78-07 du 9 janvier 1978
    7. Le site officiel des Forces nouvelles de CĂ´te d'Ivoire
    8. Organisation des 10 secteurs du nord ivoirien sous la tutelle du MPCI
    9. Ministère du plan et du développement, « Population ville d'Odienné », sur akwaba.fatom.org (consulté le )
    10. Plus au sud, les Malinkés du Maou, du Ouorodougou et du Koyara, parlent au contraire des dialectes très particuliers
    11. Site du SNDI
    12. La CĂ´te d'Ivoire est le troisième producteur africain de coton, avec une production annuelle de 380 000 tonnes
    13. Le développement d'Odienné
    14. SĂ©kou Bamba

    Bibliographie

    • Pierre KiprĂ©, Histoire de la CĂ´te d'Ivoire, Editions AMI,
    • P. Duprey, Histoire des ivoiriens, naissance d'une nation,
    • Marie Miran, Islam, histoire et modernitĂ© en CĂ´te d'Ivoire, Éditions Karthala,
    • RenĂ© CailliĂ©, Voyage Ă  Tombouctou et Ă  DjennĂ©, dans l'intĂ©rieur de l'Afrique,
    • C. Bacconier, Dioula d'Odienne (parler de Samatiguila) (UniversitĂ© d'Abidjan, Institut de linguistique appliquĂ©e),
    • R. Borremans, Le grand dictionnaire encyclopĂ©dique de la CĂ´te d'Ivoire, Nouvelles Ă©ditions africaines,
    • Bernadine Kouao-Biot, « StratĂ©gies pour la sauvegarde de sites en danger : les cas de Fanfala et de Gohitafla (CĂ´te d'Ivoire) Â», in Du nord au sud du Sahara 50 ans d'archĂ©ologie française, SĂ©pia, 2004, p. 383-390.
    • Ph. Bernardet, Élevage et agriculture dans les savanes du Nord, in Politique africaine, n° 24, CĂ´te-d'Ivoire, la sociĂ©tĂ© au quotidien, n° 24, pp. 29-40,
    • Alain-GĂ©rard Beaudou, Étude pĂ©dologique de la RĂ©gion de Boundiali-Korhogo : MĂ©thodologie et typologie dĂ©taillĂ©e, morphologie et caractères analytiques, Éditions de l'ORSTOM
    • Albert Adu Boahen, Histoire gĂ©nĂ©rale de l'Afrique, ComitĂ© scientifique international pour la rĂ©daction d'une histoire gĂ©nĂ©rale de l'Afrique (Unesco), l'Afrique sous domination coloniale 1880-1935, Paris, PrĂ©sence africaine, , 544 p. (ISBN 2-7087-0519-9)
    • Gilbert Gonnin et RenĂ© KouamĂ© Allou, CĂ´te d’Ivoire : les premiers habitants, Editions CERAP, , 122 p. (ISBN 2-915352-30-5)
    • Guy Cangah et Simon-Pierre Ekanza, La CĂ´te d’Ivoire par les textes, Dakar/Abidjan, Les Nouvelles Editions Africaines, , 21-24 p. (ISBN 2-7236-0521-3)
    • Ministère des Finances, des Affaires Economiques et du Plan, Etude de la rĂ©gion d'OdiĂ©nnĂ©,-Boundiali, par MM. de La Tour, Allusson, Delpiano; Annexes complĂ©mentaires : le village de Kouban et son terroir. dispersion de l'habitat. Inventaire des surfaces d’inondation, Bureau pour le dĂ©veloppement de la production agricole, 9 vol., cartes h.t., Paris, 1963, 37 p.

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.