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Modalité (linguistique et logique)

En linguistique, la modalitĂ© est un concept logique dĂ©fini par l’« expression de l’attitude du locuteur par rapport au contenu propositionnel de son Ă©noncĂ© »[1]. La modalitĂ© modifie un fait Ă©noncĂ© par une proposition en le prĂ©sentant comme nĂ©cessaire, possible ou vrai de fait. Il est nĂ©cessaire que Paul vienne est par exemple la proposition Paul vient modifiĂ©e par le concept de nĂ©cessitĂ©. La catĂ©gorie de modalitĂ© joue un rĂŽle en logique et ce tout particuliĂšrement dans le cadre des logiques modales. Elle est Ă©galement fondamentale en linguistique, qui prend en compte les divers moyens de l’exprimer.

La modalité en logique

La logique formelle dĂ©veloppĂ©e par Frege et Russell ne prenait en compte que les Ă©noncĂ©s qui sont des propositions privĂ©es de toute indication de mode. Clarence Irving Lewis et C.H. Langford, formalisant des concepts Ă©laborĂ©s par Leibniz, se distinguent de leurs prĂ©dĂ©cesseurs immĂ©diats, en fondant en 1932 dans Symbolic logic une logique enrichie des foncteurs de nĂ©cessitĂ© et de possibilitĂ©. Cette logique est donc capable de formaliser des Ă©noncĂ©s comme : Il est possible que Marie vienne ou comme Paul doit venir. Ce n’est qu’avec Saul Aaron Kripke qu’on commença Ă  dĂ©velopper une sĂ©mantique formelle pour ces nouveaux systĂšmes, fondĂ©e sur le concept de monde possible. Les dĂ©veloppements de la logique modale sont Ă  l’origine de la logique dĂ©ontique, de la logique de l’action, ainsi que de la logique temporelle, de la logique Ă©pistĂ©mique, de la logique de la connaissance commune et de la logique dynamique.

La modalité en linguistique

La linguistique s’intĂ©resse au problĂšme de la modalitĂ© Ă  deux niveaux. D’abord elle analyse le concept de modalitĂ© de maniĂšre gĂ©nĂ©rale et cherche Ă  prĂ©ciser ce que ce terme recouvre. Elle Ă©tudie en outre les phĂ©nomĂšnes et les marqueurs de modalisation dans les diffĂ©rents langages particuliers. Elle rejoint ainsi dans une certaine mesure la grammaire traditionnelle qui distingue par exemple en français le mode indicatif (mode de la rĂ©alitĂ©) du conditionnel (mode de l’irrĂ©el) ou encore qui mentionne, outre les adverbes de temps, de lieu, de maniĂšre, etc., une catĂ©gorie d’adverbes d’« opinion » (comme « certainement » ou « peut-ĂȘtre »), appelĂ©s dans certaines grammaires des « modalisateurs ».

Si la notion de modalitĂ© en linguistique, dĂ©finie comme « l’expression de l’attitude du locuteur par rapport au contenu propositionnel de son Ă©noncĂ© »[1], semble s’opposer assez clairement Ă  celles de temporalitĂ© et d’aspect, ses frontiĂšres restent controversĂ©es. Outre les modalitĂ©s alĂ©thiques, dĂ©ontiques, Ă©pistĂ©miques et apprĂ©ciatives, certains suggĂšrent des modalitĂ©s intersubjectives (ordre, conseil, reproche
), bouliques (volontĂ©), implicatives (condition, consĂ©quence
) ou mĂȘme temporelles ; ou encore incluent la nĂ©gation dans cette catĂ©gorie.

Ces recherches sont insĂ©parables de la pragmatique linguistique, car la modalitĂ© est dĂ©terminĂ©e par le locuteur et donc par le contexte d’énonciation.

Différents types de modalité

  • valeur alĂ©thique (de aletheia « vĂ©ritĂ© ») – Le sujet Ă©nonce des vĂ©ritĂ©s logiques, c’est-Ă -dire ce qui relĂšve du domaine du possible/impossible, nĂ©cessaire/contingent, etc. Souvent, les Ă©noncĂ©s sont d’ordre scientifique exprimant des donnĂ©es indiscutables (chiffres, vĂ©ritĂ©s gĂ©nĂ©rales, lois physiques, etc.), par exemple :
    • L’eau bout Ă  cent degrĂ©s ;
    • Tous les hommes sont mortels ;
  • valeur Ă©pistĂ©mique – L’énonciateur considĂšre les chances de rĂ©alisation de la relation prĂ©dicative. Exemples :
    • Il doit ĂȘtre en retard ;
    • Il peut arriver aujourd’hui ;
  • valeur dĂ©ontique – L’énonciateur apprĂ©cie la relation prĂ©dicative, positivement ou nĂ©gativement, en fonction de rĂšgles prĂ©Ă©tablies, d’un code dĂ©ontologique :
    • Vous ne pouvez pas garer votre voiture ici (impossibilitĂ© morale mais pas interdiction formelle) ;
    • Si vous voulez avoir votre examen, vous devez le prĂ©parer ;
  • valeur radicale ou intersubjective, qui porte sur les relations entre sujets. L’énonciateur ordonne, autorise, etc. :
    • Vous pouvez partir (permission) ;
    • Vous devez ĂȘtre ici avant huit heures (obligation).

