Anacardier
Anacardium occidentale, Pommier-cajou
L'anacardier (Anacardium occidentale) ou pommier-cajou, est une espÚce de petits arbres de la famille des Anacardiaceae, originaire d'Amérique tropicale, et cultivé en zone tropicale pour sa production de noix de cajou (ou anacarde) et de pomme de cajou.
Aux Antilles françaises et à La Réunion, il est appelé pomme-cajou (en créole réunionnais : pom kajou) ou noix-cajou (nwa kajou)[1]. En Guyane, on le nomme cajou ou pomme-cajou[2].
Histoire taxonomique et Ă©tymologie
La premiĂšre illustration et description publiĂ©e de lâespĂšce[3] est lâĆuvre de lâexplorateur et Ă©crivain français AndrĂ© Thevet qui se joignit comme aumĂŽnier Ă lâexpĂ©dition du vice-amiral Villegagnon au BrĂ©sil. Dans Les Singularitez de la France antarctique (1557), il dĂ©crit le manioc, lâananas, lâarachide, le pĂ©tun (tabac) et la noix de cajou quâil nomme acaĂŻou (dâaprĂšs lâappellation des amĂ©rindiens Tupinamba)[4]. Le nom dâacajou, orthographiĂ© de maniĂšre variable, semble avoir suivi le pommier-acajou partout oĂč il fut transplantĂ©, en Inde, en Asie du Sud-Est (« East Indian Archipelago ») et en Chine[5].
Le naturaliste suisse Gaspard Bauhin considĂ©rait que cet arbre Ă©tait du mĂȘme genre que lâAnacardium dâOrient[5] et par consĂ©quent lâappela Anacardii alia species [autre espĂšce]. Pour nommer lâespĂšce des Indes occidentales, LinnĂ© fit comme Bauhin, il nomma lâarbre Anacardium occidentale (dans Species plantarum[6]) en 1753. Il le plaça dans la classe Decandria Monogynia (fleur Ă 10 Ă©tamines et 1 style). En 1759, Bernard de Jussieu crĂ©e lâordre des Terebintaceae contenant le sous-ordre Cassuvium (Anacardium). En 1789, Antoine Laurent de Jussieu le neveu de Bernard de Jussieu, publie sa classification dans Genera plantarum oĂč on trouve lâanacardier placĂ© dans la classe XIV, lâordre XII des Terebintaceae[7]. Lamarck qui lâappelle Acajou Ă pomme (Cassuvium pomiferum, Lam.) le classera aussi dans la famille des TĂ©rĂ©bintacĂ©es Juss. qui deviendra plus tard la famille des Anacardiaceae (R. Brown) John Lindley.
Le nom de genre Anacardium vient du grec ancien áŒÎœÎŹ (anĂĄ, âsurâ) et de ÎșαÏΎία (kardĂa, âcoeurâ) « au-dessus du cĆur », car le pseudo-fruit peut ĂȘtre parfois rouge et en forme de cĆur, comme l'illustration de Köhler en haut ci-contre le montre. LâĂ©pithĂšte spĂ©cifique occidentale est dĂ©rivĂ© du latin occidentalis « qui est situĂ© Ă lâoccident ».
En français, le nom du fruit anacarde a Ă©tĂ© dĂ©rivĂ© du latin mĂ©diĂ©val anacardus[8]. Quant Ă cajou, câest un nom masculin dĂ©rivĂ© dâune langue tupi cajĂș, dĂ©signant lâanacardier et son fruit.
Description
C'est un petit arbre à la cime évasée mesurant de 6 à 12 m de haut, parfois davantage (jusqu'à 15 m)[9]. La racine principale est pivotante et s'enfonce à grande profondeur ; les racines latérales, trÚs développées, s'étendent souvent loin autour de l'arbre.
Les feuilles simples de couleur vert foncé sont persistantes, alternes, ovales-obovales et coriaces. Elles mesurent de 10 à 20 cm de long et peuvent atteindre 10 cm de largeur[10]. Elles présentent une nervure centrale bien visible et de 6 à 10 paires de nervures latérales.
