Navacelles
Navacelles est une commune française située dans le nord du département du Gard en région Occitanie. Elle ne doit pas être confondue avec un hameau de la commune héraultaise de Saint-Maurice-Navacelles, célèbre pour le cirque de Navacelles.
Navacelles | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Alès |
Intercommunalité | Communauté de communes Cèze-Cévennes |
Maire Mandat |
Bruno Clemençon 2020-2026 |
Code postal | 30580 |
Code commune | 30187 |
Démographie | |
Population municipale |
304 hab. (2020 ) |
Densité | 28 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 09′ 50″ nord, 4° 14′ 29″ est |
Altitude | Min. 129 m Max. 337 m |
Superficie | 11,02 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Alès (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Rousson |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Alauzène, l'Aubarou, Valat de Séguissous et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « garrigues de Lussan ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Navacelles est une commune rurale qui compte 304 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Navacellois ou Navacelloises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, église Saint-Nazaire et presbytère de Navacelles, inscrits en 1978.
Géographie
Localisation
La commune est située à 13 km à l'est d'Alès, l'altitude moyenne est de 175 mètres.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Salindres », sur la commune de Salindres, mise en service en 1915[6] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 068,8 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 37 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « garrigues de Lussan »[14], d'une superficie de 29 150 ha. Ce site abritait en 1999 un site de nidfication d'un couple de vautour percnoptère. Ce site constitue un lien essentiel dans la petite population méditerranéenne résiduelle du Sud-Est de la France (comprenant une vingtaine de couples seulement), situé entre les noyaux d'Ardèche et Drôme-Isère, au nord, des gorges du Gardon, au sud, du Lubéron et des Alpilles, à l'est, du haut montpelliérais et des Gorges Tarn-Jonte[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[16] : les « rochers de St-Peyre et d'Aiguières » (171 ha), couvrant 3 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [16] : le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (37 159 ha), couvrant 40 communes du département[18].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Navacelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [19] - [I 1] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36 %), zones agricoles hétérogènes (33,8 %), cultures permanentes (21,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,8 %), terres arables (2,4 %), zones urbanisées (2,3 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Navacelles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Alauzène. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1997, 1998 et 2002[24] - [22].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 66,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 175 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 115 sont en en aléa moyen ou fort, soit 66 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1983[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Navacelles est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[28].
Toponymie
Attestation du nom
Année | Nom | Document |
---|---|---|
1384 | Nova-Cella | Dénombrement de la sénéchaussée |
1462 | Locus de Nova-Cella | Registre-copie de lettres royaux[Note 9] de la sénéchaussée de Beaucaire et de Nîmes, pour les annéees 1461 et 1462 |
1549 | Novacelle | Archives départementales, C 1320 |
1538 | Novecelle | Ursy, notaires de Nîmes, XVIe et XVIIe siècles |
1602 | Le prieuré Sainct-Pierre de Navacelle | Jean Gentoux, notaire d'Uzès, XVIe et XVIIe siècles |
Source : Dictionnaire topographique du département du Gard[29]. |
Étymologie
Provençal Navacello, languedocien Nabacello, du latin nova cella[30].
Histoire
Préhistoire
Des peuplades préhistoriques avaient déjà choisi le site de Navacelles pour s'installer dans des grottes comme celles du Redalet et du Tay d'où elles pouvaient observer les migrations animales.
Antiquité
Les Gaulois érigent un village attesté de nos jours par de nombreux vestiges et ruines de cabanes[31].
Époque moderne
Au XVIIe siècle, Navacelles était le chef-lieu d'un des neuf doyennés du diocèse d'Uzès[29]. Jusqu'en 1790, elle fut le siège du prieuré de Saint-Pierre de Navacelles dépendant de l'évêque d'Uzès[29]. En 1808, elle devint paroisse du doyenné de Saint-Ambroix.
