AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Morphologie (linguistique)

En linguistique, la morphologie (cf. les mots grecs morphĂ© « forme » + lĂłgos « Ă©tude ») est traditionnellement la branche de la grammaire qui Ă©tudie la forme des mots, par opposition Ă  la syntaxe, qui s’occupe de la fonction des mots et d’entitĂ©s plus grandes que ceux-ci[1] - [2] - [3] - [4] - [5]. En d’autres termes, la morphologie Ă©tudie les paradigmes des mots et l’organisation des traits grammaticaux, alors que la syntaxe traite des successions de mots, des relations syntagmatiques[1].

Dans une conception de l’organisation stratifiĂ©e, en niveaux, de la langue, le terme est aussi utilisĂ© pour dĂ©nommer le niveau dont l’unitĂ© de base a la qualitĂ© de signe linguistique[1]. En termes traditionnels, il dĂ©nomme la structure morphologique en tant que partie de la structure grammaticale[6] - [7].

La morphologie n’a pas la mĂȘme importance pour toutes les langues. Elle l’est surtout pour les langues dites synthĂ©tiques, qu’elles soient flexionnelles[8] (appelĂ©es aussi fusionnelles ou fusionnantes)[9] ou agglutinantes, et beaucoup moins pour les langues dites isolantes, dans lesquelles les mots sont en gĂ©nĂ©ral invariables[1].

Du point de vue des stades d’une langue qu’elle Ă©tudie, on distingue la morphologie descriptive (synchronique), qui dĂ©crit la structure morphologique de la langue Ă  un moment donnĂ© de son dĂ©veloppement, et la morphologie historique (diachronique), qui Ă©tudie l’évolution de la structure morphologique de la langue et ses perspectives de dĂ©veloppement. Il y a aussi la morphologie comparative, qui s’occupe en parallĂšle de l’évolution de la structure morphologique de deux ou de plusieurs langues (surtout apparentĂ©es), essayant, par exemple, d’établir des critĂšres qui dĂ©terminent les relations typologiques entre langues[2].

Aspects étudiés par la morphologie

Par Ă©tude de la forme des mots on entend l’étude d’au moins deux aspects.

L’un de ces aspects est celui de la structure interne du mot[10], des rĂšgles selon lesquelles se constituent ses formes[7], de la maniĂšre dont se combinent les morphĂšmes qui le constituent[3], autrement dit, les rĂšgles de la modification de ses formes[6]. Les formes que prennent les mots sont principalement celles pour exprimer divers traits grammaticaux (morphologiques). Ce sont, en fonction de la langue donnĂ©e, le genre, le cas, le nombre, la personne, la diathĂšse, le mode, le temps, l’aspect, le mode d’action, etc. En termes traditionnels, les modifications de forme sont appelĂ©es dĂ©clinaison et conjugaison[3].

Un autre aspect est le groupement des mots en classes lexico-grammaticales ayant des traits distincts, appelées traditionnellement parties du discours[6] - [2], qui ne concerne pas seulement les mots dont la forme se modifie (parties du discours variables), mais aussi ceux dont la forme ne subit pas de changements (parties du discours invariables).

Le rapport de la morphologie avec d’autres branches de la linguistique

La morphologie s’occupe de la structure morphologique, mais celle-ci n’est sĂ©parĂ©e d’aucun des niveaux de la langue, c’est pourquoi il y a des interfĂ©rences entre la morphologie et les autres branches de la linguistique.

Morphologie et sémantique

La liaison entre morphologie et sĂ©mantique est trĂšs Ă©troite, de plusieurs points de vue. PremiĂšrement, les morphĂšmes qui constituent le mot sont porteurs de sens. DeuxiĂšmement, une mĂȘme forme peut avoir des sens grammaticaux diffĂ©rents, en fonction des circonstances de son emploi. Par exemple, la forme du prĂ©sent de l’indicatif du verbe peut avoir le sens de futur aussi[7].

