Musée de l'Orangerie
Le musĂ©e national de l'Orangerie (officiellement « Ă©tablissement public du musĂ©e d'Orsay et du musĂ©e de l'Orangerie â ValĂ©rie-Giscard dâEstaing » depuis 2021) est un musĂ©e français de peintures impressionnistes et postimpressionnistes, situĂ© dans le jardin des Tuileries, Ă l'extrĂ©mitĂ© occidentale de la Terrasse du bord de la Seine, place de la Concorde, Ă Paris, rattachĂ© depuis 2010 au musĂ©e d'Orsay.
Nom local |
Le Musée de l'Orangerie |
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Type |
Musée d'art, musée national (d) |
Ouverture | |
Gestionnaire | |
Surface |
6 300 mÂČ |
Visiteurs par an | |
Site web |
Collections |
peintures impressionnistes et postimpressionnistes |
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Nombre d'objets |
157 |
Protection |
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Pays | |
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RĂ©gion | |
Commune | |
Adresse | |
Coordonnées |
48° 51âČ 49,88âł N, 2° 19âČ 20,18âł E |
Outre le cĂ©lĂšbre cycle des NymphĂ©as, huit grandes peintures de Claude Monet qui recouvrent les murs de deux grandes salles ovales, le musĂ©e prĂ©sente des Ćuvres de Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley, Claude Monet, Paul CĂ©zanne, Henri Matisse, Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, Le Douanier Rousseau, AndrĂ© Derain, ChaĂŻm Soutine, Marie Laurencin, Maurice Utrillo, Paul Gauguin et Kees van Dongen.
Situation du musée
Le musée est situé face à la Seine, dans l'ancienne orangerie du palais des Tuileries de Paris.
Histoire
Origines
Sur la terrasse des Tuileries, Ă l'emplacement de l'Orangerie, se tient au XVIIe siĂšcle le restaurant Renard, du nom d'un ancien valet de chambre du commandeur Jacques de SouvrĂ© qui a montĂ© une affaire oĂč se trouvent de petites piĂšces discrĂštes ornĂ©es de tapisseries et de tableaux oĂč la noblesse de ce temps aime se retrouver. Sous la Fronde, de tumultueux incidents s'y produisent[2].
Construction
Construit en 1852, sur les plans de lâarchitecte Firmin Bourgeois, pour y abriter les orangers du jardin des Tuileries, le bĂątiment actuel est achevĂ© par son successeur, Louis Visconti. Le bĂątiment sert alors Ă accueillir les orangers du jardin des Tuileries pendant l'hiver ; ils Ă©taient jusqu'alors abritĂ©s dans la galerie basse du palais du Louvre en cette saison. Conçue comme une serre, sa façade sud, donnant sur le fleuve, est vitrĂ©e afin de recevoir la lumiĂšre du soleil, tandis que la façade nord est aveugle, afin de protĂ©ger les orangers des vents venus du nord. Si les plans du bĂątiment sont de Firmin Bourgeois, le dĂ©cor extĂ©rieur des deux portes, situĂ©es respectivement Ă l'est et l'ouest du bĂątiment, est l'Ćuvre de l'architecte Visconti. Il est constituĂ© de deux colonnes surmontĂ©es d'un fronton triangulaire sculptĂ© par Charles-Gallois Poignant figurant des cornes d'abondance, pantes et maĂŻs rappelant la destination premiĂšre du lieu[3]. C'est dans cette orangerie que pose, en 1865, le Prince impĂ©rial pour le sculpteur Carpeaux qui y installe son atelier le temps de rĂ©aliser le portrait du jeune fils de NapolĂ©on III, accompagnĂ© de son chien NĂ©ron.
PremiĂšres expositions
De 1890 à 1912, se tient dans l'orangerie l'exposition annuelle des peintres et sculpteurs de chasse et de vénerie, présidée par le peintre Jules-Bertrand Gélibert, dans le cadre de l'exposition canine organisée par la Société centrale canine.
