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M'Sila

M'Sila, (en arabe : Ű§Ù„Ù…ŰłÙŠÙ„Ű© ; Ă©galement Ă©crit M'sila ou Msila ou Masila, est une commune algĂ©rienne de la wilaya de M'Sila, dont elle est le chef-lieu.

M'Sila
M'Sila
Noms
Nom arabe Ű§Ù„Ù…ŰłÙŠÙ„Ű©
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
RĂ©gion Hodna
Wilaya M'Sila
DaĂŻra M'Sila
Code ONS 2801
DĂ©mographie
Population 156 647 hab. (2008[1])
DensitĂ© 672 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 35° 42â€Č 07″ nord, 4° 32â€Č 48″ est
Altitude 450 m
Superficie 233,2 km2 [2]
Divers
Saint patron Sidi Bou Djemelein
Localisation
Localisation de M'Sila
Localisation de la commune dans la wilaya de M'Sila.
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M'Sila
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M'Sila
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M'Sila

    Située au contact du Tell et du bassin du Hodna, la ville est fondée durant la période fatimide au Xe siÚcle.

    GĂ©ographie

    Situation

    M'Sila est situĂ©e Ă  60 km au sud de Bordj Bou Arreridj, Ă  125 km de SĂ©tif, Ă  256 de Constantine et Ă  248 km d'Alger[3].

    Elle occupe une position stratĂ©gique, au contact du Tell et du bassin du Hodna[4] et au cƓur des Hauts-Plateaux[5].

    Relief et hydrographie

    Entrée de la ville.

    M'Sila est construite aux bords de l'oued Ksob, au milieu de terres irriguées, dans les hauts plateaux du Hodna[4].

    Localités de la commune

    La commune de M'Sila était composée de plusieurs localités en 1984[6] :

    • M'Sila ville
    • Ghezal
    • Boukhemissa
    • Mezrir
    • Ouled Slama
    • Ouled Bedira
    • Ced
    • Oued Ksob
    • Mouilha
    • Draa El Hadja
    • Lougmane
    • Draa Berrabeh

    Climat

    Le climat à M'Sila, est semi-aride froid, la classification de Köppen est de type BSk. La température moyenne est de 18,6 °C et la moyenne des précipitations annuelles ne dépasse pas les 250 mm[7].

    Relevés de la station météorologique de M'Sila (période : 1991 - 2021 )
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 3,4 3,8 7,2 10,7 14,8 19,8 23,3 23 18,9 14,4 8,2 4,4
    Température moyenne (°C) 7,7 8,8 13 17 21,8 27,5 31,2 30,2 24,8 19,6 12,4 8,4 18,6
    Température maximale moyenne (°C) 12,7 14,2 19,1 23,4 28,3 34,4 38,2 37 30,8 25,2 17,3 13,2
    Précipitations (mm) 26 21 27 30 24 9 5 9 25 24 26 23 249
    Source : [7]
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    12,7
    3,4
    26
    14,2
    3,8
    21
    19,1
    7,2
    27
    23,4
    10,7
    30
    28,3
    14,8
    24
    34,4
    19,8
    9
    38,2
    23,3
    5
    37
    23
    9
    30,8
    18,9
    25
    25,2
    14,4
    24
    17,3
    8,2
    26
    13,2
    4,4
    23
    Moyennes : ‱ Temp. maxi et mini °C ‱ PrĂ©cipitation mm

    Histoire

    PĂ©riode antique

    Les Romains y ont construit, dans la rĂ©gion, la ville de Zabi, Ă  proximitĂ© de l'actuelle ville. II reste trĂšs peu de vestiges de l'Ă©poque romaine[4]. Mais une mosaĂŻque datant du IIIe siĂšcle a Ă©tĂ© dĂ©couverte rĂ©cemment dans la commune de Dehahna. De 6,18 mĂštres de long et 4,4 mĂštres de large, la mosaĂŻque reprĂ©sente une scĂšne de chasse de sangliers. Elle est entourĂ©e de deux cadres ornementaux : le premier en forme de cercles entrecoupĂ©s et le second composĂ© de motifs vĂ©gĂ©taux[4].

    Période médiévale

    Dinar fatimide de M'Sila.

