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Milhaud (Gard)

Milhaud [mijo] est une commune française située dans le sud du département du Gard en région Occitanie.

Milhaud
Milhaud (Gard)
Gare de Milhaud.
Blason de Milhaud
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Jean-Luc Descloux
2020-2026
Code postal 30540
Code commune 30169
Démographie
Gentilé Milhaudois
Population
municipale
5 821 hab. (2020 en augmentation de 0,69 % par rapport à 2014)
Densité 319 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 27″ nord, 4° 18′ 29″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 122 m
Superficie 18,25 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nîmes
(banlieue)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gilles
Législatives Première circonscription
Localisation
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Milhaud
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Milhaud
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Milhaud
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Milhaud
Liens
Site web milhaud.fr

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vieux Vistre, la Pondre, le Grand Campagnolle et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Milhaud est une commune urbaine qui compte 5 821 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Nîmes et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Milhaudois ou Milhaudoises.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à 7 km du centre-ville de Nîmes, à proximité des Costières.

    Outre Nîmes, les grandes villes proches desservies par les grands axes sont Montpellier (48 km), Orange (63 km), Avignon (55 km) et Marseille (126 km).

    Communes limitrophes de Milhaud
    Langlade Caveirac
    Milhaud Nîmes
    Bernis Aubord Générac

    Hydrographie et relief

    C'est le premier village au sud-ouest de Nîmes, sur la route Nîmes-Montpellier (RN113), bordé au nord par la garrigue, au sud par la plaine agricole de la Vistrenque longeant elle-même le Vistre, et à l'ouest par un affluent du Vistre appelé lou valla de l'arrière.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 732 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[8], à 15,1 °C pour 1981-2010[9], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[10].

    Axes ferroviaires

    Axes routiers

    Milhaud est implantée à km de la sortie de l'autoroute A9, située à la sortie immédiate de Nîmes, en bordure de la RN 113 en direction de Montpellier.

    Transports en commun

    Le village est desservi par la ligne 11 du réseau TANGO (Transport de l'Agglomération Nîmoise)

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11] - [12].

    La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[13] - [14].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[15].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[17], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[19] : les « plaines de Caissargues et Aubord » (1 603 ha), couvrant 4 communes du département[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Milhaud est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 1] - [22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nîmes, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[I 2] et 185 059 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Milhaud est l'une des 79 communes membres du Schéma de cohérence territoriale SCOT du sud du Gard et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues et Costières de Nîmes.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,8 %), forêts (30,3 %), cultures permanentes (23 %), zones urbanisées (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Milhaud est une ville de 5821 habitants à caractère pavillonnaire.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Milhaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Nîmes, regroupant 20 communes soumises aux aléas de ruissellement pour la commune de Nîmes et de débordements de cours d’eau, notamment du Vistre, d'un de ses affluents, le Rhôny, et plus à la marge du Rhône, à l’aval, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[26]. Les événements significatifs passés relatifs à la Vistre sont des crues rapides et violentes, qui causent d’importants dégâts, voire des pertes humaines (octobre 1988, septembre 2002, décembre 2003, septembre 2005 notamment). Concernant le Rhôny, les principales crues recensées à Codognan ont eu lieu en 1845, 1933, 1945, 1958, 1963, 1976, 1987 et en octobre 1988. Cette dernière est la plus importante et marquante pour la population nîmoise. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[27] - [28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1987, 1988, 1994, 1998, 2002, 2004, 2005 et 2021[29] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Milhaud.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 090 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2058 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

    Toponymie

    En provençal : Mihau ; en languedocien : Milhau. Du roman Milhau, Milau, Melhau, Amilhau, du bas latin Amilianum, du latin Æmilianum[33].

    Ses habitants sont les Milhaudois et Milhaudoises.

    Histoire

    Antiquité

    La commune de Milhaud est située sur le tracé de la voie Domitienne.

    Moyen Âge

    Le village est la possession des comtes de Toulouse, de Simon de Montfort, puis des évêques de Nîmes[34]. Ceux-ci possèdent à Milhaud un vaste château entouré de fossés et flanqué de tours élevées. L'évêque Jean IV de Blauzac y fait réaliser de grandes réparations de 1348 à 1361. L'un des successeurs de Jean IV, Jean de Gasc, continue les travaux pendant tout son épiscopat de 1367 à 1372. Il exhausse les tours et creuse les fossés[35].

    Époque moderne

    Le château est détruit par les huguenots en 1622.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 1995 André Costabel DVD
    1995 2014 Jean-Michel Avellaneda DL puis UMP Vice-président de Nîmes Métropole
    2014 En cours Jean-Luc Descloux DVD Vice-président de Nîmes Métropole
    Les données manquantes sont à compléter.

    Conseil municipal

    GroupePrésidentEffectifStatut
    « Un nouveau départ pour Milhaud »
    DVD
    Jean-Luc Descloux23Majorité
    « Milhaud Bleu marine »
    FN
    Isabelle Durand-Martin3Opposition
    « Milhaud Génération nouvelle »
    UMP
    José Garcia3Opposition

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 5 821 habitants[Note 8], en augmentation de 0,69 % par rapport à 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2501 4741 5011 6361 6131 6451 6791 7591 829
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8241 8061 8961 8101 6641 3441 3481 4001 428
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3861 3661 3191 2101 1561 2241 1361 0381 176
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 3011 5622 2253 5644 8554 8745 4855 5785 725
    2017 2020 - - - - - - -
    5 6365 821-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lycée

    Lycée Geneviève-de-Gaulle-Anthonioz
    Histoire
    Fondation
    Cadre
    Type
    Pays
    Coordonnées
    43° 47′ 27″ N, 4° 18′ 29″ E
    Organisation
    Directeur
    Pierre Wachowiak (d) (depuis )
    Site web
    Identifiants
    UAI
    0301654K
    Carte

    La ville bénéficie d'un établissement d'enseignement secondaire : le lycée Geneviève Anthonioz-de Gaulle. Il a ouvert ses portes en [40] - [41].