Les Nymphéas
En 1921, l'orangerie est affectĂ©e au sous-secrĂ©tariat d'Ătat aux beaux-arts en mĂȘme temps que son pendant nord, le Jeu de Paume. Il a alors pour vocation d'exposer des artistes vivants. Mais l'orangerie est choisie par Claude Monet pour accueillir le cycle des NymphĂ©as que le peintre vient de donner Ă l'Ătat. C'est Ă la tĂ©nacitĂ© de Georges Clemenceau, alors prĂ©sident du Conseil, ministre de la Guerre et grand ami de Claude Monet, que l'on doit l'installation des NymphĂ©as au musĂ©e de l'Orangerie. Jusque-lĂ , Ă©tait envisagĂ©e leur exposition dans un pavillon Ă crĂ©er dans la cour de l'hĂŽtel Biron, tout nouveau musĂ©e Rodin. Clemenceau rend de trĂšs frĂ©quentes visites Ă Giverny pour soutenir le moral dĂ©faillant du peintre qui se sent devenir aveugle, atteint d'une double cataracte, et l'encourager Ă rĂ©aliser les « grandes dĂ©corations » qu'il avait promis en 1918 de faire don Ă la France. Il le convainc de se faire opĂ©rer de la cataracte par son propre ophtalmologiste, afin de pouvoir terminer son entreprise. Pendant ce temps, Clemenceau mĂšne des nĂ©gociations avec les pouvoirs publics pour que soit trouvĂ© et amĂ©nagĂ© un lieu propre Ă accueillir le grand Ćuvre de Monet dont la donation est formalisĂ©e en 1922. Les travaux d'amĂ©nagements sont effectuĂ©s par l'architecte en chef du Louvre Camille LefĂšvre suivant les indications du peintre, et ce jusqu'en 1927, date de son inauguration, qui n'a lieu que six mois aprĂšs la mort de Claude Monet, et en prĂ©sence de Georges Clemenceau. Les orangers sont supprimĂ©s, un escalier et un Ă©tage sont construits pour accĂ©der aux salles d'expositions. Huit panneaux de deux mĂštres de haut et d'une longueur totale de 91 mĂštres sont ainsi exposĂ©s dans deux salles ovales, formant le signe de l'infini, et orientĂ© est-ouest, s'inscrivant ainsi dans l'axe historique de Paris ainsi que dans le sens de la course du soleil. L'Ă©clairage de ces salles se fait par des verriĂšres, conformĂ©ment Ă la volontĂ© du peintre qui voulait plonger le visiteur dans un « Ă©tat de grĂące »[4].
Autres expositions
Jusqu'alors rattaché au musée du Luxembourg, le musée national de l'Orangerie des Tuileries est rattaché à celui du Louvre en 1930. Des travaux viennent alors changer la physionomie du bùtiment. Quatre salles d'une superficie de 500 m2 sont créées dans la moitié ouest de l'orangerie afin de recevoir des expositions temporaires. De 1930 à 1933, les premiÚres expositions sont consacrées aux impressionnistes. Celle de 1934 porte sur les peintres de la réalité au XVIIe siÚcle tandis que celle de 1936, consacrée à Rubens et son temps, attire un million de visiteurs. C'est le peintre Edgar Degas qui est l'objet d'une exposition en 1937. Durant l'occupation, le sculpteur allemand Arno Breker, artiste officiel du TroisiÚme Reich expose à l'Orangerie du au . Cette exposition, s'inscrivant dans un contexte de propagande, avait pour intention de montrer la grandeur de l'art officiel nazi (opposé à l'art dit « dégénéré ») faisant ainsi la promotion de son idéologie[5].
AprĂšs la LibĂ©ration, en 1945, l'Orangerie tout comme le Jeu de Paume forment une seule entitĂ© qui est rattachĂ©e au dĂ©partement des peintures du Louvre. Les expositions temporaires organisĂ©es par la RĂ©union des musĂ©es nationaux et initiĂ©es dans les annĂ©es 1930 reprennent alors leur cours. En 1946, c'est Ă l'Orangerie que sont prĂ©sentĂ©s les chefs-d'Ćuvre des collections de peintures françaises saisis ou vendus sous la contraintes aux nazis et retrouvĂ©s en Allemagne par la commission de rĂ©cupĂ©ration artistique avec l'aide du Monuments, Fine Arts, and Archives program amĂ©ricain. En 1954, une exposition est ainsi consacrĂ©e Ă Van Gogh et aux peintres d'Auvers-sur-Oise tandis que celle de 1955 porte sur la peinture française de David Ă Toulouse-Lautrec. C'est la rĂ©ussite de ces expositions temporaires annuelles qui est Ă l'origine de l'amĂ©nagement des galeries nationales du Grand Palais ouvertes en 1964[6].