    M'Sila a Ă©tĂ© fondĂ©e en 928 par le Fatimide Abou El Qasim, sans doute sur le site d'un village berbĂšre[4]. Elle est conçue comme base militaire dans le Zāb, dans le rĂŽle de protection contre des tribus berbĂšres les Birzāl, Muzāta et autres Huwwāra, sur le territoire occupĂ© par la tribu la plus turbulente, celle des Kamlān[8]. AussitĂŽt, elle supplante Tobna dans le rĂŽle de chef lieu du Zāb et devient, sous l’autoritĂ© d’Ali Ibn Hamdun, une citĂ© florissante et le siĂšge d’une puissante principautĂ© au sein du royaume faáč­imide et une des capitales provinciales les plus importantes[8].

    La nouvelle ville est entourĂ©e de deux murs d’enceinte, et sa dĂ©fense est renforcĂ©e par un canal amĂ©nagĂ© entre les deux murailles et alimentĂ© par la riviĂšre, de maniĂšre Ă  servir Ă  l’alimentation de la population et Ă  l’irrigation. Cela permit d’y dĂ©velopper des ressources agricoles abondantes. Elle profite Ă©galement d'un commerce florissant favorisĂ© par sa situation au carrefour des routes marchandes reliant l’Ifriqiya Ă  la BerbĂ©rie occidentale[8].

    Le poÚte andalou, Muhammad ibn Hani l'a décrit : « El Mesila a dans ses environs quantité d'eau et de palmiers ainsi que des vergers qu'arrosent les ruisseaux d'eau douce. C'est une grande ville chef-lieu d'un canton étendu et dont les environs sont occupés par plusieurs tribus berbÚres : Adjissa, Hawwara et Banou Berzal »[9]. La ville est célÚbre pour avoir donné naissance au poÚte et théoricien de la littérature arabe Ibn Rachik, au XIe siÚcle[4].

    À la mort d'Ali Ibn Hamdun, Msila et le Zab sont confiĂ©s Ă  son fils Ja'far[10]. Toutefois, la prĂ©sence Ă  la cour de M'Sila d’agents omeyyades et les sentiments d’allĂ©geance Ă  la monarchie andalouse affichĂ©s par les Zanāta avec la bĂ©nĂ©diction de Ja'far dĂ©tĂ©riorent gravement ses rapports avec son suzerain. Il prend la cause des Zanāta dans leurs dĂ©mĂȘlĂ©s avec son rival, l’émir des Sanhadja, puis entre en rĂ©bellion dĂ©clarĂ©e contre al-MuÊżizz. Il abandonne avec sa famille la ville pour rejoindre Cordoue en 971[8].

    Avec la dĂ©fection des BanĆ« Hamdun, M'Sila commence Ă  perdre son importance au profit d’Achir, dĂ©jĂ  sa rivale et dont la prĂ©pondĂ©rance s’affirme avec la dĂ©signation de Bologhine ibn Ziri comme vice-roi d’Al-MuÊżizz li-DÄ«n Allāh en BerbĂ©rie[8]. Sous les premiers dynastes zirides, la suprĂ©matie sur le Zāb et son chef-lieu M'Sila devient l’enjeu de la lutte qui continuait Ă  les opposer Ă  l’une puissante tribu des Maghraouas commandĂ©e par Ziri Ibn Attia[8].

    Msila, la nouvelle métropole, aura une courte durée, car elle sera supplantée par une nouvelle ville voisine. En 1007, Hammad Ibn Bologhine, adjoint des Zirides pour le Maghreb central, qui fut gouverneur de M'Sila, construit une capitale, la Kalùa. Il peuple celle-ci en procédant au transfert des habitants de M'Sila et Hamza[10].

    Selon les sources arabes, M’sila, se distingue par l’abondance de ses palmiers. Des auteurs contemporains emploient, l’expression de vĂ©ritable « oasis d’arbres fruitiers »[11]. Outre le palmier prĂ©sent dans la zone de M’sila, on trouvait divers fruits secs et humides : amandiers, noyers, figuiers, grenadiers, pommiers et parfois mĂȘme des agrumes. En outre, elle est connue pour la culture de la nouvelle fibre textile[11]. Al-Bakri dĂ©crit ainsi la ville : « Dans la ville on voit plusieurs bazars et bains et, Ă  l'extĂ©rieur, un grand nombre de jardins. On y rĂ©colte du coton dont la qualitĂ© est excellente. Tout est Ă  bas prix dans El Mecila ; la viande surtout est trĂšs abondante. »[11].