Les fleurs blanches teintĂ©es de rose apparaissent au cours de la saison sĂšche (Ă partir du mois de dĂ©cembre, floraison assez persistante si la saison est peu ventĂ©e); elles sont pentamĂšres, dâun centimĂštre de diamĂštre, composĂ©es dâun calice Ă 5 lobes et 5 pĂ©tales rosĂątres, linĂ©aires, recourbĂ©s, imbriquĂ©s[1], entourant 8-10 Ă©tamines, inĂ©gales, et un style. Elles sont trĂšs parfumĂ©es et attirent les abeilles qui peuvent fournir une bonne source de miel. Elles sont rĂ©unies en longues inflorescences paniculĂ©es terminales, portant des fleurs mĂąles (les plus nombreuses, Ă©tamines les plus longues, 8-9 mm), stĂ©riles et bisexuelles (Ă©tamines de 5-6 mm)[9].
AprĂšs la fĂ©condation des fleurs, le pĂ©doncule et le rĂ©ceptacle floral Ă la base du fruit[11], enflent en un faux-fruit pour atteindre de 2 Ă 20 cm de longueur, pour un diamĂštre de 1-8 cm. GonflĂ©, charnu et juteux, il est nommĂ© « pomme de cajou », et ressemble Ă un poivron de couleur jaune, orange ou rouge. Ce nâest pas un fruit (au sens botanique) mais un pseudo-fruit qui peut se consommer tel quel, en confiture ou ĂȘtre mis Ă macĂ©rer dans le rhum[12].
Les fruits se forment Ă la fin de la saison sĂšche. Câest une drupe indĂ©hiscente, rĂ©niformes[n 1], dâenviron 3 cm de long, dotĂ©e dâune coque Ăącre et toxique qui abrite une amande blanche, comestible, la noix de cajou.
Domestication et distribution
Domestication
Lâanacardier est originaire de lâAmĂ©rique tropicale, du Mexique et des CaraĂŻbes jusquâau Nord-Est du BrĂ©sil et au PĂ©rou[10].
Les archĂ©ologues ont rĂ©vĂ©lĂ© l'existence de sociĂ©tĂ©s amazoniennes complexes qui Ă©taient passĂ©es du stade de la cueillette Ă celui de lâagriculture, il y a 4 000 ans[13]. Les techniques archĂ©obotaniques comme les marqueurs molĂ©culaires dâADN ont permis de dĂ©couvrir une nouvelle gĂ©ographie de la domestication des plantes nĂ©otropicales[14].
Lâanacardier fut donc domestiquĂ© bien avant la conquĂȘte de lâAmĂ©rique par les EuropĂ©ens[15]. LâĂtat de MaranhĂŁo (au Nord-Est du BrĂ©sil), qui est un centre de diversification des Anacardium, est aussi considĂ©rĂ© comme le lieu oĂč la domestication sâest faite[3]. Dans tous les pays de langue espagnole (sauf le Venezuela), lâanacardier est dâailleurs nommĂ© marañón dâaprĂšs lâorthographe portugaise de MaranhĂŁo.
De son origine du Nord-Est brĂ©silien, la culture de lâanacardier se serait ensuite rĂ©pandue dâune maniĂšre ou dâune autre en AmĂ©rique centrale vers 900 Ă 400 av. J.-C.[16].
Distribution
La premiĂšre illustration et description publiĂ©e de lâespĂšce[3] est lâĆuvre de lâexplorateur et Ă©crivain AndrĂ© Thevet qui se joignit Ă une expĂ©dition au BrĂ©sil en 1555-1556. Il fut suivi par des explorateurs et chroniqueurs portugais et quelques botanistes, jusquâĂ LinnĂ© en 1753.
Au XVIe siĂšcle, lâanacardier fut transplantĂ© par les Portugais au Mozambique et en Inde et de lĂ il se rĂ©pandit sur lâAsie du Sud-Est. Il sâest largement naturalisĂ© dans les zones tropicales, en particulier dans les rĂ©gions cĂŽtiĂšres[10].
Aujourd'hui largement cultivĂ© dans lâaire tropicale, on le trouve en Afrique, aux Antilles, dans le Nordeste brĂ©silien, en Asie du Sud-Est, en Chine et en Inde. La noix de cajou est la principale exportation de GuinĂ©e-Bissau, mĂȘme si le premier producteur africain et premier exportateur mondial est la CĂŽte d'Ivoire.
Habitat
Cette espĂšce peut pousser trĂšs vite, et peut supporter une pluviomĂ©trie allant de 700 Ă 4 200 mm de pluie par an[10]. Il a la particularitĂ© de sâadapter facilement aux sols peu fertiles, aux tempĂ©ratures Ă©levĂ©es et au stress hydrique, ce qui en fait un arbre idĂ©al pour les zones semi arides[17]. Pour produire des fruits de façon satisfaisante, il exige une saison des pluies s'Ă©tendant de quatre Ă six mois et une saison sĂšche durant la floraison et la maturation des fruits. Il prĂ©fĂšre les sols friables (sable, gravier, voire Ă©boulis) et ne supporte pas les sols durcis[17].
