AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Musée de l'Orangerie

Le musĂ©e national de l'Orangerie (officiellement « Ă©tablissement public du musĂ©e d'Orsay et du musĂ©e de l'Orangerie – ValĂ©rie-Giscard d’Estaing » depuis 2021) est un musĂ©e français de peintures impressionnistes et postimpressionnistes, situĂ© dans le jardin des Tuileries, Ă  l'extrĂ©mitĂ© occidentale de la Terrasse du bord de la Seine, place de la Concorde, Ă  Paris, rattachĂ© depuis 2010 au musĂ©e d'Orsay.

Musée national de l'Orangerie
Façade du musée de l'Orangerie.
Informations générales
Nom local
Le Musée de l'Orangerie
Type
Musée d'art, musée national (d)
Ouverture
Gestionnaire
Surface
6 300 mÂČ
Visiteurs par an
1 004 287 (2018)[1]
Site web
Collections
Collections
Nombre d'objets
157
BĂątiment
Protection
Localisation
Pays
RĂ©gion
Commune
Adresse
Coordonnées
48° 51â€Č 49,88″ N, 2° 19â€Č 20,18″ E
Carte

Outre le cĂ©lĂšbre cycle des NymphĂ©as, huit grandes peintures de Claude Monet qui recouvrent les murs de deux grandes salles ovales, le musĂ©e prĂ©sente des Ɠuvres de Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley, Claude Monet, Paul CĂ©zanne, Henri Matisse, Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, Le Douanier Rousseau, AndrĂ© Derain, ChaĂŻm Soutine, Marie Laurencin, Maurice Utrillo, Paul Gauguin et Kees van Dongen.

Situation du musée

Le musée est situé face à la Seine, dans l'ancienne orangerie du palais des Tuileries de Paris.

Histoire

Auguste Rodin, L'Ombre.

Origines

Sur la terrasse des Tuileries, Ă  l'emplacement de l'Orangerie, se tient au XVIIe siĂšcle le restaurant Renard, du nom d'un ancien valet de chambre du commandeur Jacques de SouvrĂ© qui a montĂ© une affaire oĂč se trouvent de petites piĂšces discrĂštes ornĂ©es de tapisseries et de tableaux oĂč la noblesse de ce temps aime se retrouver. Sous la Fronde, de tumultueux incidents s'y produisent[2].

Construction

Construit en 1852, sur les plans de l’architecte Firmin Bourgeois, pour y abriter les orangers du jardin des Tuileries, le bĂątiment actuel est achevĂ© par son successeur, Louis Visconti. Le bĂątiment sert alors Ă  accueillir les orangers du jardin des Tuileries pendant l'hiver ; ils Ă©taient jusqu'alors abritĂ©s dans la galerie basse du palais du Louvre en cette saison. Conçue comme une serre, sa façade sud, donnant sur le fleuve, est vitrĂ©e afin de recevoir la lumiĂšre du soleil, tandis que la façade nord est aveugle, afin de protĂ©ger les orangers des vents venus du nord. Si les plans du bĂątiment sont de Firmin Bourgeois, le dĂ©cor extĂ©rieur des deux portes, situĂ©es respectivement Ă  l'est et l'ouest du bĂątiment, est l'Ɠuvre de l'architecte Visconti. Il est constituĂ© de deux colonnes surmontĂ©es d'un fronton triangulaire sculptĂ© par Charles-Gallois Poignant figurant des cornes d'abondance, pantes et maĂŻs rappelant la destination premiĂšre du lieu[3]. C'est dans cette orangerie que pose, en 1865, le Prince impĂ©rial pour le sculpteur Carpeaux qui y installe son atelier le temps de rĂ©aliser le portrait du jeune fils de NapolĂ©on III, accompagnĂ© de son chien NĂ©ron.

PremiĂšres expositions

De 1890 à 1912, se tient dans l'orangerie l'exposition annuelle des peintres et sculpteurs de chasse et de vénerie, présidée par le peintre Jules-Bertrand Gélibert, dans le cadre de l'exposition canine organisée par la Société centrale canine.