Collection Walter-Guillaume
En 1934, Domenica, la veuve du marchand d'art Paul Guillaume, hĂ©rita de sa fortune et de sa collection, avec possibilitĂ© de la transformer mais obligation de la faire entrer un jour au musĂ©e du Louvre. Son goĂ»t la porte Ă acquĂ©rir de nouvelles Ćuvres impressionnistes ; tandis qu'elle vend en contrepartie plus de deux cents Ćuvres, dont certaines auraient pourtant Ă©tĂ© particuliĂšrement complĂ©mentaires pour les collections françaises d'art moderne, dont toutes les toiles de Giorgio de Chirico, toutes les Ćuvres cubistes de Picasso et toutes les sculptures d'art africain, quinze Matisse mais surtout ses deux trĂšs grands formats prĂ©coces qui incluaient La Leçon de piano (1916) achetĂ©e en 1946 par le MoMA, dont seul le musĂ©e de Grenoble conserve en France un Ă©quivalent avec l'IntĂ©rieur aux aubergines (1911) et des portraits de Modigliani, dont celui de Jean Cocteau.
L'Ătat acquiert sous rĂ©serve d'usufruit auprĂšs de Domenica Walter, remariĂ©e Ă l'architecte et industriel Jean Walter, pour un montant de 135 millions de francs rĂ©unis grĂące Ă une souscription de la SociĂ©tĂ© des amis du Louvre, 47 tableaux en 1959 puis les 99 tableaux restants en 1963. Domenica Walter concrĂ©tise ainsi le souhait de son premier mari qui voulait que sa collection devienne le « premier musĂ©e d'art français moderne ». De 1960 Ă 1965, sous la direction de l'architecte Olivier Lahalle, le musĂ©e est transformĂ© afin d'abriter la collection Walter-Guillaume, cĂ©dĂ©e Ă l'Ătat français Ă condition qu'elle ne soit pas dispersĂ©e. Les galeries d'exposition crĂ©Ă©es en 1930 sont alors supprimĂ©es tandis que deux nouveaux niveaux superposĂ©s sont crĂ©Ă©s sur toute la longueur du bĂątiment. Un escalier monumental, pourvue d'une rampe dĂ©corĂ©e par Raymond Subes, remplace alors le vestibule donnant sur les NymphĂ©as. Il permet d'accĂ©der Ă une enfilade de salles (d'une superficie de 1 300 m2) voulue par Domenica Walter afin d'exposer les 146 tableaux de sa collection. La collection est prĂ©sentĂ©e au public en 1966, en prĂ©sence du ministre des Affaires culturelles AndrĂ© Malraux mais les Ćuvres restent chez Mme Walter jusqu'Ă sa mort en 1977. Alors que la collection Walter-Guillaume entre enfin Ă l'Orangerie de maniĂšre dĂ©finitive, une nouvelle campagne de travaux sur le bĂątiment dĂ©bute en 1978 et se poursuit jusqu'en 1984. Ă cette occasion, l'Orangerie devient un musĂ©e national indĂ©pendant du Jeu de Paume et dĂ©tachĂ© de la tutelle du Louvre[7].
Réaménagement
Entre 2000 et 2006, des travaux, d'un montant de 30 millions d'euros[8], ont lieu sous la direction de l'architecte Olivier Brochet et du directeur du musée, Pierre Georgel. Ils consistent en la suppression du plancher qui recouvrait les Nymphéas depuis 1965 afin de leur redonner leur éclairage naturel original voulu par Monet. Pour compenser la perte de ces espaces d'exposition, sont également créés 1 000 m2 en sous-sol de la terrasse des Tuileries (pour un total utilisable de 6 300 m2) afin d'y exposer la collection Walter-Guillaume. Sont également aménagés un espace d'exposition temporaire, un auditorium ainsi qu'une salle pédagogique et une bibliothÚque. Ces travaux permettent la découverte des vestiges archéologiques de l'enceinte des fossés jaunes érigée à partir de 1566 pour protéger le palais des Tuileries et dont un pan de mur est visible à l'intérieur du musée.