Expression de la modalité

La modalité est exprimée par des moyens grammaticaux (morphologiques et syntaxiques), lexicaux et prosodiques, un seul de ceux-ci ou plusieurs à la fois.

Modes verbaux

L’un des moyens grammaticaux est morphologique. C’est le mode personnel du verbe. Il implique l’apprĂ©ciation du procĂšs exprimĂ© par le verbe comme rĂ©el, certain, possible, rĂ©alisable, souhaitĂ©, incertain, irrĂ©el, etc. De ce point de vue, les modes sont en opposition entre eux. L’opposition de base est entre l’apprĂ©ciation du procĂšs comme rĂ©el, certain, d’un cĂŽtĂ©, et possible, virtuel, de l’autre. La premiĂšre attitude est exprimĂ©e dans certaines langues, comme le français, par le mode indicatif, et l’autre – par les autres modes, qui expriment le procĂšs possible dans diverses hypostases : rĂ©alisable, possible Ă  proprement parler (le subjonctif) ; conditionnĂ©, possible si une condition est remplie (le sens de base du conditionnel) ; possible mais pour le moment seulement souhaitĂ© (le sens optatif du conditionnel) ; possible, mais pour le moment seulement supposĂ© (le sens hypothĂ©tique du conditionnel) ; possible mais pour le moment seulement demandĂ© (l’impĂ©ratif)[2]. Une langue donnĂ©e peut avoir des modes spĂ©cialisĂ©s dans des nuances de modalitĂ© exprimĂ©es par un seul mode dans une autre langue donnĂ©e. Le roumain, par exemple, a un mode appelĂ© « prĂ©somptif », qui exprime la possibilitĂ© hypothĂ©tique, ex. S-o fi gĂąndind că noi am plecat deja « Il/Elle pense, peut-ĂȘtre, que nous sommes dĂ©jĂ  parti(e)s »[3].

Cependant, tel ou tel mode est typique pour exprimer telle ou telle modalitĂ©, mais non pas exclusif. En rĂ©alitĂ©, les formes modales peuvent en exprimer plusieurs. Par exemple, l’indicatif peut exprimer non seulement le procĂšs rĂ©el, mais aussi le procĂšs demandĂ©e, c’est-Ă -dire l’ordre, ex. Pour demain vous ferez l’exercice no 5 page 12[4].

Exemples d’emploi typique des modes en français :

  • indicatif : Nous mangeons[5] ;
  • subjonctif : Je veux qu’il rĂ©ussisse[5] ;
  • conditionnel :
    • procĂšs conditionnĂ© : Nous verrions nos amis Legrand plus souvent s’ils habitaient Ă  Paris[6] ;
    • procĂšs souhaitĂ© : FĂ©lix et BĂ©atrice aimeraient avoir un deuxiĂšme enfant[7] ;
    • procĂšs hypothĂ©tique : L’avion s’est Ă©crasĂ© Ă  l’atterrissage ; il y aurait une trentaine de morts[7] ;
  • impĂ©ratif : Mange[5].

PĂ©riphrases

Certaines pĂ©riphrases sont des moyens syntaxiques d’expression de la modalitĂ©. Par exemple, en anglais, le caractĂšre obligatoire d’une action peut ĂȘtre exprimĂ© par une pĂ©riphrase avec le verbe have « avoir » : I have to work « Il faut que je travaille »[8].

Verbes modaux

Certains verbes expriment la modalitĂ© par leur sens lexical mĂȘme, Ă©tant employĂ©s comme verbes rĂ©gissant des propositions subordonnĂ©es qui expriment le procĂšs concret dont on indique la modalitĂ© : Je crois que
, Je crains que
, Je me rĂ©jouis de ce que
[9].

