Le musée des antiquités nationales, créé en 1867 et devenu musée d'Archéologie nationale et domaine national de Saint-Germain-en-Laye en 2009[3], est un musée consacré à l'archéologie de la France. Il présente une riche collection d'archéologie comparée des cinq continents. Il est installé dans le château de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), restauré par Eugène Millet, élève d'Eugène Viollet-le-Duc, pour accueillir les salles d'exposition du musée.
Type |
Musée national (d), musée archéologique |
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Ouverture | |
Gestionnaire | |
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Visiteurs par an |
102 107 (2015)106 411 (2016)102 566 (2017)100 409 (2018)
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Site web |
Collections |
Paléolithique Néolithique Âge du bronze Âge du fer Gaule romaine Haut Moyen Âge Archéologie comparée des 5 continents |
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Nombre d'objets |
Article dédié |
Château |
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Adresse |
Place Charles de Gaulle78100 Saint-Germain-en-Laye |
Coordonnées |
Sommaire
Histoire
Le musée est créé par décret impérial le 12 mai 1867. Napoléon III souhaite y rassembler les témoignages archéologiques de l’histoire de la nation. Dès son origine, il est abrité au château de Saint-Germain-en-Laye, haut lieu historique.
Survivant à la chute du Second Empire, le musée connaît un fort développement jusqu’en 1921, avec tout particulièrement l’organisation muséographique de l’archéologie comparée des 5 continents coordonnée par Henri Hubert.
À la suite du premier conflit mondial, le musée connaît des heures plus sombres, avec pour point d’orgue la période de l’occupation, entre 1940 et 1944.
André Malraux, ministre de la culture, offre au musée un nouvel élan dans les années 1960.
Depuis 2009, musée, château et jardins sont réunis dans un même établissement ouvrant une nouvelle page de l’histoire de l’institution.
Le nom du musée a évolué à plusieurs reprises depuis sa création en 1862 :
- Musée des antiquités gallo-romaines, 1862 ;
- Musée des antiquités celtiques et gallo-romaines ;
- Musée des antiquités nationales, 1879 ;
- Musée d'archéologie nationale, 2005 ;
- Musée d'archéologie nationale et domaine national de Saint-Germain-en-Laye, 2009.
Collections
Dès 1880, grâce à l'impulsion d'Alexandre Bertrand[4], mais aussi de Gabriel de Mortillet[5], et de Salomon Reinach[6], le musée compte déjà 44 salles d'exposition. Les collections grandissent, se diversifient, et ouvrent au public progressivement.
Aujourd'hui le musée présente environ 30 000 objets archéologiques exposés et en conserve environ 3 millions dans ses réserves, ce qui en fait l’une des plus riches collections d'Europe. Ces objets, découverts sur le territoire national, couvrent différentes périodes chronologiques : le Paléolithique, le Néolithique, l'Âge du bronze, l'Âge du fer, la période romaine (Gaule romaine) et le premier Moyen-Age (Gaule mérovingienne). Une partie des collections provient de l'étranger et a été collectée dans un but comparatiste. Cette collection des cinq continents comporte à la fois des objets archéologiques et ethnologiques, présentée dans la salle d'Archéologie comparée.
Paléolithique
Les collections paléolithiques comprennent des objets liés au travail de la pierre, tels que galets aménagés, bifaces, ou microlithes, à celui de l'os et du bois de renne, tels qu'aiguilles, poinçons ou harpons. Au paléolithique supérieur apparaissent les plus anciennes manifestations de l'art, comme des représentations stylisées d'organes sexuels.
Le parcours du musée permet d'appréhender l'évolution de l'Homme, grâce à des moulages de crânes.
Parmi les objets les plus connus des collections paléolithiques du musée se trouve la dame de Brassempouy, issue des nombreuses fouilles d’Édouard Piette dans les Pyrénées. Parmi les nombreux objets de sa collection donnée au musée, environ 10 000 sont exposés aujourd'hui dans la salle Piette. Cette salle, accessible sur réservation avec un accompagnant du musée, a été restaurée et rouverte en 2008, avec comme volonté de respecter la muséographie du XIXe siècle.