Les Nymphéas

En 1921, l'orangerie est affectĂ©e au sous-secrĂ©tariat d'État aux beaux-arts en mĂȘme temps que son pendant nord, le Jeu de Paume. Il a alors pour vocation d'exposer des artistes vivants. Mais l'orangerie est choisie par Claude Monet pour accueillir le cycle des NymphĂ©as que le peintre vient de donner Ă  l'État. C'est Ă  la tĂ©nacitĂ© de Georges Clemenceau, alors prĂ©sident du Conseil, ministre de la Guerre et grand ami de Claude Monet, que l'on doit l'installation des NymphĂ©as au musĂ©e de l'Orangerie. Jusque-lĂ , Ă©tait envisagĂ©e leur exposition dans un pavillon Ă  crĂ©er dans la cour de l'hĂŽtel Biron, tout nouveau musĂ©e Rodin. Clemenceau rend de trĂšs frĂ©quentes visites Ă  Giverny pour soutenir le moral dĂ©faillant du peintre qui se sent devenir aveugle, atteint d'une double cataracte, et l'encourager Ă  rĂ©aliser les « grandes dĂ©corations » qu'il avait promis en 1918 de faire don Ă  la France. Il le convainc de se faire opĂ©rer de la cataracte par son propre ophtalmologiste, afin de pouvoir terminer son entreprise. Pendant ce temps, Clemenceau mĂšne des nĂ©gociations avec les pouvoirs publics pour que soit trouvĂ© et amĂ©nagĂ© un lieu propre Ă  accueillir le grand Ɠuvre de Monet dont la donation est formalisĂ©e en 1922. Les travaux d'amĂ©nagements sont effectuĂ©s par l'architecte en chef du Louvre Camille LefĂšvre suivant les indications du peintre, et ce jusqu'en 1927, date de son inauguration, qui n'a lieu que six mois aprĂšs la mort de Claude Monet, et en prĂ©sence de Georges Clemenceau. Les orangers sont supprimĂ©s, un escalier et un Ă©tage sont construits pour accĂ©der aux salles d'expositions. Huit panneaux de deux mĂštres de haut et d'une longueur totale de 91 mĂštres sont ainsi exposĂ©s dans deux salles ovales, formant le signe de l'infini, et orientĂ© est-ouest, s'inscrivant ainsi dans l'axe historique de Paris ainsi que dans le sens de la course du soleil. L'Ă©clairage de ces salles se fait par des verriĂšres, conformĂ©ment Ă  la volontĂ© du peintre qui voulait plonger le visiteur dans un « Ă©tat de grĂące »[4].

Autres expositions

Jusqu'alors rattachĂ© au musĂ©e du Luxembourg, le musĂ©e national de l'Orangerie des Tuileries est rattachĂ© Ă  celui du Louvre en 1930. Des travaux viennent alors changer la physionomie du bĂątiment. Quatre salles d'une superficie de 500 m2 sont crĂ©Ă©es dans la moitiĂ© ouest de l'orangerie afin de recevoir des expositions temporaires. De 1930 Ă  1933, les premiĂšres expositions sont consacrĂ©es aux impressionnistes. Celle de 1934 porte sur les peintres de la rĂ©alitĂ© au XVIIe siĂšcle tandis que celle de 1936, consacrĂ©e Ă  Rubens et son temps, attire un million de visiteurs. C'est le peintre Edgar Degas qui est l'objet d'une exposition en 1937. Durant l'occupation, le sculpteur allemand Arno Breker, artiste officiel du TroisiĂšme Reich expose Ă  l'Orangerie du au . Cette exposition, s'inscrivant dans un contexte de propagande, avait pour intention de montrer la grandeur de l'art officiel nazi (opposĂ© Ă  l'art dit « dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© ») faisant ainsi la promotion de son idĂ©ologie[5].