RĂŽle Ă©cologique
Sa couronne à feuillage dense fournit un bon ombrage au cours de la saison sÚche et la grande étendue de ses racines secondaires permet de réduire l'érosion des sols. Ses rameaux et ses feuilles sont une source de nourriture pour les herbivores[17].
L'anacardier et l'ĂȘtre humain
Culture
L'anacardier se propage souvent par semis mais les plants greffés, bouturés ou marcottés offrent un meilleur rendement[18]. Les semis donnent des résultats assez variables à pommes rouges ou jaunes[19]. On trouve des cultivars différents dans chaque zone de culture.
Le délicat systÚme racinaire de l'anacardier supporte mal les transplantations.
Pour bien se dĂ©velopper et bien fructifier, l'anacardier a besoin d'ĂȘtre plantĂ© en plein soleil. On recommande de planter les arbres sur un maillage de 10 Ă 10 m.
Un semis ou un jeune plant greffé peut fructifier dÚs sa troisiÚme année mais la pleine production commence vers sept à huit ans.
La rĂ©colte des noix est manuelle et fastidieuse. Elle nĂ©cessite des gants en raison de la prĂ©sence de rĂ©sine allergisante (acide anacardique, cardanols et cardols) sur les fruits. Une fois les noix rĂ©coltĂ©es, elles doivent subir de plusieurs Ă©tapes de transformation et en particulier traitement par la chaleur, avant d'ĂȘtre prĂȘtes Ă consommer (voir Traitement par grillage sur plaque et bain de vapeur).
Dans certaines régions, les plantations subissent des vols de fruits plus ou moins murs pour la revente sur le marché local. Pour éviter cela, certains producteurs développent l'apiculture dans leur verger. Les abeilles effraient les voleurs, augmentent les rendements grùce à une meilleure pollinisation des fleurs et produisent un revenu complémentaire grùce à la vente du miel produit[20].
Noix de cajou
La noix de cajou du commerce est une graine oléagineuse, au goût fin, qui est utilisée en accompagnement des apéritifs en Europe. Elle entre aussi dans la composition de plats cuisinés (rÎti végétarien, poulet aux noix de cajou, etc.) ou pour agrémenter les salades. Réduite en purée, elle permet de fabriquer une pùte à tartiner, le beurre de noix de cajou.
Principaux pays producteurs de noix de cajou en 2018[21]
Pays | Production (en t) | |||
---|---|---|---|---|
1 | ViĂȘt Nam | 2 663 885 | ||
2 | Inde | 785 925 | ||
3 | CĂŽte d'Ivoire | 688 000 | ||
4 | Philippines | 228 612 | ||
5 | BĂ©nin | 215 232 | ||
6 | Tanzanie | 171 455 | ||
7 | Mali | 167 621 | ||
8 | Guinée-Bissau | 150 934 | ||
9 | Brésil | 141 418 | ||
10 | Indonésie | 136 402 | ||
Source : FAOSTAT |
Pomme de cajou
Le pĂ©doncule gonflĂ©, ou faux-fruit nommĂ© pomme de cajou, jadis trop fragile pour ĂȘtre transportĂ©, peut ĂȘtre mangĂ© frais, sĂ©chĂ©, cuit en confiture ou sirop, voire utilisĂ© pour parfumer des boissons alcoolisĂ©es[10]. Au BrĂ©sil, il est maintenant conditionnĂ© dans des emballages sous plastique dans une atmosphĂšre passive, permettant le transport sur de longues distances[22].
Une fois la pomme-cajou sĂ©parĂ©e de la noix, elle commence Ă fermenter aprĂšs 6 heures. Il importe donc de lâutiliser rapidement pour faire du jus, sinon on la laisse fermenter pour produire une boisson alcoolisĂ©e. En 2007, il y avait au BrĂ©sil une douzaine dâusines dâextraction du jus de pommes de cajou. Par pressage des pommes, on sĂ©pare le jus des fibres qui peuvent ĂȘtre utilisĂ©es dans lâalimentation animale. Avant dâĂȘtre mis en bouteille ou en boĂźte de carton, le jus est homogĂ©nĂ©isĂ© et pasteurisĂ©. Depuis 2015, on trouve aussi en Inde du jus de pomme-cajou pour remplacer des jus plus chers de pommes ou d'ananas[23]. En 2016 au BĂ©nin, a Ă©tĂ© lancĂ© un jus de fruit acidulĂ© appelĂ© Sweet Benin, obtenu par pressage des pommes-cajou qui Ă©taient auparavant jetĂ©es. Le jus de pomme-cajou est une bonne source de magnĂ©sium et de vitamine C.