Pendant les guerres de religion, Navacelles fut le théâtre de luttes intestines entre les clans. Navacelles, qui avait appartenu à la Maison de Montmorency jusqu’à la fin du XVIe siècle, échut à Marie de Montmorency, fille naturelle d’Henri de Montmorency, connétable de France, laquelle avait épousé en 1575 Jean de Fay, baron de Péraut, sénéchal de Beaucaire et lieutenant général du roi en Pays de Bresse. Leur petite fille, Madeleine de Fay Péraut, épousa Abel de Calvière, qui transmit Navacelles à son neveu, Abel-Antoine de Calvière, baron de Boucoiran et de Vézénobres. En 1702, sa fille, Marie-Anne de Calvière de Boucoiran, l’apporta en dot à Joseph de Roux, colonel de dragons et brigadier des armées du roi (1654-1712). Son fils, Jean-Louis marquis de Roux (1705-1780), officier aux gardes françaises et viguier d’Avignon, vendit Navacelles dans les années 1740 à une famille bourgeoise de Nîmes, les Roustang, qui en furent les propriétaires jusqu'à la Révolution.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2020, la commune comptait 304 habitants[Note 10], en diminution de 5,88 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 142 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 302 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 820 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 7,8 % | 8,6 % | 11 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 197 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (67,5 % ayant un emploi et 11 % de chômeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 12] - [I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 55 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 134, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,3 %[I 10].
Sur ces 134 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 4,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
26 établissements[Note 13] sont implantés à Navacelles au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,9 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 26 entreprises implantées à Navacelles), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 478 ha[39] - [Carte 5] - [Carte 6].
Secteurs d'activités
Tandis que la plaine est propice à la polyculture constituée de vignes, céréales et cucurbitacées, et ses célèbres melons. En bas des combes, bien à l'abri, quelques oliveraies. Des muriers, vestiges de la sériciculture, résistent en limite de propriété.
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
- Ruelles.
- Vestiges romains de Concousses et Serres de la Font ainsi que le village gaulois de Redalet.
- Château date des XVIe et XVIIe siècles Inscrit MH (1978)[40].
Édifices religieux
- Château, église Saint-Nazaire et presbytère de Navacelles. Les Façades et toitures du château et du presbytère ; église ; courtine Sud-Ouest ; tour de l'Horloge ; mur de clôture sur la rue avec les deux portails d'entrée ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1978[40].
- Église Saint-Nazaire : Elle date du XIe siècle. Elle fut endommagée au XVIIIe siècle.
- Église Saint-Pierre de Navacelles[41].
- Temple protestant de Navacelles.
- Presbytère.
Patrimoine environnemental
Ce village semble perdu dans une forêt de chênes où règne un calme bercé par le chant des cigales. Située entre plaine et garrigue, la végétation méditerranéenne typique formée de chênes blancs, pins d'Alep, cèdes et genévriers, buis, pudis, laurier thym, arbousier, fenouil, millepertuis, molène, thym, lavandes sauvages composent la partie garrigue.
Héraldique
Blason | De sinople, à un chef losangé d'or et de sable[29]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- « Navacelles sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ], sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Navacelles », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
-
Lettres royaux : Lettres de chancellerie expédiées aux nom du prince.
Remarque : Lettres royaux est une façon archaïque de parler, conservée longtemps par l'usage de la chancellerie, les adjectifs en al étant, dans l'ancien français, semblables au masculin et au féminin, attendu qu'ils proviennent d'adjectifs latins en alis, qui ont même forme pour ces deux genres.
Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, Paris, L. Hachette, 1873-1874, 4 vol. ; gr. in-4 (BNF 30824717), p. 283, t. 3 - Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Navacelles » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Navacelles » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Navacelles » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Navacelles » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Salindres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Navacelles et Salindres », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Salindres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Navacelles et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Navacelles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Navacelles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « rochers de St-Peyre et d'Aiguières » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Navacelles », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Navacelles », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 149
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 398, t. 2
- « Village gaulois de Navacelles », sur www.ceze-cevennes.fr (consulté le ).
- https://archive.org/stream/EL066L197303030031PFPdfmasterocr/EL066_L_1973_03_030_03_1_PF_pdfmasterocr#page/n5/mode/2up
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Navacelles - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Château, église et presbytère », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Horaires », sur Eglise info (consulté le )