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Entrains-sur-Nohain

Entrains-sur-Nohain est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Entrains-sur-Nohain
Entrains-sur-Nohain
La mairie d'Entrains-sur-Nohain.
Blason de Entrains-sur-Nohain
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Clamecy
Intercommunalité Communauté de communes Haut Nivernais-Val d'Yonne
Maire
Mandat
Michel Poirier
2020-2026
Code postal 58410
Code commune 58109
Démographie
Gentilé Entraînois, Entraînoises
Population
municipale
739 hab. (2020 en diminution de 18,97 % par rapport à 2014)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 27′ 54″ nord, 3° 15′ 25″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 332 m
Superficie 58,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Clamecy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Entrains-sur-Nohain
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Entrains-sur-Nohain
Liens
Site web entrainssurnohain.fr

    Ses habitants se nomment les Entraînois et les Entraînoises.

    Géographie

    Situation

    Située à l'extrême nord du département de la Nièvre et contigüe au département de l'Yonne, Entrains-sur-Nohain est à 25 km (à vol d'oiseau) de la rive droite de la Loire - et du département du Cher qui commence à la Loire. Clamecy à 22 km à l'est, leur préfecture Nevers est à 61 km au sud, Avallon (Yonne) à 60 km à l'est Dijon (Côte-d'Or) à 166 km par l'autoroute A6, Auxerre (préfecture de l'Yonne) à 50 km au nord-est[1].

    Communes limitrophes

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.

    Description

    Entrains-sur-Nohain est une ancienne ville gallo-romaine, assise au milieu d'une plaine, entourée d’une chaîne de collines et de vastes forêts qui s’étendent sur plusieurs kilomètres.

    Transports

    La plus proche entrée/sortie pour l'autoroute A77 — qui longe la Loire — est la no 22 « Cosne » à 32 km à l'ouest. Celle pour l'autoroute A6 est à 71 km à l'est : entrée/sortie no 22, « Avallon »[1].

    La gare d'Entrains (Clamecy à Cosne, ouverte en 1893[3] - [4]) est maintenant fermée.

    Hydrographie

    La commune est traversée presque entièrement par le Nohain, affluent de la Loire qui prend source dans le nord-est de la commune et en sort au sud-ouest ; il conflue avec la Loire à Cosne-Cours-sur-Loire. Au bourg, il reçoit en rive droite (côté ouest) le Trelon, qui lui aussi prend source sur la commune. Au sud du bourg, il reçoit en rive gauche le ruisseau Saint-Nicolas, qui prend source sur la Chapelle-Saint-André[2].

    Le Nohain alimente deux étangs sur la commune, près du bourg ; et le ruisseau Saint-Nicolas en alimente deux autres : étang de Saint-Fiacre et étang de Saint-Nicolas[2].

    Géologie

    La commune se trouve essentiellement sur les plateaux calcaires du Jurassique supérieur (Oxfordien moyen et supérieur), qui composent en partie la zone charnière entre le Morvan et les premières côtes du bassin de Paris d'âge Portlandien et Crétacé[5]. Ce substrat est lacéré par des failles plus ou moins parallèles orientées N.N.E./S.S.O.[6] La faille la plus marquée traverse le bourg[7]. Une grande partie du substratum secondaire est recouvert par des formations superficielles tertiaires[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Entrains-sur-Nohain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,9 %), forêts (39 %), prairies (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones urbanisées (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Toponymie

    La première mention connue remonte au IIe siècle : Intaranum (inscription d’Autun)[15]. On relève également Interamnum au VIe siècle ; Interamnis vers 600 ; Interrannis en 1120 ; Antrain en 1496 ; Entrain en 1562 et Entrin en 1678[16].

    Il s'agit d’une formation toponymique gallo-romaine basée sur les éléments latins inter « entre » et amnis « cours d’eau, rivière », rhabillage d’un composé gaulois, peut-être de intar « entre » et anum « marais »[17].