Autour du bĂątiment, plusieurs sculptures sont exposĂ©es en extĂ©rieur. Le long de la façade nord qui longe le jardin des Tuileries, il s'agit du Grand commandant blanc (1986) du sculpteur Alain Kirili ainsi que de trois fontes en bronze de Rodin : Ăve (1881 et fonte en 1889), MĂ©ditation avec bras (1881 et fonte vers 1905) et L'Ombre (1881 et fonte vers 1904). Une quatriĂšme Ćuvre de Rodin, une fonte du Baiser, prend place devant l'entrĂ©e du musĂ©e Ă l'ouest. De l'autre cĂŽtĂ© du musĂ©e, sont Ă©galement visibles les sculptures Reclining Nude (1951) d'Henry Moore, situĂ©e au pied de l'escalier, ainsi qu'un moulage d'aprĂšs Le lion au serpent d'Antoine-Louis Barye ; situĂ© sur la terrasse au bord de la Seine[9].
Rattachement au musée d'Orsay
Jusque-lĂ service Ă compĂ©tence nationale du ministĂšre de la Culture (service des MusĂ©es de France), il est rattachĂ© en au musĂ©e d'Orsay au sein de l'Ătablissement public du musĂ©e d'Orsay et du musĂ©e de l'Orangerie[10] - [8]. Ă l'Ă©tĂ© 2015, un cafĂ© est ouvert dans le bĂątiment.
Les Ćuvres
La collection Jean Walter-Paul Guillaume est constituée de 146 tableaux datant des années 1860 aux années 1930. Parmi ses tableaux, on compte 25 peintures de Renoir, 15 Cézanne, 1 Gauguin, 1 Monet et 1 Sisley. Pour le XXe siÚcle, elle comprend 12 Picasso, 10 Matisse, 5 Modigliani, 5 Marie Laurencin, 9 Douanier Rousseau, 29 Derain, 10 Utrillo, 22 Soutine et 1 Van Dongen[11].
- Paul CĂ©zanne
- Nature morte, poire et pommes vertes (vers 1873)
- Le Pin de l'Estaque (1875-1876)
- Le DĂ©jeuner sur l'herbe (1876-1877)
- Madame CĂ©zanne au jardin (1879-1880)
- Pommes et biscuits (1879-1880)
- Fleurs et fruits (vers 1880)
- Fleurs dans un vase bleu (vers 1880)
- Fruits, serviette et boĂźte Ă lait (1880-1881)
- Portrait du fils de l'artiste (1880-1881)
- Arbres et maisons (1885-1886)
- Portrait de Madame CĂ©zanne (vers 1890)
- La Barque et les Baigneurs (vers 1890)
- Vase paillé, sucrier et pommes (1890-1893)
- Le Rocher rouge (vers 1895)
- Dans le parc de ChĂąteau Noir (1898-1900)
- André Derain
- La GibeciĂšre (1913)
- Portrait de Paul Guillaume (1919)
- Nature morte champĂȘtre (1921)
- Le Beau modĂšle (1923)
- Arlequin Ă la guitare (1924)
- Arlequin et Pierrot (1924)
- Le ModĂšle blond (1924)
- Nu Ă la cruche (1924-1925)
- La Table de cuisine (1925)
- Nature morte au panier (1924-1927)
- Melon et fruits (1927)
- La Danseuse Sonia (1927-1928)
- Nature morte au verre de vin (1928)
- Poires et cruche (1928)
- Grand nu couché (1924-1930)
- Le Gros Arbre (1929-1930)
- Nu au canapé (1929-1930)
- Portrait de Madame Paul Guillaume au grand chapeau (1929-1930)
- Le Noir Ă la mandoline (1930)
- Paysage de Provence (1930)
- Paysage de Provence (1930), n°2
- La NiĂšce du peintre (1931)
- La NiĂšce du peintre assise (1932)
- Arbres et villages (1932)
- La Route (1932)
- Paysage du Midi (1932)
- Roses sur fond noir (1932)
- Roses dans un vase (1934)
- L'Ăge d'or (1938-1946), dĂ©pĂŽt du MusĂ©e national d'art moderne
- Paul Gauguin
- Paysage (1901)
- Marie Laurencin