AprĂšs la LibĂ©ration, en 1945, l'Orangerie tout comme le Jeu de Paume forment une seule entitĂ© qui est rattachĂ©e au dĂ©partement des peintures du Louvre. Les expositions temporaires organisĂ©es par la RĂ©union des musĂ©es nationaux et initiĂ©es dans les annĂ©es 1930 reprennent alors leur cours. En 1946, c'est Ă  l'Orangerie que sont prĂ©sentĂ©s les chefs-d'Ɠuvre des collections de peintures françaises saisis ou vendus sous la contraintes aux nazis et retrouvĂ©s en Allemagne par la commission de rĂ©cupĂ©ration artistique avec l'aide du Monuments, Fine Arts, and Archives program amĂ©ricain. En 1954, une exposition est ainsi consacrĂ©e Ă  Van Gogh et aux peintres d'Auvers-sur-Oise tandis que celle de 1955 porte sur la peinture française de David Ă  Toulouse-Lautrec. C'est la rĂ©ussite de ces expositions temporaires annuelles qui est Ă  l'origine de l'amĂ©nagement des galeries nationales du Grand Palais ouvertes en 1964[6].

Collection Walter-Guillaume

En 1934, Domenica, la veuve du marchand d'art Paul Guillaume, hĂ©rita de sa fortune et de sa collection, avec possibilitĂ© de la transformer mais obligation de la faire entrer un jour au musĂ©e du Louvre. Son goĂ»t la porte Ă  acquĂ©rir de nouvelles Ɠuvres impressionnistes ; tandis qu'elle vend en contrepartie plus de deux cents Ɠuvres, dont certaines auraient pourtant Ă©tĂ© particuliĂšrement complĂ©mentaires pour les collections françaises d'art moderne, dont toutes les toiles de Giorgio de Chirico, toutes les Ɠuvres cubistes de Picasso et toutes les sculptures d'art africain, quinze Matisse mais surtout ses deux trĂšs grands formats prĂ©coces qui incluaient La Leçon de piano (1916) achetĂ©e en 1946 par le MoMA, dont seul le musĂ©e de Grenoble conserve en France un Ă©quivalent avec l'IntĂ©rieur aux aubergines (1911) et des portraits de Modigliani, dont celui de Jean Cocteau.

L'État acquiert sous rĂ©serve d'usufruit auprĂšs de Domenica Walter, remariĂ©e Ă  l'architecte et industriel Jean Walter, pour un montant de 135 millions de francs rĂ©unis grĂące Ă  une souscription de la SociĂ©tĂ© des amis du Louvre, 47 tableaux en 1959 puis les 99 tableaux restants en 1963. Domenica Walter concrĂ©tise ainsi le souhait de son premier mari qui voulait que sa collection devienne le « premier musĂ©e d'art français moderne ». De 1960 Ă  1965, sous la direction de l'architecte Olivier Lahalle, le musĂ©e est transformĂ© afin d'abriter la collection Walter-Guillaume, cĂ©dĂ©e Ă  l'État français Ă  condition qu'elle ne soit pas dispersĂ©e. Les galeries d'exposition crĂ©Ă©es en 1930 sont alors supprimĂ©es tandis que deux nouveaux niveaux superposĂ©s sont crĂ©Ă©s sur toute la longueur du bĂątiment. Un escalier monumental, pourvue d'une rampe dĂ©corĂ©e par Raymond Subes, remplace alors le vestibule donnant sur les NymphĂ©as. Il permet d'accĂ©der Ă  une enfilade de salles (d'une superficie de 1 300 m2) voulue par Domenica Walter afin d'exposer les 146 tableaux de sa collection. La collection est prĂ©sentĂ©e au public en 1966, en prĂ©sence du ministre des Affaires culturelles AndrĂ© Malraux mais les Ɠuvres restent chez Mme Walter jusqu'Ă  sa mort en 1977. Alors que la collection Walter-Guillaume entre enfin Ă  l'Orangerie de maniĂšre dĂ©finitive, une nouvelle campagne de travaux sur le bĂątiment dĂ©bute en 1978 et se poursuit jusqu'en 1984. À cette occasion, l'Orangerie devient un musĂ©e national indĂ©pendant du Jeu de Paume et dĂ©tachĂ© de la tutelle du Louvre[7].