    Avec l’arrivĂ© des Hilaliens, les rĂ©gions du Zāb et du Hodna comme l’Ifriqiya sont ravagĂ©es par les tribus nomades. Cependant, elle survĂ©cut sous l’empire des Almohades, au profit d’une nouvelle capitale provinciale, BĂ©jaĂŻa[8]. Puis, en dĂ©pit des ravages causĂ©s par le soulĂšvement des Beni Ghania, elle retrouve tout au long du XIIe siĂšcle un peu de son lustre perdu, dans le sillage de BĂ©jaĂŻa, avec le renom de savants comme AbĆ« ÊżAlÄ« al-MasflÄ« ou Aáž„mad b. កarb[8].

    Mais M'Sila va de nouveau Ă  souffrir des conflits entre les Hafsides et les Zianides[8]. Elle retrouve une derniĂšre fois quelque importance politique et quelque rĂ©putation avec des savants comme Aáž„mad al-MasÄ«lÄ«, et surtout grĂące au rĂŽle qu’y jouĂšrent vers le milieu du XIVe siĂšcle, Ibn Khaldoun et son frĂšre Yahya au service du sultan abd al-wādide Abou Hammou Moussa II[8]. Enfin, sous l’emprise des tribus arabes nomades sur le Zāb et le Hodna, la ville perds son rang de grande citĂ© pour ne plus ĂȘtre qu’une simple localitĂ© vivant de maigres activitĂ©s artisanales et agricoles[8].

    PĂ©riode contemporaine

    M'Sila comportait une garnison turque[3], avec l'appui de certains chefs de tribus[12]. M'Sila se situe parmi les petites villes intérieures de l'Algérie précoloniale à l'instar de Tébessa et de Laghouat[13].

    Elle est occupée par l'armée française en 1841[12]. Sa population est composée alors, en majorité de propriétaires terriens musulmans et quelques familles juives[5], vivant autant du commerce que de la culture et possédait un marché important et trÚs fréquenté[12].

    Son histoire récente est marquée par la révolte de Mokrani de 1871, une révolte à laquelle participent les tribus des Oulad Madhi et des Souwamaa. Ahmed Ben Bella, premier président mis en résidence surveillée dans la cité[5].

    Toponymie

    Le nom de Msila a été interprété comme arabe et on l'a fait provenir de Massil El Ma' (« écoulement d'eau »), mais le nom est d'origine berbÚre et signifie « terre à glaise », « terre à poterie », le mot se retrouve dans le verbe msel, avec, comme dérivé, amessal /tamessalt, potier et potiÚre[4].

    Le toponyme Msila (en arabe dialectal), Tamsilt (en berbĂšre) est reliĂ© au nom des Massyles. L’actuelle ville est situĂ©e dans la zone massyle antique[14]. Il est possible que cet ethnonyme repose sur la racine MSL, qui a en berbĂšre des significations diverses : « façonner, modeler » (en kabyle), « frotter (lĂ©gĂšrement)/frĂŽler » (en touareg), qui semblent toutes pouvoir ĂȘtre ramenĂ©es Ă  un mĂȘme sens de base liĂ© au « mouvement (dĂ©licat) de la paume de la main »[14].

    Elle est Ă©galement connue au Moyen Âge sous le nom de Muhamadiyya[3], du nom de son fondateur, AbĆ« l-Kāsim Muhammad, le futur Al-Qaim bi-Amr Allah[8].

    Administration

    En 1850, M'Sila est rattachĂ©e au cercle militaire de Bou SaĂąda, du dĂ©partement de Constantine[5]. Elle devient un poste militaire dans les annĂ©es 1870, puis chef-lieu de commune indigĂšne en 1878 et de la commune mixte en 1884. La ville est Ă©rigĂ©e en commune par arrĂȘtĂ© du 14 janvier 1957[15].

    Lors du découpage administratif de 1974, M'Sila accÚde au statut de chef-lieu de wilaya. Cette derniÚre regroupe 47 communes réparties sur 15 daïras, dont la plus importante est la commune de M'Sila[12].

    DĂ©mographie

    Selon le recensement gĂ©nĂ©ral de la population et de l'habitat de 2008, la population de la commune de M'Sila est Ă©valuĂ©e Ă  156 647 habitants contre 123 059 habitants en 1998, dont 132 975 habitants dans l'agglomĂ©ration chef-lieu et 4 780 habitants dans la localitĂ© Boukhmissa[16]. Elle est la commune la plus peuplĂ©e de sa wilaya[1].