- Danseuses espagnoles (vers 1920- 1921)
- Les Biches (1923)
- Portrait de Mademoiselle Chanel (1923)
- Portrait de Madame Paul Guillaume (1924 ou 1928)
- Femmes au chien (1924-1925)
- Henri Matisse
- Les Trois SĆurs (1916-1917)
- Femmes au canapé ou Le Divan (1921)
- La Jeune Fille et le vase de Fleur ou Le Nu rose (1921)
- Le Boudoir (1921)
- Odalisque Ă la culotte rouge (1921)
- Femme Ă la mandoline (1921-1922)
- Odalisque bleue ou L'Esclave blanche (1921-1922)
- Femme au violon (1921-1923)
- Nu drapé étendu (1923-1924)
- Odalisque Ă la culotte grise (1927)
- Amedeo Modigliani
- Antonia (1915)
- Femme au ruban de velours (1915)
- Fille rousse (1915)
- Portrait de Paul Guillaume (1915)
- Le Jeune Apprenti (1918-1919)
- Claude Monet
- Argenteuil (1875)
- Les Nymphéas (1895-1926)
- Les Deux saules
- Le Matin clair aux saules
- Le Matin aux saules
- Reflets d'arbres
- Reflets verts
- Matin
- Les Nuages (1923-1926)
- Soleil couchant
- Pablo Picasso
- L'Ătreinte (1903)
- Composition : Paysans (1906)
- Femme au peigne (1906)
- Les Adolescents (1906)
- Nu sur fond rouge (1906)
- Grande nature morte (1918)
- Grande baigneuse (1921)
- Femme au chapeau blanc (1921)
- Femmes Ă la fontaine (1921)
- Femmes Ă la fontaine (1921)
- Grand nu Ă la draperie (1923)
- Femme au tambourin (1925)
- Pierre-Auguste Renoir
- Paysage de neige (vers 1875)
- Portrait d'un jeune homme et dâune jeune fille (vers 1875-1880)
- Bouquet dans une loge (vers 1878-1880)
- PĂȘches (vers 1881-1882)
- Femme nue dans un paysage (1883)
- Femme Ă la lettre (vers 1890)
- Portrait de deux fillettes (vers 1890-1892)
- Jeunes filles au piano (vers 1892)
- Pommes et poires (1890-1895)
- Baigneuse aux cheveux longs (vers 1895-1896)
- Gabrielle et Jean (1895-1896)
- Yvonne et Christine Lerolle au piano (1897)
- Fleurs dans un vase (vers 1896-1898)
- Gabrielle au jardin (1902)
- Bouquet (vers 1900)
- Fraises (vers 1905)
- Claude Renoir, jouant (vers 1905)
- Femme nue couchée (vers 1906)
- Claude Renoir en clown (1909)
- Bouquet de tulipes (vers 1905-1910)
- Baigneuse assise sâessuyant une jambe (vers 1914)
- Blonde Ă la rose (1915-1917)
- Femme au chapeau (1915-1919)
- Femme accoudée (1917-1919)
- Henri Julien FĂ©lix Rousseau, dit Le Douanier Rousseau
- L'Enfant à la poupée (1892)
- La Falaise (vers 1895)
- La Fabrique de chaises Ă Alfortville (1897)
- La Fabrique de chaises (1897)
- Le Navire dans la tempĂȘte (vers 1899)
- La Noce (vers 1905)
- La Carriole du PĂšre Junier (1908)
- Promeneurs dans un parc (vers 1908-1909)
- Les PĂȘcheurs Ă la ligne (1909)
- Alfred Sisley
- Le Chemin de Montbuisson Ă Louveciennes (1875)
- ChaĂŻm Soutine
- La Maison Blanche (1918)
- GlaĂŻeuls (vers 1919)
- La Table (vers 1919)
- Paysage avec personnages (vers 1918-1919)
- Le Gros Arbre bleu (vers 1920-1921)
- Les Maisons (1920-1921)
- Portrait dâhomme (Ămile Lejeune) (vers 1922)
- Paysage (vers 1922-1923)
- Le Petit PĂątissier (1922-1923)
- La Fiancée (vers 1923)
- Le Village (vers 1923)
- Arbre couché (vers 1923-1924)
- Le Lapin (1923-1924)
- Dindon et tomates (vers 1923-1924)