Réaménagement

Entre 2000 et 2006, des travaux, d'un montant de 30 millions d'euros[8], ont lieu sous la direction de l'architecte Olivier Brochet et du directeur du musĂ©e, Pierre Georgel. Ils consistent en la suppression du plancher qui recouvrait les NymphĂ©as depuis 1965 afin de leur redonner leur Ă©clairage naturel original voulu par Monet. Pour compenser la perte de ces espaces d'exposition, sont Ă©galement crĂ©Ă©s 1 000 m2 en sous-sol de la terrasse des Tuileries (pour un total utilisable de 6 300 m2) afin d'y exposer la collection Walter-Guillaume. Sont Ă©galement amĂ©nagĂ©s un espace d'exposition temporaire, un auditorium ainsi qu'une salle pĂ©dagogique et une bibliothĂšque. Ces travaux permettent la dĂ©couverte des vestiges archĂ©ologiques de l'enceinte des fossĂ©s jaunes Ă©rigĂ©e Ă  partir de 1566 pour protĂ©ger le palais des Tuileries et dont un pan de mur est visible Ă  l'intĂ©rieur du musĂ©e.

Autour du bĂątiment, plusieurs sculptures sont exposĂ©es en extĂ©rieur. Le long de la façade nord qui longe le jardin des Tuileries, il s'agit du Grand commandant blanc (1986) du sculpteur Alain Kirili ainsi que de trois fontes en bronze de Rodin : Ève (1881 et fonte en 1889), MĂ©ditation avec bras (1881 et fonte vers 1905) et L'Ombre (1881 et fonte vers 1904). Une quatriĂšme Ɠuvre de Rodin, une fonte du Baiser, prend place devant l'entrĂ©e du musĂ©e Ă  l'ouest. De l'autre cĂŽtĂ© du musĂ©e, sont Ă©galement visibles les sculptures Reclining Nude (1951) d'Henry Moore, situĂ©e au pied de l'escalier, ainsi qu'un moulage d'aprĂšs Le lion au serpent d'Antoine-Louis Barye ; situĂ© sur la terrasse au bord de la Seine[9].

Rattachement au musée d'Orsay

Jusque-lĂ  service Ă  compĂ©tence nationale du ministĂšre de la Culture (service des MusĂ©es de France), il est rattachĂ© en au musĂ©e d'Orsay au sein de l'Établissement public du musĂ©e d'Orsay et du musĂ©e de l'Orangerie[10] - [8]. À l'Ă©tĂ© 2015, un cafĂ© est ouvert dans le bĂątiment.

Les Ɠuvres

La collection Jean Walter-Paul Guillaume est constituée de 146 tableaux datant des années 1860 aux années 1930. Parmi ses tableaux, on compte 25 peintures de Renoir, 15 Cézanne, 1 Gauguin, 1 Monet et 1 Sisley. Pour le XXe siÚcle, elle comprend 12 Picasso, 10 Matisse, 5 Modigliani, 5 Marie Laurencin, 9 Douanier Rousseau, 29 Derain, 10 Utrillo, 22 Soutine et 1 Van Dongen[11].