D’un autre point de vue, la morphologie a un rapport avec la sĂ©mantique par le fait que certaines formes des mots peuvent exprimer la modalitĂ©, une catĂ©gorie qui exprime l’attitude du locuteur envers ce qui est exprimĂ© dans la phrase[11]. Ainsi, par exemple, les formes modales du verbe expriment, en principe, au sujet du procĂšs, la certitude de sa rĂ©alisation (l’indicatif), sa possibilitĂ© proprement-dite (le subjonctif), sa possibilitĂ© conditionnĂ©e (le conditionnel), sa possibilitĂ© souhaitĂ©e (la valeur optative du conditionnel), sa possibilitĂ© demandĂ©e (l’impĂ©ratif)[12].

Morphologie et phonétique/phonologie

Le lien entre morphologie et phonĂ©tique/phonologie se reflĂšte, entre autres, dans l’existence d’une discipline intermĂ©diaire, la morphophonologie, qui Ă©tudie les facteurs phonĂ©tiques/phonologiques qui affectent les morphĂšmes, les diffĂ©rences phonĂ©tiques/phonologiques entre variantes des morphĂšmes et les modifications phonĂ©tiques dans la zone de contact entre deux morphĂšmes[13]. Des exemples de phĂ©nomĂšnes morphophonologiques sont les alternances vocaliques et consonantiques associĂ©es ou non Ă  l’ajout de suffixes. Exemples :

  • entre variantes d’une voyelle : (fr) rĂ©pĂ©ter ~ rĂ©pĂšte (mi-fermĂ©e ~ mi-ouverte)[14], (hu) vĂ­z « eau » ~ vizek « eaux » (longue ~ brĂšve)[15] ;
  • entre voyelles diffĂ©rentes : (fr) il/elle peut ~ il/elle put[14], (en) sing « chanter », etc. ~ sang « je chantai », etc. ~ sung « chantĂ©, -e, -s, -es » ~ song « chanson »[16] ;
  • entre une voyelle et son absence : (sr) borac « combattant » ~ borcu « au combattant »[17], (hu) bokor « buisson » ~ bokrok « buissons »[18] ;
  • entre consonnes diffĂ©rentes : (fr) neuf ~ neuve[14], (ro) muscă « mouche » ~ muște « mouches »[19] ;
  • entre une consonne et son absence : (fr) il bat ~ ils battent[14] ;
  • entre une voyelle et une consonne : (sr) beo « blanc » ~ bela « blanche »[20] ;
  • alternance vocalique et consonantique concomitante : (ro) carte « livre » ~ cărți « livres »[19].

Morphologie et syntaxe

La forme du mot donnĂ©e par certains morphĂšmes grammaticaux qu’il contient est l’un des moyens d’expression des rapports grammaticaux[7]. D’ailleurs, certaines orientations linguistiques modernes ne sĂ©parent pas la morphologie de la syntaxe, mais parlent de morphosyntaxe, qui est en mĂȘme temps la description des rĂšgles de la structure interne des mots et des rĂšgles de la combinaison des mots en syntagmes et en propositions[3]. Le nombre des parties du discours nominales (nom, adjectif, pronom), par exemple, peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une catĂ©gorie morphosyntaxique. D’un cĂŽtĂ©, l’opposition de nombre tient de la syntaxe, par exemple par les rĂšgles d’accord entre sujet et verbe ; d’un autre cĂŽtĂ©, la catĂ©gorie du nombre tient de la morphologie par la forme du mot qui l’exprime[21].

Plus une langue est synthĂ©tique, plus le poids de la forme des mots est important. La morphologie essaye de systĂ©matiser les relations entre structure des mots et leurs fonctions dans la proposition[22]. C’est surtout Ă©vident dans le cas des parties du discours nominales qui, avec certaines formes qu’elles prennent, expriment certaines fonctions syntaxiques. En français, cela se rĂ©duit Ă  l’expression, d’une part, du sujet, d’autre part, du complĂ©ment d’objet direct et du complĂ©ment d’objet indirect d’attribution par des formes diffĂ©rentes des pronoms personnels atones (ex. je, respectivement me)[23], mais dans les langues dites Ă  dĂ©clinaison, l’expression des fonctions syntaxiques est beaucoup plus complexe, se rĂ©alisant surtout par des dĂ©sinences casuelles. Exemples :