    Il est dirigé successivement par Gérard Clamens (2001-2012)[42], Christian Hugon-Jeannin (2012-2017), Pascal Lorblanchet (2017-2021) et Pierre Wachowiak (depuis 2021)[43].

    Il a subi plusieurs blocus, en 2008 (contre la réforme proposée par Xavier Darcos)[44], puis en 2014 (autour de Tristan Guarinos et contre l'« élitisme » et l'« autoritarisme » allégués du proviseur Hugon-Jeannin)[45] - [46] - [47] - [48] - [49] - [50] - [51] - [52].

    Cultes

    La paroisse du culte catholique dépend du diocèse de Nîmes[53]. Il y a une mosquée à Milhaud qui est gérée par une association. Elle est ouverte 30 minutes avant et après chaque prière[54].

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 396 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 5 749 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 990 â‚¬[I 7] (20 020 â‚¬ dans le département[I 8]). 43 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (43,9 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]9,2 %11,4 %10,9 %
    Département[I 10]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 3 355 personnes, parmi lesquelles on compte 71,4 % d'actifs (60,5 % ayant un emploi et 10,9 % de chômeurs) et 28,6 % d'inactifs[Note 11] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 1 405 emplois en 2018, contre 1 414 en 2013 et 1 411 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 046, soit un indicateur de concentration d'emploi de 68,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,1 %[I 13].

    Sur ces 2 046 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 442 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 85,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,4 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    453 établissements[Note 12] sont implantés à Milhaud au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble453100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    347,5 %(7,9 %)
    Construction8218,1 %(15,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    13730,2 %(30 %)
    Information et communication92 %(2,2 %)
    Activités financières et d'assurance153,3 %(3 %)
    Activités immobilières163,5 %(4,1 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    5011 %(14,9 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    5411,9 %(13,5 %)
    Autres activités de services5612,4 %(8,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,2 % du nombre total d'établissements de la commune (137 sur les 453 entreprises implantées à Milhaud), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :

    • Exavision, fabrication de matériels optique et photographique (6 005 k€)
    • Sols Méditerranée, construction d'autres ouvrages de génie civil n.c.a. (5 308 k€)
    • Spécial Menuiseries 30, travaux de menuiserie bois et PVC (3 838 k€)
    • Creavie, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (3 270 k€)
    • Milhaud, hébergement médicalisé pour personnes âgées (3 163 k€)

    Zone d'activités

    La commune compte une zone d'activité (ZAC Trajectoire) qui regroupe de nombreuses sociétés et qui se situe à proximité de la RN 113. Les infrastructures routières et ferroviaires du secteur contribuent à l'essor de la commune.

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations84663211
    SAU[Note 15] (ha)768631437325

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 84 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 66 en 2000 puis à 32 en 2010[58] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 87 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[59] - [Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 768 ha en 1988 à 325 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 30 ha[58].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Ancien moulin à vent.
    • Ancienne gare.
    • Demeures bourgeoises (1850-1900), dont d'anciennes et nombreuses maisons vigneronnes.
    • Capitelles, cabanes en pierre sèche dans la garrigue.

    Édifices religieux

    • Église Saint-Saturnin de Milhaud (rebâtie dans la seconde moitié du XIXe), dans le style néo-roman. Son clocher est surmonté d'une flèche couverte d'ardoises.
    • Temple protestant néoclassique : bâti sous le Premier Empire entre 1808 et 1809, il pourrait être le premier temple de l'Église Réformée du Gard (d'une longue série durant la première moitié du XIXe siècle) construit après les « lois concordataires Â».
    • Mosquée: il y a une mosquée à Milhaud qui se trouve à côté de la salle des fêtes.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre-François Villaret (1830-1896), ténor de l'opéra de 1863 à 1882, officier de l'Académie de musique.
    • André-Numa Bertrand (1876-1946), pasteur.
    • André Costabel (1924-2016), maire de la commune durant 18 ans, ancien Directeur Général de la Caisse Régionale du Crédit Agricole Mutuel du Gard, et membre de l'Académie de Nîmes.

    Héraldique

    Blason de Milhaud Blason
    D'or aux quatre pals de gueules, à la bande brochant d'azur, au chef du même chargé de trois fleurs de lys aussi d'or[34].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
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    Site de l'Insee

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    Autres sources

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    Voir aussi

    Bibliographie

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      • Histoire d'une commune rurale de 1780 à 1800, Nîmes, Chastanier, 1911 (BNF 34122928) ;
      • Étude sur la population d'une commune rurale : natalité, mortalité, émigration, immigration, Chastanier, 1916 (BNF 34122929).
    • André Nadal, Une académie de province au XVIIIe siècle : le Tripot de Milhaud, Chastanier, 1966 (BNF 33112212).
    • André Costabel, « Quelques réflexions tirées du comportement des paysans de Milhaud face à l'histoire Â», Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. LXXIV, 1999, p. 29-48 (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

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