- Nature morte au faisan (vers 1924)
- Garçon dâhonneur (vers 1924-1925)
- BĆuf et tĂȘte de veau (vers 1925)
- Le Poulet plumé (vers 1925)
- Le Dindon (vers 1925)
- Le Garçon dâĂ©tage (vers 1927)
- L'Enfant de chĆur (vers 1927-1928)
- La Jeune Anglaise (vers 1934)
- Maurice Utrillo
- La Butte Pinson (1905-1908)
- Notre-Dame (vers 1909)
- Grande cathĂ©drale ou CathĂ©drale dâOrlĂ©ans (1913)
- Rue du Mont-Cenis (1912-1914)
- Rue du Mont-Cenis (1914)
- La Maison de Berlioz (1914)
- Ăglise Saint-Pierre de Montmartre (1914)
- Ăglise de Clignancourt (1913-1915)
- La Mairie au drapeau (1924)
- La Maison Bernot (1924)
- Kees van Dongen
- Portrait de Paul Guillaume (1930)
- La « salle Paul Guillaume » expose quelques sculptures de son ancienne collection, déposées par le musée du quai Branly.
- Art africain
- masque BaoulĂ© de CĂŽte dâIvoire
- reliquaire Fang du Gabon
- reliquaire Kota du Gabon
- Art africain
- La « salle des intérieurs » de l'appartement de Paul Guillaume présente également quelques meubles qui lui ont appartenu.
Les salles en 2017
Rez de chaussée haut
- vestibule
- Salles 1 et 2 de Monet : Les Nymphéas
Rez de chaussée bas
- Vestibule de Derain
- Salle des intérieurs de l'appartement de Paul Guillaume
- Salle Paul Guillaume d'Art africain et des Ćuvres vendues par sa veuve
- Salle de Renoir et des maquettes historiques de l'Orangerie
- Salle de CĂ©zanne
- Salle de Soutine (natures mortes)
- Salle de Picasso et Matisse
- Salle de Modigliani, Marie Laurencin et Derain
- Salle du Douanier Rousseau
- Salle d'Utrillo
- Salle de Soutine (paysages et portraits)
- Salles d'expositions temporaires
- Auditorium (salle de projection)
- Ateliers pédagogiques
Expositions temporaires
2023
- Contrepoint contemporain : Philippe Cognée, 15 mars 2023 - 4 septembre 2023[12]
- Matisse. Cahiers dâart, le tournant des annĂ©es 30, 1er mars 2023 - 29 mai 2023[13]
2022
- Contrepoint contemporain : Mickalene Thomas : Avec Monet, 13 octobre 2022 - 6 février 2023[14]
- Sam Szafran. Obsessions d'un peintre, 28 septembre 2022 - 16 janvier 2023[15]
- Focus collection : Novo Pilota, Amedeo Modigliani et son marchand Paul Guillaume, 5 mars 2022 - 5 septembre 2022[16]
- Contrepoint contemporain : Ange Leccia âą (D') AprĂšs Monet, 2 mars 2022 - 5 septembre 2022[17]
- Le décor impressionniste. Aux sources des Nymphéas, 2 mars 2022 - 11 juillet 2022[18]
2021
- David Hockney. A Year in Normandie. âRemember that they cannot cancel spring.â, 13 octobre 2021 - 14 fĂ©vrier 2022[19]
- Chaïm Soutine / Willem de Kooning, la peinture incarnée, 15 septembre 2021 - 10 janvier 2022[20]
- Focus collection : Le violon d'Ingres de Paul Guillaume, 21 juillet 2021 - 14 février 2022[21]
- Contrepoint contemporain : Isabelle Cornaro. L'intervalle des images, 2 juin 2021 au 6 septembre 2021[22]
- Magritte / Renoir. Le surréalisme en plein soleil, 19 mai 2021 - 19 juillet 2021[23]
- Focus collection : Les intérieurs de Paul Guillaume, 7 avril 2021 - 5 juillet 2021[24]
2020
- Contrepoint contemporain : Janaina TschÀpe, Contrepoint 5, 21 octobre 2020 - 1er mars 2021[25]
- Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique, 16 septembre 2020 - 14 décembre 2020[26]
2019
- Contrepoint contemporain : Tosani. Reflets et transpercements, 16 octobre 2019 - 17 février 2020[27]
- Félix Fénéon (1861-1944). Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse, 16 octobre 2019 - 27 janvier 2020[28]
- Contrepoint contemporain : Alex Katz. NymphĂ©as â sĂ©rie Homage to Monet, 2009-2010, 15 mai 2019 - 2 septembre 2019[29]
- Franz Marc / August Macke. Lâaventure du Cavalier bleu, 6 mars 2019 - 17 juin 2019[30]
2017
- Tokyo - Paris. Chefs-dâĆuvre du Bridgestone Museum of Art, Collection Ishibashi Foundation
2016
- Apollinaire, le regard du poĂšte
- La Peinture américaine des années 1930 - The Age of Anxiety
2015
- Adolfo Wildt (1868-1931), le dernier symboliste, 15 avril 2015 - 13 juillet 2015[31]
2014
- Ămile Bernard (1868-1941), 17 septembre 2014 - 5 janvier 2015[32]
- Les Archives du rĂȘve, dessins du musĂ©e d'Orsay : carte blanche Ă Werner Spies, 26 mars 2014 - 30 juin 2014[33]
2013
- Frida Kahlo / Diego Rivera. L'art en fusion, 9 octobre 2013 - 14 janvier 2014[34]
- Les Macchiaioli 1850-1874. Des impressionnistes italiens ?, 10 avril 2013 - 22 juillet 2013[35]
2012
- ChaĂŻm Soutine (1893-1943). L'ordre du chaos, - [36]
- Debussy, la musique et les arts, 22 février 2012 - 11 juin 2012[37]
2011
- L'Espagne entre deux siÚcles de Zuloaga à Picasso - 1890-1920, - (Musée de l'Orangerie)[38]
- Gino Severini (1883-1966), futuriste et néo-classique, 27 avril 2011 - 25 juillet 2011[39]
2010
- Heinrich KĂŒhn, la photographie parfaite, - [40]
- Paul Klee (1879-1940), La collection d'Ernst Beyeler, 14 avril 2010 - 19 juillet 2010[41]
Références
- La plateforme « data.gouv.fr » FrĂ©quentation 2006-2010 des musĂ©es de France - Ăle-de-France.
- Louis Batiffol, La Vie de Paris sous Louis XIII, Ă©ditions Calmann-LĂ©vy, 1932, p. 60.
- « Le bùtiment du Second Empire aux Nymphéas », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
- « L'installation des Nymphéas », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
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Voir aussi
Bibliographie
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- Pierre Georgel, Les NymphĂ©as Paris, Ăditions Gallimard/RĂ©union des musĂ©es nationaux, 2006
- Pierre Georgel, La Collection Jean Walter et Paul Guillaume Paris, Ăditions Gallimard/RĂ©union des musĂ©es nationaux, 2006
- Michel Hoog, Les Nymphéas de Claude Monet au musée de l'Orangerie Paris, Réunion des musées nationaux, 1989, réimpression 2006
- Michel Hoog, Musée de l'Orangerie, catalogue de la collection Jean Walter et Paul Guillaume Paris, Réunion des musées nationaux, 1990
Liens externes
- (fr + en) Site officiel
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative au tourisme :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Site du Musée Clemenceau
- « Site officiel »
- Legifrance ArrĂȘtĂ© du portant nomination de la directrice du musĂ©e national de l'Orangerie des Tuileries.