  • (ro) Băiatul este aici « Le garçon est lĂ  » (cas nominatif – sujet) vs Cartea băiatului este aici « Le livre du garçon est lĂ  » (cas gĂ©nitif – complĂ©ment du nom exprimant le possesseur)[24] ;
  • (hr) Ć eva leti visoko « L’alouette vole haut » (nominatif – sujet) vs Ć evo, leti visoko! « Alouette, vole haut ! » (vocatif – interpellation, sans fonction syntaxique)[25] ;
  • (hu) PĂ©ter AnnĂĄnak adta a pĂ©nzĂ©t « PĂ©ter a donnĂ© son argent Ă  Anna » (datif – complĂ©ment d’objet indirect d’attribution) vs PĂ©ter helyet cserĂ©l AnnĂĄval « PĂ©ter change de place avec Anna » (instrumental – complĂ©ment circonstanciel d’accompagnement)[26].

Morphologie et lexicologie

Parfois, en changeant la forme d’un mot, on crĂ©e une unitĂ© lexicale nouvelle, par :

  • ajout d’un affixe (suffixe, prĂ©fixe) : (fr) auto-stop → auto-stoppeur[27], (en) happy « heureux » → unhappy « malheureux »[28] ;
  • changement d’un affixe : (fr) traction → tracter[29], (hu) repĂŒl « il/elle vole » (dans les airs) → repdes « il/elle volĂšte »[30] ;
  • suppression d’un affixe : (fr) attaquer → attaque[31], (ro) nucă « noix » → nuc « noyer »[32] ;
  • rĂ©union de deux ou plusieurs mots en un seul : (fr) abat-jour[33], (cnr) ƛeverozapad « nord-ouest »[34].

Vu le rĂ©sultat de ces procĂ©dĂ©s, c’est-Ă -dire de la dĂ©rivation lexicale (les trois premiers exemples), et de la composition lexicale (le dernier exemple), certains linguistes les traitent dans le cadre de la morphologie, Ă©tant donnĂ© qu’ils consistent en des changements de forme[35]. D’autres linguistes les incluent dans la lexicologie. C’est la tradition dans la linguistique roumaine, par exemple[1]. Il y a aussi des auteurs qui voient dans la formation des mots une branche Ă  part de la linguistique[36].

Références

  1. Bidu-Vrănceanu 1997, p. 309.
  2. Bussmann 1998, p. 770-771.
  3. Dubois 2002, p. 311.
  4. Eifring et Theil 2005, chap. 2, p. 1.
  5. Crystal 2008, p. 314-315.
  6. Constantinescu-Dobridor 1998, article morfologie.
  7. Bokor 2007, p. 254-255.
  8. Dubois 2002, p. 204.
  9. Dubois 2002, p. 212.
  10. Kiefer 2006, p. 34.
  11. Bussmann 1998, p. 754.
  12. Bărbuță 2000, p. 149-150.
  13. Bokor 2007, p. 260-261.
  14. Fiodorov 2008, p. 25-26.
  15. SiptĂĄr 2006, p. 15.
  16. Crystal 2008, p. 216.
  17. Klajn 2005, p. 38.
  18. LaczkĂł 2000, p. 42.
  19. Constantinescu-Dobridor 1980, p. 28-29.
  20. Klajn 2005, p. 37.
  21. Crystal, p. 315.
  22. KĂĄlmĂĄn et TrĂłn, p. 75.
  23. Grevisse et Goosse 2007, p. 841.
  24. Cojocaru 2004, p. 19.
  25. Barić 1997, p. 102.
  26. Kiefer 2006, p. 46.
  27. Grevisse et Goosse 2007, p. 166.
  28. Bussmann 1998, p. 25.
  29. Grevisse et Goosse 2007, p. 188.
  30. Cs. Nagy 2007, p. 303..
  31. Grevisse et Goosse 2007, p. 187.
  32. Constantinescu-Dobridor 1980, p. 149.
  33. Grevisse et Goosse 2007, p. 191.
  34. Čirgić 2010, p. 149.
  35. Cf. Bussmann 1998 (p. 770), Dubois 2005 (p. 311, Kiefer 2006 (p. 34).
  36. Cf. Hristea 2003, sans mention de noms d’auteurs.