Vulve stylisée sur pierre, Aurignacien « Feuille de laurier » (Volgu, Saône-et-Loire), Solutréen Harpons et os sculptés, Magdalénien Tête de cheval (Angles-sur-l'Anglin, Vienne), Magdalénien
Néolithique
Le Néolithique (vers 5500 à 2000 av. J.-C.) est la troisième période de la Préhistoire. L'homme y devient producteur de ses subsistances et non plus prédateur et il influe désormais sur son environnement. C'est le moment où les populations adoptent l'agriculture et l'élevage. Les hommes élèvent des mégalithes, les premiers témoignages d'architecture monumentale. Cette période se caractérise notamment par des innovations techniques telles que le polissage de la pierre, l'apparition de la céramique et le tissage. Des réseaux d'échange à longue distance se constituent.
Une salle est consacrée à ces collections dans le parcours du musée. Cette présentation est thématique et régionale :
- Les témoignages des premières pratiques agricoles et de l'élevage.
- Les inventions et techniques majeures : le polissage des outils de pierre, la céramique, le tissage.
- L'évocation des premières mines de silex.
- La parure : perles et pendentifs en coquillages, dents animales perforées.
- L'expression de la pensée religieuse : statuettes féminines et statues-menhirs.
- Le mobilier funéraire de sépultures mégalithiques (dolmens).
- L'apparition de la métallurgie (cuivre, or, argent).
Une vitrine au centre de la salle présente une sépulture, retrouvée à Cys-la-Commune (Aisne),et datée de 5000 ans av. J.-C. On peut y voir le squelette d'une femme entourée de différents éléments de parure.
Des polissoirs et plusieurs allée couvertes retrouvés en Ile-de-France sont visibles en accès libre dans la cour du château.
Stèle en calcaire (Cavaillon, Vaucluse), vers le IVe millénaire av. J.-C.
Âge du bronze
À l'Âge du bronze (vers 2100 à 750 av. J.-C.), la société reste assez similaire à celle du Néolithique, mais l'avancée technique que représente le bronze va faire évoluer la société qui se hiérarchisera de plus en plus.
Brassière en bronze de Veuxhaulles-sur-Aube (vers -1250) Ornement (La Colombine, Yonne), vers 1200 av. J.-C., bijou porté sur la hanche, constitué d'une résille de bronze à décor de volutes enchâssant une canine de suidé, provenant d'une sépulture à inhumation.
L'abondance de l'or à l'Âge du bronze explique le grand nombre d'objets et bijoux fabriqués dans ce matériau à cette époque.
Cône d'or d'Avanton, Vienne, 1500-1250 av. J.-C. « Ceinture » en or (Guînes, Pas-de-Calais), vers 1200-1000 av. J.-C.
Âge du fer
Le premier Âge du fer (780-480 av. J.-C.), correspondant à la culture de Hallstatt, est une période pendant laquelle des défunts privilégiés sont inhumés sous tumulus (Bourgogne, Lorraine, Franche-Comté, Berry...) : Vix, Sainte-Colombe-sur-Seine, Magny-Lambert, Apremont[7]...
Cuirasses en bronze (Marmesse, Haute-Marne), chacune étant composée de deux coques de bronze rivetées sur un côté et fermées sur l'autre par des crochets, illustrant la période de transition entre l'âge du bronze et l'âge du fer (approximativement de -950 à -780).
Coupe en terre cuite (culture de Golasecca), milieu du VIIe siècle av. J.-C. Bracelets en or (lieu-dit La Butte, Sainte-Colombe-sur-Seine, Côte-d'Or), VIe-Ve siècle av. J.-C., parure faisant partie des éléments provenant d'une tombe à char féminine.
Le second Âge du fer (480 - 25 av. J.-C.) est marqué par une société guerrière qui monte en puissance du Ve siècle av. J.-C. au IIIe siècle av. J.-C.. Les Gaulois excellent notamment en poterie, verrerie, métallurgie (bronze et fer).
Les collections du musée montrent les transformations de la Gaule et la vie des Gaulois avant la conquête romaine. La collection d’art celtique est l'une des plus importantes au monde[7].
Casque (Italie du Nord), IIe-Ier siècle av. J.-C.
Gaule romaine
La Gaule romaine (de 51 av. J.-C. à fin du Ve siècle apr. J.-C.) : à la suite de la conquête de la « Gaule chevelue » par Jules César, la Gaule est intégrée dans l’Empire romain. L’urbanisation avance avec l'arrivée des villes et la construction d’édifices publics ; un réseau routier se constitue à travers toute la Gaule.
