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Montayral

Montayral est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Église de Perricard.
Montayral
Montayral
Mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes Fumel Vallée du Lot
Maire
Mandat
Jean-François Ségala
2020-2026
Code postal 47500
Code commune 47185
Démographie
Population
municipale
2 669 hab. (2020 en diminution de 3,85 % par rapport à 2014)
Densité 109 hab./km2
Population
agglomération
12 839 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 49″ nord, 0° 59′ 17″ est
Altitude 90 m
Min. 57 m
Max. 227 m
Superficie 24,54 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Fumel
(ville-centre)
Aire d'attraction Fumel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Fumélois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Montayral
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Montayral

    Géographie

    Commune de l'aire urbaine de Fumel située dans son unité urbaine sur le Lot, Montayral est aux limites du Quercy et de l'Agenais. Le Lot forme un trait d'union entre ces deux pays.

    C'est une commune limitrophe avec le département du Lot (46).

    Communes limitrophes

    Montayral est limitrophe de sept autres communes dont deux dans le département du Lot. Les communes limitrophes sont Fumel, Mauroux, Soturac, Bourlens, Saint-Vite, Thézac et Saint-Georges.

    Communes limitrophes de Montayral[1]
    Fumel Soturac
    (Lot)
    Saint-Vite Montayral Mauroux
    (Lot)
    Saint-Georges Bourlens Thézac

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Lot qui sert de frontière naturelle dans sa partie nord etavec la commune de Fumel et avec la commune de Soturac dans sa partie nord-est.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 454 hectares ; son altitude varie de 57 à 227 mètres[2].

    Voies de communication et transports

    Accès avec les routes départementales RD 911, D 139.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 829 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[9] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 49 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Montayral est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fumel, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[19] et 12 839 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fumel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,4 %), prairies (17,9 %), terres arables (14,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,2 %), forêts (12,1 %), zones urbanisées (9,1 %), eaux continentales[Note 7] (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), cultures permanentes (1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montayral est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et la Thèze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2007, 2009 et 2021[27] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[28]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montayral.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 91,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [31].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2003, 2006, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].

    Histoire

    Les quatre châteaux de Ladhuie, Cézerac, Salomon et Montayral accompagnés de leurs hameaux, auxquels s’adjoignent la paroisse de Perricard et son château, sont à l’origine de la commune de Montayral (Source REGION AQUITAINE).

    Bien que l’histoire médiévale marque fortement le paysage urbain, des découvertes archéologiques attestent une occupation beaucoup plus ancienne des lieux. En effet, la terre fertile du site en bordure du Lot constitue un emplacement idéal pour l’installation sédentaire de l’homme.

    La première occupation des lieux à la Préhistoire se poursuit durant l’Antiquité. Il est vraisemblable que les Romains, au moment de la conquête de la Gaule, aient installé une cité sur les bords du Lot, au lieu-dit Cadamas.

    Au Moyen Âge, le territoire de Montayral s’étend sur trois paroisses. On y retrouve celle de Saint-Germain de Montayral et de Marie-Madeleine de Cézérac dans la vallée ainsi que la paroisse Saint-Martin de Mazières sur les coteaux. Sur chacune de ces paroisses sont installées des églises qui contribuent au développement d’un habitat diffus à proximité.

    L’activité économique est liée à l’installation de barrages et de moulins sur le Lot. Ils sont exploités par des seigneurs locaux qui s’installent dans des maisons fortes. Après la Révolution, les hameaux qui jalonnent le territoire sont regroupés dans la commune de Montayral.

    À la fin du XIXe siècle, Montayral se dote d’un chef-lieu sur le site de Pellery. C’est à cet emplacement que les locaux de la mairie sont transférés dans les années 1930. Trente ans plus tard, la commune se modernise et s’agrandit grâce à la construction d’un nouveau secteur urbain.

    Montayral conserve l’image d’un village médiéval à travers la présence de ses deux églises paroissiales et de ses nombreuses demeures seigneuriales. Cependant, il montre également l’image d’un centre urbain moderne grâce à l’aménagement de sa ville neuve dans les années 1960[34].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[35] - [36].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la 3e circonscription de Lot-et-Garonne de la communauté de communes Fumel Vallée du Lot et du canton du Fumélois (avant le redécoupage départemental de 2014, Montayral faisait partie de l'ex-canton de Fumel) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Fumel Communauté.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Mars 1983 1990 Jean-Jacques Laffore PS Conseiller général (1983-1990)
    Mars 1990 2004 Jean-Pierre Nembrini PS Professeur
    Mai 2004 2014 Jean-Michel Egretaud PS Retraité Éducation nationale
    Mars 2014 En cours Jean-François Ségala PS Contremaître

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 2 669 habitants[Note 10], en diminution de 3,85 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881
    1 3881 3501 3361 3361 2581 2571 2061 1881 132
    1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
    1 1211 0601 0229549401 028964960989
    1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
    9301 0401 2001 6682 5573 0003 2003 0942 936
    2006 2011 2016 2020 - - - - -
    2 9712 8172 6862 669-----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 17 15 16 17 19 19 20 21
    Nombre de communes du département 326 311 313 317 317 319 319 319

    Économie

    Située dans la plaine du Lot, elle bénéficie de la proximité de Fumel pour recevoir les grandes surfaces (Intermarché, E.Leclerc, McDonald's...) sur son territoire.

    Toutes ces grandes surfaces se situent les deux zones d’activités intercommunautaires Zone du Haut-Agenais et Zone Porte du Quercy

    Elle possède aussi :

    Agriculture à dominance céréalière (blé, maïs...).

    Viticulture Thézac-Perricard (VDP).

    Manoir dit château de Ladhuie sur le bord du Lot.

    Enseignement

    Montayral fait partie de l'académie de Bordeaux.

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Fumel Vallée du Lot[47].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[32].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Montayral et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Montayral et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Fumel », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques près de chez moi - commune de Montayral », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montayral », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    32. Article R214-112 du code de l’environnement
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    34. « Montayral ».
    35. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    36. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. la Fromagerie de la Lémance
    46. « Fromagerie de la Lémance », Z.A. du Haut Agenais, 47500 Montayral.
    47. « Déchets », sur fumelvalleedulot.com (consulté le ).
    48. « Château de Perricard », notice no PA00084188, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Inventaire général du Château de Perricard », notice no IA47002534, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Georges Tholin, Philippe Lauzun, Le Château de Perricard en Agenais, Imprimerie et lithographie agenaises, Agen, 1898 (lire en ligne)
    51. « Manoir dit Château de Cézérac », notice no IA47002540, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. Château de Ladhuie
    53. « Château de Laduie », notice no PA00084187, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. « manoir dit Château de Ladhuie », notice no IA47002537, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Manoir dit Château de Montayral », notice no IA47002538, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Manoir (Montayral) », notice no IA47002536, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Manoir, demeure de notable dite Château de Salomon », notice no IA47002539, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. « Moulin sur le Lot », notice no IA47002541, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    59. Observatoire astronomique Gap Est 47 au lieu-dit Lagrolère
    60. Église de Perricard
    61. « Église paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    62. Villa Jean-Paul Geneviève et son tombeau
    63. Croix de chemin de Montayral
    64. Église paroissiale Saint-Germain dite église de Montayral
    65. « Église paroissiale Saint-Germain », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    66. Monument aux morts de Montayral
    67. Monument aux morts de Perricard
    68. Statue de la Vierge à l'Enfant
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