Un moyen entre lexical et grammatical est ce qu’on appelle « verbe modal », appelĂ© aussi auxiliaire ou semi-auxiliaire de modalitĂ©, qui exprime celle-ci par son contenu lexical d’origine ou acquis dans le contexte[10]. Le degrĂ© de grammaticalisation des verbes de ce genre est diffĂ©rent, c’est pourquoi il existe des opinions divergentes dans diverses grammaires de diverses langues quant Ă  considĂ©rer tel ou tel verbe comme modal. Le verbe (en) have « avoir », par exemple, est vu comme similaire aux verbes modaux, Ă©tant aussi employĂ© indĂ©pendamment[8] - [11]. Dans les grammaires de l’anglais on considĂšre comme modaux proprement-dits ceux qui ont la dĂ©sinence zĂ©ro Ă  toutes les personnes et sont utilisĂ©s sans la particule to devant les verbes auxquels ils sont associĂ©s[12]. Exemples :

(fr) Nous avons failli réussir[13] ;
(en) We may have problems « Nous pourrions/risquons d’avoir des problĂšmes »[12] ;
(ro) Am a scrie / de scris « Je dois écrire »[14] ;
(sr) Ja ovde mogu studirati / da studiram « Ici je peux étudier »[15] ;
(hu) El tudod ezt nekem intĂ©zni? « Tu peux m’obtenir ça »[16].

Modalisateurs

Les modalisateurs sont des moyens lexicaux d’expression de la modalitĂ©. Il s’agit de toute une classe de mots et de locutions d’une catĂ©gorie considĂ©rĂ©e dans les grammaires traditionnelles comme faisant partie des adverbes, mais qui n’ont pas de fonction syntaxique, c’est-Ă -dire qu’ils n’expriment pas des complĂ©ments, ayant seulement un rĂŽle modalisateur. Dans certaines grammaires, comme celles du hongrois, ils constituent une partie du discours Ă  part. Ces Ă©lĂ©ments peuvent ĂȘtre des adverbes proprement-dits Ă  l’origine, ne devenant donc des modalisateurs que dans certains contextes, par conversion. Exemples :

(fr) Heureusement, il n’a pas plu Ă  la cĂ©rĂ©monie[17] ;
(en) He’s probably been sick for a long time « Il a sans doute Ă©tĂ© malade pendant longtemps »[18] ;
(la) Paene in foveam decidi, ni hic adesses « Je serais presque tombĂ©(e) dans le trou si tu n’avais pas Ă©tĂ© lĂ  »[19] ;
(ro) Poate Dan a greșit ieri « Dan a peut-ĂȘtre mal fait hier »[20] ;
(de) Ich kann leider nicht kommen « Malheureusement, je ne peux pas venir »[21] ;
(sr) Ukratko, cilj je postignut « Bref, le but a été atteint »[22] ;
(hu) GĂ©za biztosan betalĂĄlt a belsƑ körbe « GĂ©za a sĂ»rement atteint le cercle intĂ©rieur (de la cible) »[23].

Certains auteurs distinguent parmi de tels adverbes, qu’ils appellent « de commentaire », ceux portant sur[24] :

  • l’énonciation : Heureusement, il est bien rentrĂ© (jugement du locuteur sur le prĂ©dicat d’énoncĂ© « il est bien rentrĂ© », qu’on peut gloser en : « il est bien rentrĂ© et j’en suis heureux ») ;
  • l’énoncĂ© : Franchement, ce n’est pas une rĂ©ussite (commentaire du locuteur sur l’ensemble du prĂ©dicat d’énonciation, Ă  gloser en : « je vais vous dire franchement ce que je pense : ce n’est pas une rĂ©ussite »).

Particules modales

Une autre catĂ©gorie de mots qui expriment des modalitĂ©s sont ce qu’on appelle « particules modales ». Dans certaines grammaires, elles apparaissent comme une sous-classe des particules et y incluent le modalisateur tel que prĂ©sentĂ© ci-dessus, la particule Ă©tant considĂ©rĂ©e comme une partie du discours Ă  part, par exemple dans les grammaires du BCMS[25]. D’autres auteurs excluent le modalisateur de la classe des particules sur la base de l’argument que le modalisateur peut ĂȘtre un mot-phrase et, comme tel, rĂ©pondre Ă  une question totale, alors que la particule n’a pas ces possibilitĂ©s. Ces auteurs dĂ©limitent dans la classe des particules la sous-classe des particules modales[26]. Celles-ci proviennent par conversion d’adverbes, de conjonctions ou de verbes. Il y a aussi des particules modales qui n’ont pas de correspondants dans une autre classe. Telle est, en BCMS, la particule interrogative li, hĂ©ritĂ©e du proto-slave[27].

Pour des modalités de base on utilise des particules comme dans les exemples ci-dessous :

  • interrogatives :
(sr) Dolaziƥ li sutra? « Viens-tu demain ? »[28] ;
(hu) Akkor holnap talĂĄlkozunk, ugye? « Alors on se voit demain, n’est-ce pas? »[29] ;
  • nĂ©gatives : (de) Ich habe ihn nicht gesehen « Je ne l’ai pas vu »[30] ;
  • exclamatives : (sr) Ala smo se lepo proveli! « Comme on a bien passĂ© le temps ! »[31] ;
  • impĂ©ratives : (cnr) Oni neka dođu! « Qu’ils viennent, eux ! »[32].