    Histoire

    Antiquité

    Stèle funéraire gallo-romaine trouvée à Entrains, abbaye Saint-Germain d'Auxerre.
    En haut à gauche du cliché, CIL XIII 2681.

    Entrains-sur-Nohain était autrefois une importante cité gallo-romaine à un carrefour routier[18]. Son nom en latin est Intaranum, indiqué sur une plaque découverte en 1840 à Autun (CIL 13, 2681[19] - [20] - [21] communément appelé l'itinéraire d'Autun, donnant entre autres un trajet de Autessiodorum (Auxerre) à Intaranum (Entrains) par Odona (Ouanne)[15].

    Ville puissante et prospère qui s'étend sur près de 120 hectares y compris les nécropoles[19], on y a retrouvé de nombreux vestiges archéologiques de l'occupation gallo-romaine et en particulier l'Apollon citharède, statue en calcaire de 2,65 m conservée au musée d'archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye[22], ainsi qu'une statuette en bronze de Mercure assis conservée à Paris au musée du Louvre[23]. En 1910 Espérandieu publie une liste descriptive de 81 objets (dont les deux précédemment cités) découverts à Entrains[24].

    À partir de 1960 de nombreuses études et recherches sont faites sur la commune : fouilles, sondages, observations de travaux d’urbanisme, prospections aériennes et pédestres[19].

    L'Inrap y a mené de nombreuses fouilles entre 2008 et 2015, mettant à jour des peintures, des sculptures de divinités domestiques et un exceptionnel ensemble de décors de stucs d'une maison romaine[25].

    • Apollon à la cithare. MAN.
      Apollon à la cithare. MAN.
    • Laraire découvert au quartier de Saint-Cyr près de la gare. H. 40 cm.
      Laraire découvert au quartier de Saint-Cyr près de la gare.
      H. 40 cm.
    • Dans un mur à la Tuilerie : buste de femme dans une niche
      Dans un mur à la Tuilerie : buste de femme dans une niche.
    Carrières et centre de production de sculptures

    Dans un rayon de km du bourg se trouvent plus de 48 carrières antiques[5]. Elles ont exploité principalement les calcaires récifaux d'âge Oxfordien moyen à supérieur que l'on trouve au nord-est, au sud et à l'ouest d'Entrains[26] ; mais aussi les calcaires à chailles d'âge Oxfordien moyen au nord-est du bourg, dont une grande carrière dans le bois de Minier[27]. Plus de la moitié de la sculpture inventoriée dans la Nièvre provient des fouilles d'Entrains ; Devauges définit même un style de sculpture typique à Entrains. Le tout laisse penser que ce lieu était un centre important de fabrication de sculptures[5] - [28].

    Lieu-dit les Hopitaux (« chantier Chambault »)

    Une insula artisanale y est implantée sur le côté ouest de la voie antique reliant Entrains à Auxerre[29] (direction nord-est). Cet ensemble de constructions est révélé par les travaux de construction d'une maison qui mettent au jour du matériel céramique et un trésor monétaire gaulois ; à la suite de quoi le propriétaire accepte qu'un chantier de fouilles y soit mené par M. Devauges. Trois niveaux d'habitat y sont reconnus dans les parties sud et sud-ouest du site : époque de Constantin (310-337) ; un sol de béton du IIIe siècle ; et une couche de remblai recouvrant un niveau du Ier siècle (céramique de Saint-Rémy-en-Rollat, plombifère (Saint-Rémy est le principal atelier du centre de la Gaule fabricant des céramiques à glaçure plombifère), céramique grise moulée, céramique noire peignée)[30]. Au nord se trouve un dallage de cour ou de passage, et à l'ouest une grande cour qui a été nivelée et aménagée entre deux périodes d'habitat[31].

