Monferran-Savès
Monferran-Savès (Montferran Savés en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Savès, une petite province gasconne correspondant au cours moyen de la Save.
Monferran-Savès | |
Église Saint-Louis, côté façade. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gers |
Arrondissement | Auch |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Gascogne Toulousaine |
Maire Mandat |
Maryelle Vidal 2021-2026 |
Code postal | 32490 |
Code commune | 32268 |
Démographie | |
Gentilé | Monferranais |
Population municipale |
825 hab. (2020 ) |
Densité | 33 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 35′ 55″ nord, 0° 58′ 54″ est |
Altitude | 206 m Min. 155 m Max. 241 m |
Superficie | 24,68 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de L'Isle-Jourdain (Gers) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Sarrampion, le ruisseau d'en Béjon, le ruisseau d'en Peyblanc, le ruisseau du Gay et par divers autres petits cours d'eau.
Monferran-Savès est une commune rurale qui compte 825 habitants en 2020. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Monferranais ou Monferranaises.
Géographie
Localisation
Monferran-Savès est une commune de Gascogne de l'aire urbaine de Toulouse située dans le Savès entre L'Isle-Jourdain et Gimont.
Communes limitrophes
Monferran-Savès est limitrophe de huit autres communes. Les communes limitrophes sont Razengues, Clermont-Savès, Escornebœuf, Frégouville, Gimont, Giscaro, L'Isle-Jourdain et Marestaing.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 478 hectares ; son altitude varie de 155 à 241 mètres[2].
Monferran-Savès se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].
Voies de communication et transports
Accès par la route nationale 124, et par le train en gare de Gimont-Cahuzac ou gare de L'Isle-Jourdain sur la ligne de Saint-Agne à Auch.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par le Sarrampion, le ruisseau d'en Béjon, le ruisseau d'en Peyblanc, le ruisseau du Gay, le ruisseau d'Ayguebère, le ruisseau de Borde Vieille, le ruisseau de Capitani, le ruisseau d'en Garbille, le ruisseau de Saint-Clamens et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[5] - [Carte 1].
Le Sarrampion, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gimone à Maubec, après avoir traversé 14 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Isle-Jourdain », sur la commune de l'Isle-Jourdain, mise en service en 1967[12] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[13] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 705,4 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 30 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[16], à 14,1 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19] - [20] - [21].
Urbanisme
Typologie
Monferran-Savès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [22] - [I 1] - [23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,9 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), prairies (3 %), forêts (0,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Monferran-Savès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 307 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 307 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999, 2008, 2009 et 2018. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1998, 2003, 2006, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[29].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Toponymie
Anciennement Monferran-Cogotois, car le village appartient aux comtes d'Astarac, qui sont vicomtes de Cogotois. Cela à la suite du mariage de la fille année du baron de Marestan mort sans descendance mâle en 1499 avec le comte d'Astarac. La commune change de nom lors de la Révolution de 1789 pour devenir Monferran-Savès. Le 20 février 1965, la commune de Garbic est rattachée au village[31].
Histoire
La construction d'un premier château fort à Monferran semble dater du tout début du XIIIe siècle à la suite de la conclusion d'un paréage entre Bernard Ier de Marestang et le chapitre de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse. Au Moyen Âge la châtellenie de Monferran-Savès faisait partie avec celle de Castillon-Savès, de la baronnie de Marestang située sur un petit territoire s'étendant entre L'Isle Jourdain et Samatan appelé Cogotois[32].
Ce dernier fut érigé en vicomté en 1342 par lettre patentes de Philippe VI de Valois au bénéfice du baron Bernard VII de Marestang. En 1791, le dernier vicomte du Cogotois, Henri Thomas de Preissac, marquis de Marestang ayant émigré en Espagne tous ses biens furent confisqués et le Cogotois divisé en 60 lots qui seront vendus comme biens nationaux.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[33] - [34].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes de la Gascogne Toulousaine et du canton de L'Isle-Jourdain et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de la Save Lisloise.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 825 habitants[Note 6], en augmentation de 6,59 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Monferran-Savès fait partie de l'académie de Toulouse.
Manifestations culturelles et festivités
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 306 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 709 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 620 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 4,5 % | 4,5 % | 4,1 % |
Département[I 7] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 502 personnes, parmi lesquelles on compte 69,6 % d'actifs (65,6 % ayant un emploi et 4,1 % de chômeurs) et 30,4 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 354 emplois en 2018, contre 404 en 2013 et 336 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 335, soit un indicateur de concentration d'emploi de 105,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,1 %[I 10].
Sur ces 335 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 80 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % les transports en commun, 6,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
43 établissements[Note 9] sont implantés à Monferran-Savès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 43 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 3 | 7 % | (12,3 %) |
Construction | 7 | 16,3 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 17 | 39,5 % | (27,7 %) |
Information et communication | 1 | 2,3 % | (1,8 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,3 % | (3,5 %) |
Activités immobilières | 1 | 2,3 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 7 | 16,3 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 3 | 7 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 3 | 7 % | (8,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 39,5 % du nombre total d'établissements de la commune (17 sur les 43 entreprises implantées à Monferran-Savès), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :
- Grains D'oc, commerce de gros (commerce interentreprises) de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail (70 826 k€)
- SARL Axe Europe, conseil en systèmes et logiciels informatiques (313 k€)
- Seguon, activités des sièges sociaux (100 k€)
- Langues Sur Mesure, autres enseignements (52 k€)
Agriculture
La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 59 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 42 en 2000 puis à 37 en 2010[48] et enfin à 33 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[49] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 364 ha en 1988 à 1 939 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 40 à 59 ha[48].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Les éléments notables du patrimoine de Monferran-Savès sont les suivants[44] :
- Château de Monferran, du XVIIIe siècle ;
- Château de Bordelongue, du XVIIIe siècle ;
- Château d'Aubine, du XVIIIe siècle ;
- Château de Beausoleil, du XVIIIe siècle ;
- Château de Lauzin, du XVIIIe siècle ;
- Petit château d'Embonneau, du XIXe siècle ;
- Pigeonnier du XVIIIe siècle ;
- Anciens moulins à vent ;
- Église Saint-Martin de Garbic, du XIXe siècle ;
- Église Saint-Louis de Monferran-Savès.
Héraldique
Blasonnement :
Coupé : au premier de gueules aux trois fers de lance d'or rangés en fasce et mouvant du trait de la partition, au second d'argent aux trois chevrons de gueules, le premier brisé[50]. |
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Monferran-Savès » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Monferran-Savès » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Monferran-Savès » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Monferran-Savès » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Monferran-Savès » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Monferran-Savès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le Sarrampion »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Isle-Jourdain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monferran-Savès et L'Isle-Jourdain », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Isle-Jourdain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Monferran-Savès et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Monferran-Savès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Monferran-Savès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Monferran-Savès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Monferran-Savès », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Monferran-Savès », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Commune de Garbic (32137) − COG | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
- Sources:La Gascogne Toulousaine aux XIIe et XIIIe siècles par Mireille Mousnier.& Manuscrit de Mr le Curé Fourment -Marestaing Tome 2
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Monferran-Savès
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
- « Entreprises à Monferran-Savès », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Monferran-Savès - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- Banque du blason.