Les 6 salles du département gallo-romain montrent les dieux, le monde des morts, la présence de l’armée romaine en Gaule, les types d’artisanat et la vie quotidienne (alimentation, costume, parure, loisirs, cadre domestique, médecine, transport, écriture...)[8].
Taranis (Le Châtelet de Gourzon, Haute-Marne), Ier siècle apr. J.-C., portant ses attributs : la roue, symbole solaire, le foudre et sur l'épaule les S (les éclairs).
Cernunnos ? (Étang-sur-Arroux, Saône-et-Loire), Ier siècle apr. J.-C., doté de trois visages et tenant deux serpents à tête de bélier. Deux cavités sur sa tête étaient probablement destinées à recevoir des cornes de cerf.
Déesses-mères allaitant un enfant, en terre cuite, IIe ou IIIe siècle apr. J.-C. Les déesses-mères assises, allaitant un ou deux enfants, sont typiques de la Gaule.
Canthare en argent (Alise-Sainte-Reine), Ier siècle av. J.-C. Dupondius de bronze (atelier de Lyon), portant au revers l'autel des trois Gaules, 10-14 apr. J.-C.
Stèle funéraire d'Apinosus Iclius (Entrains, Nièvre), Ier siècle apr. J.-C., représenté avec ses outils professionnels.
Buste masculin (Saint-Barthélemy-de-Beaurepaire, Isère), Ier siècle apr. J.-C., interprétation du Doryphore de Polyclète.
Ex-voto en bronze (Beaumont-le-Roger, Eure), fin du Ier siècle apr. J.-C.
Trésor de Rethel (Ardennes), vers 260-270 apr. J.-C.
Gaule mérovingienne
Le premier Moyen Âge (du Ve au VIIIe siècle apr. J.-C.) commence avec la dynastie des Mérovingiens, fondée par Clovis. La Gaule devient alors progressivement franque et sa christianisation progresse. De cette période, ont été trouvés de nombreux bijoux cloisonnés avec des grenats sertis dans des cloisons métalliques, mais aussi des boucles de ceintures damasquinés avec des fils d'argent ou de laiton insérés dans des sillons gravés dans le fer[9].
Plaque-boucle en bronze
Archéologie comparée
Parce que les vestiges sont muets, l'archéologue fait parfois appel à d'autres sciences humaines telles que l'ethnologie ou la sociologie pour interpréter les traces du passé.
C'est dans cet esprit que la salle d'archéologie comparée des cinq continents a été conçue au début du XXe siècle par Henri Hubert et Marcel Mauss qui souhaitaient illustrer « l'histoire ethnographique de l'Europe et de l'humanité » depuis les origines de l'Homme jusqu'au Moyen Âge. Henri Hubert a conçu le plan général de cette salle selon deux idées novatrices pour l'époque[10] :
- en tant que sociologue[11], il estime que seule une vision globale (spatiale et temporelle) des cultures humaines peut mener à une juste compréhension du phénomène sociologique ;
- pour lui, la comparaison des traces des sociétés humaines doit se faire selon une présentation de leur niveau technique.
Cette approche comparatiste a connu une grande vogue au XIXe et au XXe siècle, même si certains rapprochements n'ont pas résisté à une critique sévère (par exemple la comparaison des chasseurs magdaléniens avec les inuits) mais la méthode comparatiste, conçue avec rigueur et soumise à certaines conditions, est omniprésente dans toute démarche archéologique. Il était également nécessaire pour éclairer les phénomènes culturels anciens dans leur espace réel, de sortir des limites du territoire français et d'une approche nationaliste.
Au musée d'Archéologie nationale cette approche a débouché sur deux axes de présentation qui se recoupent :
- l'axe longitudinal de la salle où sont évoquées les étapes techniques selon leur ordre d'apparition depuis le Paléolithique jusqu'au Moyen Âge : taille de la pierre, travail de la terre cuite, métallurgie.
- et plusieurs axes transversaux qui permettent de comparer différentes aires géographiques : Afrique, Asie, Proche-Orient, Europe, Amérique et Océanie.