    Des fouilles de 1966 à 1972 ont mis au jour trois habitats avec chacun un sous-sol / cave, plusieurs cours intérieures et une aire industrielle. Un puits a été exploré ; sa base à — 15 m était formée de chevrons de chêne[32]. Construites au IIe siècle, les caves ont été abandonnées vers la fin du IVe siècle[33]. Deux des sous-sols fouillés sont installés de part et d'autre d'un ambitus aménagé entre deux habitats[34] (voir le plan du site dans Martin 1970, fig. 32, p. 383). Leurs escaliers d'accès, système d'aération et système d'assainissement sont bien conservés et démontrent l'excellence de leur construction ainsi que leur importance pratique — et rituelle, car l'un d'eux a livré l'effigie en calcaire d'un dieu de la prospérité, représenté assis sur un siège à haut dossier et portant encore des traces de peinture rouge, et toujours installé dans sa niche aménagée dans la cave[34].
    Les fouilles ont livré notamment des vestiges de bassins alimentés par un réseau de canalisations assez complexe, des fragments d'enclume de pierre dure et surtout un dépôt de douze lingots de fer (30 à 35 cm de long et 15 à 18 mm de large), découpés par tranche à chaud[34] ; ainsi que des outils de forgeron[35]. Il y avait donc là une activité de transformation et de trempe du fer, occupation typique dans cette région, bien exploitée aux IIe et IIIe siècles par les ferriers de Fontenay-sous-Vézelay[34] (le ferrier antique de Tannerre-en-Puisaye, un des deux plus grands ferriers antiques de France, est à moins de 35 km au nord-ouest[36]).

    Monnaies et céramiques (sigillées avec empreintes, céramique d'Argonne, céramique décorée à la barbotine, céramique métallisée, etc.) concourent à dater l'occupation de ce lieu à partir de la fin de la période d'indépendance gauloise au IVe siècle[37].

    Ferme de la Boussille ou la Roussille

    Ce site est à km au nord-ouest du bourg et environ 400 m de la rive gauche du Nohain[2].À la suite de la découverte d'un fragment de fronton décoré d'un trophée d'armes, des sondages ont mis au jour les vestiges d'un bâtiment du IVe siècle qui a utilisé en remploi des matériaux dont faisait partie le bloc sculpté ; ainsi que la sole d'un four et un anneau-support de cuisson qui indique la présence d'un atelier de potier[38].

    Lieu-dit les Quatre-Vents

    Les Quatre-Vents est à 500 m au sud-est du bourg[2]. Il s'y trouvent des vestiges d'un habitat et d'un atelier de métallurgie du fer, avec une fosse dépotoir remplie de débris ferreux résultant du travail de forges[38].

    Site de l'ancienne halle

    En 1972, M. Meissonnier a mené une fouille de sauvetage à l'emplacement de l'ancienne Halle située au centre de la bourgade gallo-romaine. Il semble que de très anciens travaux y aient supprimé les couches d'occupation des IIe, IIIe et IVe siècle : ses recherches n'ont livré que du mobilier médiéval, directement au-dessus de couches renfermant des vestiges datés à cheval sur la fin du Ier siècle av. J.-C. et le début du Ier siècle : fibules à ressort, potins, céramique peinte, grise, ocellée, poterie d'Acco et pots à balustres, et une importante quantité de céramique commune composée principalement de pots à gros dégraissant et à lèvre rainurée et micacée[39].

    Le bois des Huets

    Le bois des Huets est dans le sud-ouest de la commune. Il a livré un habitat et atelier de potier et, dans la cave, deux statuettes en terre cuite blanche représentant une déesse-mère allaitant ainsi que six vases miniatures habituellement réservés aux contextes cultuels[40].

    Moyen Âge

    En 596 le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-605), inclut Entrains dans les trente principales paroisses du diocèse[41].

    L'église d'Entrains a pour saint-patron saint Sulpice. Le chœur de l’église est de style roman et le transept est de style gothique.