    Évolution dĂ©mographique
    1977 1987 1998 2008
    33 64265 805102 151132 975
    (Source : recensements[17])

    Urbanisme

    Plan de l'agglomération de M'Sila.

    Avant la colonisation française, la vieille ville de M’sila, est construite sur l'oued Ksob Ă  l’image des mĂ©dinas. Elle est caractĂ©risĂ©e par un tissu dense hiĂ©rarchisĂ© avec un lacis de ruelles, de rues, d’impasses, de placettes fermĂ©es connues sous le nom de rahba et un habitat continu, fermĂ© sur l’extĂ©rieur et ouvert de cours et de jardins sur l’intĂ©rieur. Sa grande mosquĂ©e Ă©tait Ă  la fois le centre religieux et politique et sa grande esplanade rahba constituait le centre Ă©conomique et commercial[18].

    Sur la rive sud, la vieille ville comprend les quartiers de Kerbet Tellis, le plus ancien, Chattaoua, le quartier des juifs, et Kraghla, celui des Kouloughlis dit Ras el-hara, créé au XVIIIe siÚcle[5]. Sur sa rive nord, les quartiers El argoub et El kouch, de création plus récente[5].

    Un quartier europĂ©en est crĂ©Ă© en 1895 pour recevoir quelques colons tentĂ©s par les concessions agricoles[5]. La ville coloniale nettement diffĂ©rente par sa forme et son paysage, absorbe la totalitĂ© de ses pouvoirs Ă©conomiques et de gestion[18]. Aujourd’hui, cet hĂ©ritage dualiste s’efface progressivement pour ne plus constituer qu’une ville au centre bipolaire dont l’un est en Ă©volution constante, l’autre ancien, dĂ©passĂ©[18].

    En 1965, un tremblement de terre endommage toute la vieille ville, construite en toub (pisĂ© de terre) sur la rive gauche, les autoritĂ©s dĂ©cidĂšrent de la raser[3]. La vieille ville est dĂ©laissĂ©e aprĂšs l’indĂ©pendance notamment le quartier d’El-Argoub, la situation socio-Ă©conomique et urbano-architecturale s’est vu aggravĂ©e par un double dĂ©part constituĂ© d’une part par une bonne partie des habitants autochtones en quĂȘte de modernitĂ© dans la ville coloniale, d’autre part par le dĂ©part la quasi-totalitĂ© de la communautĂ© juive[18].

    La dĂ©cennie 1970 constitue pour la ville, sa promotion en chef-lieu de wilaya ; ce qui provoque un dĂ©veloppement spectaculaire de la ville, qui s'est couverte de grands ensembles et d'Ă©quipements. Son urbanisme est moderne mais inachevĂ©, la ville s'Ă©tend vers l'ouest[3]. Le centre-ville reste accrochĂ© Ă  la petite place au contact de la vieille ville-quartier colonial. Mais les Ă©quipements administratifs et culturels tendent Ă  dĂ©placer le centre de gravitĂ© vers l’ouest. Sur la rive gauche, au nord-est, s'Ă©tendent des jardins d'abricotiers, parsemĂ©s de cimetiĂšres[3].

    Économie

    Marché de l'artisanat.

    Les principales activités économiques sont la métallurgie de l'aluminium et l'artisanat. La ville dispose également une centrale électrique[19]. Une importante zone industrielle a été créée dans les années 1970, le long de la route de Bou Saùda[3].

    Sport

    La ville compte un club de football, le WR M'Sila créé en 1937 sous le nom "Olympique de M'Sila" et "la JSM'sila" au lendemain de l'indépendance. Actuellement, l'équipe évolue à la 3e division nationale (DNA).

    Université

    L'université de M'Sila.

    La ville de M'Sila est un centre universitaire[3]. L'université de M'Sila - Mohamed Boudiaf créée en 1985, est composée de sept facultés et de deux instituts[20] :

    • FacultĂ© des sciences.
    • FacultĂ© des mathĂ©matiques et d’informatique.
    • FacultĂ© de technologie.
    • FacultĂ© des sciences Ă©conomiques et de gestion.
    • FacultĂ© des lettres et des langues.
    • FacultĂ© de droit et des sciences politiques.
    • FacultĂ© des sciences humaines et sociales.
    • Institut de G.T.U.
    • Institut des STAPS.

    Patrimoine

    La KalĂąa des BĂ©ni Hammad.