Sources bibliographiques

  • (ro) Bărbuță, Ion et alii, Gramatica uzuală a limbii romĂąne [« Grammaire usuelle du roumain »], Chișinău, Litera, 2000 (ISBN 9975-74-295-5) (consultĂ© le )
  • (hr) Barić, Eugenija et al., Hrvatska gramatika [« Grammaire croate »], Zagreb, Ć kolska knjiga, , 2e Ă©d., 683 p. (ISBN 953-0-40010-1)
  • (ro) Bidu-Vrănceanu, Angela et al., Dicționar general de științe. Științe ale limbii [« Dictionnaire gĂ©nĂ©ral des sciences. Sciences de la langue »], Bucarest, Editura științifică, 1997 (ISBN 973-440229-3) (consultĂ© le )
  • (hu) Bokor, JĂłzsef, « SzĂłalaktan » [« Morphologie »], A. JĂĄszĂł, Anna (dir.), A magyar nyelv könyve [« Le livre de la langue hongroise »], 8e Ă©dition, Budapest, Trezor, 2007 (ISBN 978-963-8144-19-5), p. 254-292 (consultĂ© le )
  • (en) Bussmann, Hadumod (dir.), Dictionary of Language and Linguistics [« Dictionnaire de la langue et de la linguistique »], Londres – New York, Routledge, 1998 (ISBN 0-203-98005-0) (consultĂ© le )
  • (cnr) Čirgić, Adnan ; Pranjković, Ivo ; Silić, Josip, Gramatika crnogorskoga jezika [« Grammaire du montĂ©nĂ©grin »], Podgorica, MinistĂšre de l’Enseignement et des Sciences du MontĂ©nĂ©gro, 2010 (ISBN 978-9940-9052-6-2) (consultĂ© le )
  • (en) Cojocaru, Dana, Romanian Grammar [« Grammaire roumaine »], SEELRC, 2003 (consultĂ© le )(consultĂ© le )
  • (ro) Constantinescu-Dobridor, Gheorghe, Mic dicționar de terminologie lingvistică [« Petit dictionnaire de terminologie linguistique »], Bucarest, Albatros, 1980
  • (ro) Constantinescu-Dobridor, Gheorghe, Dicționar de termeni lingvistici [« Dictionnaire de termes linguistiques »], Bucarest, Teora, 1998 ; en ligne : Dexonline (DTL) (consultĂ© le )
  • (en) Crystal, David, A Dictionary of Linguistics and Phonetics [« Dictionnaire de linguistique et de phonĂ©tique »], 4e Ă©dition, Blackwell Publishing, 2008 (ISBN 978-1-4051-5296-9) (consultĂ© le )
  • (hu) Cs. Nagy, Lajos, « A szĂłalkotĂĄs mĂłdjai » [« Formation des mots »], A. JĂĄszĂł, Anna (dir.), A magyar nyelv könyve [« Le livre de la langue hongroise »], 8e Ă©dition, Budapest, Trezor, 2007 (ISBN 978-963-8144-19-5), p. 293-319 (consultĂ© le )
  • Dubois, Jean et al., Dictionnaire de linguistique, Paris, Larousse-Bordas/VUEF, 2002 (consultĂ© le )
  • (en) Eifring, Halvor et Theil, Rolf, Linguistics for Students of Asian and African Languages [« Linguistique pour les Ă©tudiants en langues asiatiques et africaines »], UniversitĂ© d’Oslo, 2005 (consultĂ© le )