Ce parcours permet de souligner les ressemblances et les différences d'évolution entre les cultures des différentes régions du monde. La présentation actuelle est héritée de celle réalisée par Henri Hubert entre 1910 et 1927 mais le parcours a été rénové entre 1978 et 1984.
Le visiteur fait successivement la connaissance des cultures paléolithiques et néolithiques d'Afrique (Maghreb, Afrique du Sud, Éthiopie, Bénin, Congo, Côte d'Ivoire, Zaïre, etc. ). Puis il est confronté à la naissance des civilisations du Bassin méditerranéen et du Moyen-Orient (Égypte pré-dynastique, ancienne Suse en Iran, ancienne Thrace bulgare). Ensuite, il peut comparer le développement et la maîtrise technique des métallurgistes des Âges du bronze et du fer dans le Caucase et en Europe (objets provenant de Chypre, de Grèce, d'Italie, d'Espagne, de Hongrie, d'Allemagne, du Danemark, de Suède, d'Azerbaïdjan, d’Ossétie du Nord, etc. ). D'un continent à l'autre et parfois à des époques différentes, les objets exposés montrent un état de développement similaire (passage de l'état de chasseur-cueilleur à l'état de producteur), l'utilisation d'une même technique (exploitation du silex ou de l'obsidienne) ou au contraire des formes ou des décors extrêmement différent (comparaison Asie-Amérique, rendue possible par des objets provenant de Chine, du Vietnam, du Japon, de Malaisie, du Pérou, des Caraïbes, du Groenland, d'Amérique du Nord, etc.).
La majorité des collections sont entrées avant la Première Guerre mondiale. Le premier apport a été la collection scandinave offerte en 1862 par le roi du Danemark, Frédéric VII. Les autres grandes collections sont arrivées par l'intermédiaire d'Ernest Chantre pour les séries du Caucase ou de Jacques et Henri de Morgan grâce aux produits de leurs fouilles dans le Talyche persan, à Suse en Iran et dans les nécropoles pré-dynastiques d'Égypte[12],[13].
Depuis 2014, la salle abrite de nouveau les collections d'origine océanienne grâce à la présentation de séries ethnographiques de Papouasie-Nouvelle-Guinée.
La salle d'Archéologie comparée se trouve dans l'ancienne salle de bal du château, aussi appelée la salle de Mars.
Expositions temporaires
- Exposition sur le domaine national La Préhistoire en bande dessinée avec Eric Le Brun[14]
- Exposition "D’Alésia à Rome, l’aventure archéologique de Napoléon III" du 19/09/2020 au 15/02/2021[15]
- Exposition capsule depuis octobre 2019 sur Edouard FLOUEST (1829-1891) magistrat et dessinateur d'objets archéologiques[16]
Fréquentation
Depuis quelques années, le musée connait une progression constante de sa fréquentation[17]. Le nombre annuel de visiteurs en 2005 est de 66 000 dont 45 000 entrées gratuites, notamment groupes scolaires[18]. Il fait partie des musées dont l'accès est gratuit à titre expérimental au cours du premier semestre 2008.