  • Paul CĂ©zanne
    • Nature morte, poire et pommes vertes (vers 1873)
    • Le Pin de l'Estaque (1875-1876)
    • Le DĂ©jeuner sur l'herbe (1876-1877)
    • Madame CĂ©zanne au jardin (1879-1880)
    • Pommes et biscuits (1879-1880)
    • Fleurs et fruits (vers 1880)
    • Fleurs dans un vase bleu (vers 1880)
    • Fruits, serviette et boĂźte Ă  lait (1880-1881)
    • Portrait du fils de l'artiste (1880-1881)
    • Arbres et maisons (1885-1886)
    • Portrait de Madame CĂ©zanne (vers 1890)
    • La Barque et les Baigneurs (vers 1890)
    • Vase paillĂ©, sucrier et pommes (1890-1893)
    • Le Rocher rouge (vers 1895)
    • Dans le parc de ChĂąteau Noir (1898-1900)
  • AndrĂ© Derain
    • La GibeciĂšre (1913)
    • Portrait de Paul Guillaume (1919)
    • Nature morte champĂȘtre (1921)
    • Le Beau modĂšle (1923)
    • Arlequin Ă  la guitare (1924)
    • Arlequin et Pierrot (1924)
    • Le ModĂšle blond (1924)
    • Nu Ă  la cruche (1924-1925)
    • La Table de cuisine (1925)
    • Nature morte au panier (1924-1927)
    • Melon et fruits (1927)
    • La Danseuse Sonia (1927-1928)
    • Nature morte au verre de vin (1928)
    • Poires et cruche (1928)
    • Grand nu couchĂ© (1924-1930)
    • Le Gros Arbre (1929-1930)
    • Nu au canapĂ© (1929-1930)
    • Portrait de Madame Paul Guillaume au grand chapeau (1929-1930)
    • Le Noir Ă  la mandoline (1930)
    • Paysage de Provence (1930)
    • Paysage de Provence (1930), n°2
    • La NiĂšce du peintre (1931)
    • La NiĂšce du peintre assise (1932)
    • Arbres et villages (1932)
    • La Route (1932)
    • Paysage du Midi (1932)
    • Roses sur fond noir (1932)
    • Roses dans un vase (1934)
    • L'Âge d'or (1938-1946), dĂ©pĂŽt du MusĂ©e national d'art moderne
Paysage de Gauguin daté de 1901.
Gauguin, Paysage, 1901.
Jeunes filles au piano de Pierre-Auguste Renoir, vers 1892.
Renoir, Jeunes filles au piano.
  • Pierre-Auguste Renoir
    • Paysage de neige (vers 1875)
    • Portrait d'un jeune homme et d’une jeune fille (vers 1875-1880)
    • Bouquet dans une loge (vers 1878-1880)
    • PĂȘches (vers 1881-1882)
    • Femme nue dans un paysage (1883)
    • Femme Ă  la lettre (vers 1890)
    • Portrait de deux fillettes (vers 1890-1892)
    • Jeunes filles au piano (vers 1892)
    • Pommes et poires (1890-1895)
    • Baigneuse aux cheveux longs (vers 1895-1896)
    • Gabrielle et Jean (1895-1896)
    • Yvonne et Christine Lerolle au piano (1897)
    • Fleurs dans un vase (vers 1896-1898)
    • Gabrielle au jardin (1902)
    • Bouquet (vers 1900)
    • Fraises (vers 1905)
    • Claude Renoir, jouant (vers 1905)
    • Femme nue couchĂ©e (vers 1906)
    • Claude Renoir en clown (1909)
    • Bouquet de tulipes (vers 1905-1910)
    • Baigneuse assise s’essuyant une jambe (vers 1914)
    • Blonde Ă  la rose (1915-1917)
    • Femme au chapeau (1915-1919)
    • Femme accoudĂ©e (1917-1919)
  • Henri Julien FĂ©lix Rousseau, dit Le Douanier Rousseau
  • Alfred Sisley
    • Le Chemin de Montbuisson Ă  Louveciennes (1875)
  • ChaĂŻm Soutine
    • La Maison Blanche (1918)
    • GlaĂŻeuls (vers 1919)
    • La Table (vers 1919)
    • Paysage avec personnages (vers 1918-1919)
    • Le Gros Arbre bleu (vers 1920-1921)
    • Les Maisons (1920-1921)
    • Portrait d’homme (Émile Lejeune) (vers 1922)
    • Paysage (vers 1922-1923)
    • Le Petit PĂątissier (1922-1923)
    • La FiancĂ©e (vers 1923)
    • Le Village (vers 1923)
    • Arbre couchĂ© (vers 1923-1924)
    • Le Lapin (1923-1924)
    • Dindon et tomates (vers 1923-1924)
    • Nature morte au faisan (vers 1924)
    • Garçon d’honneur (vers 1924-1925)
    • BƓuf et tĂȘte de veau (vers 1925)
    • Le Poulet plumĂ© (vers 1925)
    • Le Dindon (vers 1925)
    • Le Garçon d’étage (vers 1927)
    • L'Enfant de chƓur (vers 1927-1928)
    • La Jeune Anglaise (vers 1934)
  • Maurice Utrillo
    • La Butte Pinson (1905-1908)
    • Notre-Dame (vers 1909)
    • Grande cathĂ©drale ou CathĂ©drale d’OrlĂ©ans (1913)
    • Rue du Mont-Cenis (1912-1914)
    • Rue du Mont-Cenis (1914)
    • La Maison de Berlioz (1914)
    • Église Saint-Pierre de Montmartre (1914)
    • Église de Clignancourt (1913-1915)
    • La Mairie au drapeau (1924)
    • La Maison Bernot (1924)
  • Kees van Dongen
    • Portrait de Paul Guillaume (1930)