    Politique et administration

    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1817 1831 Nicolas Augustin Paliard Général de brigade
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1937 ? M. Chambault SFIO
    ? décembre 2014 Michel Paquette Décédé en fonction
    2014 2020 Bernard Coquillat
    2020 En cours Michel Poirier Agriculteur

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

    En 2020, la commune comptait 739 habitants[Note 2], en diminution de 18,97 % par rapport à 2014 (Nièvre : −5,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6371 8091 7092 0052 1632 1682 2322 4462 503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3502 5062 3772 2852 3812 4262 3402 4432 365
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1672 1302 1741 8251 9111 7951 7501 7811 633
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 5651 4701 2611 1841 052975905900901
    2017 2020 - - - - - - -
    769739-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46]. |recens-pre.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Services

    • Piscine ;
    • Salle polyvalente ;
    • Centre de loisirs (enfance).

    Sports

    Le VTT peut être pratiqué sur la commune sur trois parcours balisés : circuit de l'eau, circuit nature, circuit histoire.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Sanctuaire gallo-romain monumental avec une cella circulaire au centre d'une cour entourée d'une large galerie. Les deux couloirs encadrent une niche ayant supporté une statue, vraisemblablement celle de la divinité (site enfoui)[47].
    • Vestiges d'un théâtre gallo-romain de 115 m de diamètre, au lieu-dit les Terres Noires, sur le côté nord de la départementale 957. Le site a été découvert par prospection aérienne en 1974 ; des sondages effectués par la suite ont permis d'en préciser le plan (site enfoui)[48] - [49].
    • Maison des fouilles, qui expose une grande partie du mobilier découvert lors des fouilles archéologiques[50].
    • Maison de l'Amiral du XVIIe siècle, habitée par le duc de Bellegarde, puis par l'amiral de Coligny.
    • Église romane Saint-Sulpice, XIIIe siècle, XVIe siècle : chapelle du chÅ“ur du XVIIIe siècle, abside et clocher du XIXe siècle et épitaphes du XVIe siècle. L'église est inscrite comme Monument historique[51].
    • Château du Réveillon construit dans la seconde partie du xixe siècle à la place d'une maison forte, propriété de la famille de Mortemart[52].
    • Prêche des huguenots.
    • Petit Fort.
    • Lavoirs.
    • Puits antique, fosse commune médiévale[53].
    • Le théâtre romain.
      Le théâtre romain.
    • La maison de l'Amiral.
      La maison de l'Amiral.
    • L'église Saint-Sulpice.
      L'église Saint-Sulpice.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Entrains-sur-Nohain, carte », sur google.fr/maps (consulté en ).
    2. « Entrains-sur-Nohain, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
    3. « L'ancienne ligne Cosne-Clamecy », sur cahiersduvaldebargis.free.fr (consulté en ).
    4. « La gare d'Entrains sur Nohain (58) », sur forum.e-train.fr (consulté en ).
    5. [Lamotte 2000] Didier Lamotte, « Les calcaires utilisés à l'époque antique à Entrains-sur-Nohain (Nièvre) » (actes du colloque d’Argentomagus), Revue archéologique du centre de la France, supplément, no 18 « La pierre dans la ville antique et médiévale »,‎ , p. 75-81 (voir p. 75) (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
    6. Lamotte 2000, p. 76.
    7. « Entrains-sur-Nohain, carte géologique interactive » sur Géoportail.
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. [Salway 2011] B. Salway, « Les itinéraires antiques, manuscrits et monuments », Dossiers d’archéologie, no 343,‎ , p. 6-11 (voir p. 8-9) (lire en ligne [sur academia.edu], consulté en ).
    16. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique de la Nièvre, Paris, 1865, p. 68 (lire en ligne sur DicoTopo)
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