    La vieille ville abrite deux mosquées historiques. Il demeure quelques ruines de la cité romaine de Zabi[3].

    M'Sila est située à quelques kilomÚtres au sud de la Kalùa des Béni Hammad[5].

    Cuisine

    Les plats traditionnels de M'Sila sont le jokh, la bekbouka, la chakhchoukha, la Slata Mahress (sviti ou zviti) et La Hesswa. Voir Cuisine berbÚre, Cuisine algérienne.

    Personnalités liées à la commune

    Références

    1. « Wilaya de M'Sila : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
    2. « 英䌚話ă‚čă‚ŻăƒŒăƒ«ă«é€šă†ć‰ă«ă‚„ăŁăŠăŠăăŸă„ă“ăš », sur msila-dz.org (consultĂ© le )
    3. Marc CÎte, Guide d'Algérie : paysages et patrimoine, Algérie, Média-Plus, , 156 p. (ISBN 9961-9-2200-X)
    4. Mohand-Akli Haddadou, Dictionnaire toponymique et historique de l'AlgĂ©rie, Tizi Ouzou, Éditions Achab, (ISBN 978-9947-9-7225-0), p. 417-418
    5. L'Algérie et la France, dictionnaire coordonné par Jeannine VerdÚs-Leroux, Robert Laffont 2009, p. 615 (ISBN 9782221109465)
    6. Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret no 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya de M'Sila, p. 1545.
    7. « Climat M'Sila : Pluviométrie et Température moyenne à M'Sila, diagramme ombrothermique pour M'Sila - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le )
    8. F. Dachraoui, « Masīla », dans Encyclopédie de l'Islam, Brill, (lire en ligne)
    9. Les déportés maghrébins en Nouvelle-Calédonie et la culture du palmier dattier, Mélica Ouennoughi, l'Harmattan, p. 50.
    10. Abderrahmane Khelifa, « L'urbanisation dans l'AlgĂ©rie mĂ©diĂ©vale », AntiquitĂ©s africaines, vol. 40, no 1,‎ , p. 269–287 (DOI 10.3406/antaf.2004.1392, lire en ligne, consultĂ© le )
    11. Mohamed Meouak, « Le Hodna occidental entre rĂ©gions mĂ©diterranĂ©ennes et plaines dĂ©sertiques : organisation des terroirs, communautĂ©s rurales et productions agricoles au Moyen Âge », Revue des mondes musulmans et de la MĂ©diterranĂ©e, no 126,‎ (ISSN 0997-1327, DOI 10.4000/remmm.6388, lire en ligne, consultĂ© le )
    12. Achour Cheurfi, Dictionnaire des localités algériennes : villes, villages, hameaux, ksars et douars, mechtas et lieux-dits, Casbah-Editions, impr. 2011, ©2011 (ISBN 978-9961-64-336-5 et 9961-64-336-4, OCLC 947843177, lire en ligne), p. 829-832
    13. « Traits gĂ©nĂ©raux de l’évolution des structures urbaines dans l’histoire algĂ©rienne (19Ăšme- 20Ăšme siĂšcles) », sur ouvrages.crasc.dz (consultĂ© le )
    14. S. Chaker, « Massyles et Massaesyles : note linguistique complĂ©mentaire », EncyclopĂ©die berbĂšre, no 30,‎ , p. 4663 (ISSN 1015-7344, DOI 10.4000/encyclopedieberbere.500, lire en ligne, consultĂ© le )
    15. « Recherche géographique », sur anom.archivesnationales.culture.gouv.fr (consulté le )
    16. « M'Sila (Province Capital, M'Sila, Algeria) - Population Statistics, Charts, Map and Location », sur www.citypopulation.de (consulté le )
    17. (en) Algeria: Provinces & Major Cities - Population Statistics, Maps, Charts, Weather and Web Information
    18. Mili, Mohamed - Boutabba, Hynda - Boutabba, Samir-Djemoui, « Sauver le patrimoine urbain et architectural ancestral par des actions de restructuration. Cas du quartier d’El Argoub de Msila en AlgĂ©rie »,
    19. Éditions Larousse, « Msila - LAROUSSE », sur www.larousse.fr (consultĂ© le )
    20. « Université | Université Mohamed BOUDIAF -M'Sila », sur www.univ-msila.dz, (consulté le )
    21. « Justice : Le nouveau ministre prĂ©sente sa feuille de route | El Watan », sur www.elwatan.com (consultĂ© le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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