Les salles en 2017

Rez de chaussée haut

Rez de chaussée bas

  • Vestibule de Derain
  • Salle des intĂ©rieurs de l'appartement de Paul Guillaume
  • Salle Paul Guillaume d'Art africain et des Ɠuvres vendues par sa veuve
  • Salle de Renoir et des maquettes historiques de l'Orangerie
  • Salle de CĂ©zanne
  • Salle de Soutine (natures mortes)
  • Salle de Picasso et Matisse
  • Salle de Modigliani, Marie Laurencin et Derain
  • Salle du Douanier Rousseau
  • Salle d'Utrillo
  • Salle de Soutine (paysages et portraits)
  • Salles d'expositions temporaires
  • Auditorium (salle de projection)
  • Ateliers pĂ©dagogiques

Expositions temporaires

2023

2022

2021

2020

2019

2017

2016

  • Apollinaire, le regard du poĂšte
  • La Peinture amĂ©ricaine des annĂ©es 1930 - The Age of Anxiety

2015

  • Adolfo Wildt (1868-1931), le dernier symboliste, 15 avril 2015 - 13 juillet 2015[31]

2014

  • Émile Bernard (1868-1941), 17 septembre 2014 - 5 janvier 2015[32]
  • Les Archives du rĂȘve, dessins du musĂ©e d'Orsay : carte blanche Ă  Werner Spies, 26 mars 2014 - 30 juin 2014[33]

2013

2012

  • ChaĂŻm Soutine (1893-1943). L'ordre du chaos, - [36]
  • Debussy, la musique et les arts, 22 fĂ©vrier 2012 - 11 juin 2012[37]

2011

  • L'Espagne entre deux siĂšcles de Zuloaga Ă  Picasso - 1890-1920, - (MusĂ©e de l'Orangerie)[38]
  • Gino Severini (1883-1966), futuriste et nĂ©o-classique, 27 avril 2011 - 25 juillet 2011[39]