2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
65 851 | 54 656 | 61 759 | 64 775 | 65 925 | 78 250 | 98 246 | 110 197 | 91 894 | 95 594 | 92 266 | 98 691 | 101 222 | 113 023 | 102 107 | 106 411 | 102 566 |
Directeurs et directrices
- Hilaire Multon, qui a quitté en 2020 Saint-Germain-en-Laye pour la direction de la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles) de la région Hauts-de-France, à Lille
- Rose-Marie Mousseaux, depuis le 1er mars 2021[19]
Conservateurs actuels
Différentes personnes contribuent au musée, notamment différents conservateurs :
- Daniel Roger : conservateur général du patrimoine, adjoint au directeur
- Corinne Jouys Barbelin : conservatrice du patrimoine, cheffe du service des Ressources documentaires
- Laurent Olivier : conservateur en chef du patrimoine, en charge des collections d’archéologie celtique et gauloise
- Christine Lorre : conservatrice en chef du patrimoine, en charge des collections d'archéologie comparée
- Catherine Schwab : conservatrice en chef du patrimoine en charge des collections du mésolithique et du paléolithique
- Sophie Féret : conservatrice du patrimoine en charge des collections de Gaule Romaine
- Rolande Simon-Millot : conservatrice en chef du patrimoine en charge des collection néolithique et âge du Bronze
- Fanny Hamonic : conservatrice du patrimoine en charge des collection du Premier Moyen Âge
- Isabel Bonora-Andujar : conservatrice du patrimoine en charge des collections d'histoire de l'archéologie
Résidences d'artistes
Différents artistes sont accueillies en 2021 par le musée d’Archéologie nationale :
- ensemble Calliopée sous la direction artistique de Karine Lethiec
- Isabelle Jarry
- Étienne de France
- Aleteïa
Références
- Volume des collections : synthèse statistique du bilan national de récolement décennal des musées de France, p. 2, 4 octobre 2014, base Joconde, site culture.gouv.fr
- Fréquentation sur la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture et de la Communication
- Arrêté du 29 décembre 2009 portant création du service à compétence nationale du musée d'archéologie nationale et domaine national de Saint-Germain-en-Laye
- Directeur du musée de 1866 à 1902
- Attaché au musée de 1868 à 1885
- Conservateur-adjoint de 1893 à 1902
- http://www.musee-archeologienationale.fr/template.php?MENU_ID=2&SUBMENU_ID=2&SELECTED=4
- http://www.musee-archeologienationale.fr/template.php?SPAGE=223
- http://www.musee-archeologienationale.fr/template.php?SPAGE=222
- http://www.musee-archeologienationale.fr/template.php?SPAGE=221
- Christine Lorre, "Henri Hubert et les perspectives sociologiques mises en œuvre au musée des Antiquités nationales", in Christine Laurière (dir.), 1913, la recomposition de la science de l'Homme, Lahic / DPRPS-Direction des patrimoines, coll. "Les Carnets de Bérose", 7 (2015). [En ligne]. Disponible sur : http://www.berose.fr/?1913-la-recomposition-de-la-675.
- Archéologie comparée : Afrique, Europe occidentale et centrale : ouvrage collectif établi par la conservation du Musée des antiquités nationales., Paris, Ministère de la culture : Ed. de la Réunion des musées nationaux, , 514 p. (ISBN 2-7118-0221-3 et 9782711802210, lire en ligne)
- Archéologie comparée : Europe orientale, Asie, Océanie, Amérique ; ouvrage collectif établi par la conservation du musée des antiquités nationales., Paris, Ministère de la Culture, de la Communication, des Grands Travaux et du Bicentenaire, éditions de la Réunion des musées nationaux, , 303 p. (ISBN 2-7118-2174-9 et 9782711821747, lire en ligne)
- « La préhistoire en bande dessinée », sur musee-archeologienationale.fr (consulté le )
- « D’Alésia à Rome, l’aventure archéologique de Napoléon III », sur musee-archeologienationale.fr (consulté le )
- « Edouard Flouest », sur musee-archeologienationale.fr (consulté le )
- Tableau de fréquentation des musées de France 1979 - 2013
- Chiffres-clés de la culture, édition 2007, entrées par musées nationaux, p. 36. [PDF]
- « Nomination de Rose-Marie Mousseaux à la direction du musée d'Archéologie national et domaine national de Saint-Germain-en-Laye », sur ministère français de la culture, (consulté le )
Annexes
Bibliographie
- Raoul-E Doranlo, « La collection Plicque au Musée des antiquités nationales », dans Revue des Études Anciennes, 1940, tome 42, no 1-4, p. 613-621 ((lire en ligne)
Articles connexes
- Liste de musées en France
- Alexandre Bertrand, fondateur et premier directeur du musée
- Salomon Reinach, conservateur-adjoint, puis 2e directeur du musée
- Édouard Piette, donateur de la collection Piette
- Dame de Brassempouy
- Allée couverte des Déserts
- Château de Saint-Germain-en-Laye
Liens externes
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- Ressource relative aux organisations :
- Ressource relative au tourisme :
- Les archives des dons aux musées impériaux (dont le musée des Antiquités celtiques et gallo-romaines de Saint-Germain-en-Laye) et des encouragements aux artistes prodigués par l’empereur Napoléon III sont conservées aux Archives nationales (France).
- Musée virtuel en 3D présentant des modèles numériques tirés des collections et permettant une vision fine des objets de petite taille : https://sketchfab.com/archeonationale