    18. « Histoire d'Entrains », sur entrains-sur-nohain.blogspot.fr (consulté en ).
    19. [Meissonnier 2013] Jacques Meissonnier, « Religion privée et religion publique dans l'agglomération gallo-romaine secondaire d'Entrains-sur-Nohain (Nièvre) », Dialogues d'histoire ancienne, t. 39, no 2,‎ , p. 33-47 (voir p. 33) (ISSN 0755-7256, lire en ligne [sur cairn.info], consulté en ).
    20. O. Hirschfeld et C. Zangemeister, Corpus Inscriptionum Latinarum, vol. 13, Pars I, fasc. 1, no 2681 : Inscriptiones Aquitaniae et Lugdunensis, Berlin, , sur _ _ _.
    21. Devauges 1988, p. 41-42, no 14. Cité dans Meissonnier 2013, note 2.
    22. « Apollon Citharède », notice no 50010000872, base Joconde, ministère français de la Culture.
    23. « Mercure assis sur un rocher », Musée du Louvre, numéro catalogue : Br 1055 ; numéro d'entrée : MNC 734 ; collection : Département des Antiquités grecques, étrusques et romaines, sur collections.louvre.fr (consulté en ).
    24. [Espérandieu 1910] É. Espérandieu, Recueil général des bas-reliefs, statues et bustes de la Gaule romaine, t. 3, Paris, Imprimerie Nationale, , sur academia.edu (lire en ligne), p. 246-276 nos 2240 à 2320.
    25. [Boislève & Venault] Julien Boislève et Stéphane Venault, « Entrains-sur-Nohain, un rare décor en stuc d'une maison romaine », dans Julien Boislève, Alexandra Dardenay & Florence Monier (dir.), Peintures et stucs d'époque romaine. Études toichographologiques (Actes du 29e colloque de l'AFPMA, Louvres, 18 et 19 novembre 2016), Ausonius, , sur academia.edu (ISBN 9782356132444, ISSN 2273-7669, lire en ligne), p. 101-123. Première publication dans Archéologie, no 545, juillet-août 2016, p. 40-45.
    26. Lamotte 2000, p. 79.
    27. Lamotte 2000, p. 78.
    28. [Devauges 1988] Jean-Bernard Devauges, Entrains gallo-romain (Thèse de 3e cycle en Histoire, Dijon, 1970. Publication posthume), Saint-Herblain, Groupe de recherches archéologiques d'Entrains, Nièvre, , 382 p., sur _ _ _ (ISBN 2950321801).
    29. [Martin 1970] Roland Martin, « Circonscription de Bourgogne », Gallia, t. 28, no 2,‎ , p. 367-396 (voir p. 382) (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
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    31. Martin 1968, p. 496.
    32. [Devauges 1974] Jean-Bernard Devauges, « Circonscription de Bourgogne », Gallia, t. 32, no 2,‎ , p. 427-451 (voir p. 441-442) (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
    33. [Rollet 1972] Claude Rolley, « Circonscription de Bourgogne », Gallia, t. 30, no 2,‎ , p. 443-467 (voir p. 455) (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
    34. Martin 1970, p. 385.
    35. Devauges 1974, p. 442, dont fig. 27 : deux marteaux.
    36. « Parcours à pied d'Entrains à Tannerre », sur google.fr/maps (consulté en ).
    37. Martin 1970, p. 385-386.
    38. Martin 1970, p. 386.
    39. Devauges 1974, p. 442.
    40. Meissonnier 2013, 1 - « Cultes domestiques ou privés ».
    41. Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 117.
    42. « Annuaire des villes jumelées | AFCCRE », sur www.afccre.org (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. Archéologia, no 482, novembre 2010, p. 38.
    48. Entrains sur Nohain, revue Gallia, année 1979, vol 37-2, p. 452.
    49. Catalogue d'exposition 30 ans d'archéologie dans la Nièvre, Coulanges-les-Nevers, Conservation départementale des musées de la Nièvre, , 233 p. (ISBN 2-9510069-0-X).
    50. La Maison des fouilles se prépare à ouvrir Article de http://www.lejdc.fr, 3 août 2011.
    51. Notice no PA58000004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Très chères familles aux enchères », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
    53. « Le mystère du puits d’Entrains-sur-Nohain », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    54. « Bienheureux Martyrs de 1792 », sur martyrsde1792.com (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

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