  • Fiodorov, V. A., ĐąĐ”ĐŸŃ€Đ”Ń‚ĐžŃ‡Đ”ŃĐșая Ń„ĐŸĐœĐ”Ń‚ĐžĐșĐ° Ń„Ń€Đ°ĐœŃ†ŃƒĐ·ŃĐșĐŸĐłĐŸ ŃĐ·Ń‹ĐșĐ°. ĐŁŃ‡Đ”Đ±ĐœĐŸ-ĐŒĐ”Ń‚ĐŸĐŽĐžŃ‡Đ”ŃĐșĐŸĐ” ĐżĐŸŃĐŸĐ±ĐžĐ” ĐŽĐ»Ń ĐČŃƒĐ·ĐŸĐČ [« PhonĂ©tique thĂ©orique du français. Moyen d’enseignement pour les universitĂ©s »], Centre de publication et imprimerie de l’UniversitĂ© d’État de Voronej, 2008 (consultĂ© le )
  • Grevisse, Maurice et Goosse, AndrĂ©, Le Bon Usage. Grammaire française, Bruxelles, De Boeck UniversitĂ©, 2007, 14e Ă©dition, (ISBN 978-2-8011-1404-9) (consultĂ© le )
  • (ro) Hristea, Theodor, « Procedee interne de Ăźmbogățire a vocabularului » [« ProcĂ©dĂ©s interne d’enrichissement du vocabulaire »], Dominte, Constantin, Introducere Ăźn teoria lingvistică. Antologie pentru Seminarul de Teorie a Limbii [« Introduction Ă  la thĂ©orie linguistique. Anthologie pour le SĂ©minaire de thĂ©orie de la langue »], UniversitĂ© de Bucarest, 2003 (consultĂ© le )
  • (hu) KĂĄlmĂĄn, LĂĄszlĂł et TrĂłn, Viktor, BevezetĂ©s a nyelvtudomĂĄnyba [« Introduction Ă  la linguistique »], 2de Ă©dition, augmentĂ©e, Budapest, Tinta, 2007 (ISBN 978-963-7094-65-1) (consultĂ© le )
  • (hu) Kiefer, Ferenc, « 3. fejezet – Alaktan » [« Chapitre 3 – Morphologie »], Kiefer, Ferenc (dir.) Magyar nyelv [« La langue hongroise »], Budapest, AkadĂ©miai KiadĂł, 2006, (ISBN 963-05-8324-0), p. 34-49 (consultĂ© le )
  • (sr) Klajn, Ivan, Gramatika srpskog jezika [« Grammaire de la langue serbe »], Belgrade, Zavod za udĆŸbenike i nastavna sredstva, 2005 (ISBN 86-17-13188-8) (consultĂ© le )
  • (hu) LaczkĂł, Krisztina, « Alaktan » [« Morphologie »], Keszler, BorbĂĄla (dir.), Magyar grammatika [« Grammaire hongroise »], Budapest, Nemzeti TankönyvkiadĂł, 2000 (ISBN 978-963-19-5880-5), p. 35-64 (consultĂ© le )
  • (hu) SiptĂĄr, PĂ©ter, « 2. fejezet – Hangtan » [« Chapitre 2 – PhonĂ©tique et phonologie »], Kiefer, Ferenc (dir.) Magyar nyelv [« La langue hongroise »], Budapest, AkadĂ©miai KiadĂł, 2006, (ISBN 963-05-8324-0), p. 14-33 (consultĂ© le )

Bibliographie supplémentaire

  • ApothĂ©loz, Denis, La construction du lexique français. Principes de morphologie dĂ©rivationnelle, Paris, Ophrys, 2002
  • Fradin, Bernard, Nouvelles approches en morphologie, Paris, Presses universitaires de France, 2003
  • Huot, HĂ©lĂšne, La morphologie. Forme et sens des mots du français, 2e Ă©d., Paris, Armand Colin, 2006
  • Kerleroux, Françoise, La coupure invisible. Études de syntaxe et de morphologie, Villeneuve-d’Ascq, Septentrion, 1998
  • LĂ©on, P. R. et Bhatt, P., Structure du français moderne : introduction Ă  l’analyse linguistique, Canadian Scholars’ Press, 2005

Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.