2010

Références

  1. La plateforme « data.gouv.fr » FrĂ©quentation 2006-2010 des musĂ©es de France - Île-de-France.
  2. Louis Batiffol, La Vie de Paris sous Louis XIII, Ă©ditions Calmann-LĂ©vy, 1932, p. 60.
  3. « Le bùtiment du Second Empire aux Nymphéas », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  4. « L'installation des Nymphéas », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  5. « 15 mai – 31 juillet 1942 : l’exposition « Arno Breker » Ă  Paris », sur histoire-image.org, (consultĂ© le ).
  6. « Les grandes expositions des années 1930 aux années 1950 », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  7. « L’acquisition de la collection Jean Walter et Paul Guillaume », sur musee-orangerie.fr (consultĂ© le ).
  8. « Le Conseil des ministres entĂ©rine le rattachement de l’Orangerie au MusĂ©e d’Orsay », sur artclair.com, (consultĂ© le ).
  9. « 2000-2006 : un nouveau musée », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  10. « DĂ©cret n° 2010-558 du 27 mai 2010 relatif Ă  l’Etablissement public du musĂ©e d’Orsay et du musĂ©e de l’Orangerie », sur musee-orsay.f, (consultĂ© le ).
  11. « Histoire de la collection Jean Walter-Paul Guillaume », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  12. « Philippe Cognée », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  13. « Matisse. Cahiers d’art, le tournant des annĂ©es 30 », sur MusĂ©e de l'Orangerie (consultĂ© le )
  14. « Mickalene Thomas : Avec Monet », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  15. « Sam Szafran. Obsessions d'un peintre », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  16. « Novo Pilota, Amedeo Modigliani et son marchand Paul Guillaume », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  17. « Ange Leccia ‱ (D') AprĂšs Monet », sur MusĂ©e de l'Orangerie (consultĂ© le )
  18. « Le décor impressionniste. Aux sources des Nymphéas », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  19. « David Hockney. A Year in Normandie. “Remember that they cannot cancel spring.” », sur MusĂ©e de l'Orangerie (consultĂ© le )
  20. « Chaïm Soutine / Willem de Kooning, la peinture incarnée », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  21. « Le violon d'Ingres de Paul Guillaume », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  22. « Isabelle Cornaro. L'intervalle des images », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  23. « Magritte / Renoir. Le surréalisme en plein soleil », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  24. « Les intérieurs de Paul Guillaume », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  25. « Janaina TschÀpe, Contrepoint 5 », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  26. « Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  27. « Tosani. Reflets et transpercements », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  28. « Félix Fénéon (1861-1944). Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  29. « Alex Katz. NymphĂ©as – sĂ©rie Homage to Monet, 2009-2010 », sur MusĂ©e de l'Orangerie (consultĂ© le )
  30. « Franz Marc / August Macke. L'aventure du Cavalier bleu », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  31. « Adolfo Wildt (1868-1931), le dernier symboliste », sur SAMO - Société des amis des musées d'Orsay et de l'Orangerie (consulté le )
  32. GĂ©raldine Bretault, « Émile Bernard (1868-1941) : une belle rĂ©trospective Ă  l’Orangerie », Toute la culture,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  33. « Les archives du rĂȘve, dessins du musĂ©e d'Orsay : carte blanche Ă  Werner Spies », sur France Inter, (consultĂ© le )
  34. Ursula Michel, « Frida Kahlo et Diego Rivera Ă  l'Orangerie : une exposition assez frustrante », Le Plus / L'Obs,‎ (lire en ligne AccĂšs libre, consultĂ© le )
  35. Sarah Belmont, « Impression soleil toscan », Le Point Magazine,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  36. Laurent Boudier, « Chaïm Soutine (1893-1943) - L'ordre du chaos », Télérama (consulté le )
  37. « "Debussy, la musique et les arts" Ă  L'Orangerie Ă  Paris », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  38. « L'Espagne entre deux siĂšcles – De Zuloaga Ă  Picasso – 1890-1920 au musĂ©e de l’Orangerie », sur www.artnet.fr (consultĂ© le ).
  39. « "Gino Severini, futuriste et néoclassique" au Musée de l'Orangerie », sur Toutelaculture, (consulté le ).
  40. Brigitte Ollier, «Eviter que le regard ne se perde», sur Libération (consulté le ).
  41. « Paul Klee (1879-1940). La collection d'Ernst Beyeler - 2010-04-14 | Musée de l'Orangerie », sur www.musee-orangerie.fr (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.