Exemples pour d’autres nuances modales :

(fr) Taisez-vous donc Ă  la fin ![33] ;
(de) Die werden aber staunen! « Qu’est-ce qu’ils vont s’étonner, ceux-lĂ  ! »[34] ;
(hu) LĂĄm! Ki hitte volna? « Tiens ! Qui l’aurait cru ! »[35].

Propositions incises

Les modalitĂ©s peuvent Ă©galement ĂȘtre exprimĂ©es par certaines propositions incises, de la mĂȘme façon que par les modalisateurs. Exemples :

(fr) Soit dit entre nous, il n’est guùre consciencieux dans son travail[36] ;
(en) As you know, things are difficult just now « Comme tu sais / vous savez, c’est difficile en ce moment »[37] ;
(ro) Am venit, dacă vrei să mă crezi, din ßntùmplare « Je suis venu(e), si tu veux bien me croire, par hasard »[38] ;
(hu) Bözsi, Ășgy vĂ©lem, meggyĂłgyult « Bözsi est guĂ©rie, je pense »[39] ;
(sr) Stadion — to je sada jasno — neće biti zavrĆĄen na vreme « Le stade – c’est clair maintenant – ne sera pas fini Ă  temps »[40].

L’intonation

L’intonation associĂ©e Ă  l’accentuation est elle aussi un moyen d’exprimer la modalitĂ©, d’ordinaire combinĂ© avec d’autres moyens. Elle a pour rĂŽle fondamental de distinguer entre les phrases Ă©nonciative, interrogative et impĂ©rative, Ă©tant parfois le seul moyen qui exprime ces modalitĂ©s. La phrase Tu viendras avec moi, par exemple, peut ĂȘtre prononcĂ©e avec trois intonations diffĂ©rentes[41], rendues Ă  l’écrit par trois points diffĂ©rents : point, point d’interrogation et point d’exclamation, respectivement.

L’intonation sert aussi Ă  exprimer des nuances d’ordre pragmatique, comme toutes sortes de sentiments (colĂšre, indignation, joie, surprise, dĂ©ception, etc.) et des intentions communicatives (demande, menace, encouragement, etc.). Par exemple, une phrase impĂ©rative comme Viens avec moi peut ĂȘtre nuancĂ©e par l’intonation pour exprimer un ordre neutre, une recommandation, une demande ou une menace. De mĂȘme, une phrase interrogative comme Tu n’as pas achetĂ© de chocolat ? peut exprimer, en fonction de son intonation, une question neutre, l’étonnement ou la dĂ©ception[41].

Notes et références

  1. Le Querler 1996, p. 14.
  2. Bărbuță 2000, p. 149-150.
  3. Cojocaru 2003, p. 166.
  4. Delatour 2004, p. 131.
  5. Grevisse et Goosse 2007, p. 980.
  6. Delatour 2004, p. 143.
  7. Delatour 2004, p. 142.
  8. Bussmann 1998, p. 754.
  9. Dubois 2002, p. 306.
  10. Constantinescu-Dobridor 1998, article verb.
  11. Eastwood 1994, p. 113.
  12. Eastwood 1994, p. 114.
  13. Mauger 1971, p. 286.
  14. Avram 1997, p. 198.
  15. Moldovan et Radan 1996, p. 114.
  16. Lengyel 1999, p. 122.
  17. Molinier et Levrier 2000, p. 48.
  18. Bussmann 1998, p. 1060.
  19. Popescu 2004, p. 175.
  20. Zafiu 2006, p. 479.
  21. canoonet, Das Satzadverb « L’adverbe de proposition ».
  22. Klajn 2005, p. 153.
  23. Kugler 2001, p. 233.
  24. Rioul et Monneret 1999, p. 93.
  25. Bosnien, croate, monténégrin et serbe.
  26. Kugler 1998, p. 214.
  27. HJP, article li.
  28. Moldovan et Radan 1996, p. 130.
  29. Kugler 1998, p. 216.
  30. canoonet, Die Negationswörter « Mots de négation ».
  31. Moldovan et Radan 1996, p. 131.
  32. Čirgić 2010, p. 227.
  33. FĂłnagy 2006, p. 183.
  34. Möllering 2001, p. 133.
  35. Bårczi et Orszågh 1959-1962, article låm. Forme provenant du verbe låssam « que je voie », specialisée en tant que particule (cf. Péteri 2001, p. 102).
  36. Grevisse et Goosse 2007, p. 468.
  37. Eastwood 1994, p. 332.
  38. Avram 1997, p. 406.
  39. Cs. Nagy 2007, p. 343.
  40. Klajn 2005, p. 238.
  41. Kalmbach 2013, 9.7.2.

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Voir aussi

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