Aux Antilles françaises, la pomme de cajou est consommée fraßche, en confiture ou est mise à macérer dans du rhum[12].
Boisson alcoolisée
Le Feni est un alcool fort (de 40 Ă 45 °C) qui est produit uniquement Ă Goa en Inde Ă partir des pommes-cajou ou de sĂšve du palmier rĂŽnier (Borassus flabellifer). Lâalcool produit Ă partir des pommes-cajou est nommĂ© kaju feni à€à€Ÿà€à„ à€«à„à€šà„ en hindi Ă Goa.
AprĂšs avoir sĂ©parĂ© les pommes-cajou bien mĂ»res de la noix de cajou, jadis on les foulait aux pieds dans un bassin, maintenant on les presse mĂ©caniquement, pour en extraire le jus. Le moĂ»t (jus) obtenu est laissĂ© Ă fermenter dans de grands rĂ©cipients pendant quatre Ă cinq jours pour produire de lâalcool qui sera concentrĂ© par une double-distillation[24].
- Foulage aux pieds des pommes-cajou pour obtenir du moût (Inde)
- Cuves de fermentation du moût (Goa, Inde)
- Fourneau et cuve de refroidissement d'un alambic pour la distillation du moût (Inde)
- Distillation des pommes-cajou fermentées (Mozambique)
Feuilles
Les jeunes rameaux et feuilles peuvent ĂȘtre consommĂ©s comme lĂ©gume.
Usages domestiques et industriels
L'anacardier est une source de bois de chauffe, de charbon de bois, mais aussi de bois de menuiserie. L'Ă©corce est utilisĂ©e comme source de tannins ou de teinture jaune. L'huile extraite de la coque toxique du fruit peut servir Ă produire des vernis, des insecticides ou une encre indĂ©lĂ©bile[10]. Cette huile, toxique et irritante pour la peau, doit ĂȘtre manipulĂ©e avec prĂ©caution. Les rameaux et les feuilles de l'arbre peuvent ĂȘtre mangĂ©es par le bĂ©tail.
Usages dans la pharmacopée moderne ou traditionnelle
Dans les CaraĂŻbes, les propriĂ©tĂ©s mĂ©dicinales de lâanacardier Ă©taient utilisĂ©es par les AmĂ©rindiens[2]. Au XVIe siĂšcle, la pomme-cajou et son jus Ă©taient un antigrippal rĂ©putĂ© alors que lâhuile caustique des noix traitaient les dartres, les verrues et les cors. Les colons apprĂ©ciaient le jus de pomme-cajou, boisson astringente toujours en vente en AmĂ©rique du Sud. Lâinfusion de lâĂ©corce et de bourgeon passait pour rafraĂźchissante et Ă©molliente.
De nos jours, le dĂ©coction de lâĂ©corce est un traitement dâappoint du diabĂšte, un antidiarrhĂ©ique et antihypertenseur dans les CaraĂŻbes[2]. La dĂ©coction de lâĂ©corce est antidiarrhĂ©ique et antivomitive en Guyane. Les vertus anti-inflammatoires, antiseptiques et antidiarrhĂ©iques du jus de pomme-cajou sont rĂ©putĂ©s au Guatemala et au Nicaragua.
Les usages externes du pommier-cajou sont nombreux : en Martinique, la poudre des fruits rĂŽtis est appliquĂ©es sur les pieds dâathlĂštes. La rĂ©sine caustique est appliquĂ©e sur les verrues et les cors en Guyane et Ă Porto Rico.
La pomme de cajou est utilisée en Afrique pour repousser les moustiques sous forme de pomme coupée dans la piÚce ou dans la mare contre les larves de moustique. Elle est aussi utilisée en monodiÚte contre les maladies les plus graves comme la lÚpre[25].
à Madagascar, les feuilles d'anacardier (mahabibo) sont utilisées sous la forme de bains de vapeur localisés pour le traitement des crises hémorroïdaires.
Notes
- en forme de rein, recourbés
Références
- Jacques Fournet, Flore illustrée des phanérogames de Guadeloupe et de Martinique, Gondwana éditions, Cirad,
- Jean-Louis Longuefosse, Plantes mĂ©dicinales caribĂ©ennes, tome 2, Ăditions Orphie, , 249 p.
- John D. Mitchell et Scott A. Mori, The Cashew and Its Relatives (Anacardium : Anacardiaceae), The New York Botanical Garden; Memoirs of the New York Botanical Garden, Volume 42,
- André Thevet, Les Singularitez de la France antarctique, Maisonneuve et C, (lire en ligne)
- Francis Hamilton, « Commentary on the Herbarium Amboinense », dans Natural History Society, Memoirs of the Wernerian Natural History Society, Vol. V, Adam Black & Longman,
- botanicus Caroli Linnaei, « Species plantarum » (consulté le )
- Antoine Laurent de Jussieu, Genera plantarum : secundum ordines naturales disposita, juxta methodum in Horto regio parisiensi exaratam, Herissant et Theophilum Barrois, Parisii, (lire en ligne)
- CNRTL cnrs, atilf, « Anacarde » (consulté le )
- (en) Référence Flora of China : Anacardium occidentale
- INRA, CIRAD Feedipedia, « Cashew (Anacardium occidentale L.) nuts and byproducts » (consulté le )
- Worldagroforestry ICRAF, « Anacardium occidentale » (consulté le )
- Sastre C., Breuil A., Plantes, milieux et paysages des Antilles françaises. Ăcologie, biologie, identification, protection et usages., Biotope, MĂšze,
- Clement CR, Denevan WM, Heckenberger MJ, Junqueira AB, Neves EG, Teixeira WG, Woods WI, « The domestication of Amazonia before European conquest », Proc Biol Sci, vol. 282, no 1812,â (lire en ligne)
- Dolores R. Piperno, « The Origins of Plant Cultivation and Domestication in the New World Tropics Patterns, Process, and New Developments », Current Anthropology, vol. 52, no 4,â (lire en ligne)
- Latif. Mory. KONATE, « ADVENTICES DES VERGERS DE LâANACARDIER EN COTE DâIVOIRE » [PDF], sur 202544-Article (consultĂ© le )
- David Lewis Lentz, Imperfect Balance : Landscape Transformations in the Precolumbian Americas, Columbia University Press,
- (en-US) « A la dĂ©couverte de « lâAnacardier »appelĂ© aussi « Cajou » - ejo.bi », (consultĂ© le )
- Seydou Ndiaye, « Nouvelles techniques et recherches pour améliorer et augmenter la production dans la région du Sahel (greffage, semences polyclonales, etc.) » [PDF], sur africancashewalliance.com, (consulté le )
- Small-scale cashew nut processing - FAO 2001
- Vidéo "African Cashew Initiative" : les abeilles et l'anacarde.
- « FAOSTAT », sur http://www.fao.org/home/fr/ (consulté le )
- Embrapa ACA, « Cashew Fruit Usage in Brazil » (consulté le )
- Eromo Egbejule Ozy, « How cashew apple juice became Africaâs new power drink (sept 26, 2017) » (consultĂ© le )
- Capt. Felino's Travelogue, « Making cashew Feni »
- Conférence audio de Marc Bonfils cassette 4B Piste 07
Voir aussi
Articles connexes
- Pomme de cajou : le faux-fruit ;
- Noix de cajou : le fruit.
Liens externes
- (en) Référence Flora of China : Anacardium occidentale (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Anacardium occidentale L. (consulté le )
- (fr) Référence Tela Botanica (La Réunion) : Anacardium occidentale L. (consulté le )
- (fr) Référence Tela Botanica (Antilles) : Anacardium occidentale L. (consulté le )
- (fr) Référence INPN : Anacardium occidentale L., 1753 (TAXREF) (consulté le )
- (fr+en) Référence ITIS : Anacardium occidentale L. (consulté le )
- (en) Référence NCBI : Anacardium occidentale (taxons inclus) (consulté le )
- (en) Référence GRIN : espÚce Anacardium occidentale L. (consulté le )
- (en) Référence uBio : site déclaré ici indisponible le 7 avril 2023
Bibliographie
- Thierry Godjo, J & al. (2016) Valorisation des coques dâanacarde par pyrolyse au BĂ©nin ; DĂ©chets - Sciences et Techniques - N°70 - Nov 2015 doi:10.4267/dechets-sciences-techniques.3282